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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Hôtel St. Brieuc

Chapitre 1

Lesbienne
Chers Amis, Fidèles lecteurs de votre revue, nous ne résistons pas au plaisir de vous raconter l’une de nos aventures, très émus à l’idée de nous relire et peut-être d’être reconnus par certains de nos amis. Depuis notre rencontre par une petite annonce, Bénédicte s’est révélée très exhibitionniste, chaude, sensuelle et provocante. J’aime la montrer et elle prend un vrai plaisir à lire l’excitation dans le regard des hommes et le mien Elle a de jolies jambes découvertes par des jupes souvent très courtes, sous lesquelles elle ne porte que des bas, parfois pas de culotte, et surtout des décolletés assez vertigineux qui attirent les regards. Ses seins superbes sont sa fierté et mon bonheur. Nous avions décidé d’aller passer 2 jours en Bretagne, réservant un hôtel à St Brieuc. Partis nous allonger quelques minutes après le déjeuner, Béné s’installe sur le lit devant la télévision, pendant que je prends une douche pour me délasser du voyage. Sortant de la salle de bain, je m’allonge à coté d’elle, et sans la déshabiller, je caresse ses seins, son ventre, ses jambes. Elle ouvre les cuisses et sous son slip déjà humide, tendu sur sa motte, je sens ses lèvres gonflées. La température monte. Je me lève pour ouvrir la fenêtre en grand. De l’autre coté de la rue, un petit immeuble nous fait face. A l’une de ses fenêtres située légèrement plus haut que la notre, j’aperçois un garçon d’une vingtaine d’année accoudé à sa fenêtre. Il a l’air un peu surpris de me voir nu, et en pleine érection, et se retranche précipitamment derrière son rideau. Je réalise qu’il doit voir au moins la moitié inférieure de notre lit, et sais qu’une femme est allongée. Avec un petit coup au c?ur, je rejoins Bénédicte, ouvre son chemisier sous lequel ses seins sont nus et gobe entre mes lèvres ses tétons qui durcissent. Je descends le long de son ventre, et la tète à la hauteur des ses cuisses, je distingue derrière la fenêtre qui nous fait face la silhouette du garçon. Béné ne peut le voir, pas plus que lui ne peut voir autre chose que les jambes de ma compagne. Le c?ur battant d’excitation, je m’agenouille au pied du lit, saisit Béné par les chevilles et la tire vers moi. Comprenant que je souhaite m’occuper de sa petite chatte, elle glisse son bassin vers moi, sans pouvoir encore apercevoir notre voyeur. Je roule sa jupe haut sur ses hanches et la déculotte. D’un coup d’?il, je constate que notre spectateur s’est accoudé à la fenêtre et semble très intéressé. Elle ouvre grand les cuisses et je suce longuement sa motte aux poils taillés court, passant la langue dans son sillon rose, comme elle aime et me le fait savoir en gémissant, l’enfonçant à l’entrée de son vagin béant et gluant de foutre, aspirant tantôt son jus, tantôt son clitoris dur et très long. Sachant que le garçon nous regarde et la voit se trémousser sous ma caresse, je suis au bord du plaisir, et la suce longtemps, jusqu’à recevoir une décharge de cyprine, accompagnée d’un long gémissement, lorsqu’elle jouit, arqueboutée. C’est là son premier orgasme, et loin d’être le plus violent. Assis en tailleur, toujours au pied du lit, je l’allonge sur mes genoux, fesses tournées vers notre voyeur pour qu’elle ne le remarque pas tout de suite. Elle adore cette position de ’ grenouille’, sur le ventre, cuisses très écartées, cul relevé, la motte bien accessible, offerte, la fente baillante. Le garçon doit avoir une superbe vue de ses grosses lèvres béantes, et je lui fais un clin d’?il. Je la branle bien profondément devant lui, enfonçant un doigt, puis deux dans son con trempé. Le foutre lui ruisselle sur les poils et mes doigts s’agitant dans sa cramouille distendue produisent un bruit de clapot qui nous excite autant l’un que l’autre. Je regarde franchement le garçon pour lui faire comprendre que c’est à lui que s’adresse cette exhibition, et que je veux qu’il la voie, totalement offerte, dominée, vautrée sur moi, cul nu et chatte ouverte, impudique et salope, tortillant de la croupe sous mes doigts qui la branlent. Elle me dit des choses torrides, qu’elle aime ça, que je lui fais ça bien, que je vais la rendre folle, qu’elle aime que je la traite comme une pute et qu’elle voudra que je la remplisse ! J’agite de plus en plus fort les doigts dans son trou alors qu’elle me demande de la baiser, mais je sens que dans mon état, je ne tiendrai que peu de temps si je la prends, et je veux prolonger ce moment. - Non ! Je ne te baiserai que ce soir ! Je veux t’avoir sous la main comme ça tout l’après midi. ! Elle rit et me promet que je ne débanderai pas de l’après midi, risquant de craquer avant elle, et se retournant, aperçoit notre admirateur. Les yeux brillants, elle me demande : - Tu as vu le garçon en face ? Tu savais qu’il regardait ? - Oui, bien sur ! - Salaud ! Ca ne m’étonne pas de toi ! J’espère qu’il a apprécié ! Il doit être dans un drôle d’état, le pauvre Je lui propose d’aller nous balader et comme elle sait ce qui m’excite et n’a pas eu sa ration, elle tient sa promesse. Après une douche rapide, debout face à la fenêtre, elle enfile un mini slip totalement transparent, une petite jupe jaune courte et moulante, et enfin un t-shirt blanc sur ses seins nus, assez collant pour révéler de façon presque indécente la masse de ses beaux nichons et leur pointe bordée d’une auréole sombre. Une ravissante petite salope sur laquelle les hommes vont se retourner. Nous descidons de quitter le centre pour aller sur le bord de mer. Sitôt assise dans la voiture, elle s’installe comme j’aime, jupe remontée au ras du slip. A ce moment, je vois dans mon rétro notre jeune voyeur enfourcher un scooter, l’air décidé à nous suivre. Je roule lentement, pour que d’éventuels piétons ou cyclistes puissent apercevoir les jambes de ma compagne, mais le scooter squatte la place, et je décide de le semer, pensant le retrouver ce soir. Arrivés près d’une plage, nous entrons dans un bar, peu fréquenté. Les 5 ou 6 hommes présents suivent Béné du regard, l’air de la trouver plutôt bandante avec ses seins bien visibles sous le t-shirt et sa jupe moulante. Une fois assise, elle dévoile ses cuisses jusqu’à son slip. Elle sent très bien le regard des hommes, et son calme et naturel m’étonnent encore. Elle ne prend aucune précaution pour que les mouvements de ses jambes ne révèlent pas par instant très nettement le fond de sa culotte, et nous délirons à voix basse : - Tes seins sont superbes ! Tu sais qu’on les voit bien ! - Ca n’a pas l’air désagréable à regarder ! - Tu as l’air d’une vraie petite pute ! Je suis sur qu’ils essayent de savoir si tu portes une culotte - D’abord, c’est toi qui m’as rendu comme ça, et ils savent très bien que mon slip est blanc. Ils ne le quittent pas des yeux ! - Salope ! Tu es mouillée ? - Je suis trempée, et tu le sais bien ! Tout l’après midi, nous nous promenons, profitant des regards tantôt directs, tantôt discrets et timides, tantôt salaces, mais toujours intéressés des hommes que nous croisons. Durant le dîner, un père de famille, accompagné de sa femme et de deux enfants tente d’observer discrètement Bénédicte, allant jusqu’à laisser tomber sa serviette pour jeter un coup d’?il sous la table. A sa deuxième tentative, je demande à ma compagne: - La prochaine fois, récompense le, ouvres lui tes jambes Elle sourit sans me répondre, mais dès que la serviette du gars tombe, la petite salope écarte franchement les cuisses. Le spectateur a l’air de plus en plus agité, mais il est coincé à sa table. Comme nous arrivons à la fin du dîner, je lui demande sans trop y croire : - Fais-moi plaisir ! Pour lui offrir un bouquet final, je voudrai que tu ailles enlever ton slip ! Elle est bien aussi excitée que moi, car à ma stupéfaction, elle se lève et se dirige vers les toilettes. Le temps que je demande l’addition, elle est de retour, les joues roses et l’?il brillant. En s’asseyant, elle me sourit et me traite de salaud. Elle se tourne légèrement vers notre admirateur, et sans le regarder, ouvre un peu les jambes. Je vois l’homme tressaillir, l’air complètement estomaqué. Sa femme va finir par se rendre compte de quelque chose. Et Béné ouvre franchement ses cuisses en me regardant. J’ai l’impression que le type va suffoquer. Puis brusquement, elle se lève et nous partons sans un regard pour notre victime. Arrivée à notre chambre d’hôtel, nous remarquons la fenêtre ouverte de notre vis à vis. Sa lumière est éteinte, mais nous devinons sa silhouette. Je suis tellement excité que j’assieds Bénédicte au pied du lit, la renverse, m’agenouille entre ses jambes que j’écarte et pose sur mes épaules. Ses lèvres sont gonflées et luisantes de foutre. Je lui bouffe la chatte avec application, gobant son clitoris, enfonçant la langue dans son trou béant. Elle ondule en gémissant de plaisir. Au bout de quelques minutes, elle me décharge dans la bouche en feulant. Je la relève, et debout devant la fenêtre, achève de la déshabiller. J’aperçois notre admirateur toujours dans l’obscurité. Je lui fais signe de la main. Il comprend et allume la lumière. Il est nu, son sexe tendu à la main. J’attrape un oreiller, le jette à terre et invite Béné à s’agenouiller dessus, face au garçon. Elle se met à quatre pattes, je m’installe derrière elle et la prends en levrette d’un coup de rein. Elle est béante et brûlante. Le garçon se branle devant nous. Je la baise comme un fou, faisant claquer mon ventre contre ses fesses. Il doit voir ses seins tressauter à chaque coup de boutoir. Elle gémit de façon continue, et je décharge au moment ou elle m’annonce qu’elle jouit, le visage tendu vers son admirateur. Je suis tellement excité que je la retourne à même la moquette, oreiller sous la tète, et me couche sur elle. Le simple fait de frotter ma queue sur sa cramouille gluante me rend une érection qui me permet de la prendre à nouveau. Et nous continuons notre chevauchée, plus tendrement, jusqu’au bout de nos forces. Elle délire à mon oreille, m’encourageant avec des mots obscènes et des ordres crus. Totalement anéanti, je me relève pour fermer les rideaux en adressant au garçon un signe d’adieu. En quittant l’hôtel, le lendemain, nous ne l’avons pas revu, mais sur le pare brise nous attendait un mot qui disait en substance : - Merci pour ce superbe spectacle. Vous avez bien de la chance : Elle est très belle. J’aurai bien aimé la caresser et la lécher. J’espère que vous reviendrez bientôt. Gros bisous sur les jolis seins et la petite chatte de Madame. Suivait le prénom du garçon et un numéro de téléphone. Je lui aurai bien laissé une jolie photo de Bénédicte nue en réponse, mais le scooter avait disparu.
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