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Technicien coquin

Chapitre 1

Relevés de terrain

Erotique
Je vais vous raconter l’histoire qui m’est arrivée il y a quelque temps. Mais d’abord, faisons les présentations : je m’appelle Stéphane, j’ai 37 ans, grand brun célibataire aux yeux noisette d’1m86 pour 95 kilos, corps sculpté par les différents sports pratiqués (squash, karaté et natation). Je suis chargé d’études en environnement ; en gros, je mène les études pour la mise en place d’assainissement pour les maisons, en campagne. Et c’est lors d’une de ces études que cette histoire m’est arrivée.
J’avais donc un rendez-vous, chez Mme X, un mardi, en cette très chaude fin d’après-midi. Je me gare dans la cour de la propriété, et vais sonner à la porte. Quelques instants plus tard, la porte s’ouvre et devant moi, il y a une jeune demoiselle d’environ 20 ans, brune aux yeux verts, enroulée dans un peignoir de soie. Je reviens de ma surprise et bredouille avec un sourire :
— Bonjour ! Stéphane R., Société N. Euh... j’avais rendez-vous avec... avec Madame X. pour son assainissement.— Bonjour ! Moi, c’est Camille. Oui, c’est vrai que ma tante m’en avait parlé, mais elle n’est toujours pas rentrée de son boulot. D’ailleurs, je vais l’appeler pour lui dire que vous êtes là. Désolée.— OK, c’est gentil, lui dis-je avec mon plus beau sourire.
Elle me fait entrer dans la maison et disparaît en trottinant vers la terrasse, sans doute pour téléphoner à sa tante. A travers la baie vitrée, je l’entends parler. Elle fait les cent pas, et j’en profite pour détailler cette magnifique brune, élancée et mince.Une peau bronzée qui fait ressortir le vert de ses yeux. D’où je suis dans la maison, son peignoir de soie laisse apparaître par transparence, avec le contre-jour, de sublimes jambes.Elle finit sa conversation et revient vers moi pour me dire :
— En fait, il vient d’y avoir un accident au boulot de ma tante ; elle s’excuse, mais elle aura au minimum 45 minutes de retard. Elle fait au plus vite. Mais elle a préparé les plans de l’ancien propriétaire ; ils sont là, et elle m’a dit que vous sauriez sans doute quoi en faire, dit-elle en me désignant une grande enveloppe sur la table du séjour.— C’est sûr, c’est mon boulot ça, les plans ! lui dis-je en souriant.
Je n’arrive pas à détacher mon regard de ses yeux, et elle s’en rend compte en me tendant l’enveloppe.
— Voilà les plans, me dit-elle avec un grand sourire.— OK, merci ! Je vais regarder et commencer mon relevé à l’extérieur en attendant votre tante.— D’accord, je serai là sur la terrasse. Vous voulez boire quelque chose avant ? Un café, du jus d’orange ?— Non, je vous remercie, je me mets au travail tout de suite !
Je retourne à mon véhicule, sors mon matériel et commence à regarder les plans dépliés sur le capot pour repérer les différents points importants pour mon dossier. Je me mets au boulot, et j’essaye de ne plus penser à la jolie fille aux yeux verts qui m’a accueilli.
En m’approchant de l’arrière de la maison pour mes relevés, je découvre la belle demoiselle en train de se réinstaller sur son transat face au soleil. Elle se penche en avant pour remettre correctement sa serviette sur le transat, et je devine alors que la belle porte un petit shorty qui lui va à ravir. « Joli petit cul ! » pensé-je.

Elle retire son peignoir et s’installe sur le transat, me laissant entrevoir une jolie paire de seins dans un petit haut de maillot de bain blanc. J’avoue qu’à ce moment-là, la température monte d’un cran... et pas que la température !
Ayant pu observer à la fois une belle plante et les différents points pour le taf, je retourne chercher mon matériel pour effectuer mon relevé. J’ai cependant un « léger souci » ; il faut qu’à un moment donné, je déloge la demoiselle pour pouvoir entrer les données de la terrasse dans mon relevé, et faire aboutir le projet.
Je décide d’attendre le dernier moment pour le faire : comme cela, je pourrai peut-être profiter discrètement de la vue tout en travaillant.
Une vingtaine de minutes plus tard, la tante n’est toujours pas arrivée. Après avoir réussi tant bien que mal à effectuer mon relevé sans rien oublier (je suis malgré tout un peu perturbé), je m’approche de la terrasse pour prendre les dernières données de terrain, et dis à la demoiselle avec un sourire aimable :
— Excusez-moi, Mademoiselle, mais je vais devoir vous interrompre dans votre séance de bronzage, car je dois atteindre les deux regards qui sont sous votre transat.
Je pose mes affaires sur la table de jardin ; et du coin de l’œil, je repère que la belle a rétréci les triangles de son haut de maillot de bain pour, à mon avis, limiter les traces de bronzage. Recoup de chaud. Décidément, cette fille me fait de l’effet ! Il faudrait bien que je tente quelque chose...
— Des regards ? Ah oui ! ça... Euh oui... pas de problème, dit-elle tout en se levant, mi-gênée, mi-amusée par la situation.— Merci. Je me charge de bouger le transat. Il me reste quelques points à prendre, et j’aurai fini pour la phase terrain. Je vous laisserai tranquille. Il ne me restera plus que les explications à donner à votre tante.— Ça va, vous avez été rapide...— Le terrain est relativement facile à appréhender. Et votre tante m’avait précisé par mail avant ce rendez-vous que je ne devais pas toucher aux aménagements paysagers existants.— Ah, d’accord. Sinon, ça va ? C’est pas trop difficile de travailler avec cette chaleur ? Vous voulez un verre d’eau, peut-être, maintenant ?
J’ai à peine le temps de répondre que son téléphone sonne. Elle décroche tout en se dirigeant vers l’intérieur de la maison.
Pendant ce temps-là, j’en profite pour ouvrir ce fameux regard afin de finir le boulot. Je suis à genoux sur la terrasse, penché en avant, la tête plus ou moins dans ce trou. Je l’entends revenir et je sens son regard sur moi. Dans cette posture, elle doit surtout voir mes fesses ! Je referme la trappe du regard, me redresse et me retourne – un peu vite, sans doute – pour me retrouver nez à nez avec la demoiselle et son verre d’eau, elle fait un faux mouvement et le lâche ; et clac, du verre partout ! D’un même mouvement, nous voilà aussitôt accroupis pour ramasser les débris.
— Je suis trop maladroite ! Bon, bah, j’ai plus qu’à vous chercher un autre verre et mettre tous ces morceaux à la poubelle, dit-elle avec un grand sourire.— OK.
Pendant ce temps-là, je vais à la voiture ; j’en profite pour ranger tout mon matériel. J’ai terminé. De retour sur la terrasse ; j’ai juste le temps de m’asseoir à la table de la terrasse pour la voir arriver avec un plateau sur lequel se trouvent deux verres et une bouteille d’eau aromatisée. En posant le plateau sur la table, elle me dit en regardant son téléphone :
— Ma tante ne devrait plus tarder ; j’ai pas osé sortir les bouteilles d’alcool.— Oh, ne vous en faites pas : de l’eau par cette chaleur, ce sera parfait. En plus, je vois que je suis gâté : de l’eau aromatisée à la fraise, lui dis-je en souriant.
Elle nous sert un verre, et commence alors une discussion sur mon métier, mes études, ses études, et j’apprends qu’elle est célibataire, qu’elle vient dans la région pour sa troisième année de fac, et que c’est pour cela qu’elle s’est installée chez sa tante pour l’instant, mais qu’elle compte bien avoir un appartement pour éviter les 45 minutes de trajet en bus le matin et le soir.
Le téléphone sonne à nouveau ; elle me dit que c’est sa tante, et se dirige vers l’intérieur. Je suis toujours assis sur la terrasse d’où je peux l’apercevoir à travers la baie vitrée.
Elle est canon, vraiment ! Et la conversation est bien engagée ; c’est... bien parti. Et très agréable !
Elle passe sa tête par la baie et me dit :
— Ma tante en a encore pour au moins 45 minutes, et voudrait savoir si vous pouvez l’attendre.— Euh, oui, pas de souci.— Oui, tata, c’est bon, il t’attend... Bisous, à tout à l’heure.
Elle raccroche et revient sur la terrasse.
— Ma tante vous remercie et elle va... Aah ! Aïe, aïe, ça fait mal ! Putain de bout de verre !
Elle se jette sur le transat et je vois du sang couler de son pied. Je m’assois aussitôt à ses côtés, lui saisis le pied blessé et commence à nettoyer prudemment le sang avec un Kleenex pour voir si le morceau de verre est toujours là... et il est toujours là. Je lui demande où est la pharmacie dans la maison ; elle me répond qu’elle se trouve dans la salle de bain, qui est à gauche en entrant dans le couloir.
Je fonce. Arrivé dans la salle de bain, je récupère la pharmacie et retourne sur la terrasse. Je me repositionne à côté de Camille, lui reprends le pied et lui dis que je vais désinfecter avec de l’alcool, que cela va piquer, mais je n’ai rien trouvé d’autre pour désinfecter ; et que je vais essayer de récupérer le morceau de verre avec une pince à épiler que j’ai ramenée.
Elle me sourit, un peu pâle, en hochant de la tête.
À peine ai-je eu le temps d’appliquer la compresse avec l’alcool sur la coupure qu’elle m’attrape fermement le bras en soufflant comme pour se retenir de crier.
— Camille... Ça va, pas trop mal ?— Si, un peu quand même... C’est grave, c’est profond ?— Non, je pense pas. Je vais essayer d’enlever le petit morceau de verre... et hop, le voilà ! C’est bon, c’est fini.
Je redésinfecte la plaie ; elle serre les dents, et je commence à faire le pansement. En revenant de la salle de bain, elle est debout sur la terrasse, elle a mis des espadrilles toutes jolies, pour ne pas risquer de se couper à nouveau, et... je m’aperçois que la belle me dévore du regard. Je lui souris, elle me sourit aussi.
— Merci. Vous êtes trop chou, dit-elle en m’embrassant juste à la commissure des lèvres. Elle pose ses deux mains sur mes épaules et me demande : Vous faites quoi vendredi soir ?
J’aimerais vous inviter à boire un verre en ville avant de rentrer chez ma tante ?
— Avec plaisir... lui dis-je en posant mes deux mains sur ses hanches.
Nous nous regardons fixement, et je la sens frissonner au contact de mes mains. Elle s’approche jusqu’à écraser sa poitrine sur mon torse, et là c’est moi qui frissonne.
Je l’embrasse, elle me rend mon baiser. Nos langues entrent en action dans un tourbillon complètement anarchique. Je commence à lui caresser le bas du dos, à la limite de son shorty avec ma main gauche, tandis que de ma main droite, je lui caresse le visage. Ses mains ne sont pas en reste : la gauche me caresse le torse et la droite se perd dans mes cheveux.
Je passe ma main gauche sous son shorty et commence à lui malaxer les fesses ; sa peau est douce, ses fesses toutes rondes... Ma main droite quant à elle, quitte sa joue pour aller se poser sur ses seins si excitants. Elle gémit de plaisir tout en gardant ses lèvres sur les miennes. Sa main droite descend vers mon entrejambe et commence à masser à travers mon pantalon mon sexe déjà bien éveillé.
Je lâche sa bouche, lui retire son haut de maillot de bain que je balance sur la table, et commence à lui embrasser les seins. Elle en profite pour défaire ma ceinture et ouvrir mon pantalon. Elle faufile sa main dans mon boxer et se mord la lèvre inférieure en découvrant la taille déjà imposante de mon sexe qui a très envie d’atteindre sa taille maximale (18 centimètres et 7 centimètres de diamètre) !
La douceur de ses mains sur mon sexe est un vrai régal.
Ma main gauche est passée de ses fesses à son sexe, sur le devant. Je glisse ma main dans son shorty, effleure son clitoris... elle frissonne de plaisir. Je continue mon exploration par une caresse sur ses lèvres qui sont légèrement ouvertes et bien humides. Elle commence à me masturber. Sa main est précise : la petite étudiante a l’air de bien connaître ce genre de chose !
— Continue avec tes doigts sur ma chatte... me souffle-t-elle, c’est trop bon !
Je ne me fais prier et j’insère le bout mon majeur entre ses lèvres, et remonte vers son clitoris que je commence à masser. Elle ondule de plus en plus du bassin, et sa respiration s’accélère aussi.
Je continue mon petit jeu en reprenant aussi ma succion sur ses deux seins en alternance. Elle accélère sa masturbation pour ne pas être la seule à décoller vers les hautes sphères du plaisir. Je sens son sexe se liquéfier et je plonge deux doigts au fond, les retire, et les porte à sa bouche. Avec un petit air coquin, elle me lèche les doigts et m’attrape la tête pour un échange buccal des plus délicieux.
Il faut faire vite pour la suite : ce serait très compliqué pour chacun de nous si sa tante débarquait maintenant !
Je décide de m’allonger sur le transat en attirant la belle à moi et lui dis :
— Viens sur moi, pose ta chatte sur ma bouche. J’ai trop envie de te goûter !— Mais moi j’ai envie de te sucer ! me répond-elle en enlevant son shorty.— Mets-toi en 69 !
A peine a-t-elle eu le temps de se positionner au-dessus de moi que je commence à lui lécher son clitoris déjà bien dardé. J’ai ses fesses dans mes mains, et je l’entends dire :
— Ouiiiiiii ! Ta langue... hummmm... c’est trop bon !
Tout en ondulant bien du bassin sur ma langue, Camille se penche et attrape mon membre, le masturbe un peu et commence à lécher le bout de mon gland luisant de plaisir. Puis, progressivement, elle laisse sa bouche descendre le long de mon sexe.
— Hummmmmffff !
Au bout de quelques minutes de ce traitement mutuel, la belle Camille est prise de spasmes. Elle est obligée de s’écarter de ma bouche, tellement son orgasme est puissant : j’ai le visage recouvert de cyprine et je m’en pourlèche les babines en lui caressant le haut des cuisses du revers de la main.
Elle reprend ses esprits, s’allonge à l’envers à côté de moi sur le transat.
— On a encore le temps ? m’inquiété-je.
Mais elle rit joyeusement et me dit de ne pas m’en faire. Puis avec un air coquin, me lance :
— A ton tour de jouir !
Et elle replonge à l’attaque de ma tige.
Je la vois s’activer sur ma bite sans jamais réussir à la prendre entièrement en bouche, mais elle joue merveilleusement bien avec sa langue ; je me demande combien de mecs elle a déjà sucés à son âge ; et je caresse ses seins tout chauds à portée de ma main...
Je sens mon sperme monter.
— Hummm... attention, Camille, ça vient !
Et dans un râle libératoire, je déverse toute ma semence dans sa bouche en quatre ou cinq grosses giclées. Je vois ses yeux s’écarquiller quand elle se rend compte de la quantité ; mais elle continue de m’aspirer. Puis elle se redresse, la bouche mi-ouverte, comme pour me montrer le résultat de mon éjaculation. Elle ferme la bouche, me fait un clin d’œil et avale d’une traite. Je l’attire à moi et l’embrasse à pleine bouche.
Nous restons allongés tous les deux, le temps de reprendre un peu nos esprits, car nous savons tous les deux que nous ne pourrons pas aller plus loin ce soir. Et puis cela devient trop risqué, le câlin, à moitié nu sur la terrasse... Et effectivement, quelque dix minutes après nous être rhabillés, on entend la voiture de sa tante arriver.
Madame X. est une femme agréable et souriante, qui respire la santé. Elle a de très beaux yeux comme sa nièce ; mais d’une couleur différente. Une belle femme de 50 ans, et je me surprends à me demander si elle a un mari, un homme... pas de photos dans le salon.
Pendant que j’explique à sa tante les premières conclusions de mon étude de terrain (avant de travailler sur le dossier à mon bureau dans un deuxième temps), Camille en profite pour aller prendre une douche.
Vingt minutes plus tard, elle revient et du coup je suis tout perturbé, mais j’essaye de ne pas le montrer : elle réapparaît dans le salon, en petit short en jean et tee-shirt blanc hypermoulant, avec écrit dessus : « LOVE SEX » (j’en sais quelque chose, en fait !).
De plus, elle n’a pas de soutif : on voit parfaitement ses deux tétons bien tendus. J’ai du mal à rester concentré, je l’avoue, sur la conversation technique avec sa tante, laquelle me semble amusée, à un moment donné, de ma gêne.
La conversation se termine. Je range mes dossiers, et Madame X. me propose un petit apéro, en me disant :
— Vous l’avez bien mérité, vous m’avez attendue, plus d’une heure trente. Que puis-je vous servir ?— Qu’avez-vous à me proposer ?— Camille, tu peux chercher le panier apéro s’il te plaît ?— Oui, Tata, je te l’amène !
Elle bondit du canapé, et comme sa tante me regarde, j’attrape un devis et l’examine bêtement, évitant de regarder ses fesses dans son minishort, ce petit cul que j’ai tenu entre mes mains.
Je prends un petit pastis, Madame X. se sert un porto blanc et
Camille un verre de Coca.
La discussion reprend, et Camille explique qu’elle s’est coupé le pied avec un morceau de verre qui traînait sur la terrasse. Sa tante me remercie de l’avoir soignée.
— Vous avez terminé vos relevés, et même joué les infirmiers en m’attendant ! s’exclame-t-elle en riant.
J’essaye de ne pas rougir, mais Camille rigole franchement. Est-ce que la tante de Camille aurait pu deviner, et se moquerait-elle gentiment de moi ?
Le temps était venu pour moi, de rentrer. Je me lève, remercie et salue Madame X., et Camille lui dit avec beaucoup de naturel :
— Je raccompagne Monsieur à sa voiture.
En arrivant à proximité de la voiture, elle se retourne pour vérifier que sa tante ne l’observe pas et se jette à mon cou pour m’embrasser avec fougue ! Une dernière fois, très brièvement, ses fesses dans mes mains... Mmmmh...
— Dis, elle a pas deviné, ta tante, qu’on... s’est amusés en son absence, en l’attendant ? Elle paraissait un peu... ironique et amusée, parfois.— Je me suis posé la question, mais c’est pas grave ; en fait, elle n’est pas là pour veiller sur ma vertu ! ajoute-t-elle en riant. Elle est sympa et cool, ma tata ; vachement plus agréable que mes parents.— OK, je veux pas qu’il y ait un malaise avec elle et que ça te retombe dessus...— C’est gentil. Mais pas de souci.
Puis je cherche dans ma poche une carte de visite perso et la lui tends.
— Tiens Camille, je te laisse mon numéro pour que tu me dises où et à quelle heure, on se retrouve vendredi soir.
Elle me fait un grand sourire lumineux et glisse ma carte dans la poche arrière de son petit short.
— Je ne sais pas si je pourrai attendre jusqu’à vendredi pour te revoir... me glisse-t-elle à l’oreille.— Juste trois petits jours à attendre, et je serai tout à toi, ma belle ! Et puis, tu peux me joindre quand tu veux, lui dis-je en faisant un clin d’œil.— Coquin, me fait-elle.— Oui et pas que... lui dis-je en démarrant la voiture.
Elle se jette à nouveau sur moi par la vitre ouverte pour m’embrasser et me dit :
— À bientôt, Stéphane !— Oui, à très vite.
Je reprends la route, le cœur battant de ces moments inattendus, passés en compagnie d’une si jolie fille tellement douée pour le sexe... Quelle chance, ce retard de sa tante ! Sinon je serais resté là à admirer Camille, sans aller plus loin.
Je suis à peine parti depuis 10 minutes dont je reçois un texto de
Camille qui me dit « Toi aussi, maintenant tu peux me joindre quand tu veux ;) »
Attendre la fin de la semaine est difficile pour moi, même si mon attente est agrémentée et enflammée par nos textos échangés chaque jour, et parfois tard dans la nuit. Je pense sans arrêt à Camille, et la réciproque à l’air de se vérifier ; elle m’envoie des messages coquins et des selfies très très chauds, auxquels j’essaye de ne pas trop penser pendant mes journées de travail. Mais clairement, j’ai la tête ailleurs !
Enfin, le vendredi soir arrive.
J’ai juste le temps de rentrer chez moi pour prendre une douche, me changer et rejoindre Camille dans le centre-ville. Avant de fermer ma porte d’appart, sans trop savoir où se terminera la soirée, j’ai glissé dans mon sac à dos une boîte de capotes.
Je rejoins ma voiture en sifflotant...
(À suivre)
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