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Tempérament de Feu !

Chapitre 3

Le piège va se refermer !

Lesbienne
Marie-Sabine Glouscari était morose, très morose...
Son mari allait rentrer d’une minute à l’autre de son déplacement aux USA, pour ses panneaux photovoltaïques, et elle savait qu’il ne serait pas content des résultats de la rencontre de sa femme, avec le sculpteur ! Mais pas content du tout ! Elle n’avait pas osé lui parler de sa performance désastreuse, une semaine auparavant. Mais là, elle allait devoir cracher le morceau : pour la première fois de sa vie, Marie-Sabine eut peur de son mari, de ses réactions... alors que jusque-là, ses petites crises de coq en colère l’avaient toujours fait rire. Alors qu’elle buvait maussadement sa tasse de café, elle vit son fils rentrer de la fac. Il passa devant elle, éblouissant de formes, très bien habillé, rasé de près, et de très très bonne humeur. Il lui fit la bise et lui jeta un "quelle belle journée, maman ! "
Mais qu’est-ce qui se passait dans sa famille ? Son mari semblait assumer sa condition de “mâle dominant” envers elle, et son fils était joyeux, propre sur lui, et enjoué ! Il n’avait plus cette dégaine de zombie mal rasé, toujours défoncé au shit, voire à autre chose. Marie-Sabine, avec son instinct de femme très fine, n’aimait pas cela du tout, mais pas du tout. Elle s’était toujours arrangée pour que les deux hommes de sa vie soient des ersatz de mâles, des créatures falotes, bourrées de problèmes, de rancune, de difficultés... comme elle, en somme ! C’était un peu sa façon de se venger de la gent masculine tout entière : broyer les deux hommes qu’elle avait à sa disposition ! Mais là, elle ne les reconnaissait plus, elle sentait l’ombre machiavélique de l’artiste s’étendre sur elle et sa famille... il se passait quelque chose, de plus que ce sinistre chantage fait à son mari, mais quoi ? Elle aurait donné cher pour le savoir !

Pour son fils, cela allait un peu plus loin que la simple destruction de son mari ! Son fils était la chair de sa chair, une partie d’elle-même, sa seule réussite dans ce monde... merdique pour elle. Mais avec l’âge, il lui échappait de plus en plus, elle savait qu’un jour, il rencontrerait la fille qui lui arracherait "son petit ange". Alors elle fit tout pour qu’il devînt un raté, qui ne vivrait que grâce à elle. Qui viendrait se réconforter "dans ses jupes", quand il ratait un examen, ou avait un chagrin d’amour. Pour cela, lui avoir fait rencontrer des potes addicts aux drogues, et l’avoir poussé à devenir un camé comme eux, lui permettait de toujours exercer son ascendant sur lui et de conserver son amour, comme une petite chose fragile ! Le "syndrome de Münchhausen par procuration..."

Alors qu’il allait monter l’escalier pour se rendre dans sa chambre, son fils se retourna, et le regard brillant, lui dit :
— Maman, il faudra que je te parle, et à papa aussi, j’ai une grande nouvelle à vous annoncer ! — Ce sera pour plus tard, mon chéri ! J’entends ton père qui rentre... et on va avoir une conversation difficile tous les deux. Je te prierais de monter dans ta chambre ! Dit Marie-Sabine, l’air un peu apeuré.

Le jeune homme s’inclina et remonta l’escalier, un peu déçu, mais intrigué par les mots de sa mère. Ses parents ne s’étaient jamais disputés, les deux étant toujours dans l’évitement des problèmes. Alors qu’est-ce qui pouvait bien valoir une engueulade, que sa mère redoutait ? Elle qui "portait toujours le pantalon" ? Il décida de s’arrêter sur le palier, et masqué par le coin du mur, d’espionner la conversation de ses parents... il ne fut pas déçu ! Thomas Glouscari entra comme une furie dans le salon, et apostropha immédiatement sa femme :
— Alors comment s’est passée ton entrevue avec lui ? Il t’a bien baisée ? Il t’a fouettée ? Dit Thomas, les yeux brillants de luxure. — Non, rien du tout, pourtant je m’étais préparée en conséquence ! — QUOI !? Mais qu’est-ce que c’est que ce bordel ? Il n’a pas voulu de toi ? Comment cela s’est passé ? Donne-moi tous les détails, dit le mari, avec un air grivois.
— Je suis arrivée, je l’ai allumé... — Tu t’étais fringuée comment ? Comme une pute, j’espère ! Tu sais que ce type a toutes les plus jolies femmes de la ville, il fallait mettre la barre très haut ! Marie-Sabine fixa son mari, et remarqua son air libidineux, ses yeux brillant de vice... elle ne lui connaissait pas ce côté candauliste. Elle en fut très étonnée, mais en un sens, son mari remontait un peu dans son estime. Elle décida de l’exciter et de lui donner les détails les plus croustillants : — Et bien, je suis allé le voir, nue. — Nue comment ? s’écria Thomas, les yeux écarquillés de luxure. — J’avais revêtu un manteau en astrakan... et... — Accouche salope ! L’invectiva Thomas. Marie-Sabine s’arrêta de parler pour contempler son mari. Jamais elle ne l’avait vu comme ça ! Dans un état de tension nerveuse et sexuelle incroyable. Lui qui se comportait toujours comme étranger aux choses du sexe et à sa femme en général. Il buvait littéralement ses paroles. Marie-Sabine en fut très troublée, excitée et se mit à avoir de la considération pour son mari. Elle sentait une torsion dans son ventre, signe d’un grand désir sexuel qu’elle n’avait plus éprouvé depuis ses aventures à la fac. Elle continua en minaudant, et en parlant d’une voix langoureuse. — J’avais revêtu un porte-jarretelles Aubade, blanc et noir, des bas coutures gris... et rien d’autre ! Pour le coup, je m’étais rasé la chatte, en ne laissant qu’une bande de poils noirs... — Et après ? Il t’a tringlée sur son enclume ? Dis-moi tout ! — Non, j’ai laissé glisser mon manteau, je l’ai allumé, je me suis assise sur son enclume, je me suis caressée, godé avec une pince de forge, j’ai même eu un orgasme terrible. Je lui ai dit tout ce qu’il pourrait me faire comme abjections... que j’étais prête à tout pour payer mes fautes... et... — Et quoi, putain ?! Il t’a violentée ? — Il m’a rhabillée avec mon manteau et m’a mise à la porte ! Je n’ai jamais été aussi humiliée de toute ma vie ! J’aurais encore préféré qu’il me torture ou qu’il me fasse faire des choses abjectes ! — Comme quoi ? Demanda son mari, les yeux brillants, en la prenant par la taille, la basculant sur le dossier d’un fauteuil, lui baissant la fermeture éclair de sa jupe noire, qu’il fit tomber à ses pieds, et en lui arrachant son string.
Il sortit son sexe vigoureux de son pantalon de tweed, et plaçant une main sur la nuque de sa femme, pour lui faire plier l’échine, il dirigea son gland violet vers sa raie culière, et portant deux doigts à sa fente humide de cyprine, il doigta l’anus sans ménagement, et puis il encula sa femme d’un grand coup sec. Marie-Sabine hurla sur le coup, puis se laissant aller, se mit à gémir en débitant des trucs monstrueux...
Yann, en haut de l’escalier, matait ses parents en train de faire l’amour, enfin pouvait-on parlait d’amour, tant la scène était trash et vulgaire ? Sa mère se laissait enculer par son père, elle jouissait comme il n’aurait jamais cru que cette femme aigre, maussade, frigide, put le faire. Il avait toujours considéré ses parents comme des étrangers, vivant sous le même toit, et là, c’était la révélation !
La vue du couple bestial l’excita grandement, et puis le dialogue... il n’aurait même pas imaginé certains fantasmes évoqués par sa mère, et approuvés par son père ! Il ne pouvait s’arrêter de fixer la grosse bite de son père qui défonçait le petit cul de sa mère. Elle avait d’ailleurs un joli postérieur, pensa-t-il, alors que des pensées fort peu chrétiennes lui venaient à l’esprit. Pris de fièvre par la scène lubrique, il se dit qu’il aurait bien aimé que son père la foute carrément à poil !
Tout ce qu’elle pouvait raconter comme trucs immondes... jamais il ne l’aurait crue aussi salope, aussi dévoyée. Et son père semblait tout approuver puisqu’ il la défonçait encore un peu plus profondément à chaque évocation !

Enfin dans un grand beuglement, Thomas jouit dans le cul de sa femme, bientôt rejoint par celle-ci. Alors qu’elle soufflait encore, pour récupérer de cette séance sexuelle surprenante et enrichissante pour elle, il la souleva par un bras du fauteuil, et la gifla à toute volée. Marie-Sabine, passant la langue sur ses lèvres malmenées se dit que jamais elle n’avait ressenti une telle excitation. Elle aurait supplié pour que son mari la batte... elle sentait tous ses anciens démons la reprendre encore plus fort !
" Salope ! Le prochain coup tu assures, ou ça ira très mal pour toi !
— Mais que veux tu que je fasse de plus, je lui ai joué le grand jeu, je me suis offerte... et rien ! Tout ça pour des prunes ! — Il te demandera autre chose, de cela je suis sûr, et quoi que ce soit, tu accepteras, sinon... j’ai enregistré tous tes dossiers d’escroqueries et de malversations... si je tombe, tu tomberas aussi, salope ! Il veut se venger de toi, et je lui donne entièrement raison... moi aussi, j’en ai envie, par la même occasion ! “

Marie-Sabine resta là, dans le salon, alors que son mari s’en allait. Elle éprouvait une volupté intérieure fabuleuse. Comme elle avait envie que son mari la baise à nouveau comme une vulgaire pute, et la violente encore plus. Comme elle aimerait qu’il lui fasse subir tous les jeux BDSM, qu’elle avait connus dans sa jeunesse ! Elle se rhabilla et vaqua à ses occupations.

Le soir, alors que ses parents dinaient comme si de rien n’était, Yann les regarda sous un jour nouveau. Et puis il leur parla de Mariejke, de son amour beau et insensé pour cette jeune femme, de sa beauté, de sa douceur. Son père écouta d’une oreille distraite, sa mère était écœurée par tant d’amour mièvre et édulcoré. Elle en voulut immédiatement à son rejeton. Et du bout des lèvres, bien malgré elle, elle accepta que la jeune fille vienne le dimanche suivant pour leur être présentée.

Quand elle arriva, Mariejke était vêtue d’un jean rouge bordeaux et d’un chemisier noir, dont elle avait laissé les deux derniers boutons libres. Cela lui dessinait la naissance de ses beaux seins. Il était visible que la jeune femme ne portait rien sous ses vêtements, tant ceux-ci lui collaient à la peau et lui dessinaient autant les pointes de ses seins que la forme artistique de son petit cul. Sa chevelure blonde éblouissante et ses yeux bleu gris déplurent tout de suite à Marie-Sabine. Elle ne cacha pas son antagonisme à la jeune femme, mais celle-ci fit mine de l’ignorer. Le père de Yann reçut cordialement la jeune femme, bien qu’il ne cacha pas son appréciation devant son corps sublime. Marie-Sabine en fut encore plus énervée... quant à son fils, à son vif déplaisir, il flottait sur son petit nuage poétique.

Le dîner se passa bien, sans esclandres, malgré les bouderies répétées de la mère de Yann ! Et puis celle-ci accepta à contrecœur la proposition de Mariejke de participer à la vaisselle.
Les deux femmes ne se parlèrent pas, mais alors que Marie-Sabine rangeait un grand plat dans une immense armoire, sise dans un renfoncement de la cuisine, Mariejke la rejoignit. Elle la poussa contre les étagères, coincée entre les deux portes de l’armoire, la serra au corps à corps. Et alors qu’elle avait les deux bras levés, pour poser le plat en hauteur, le dos tourné par rapport à la jeune fille, celle-ci eut un comportement pour le moins troublant.
Elle serra encore un peu plus Marie-Sabine, puis lui posa une main sur les fesses et l’autre sur sa poitrine. Elle se mit à lui caresser les seins au-dessus de son chemisier. Marie-Sabine, étonnée par ce rapprochement saphique, ne réagit pas et se laissa faire, voulant voir jusqu’où la jeune femme irait. Elle gardait une immobilité de marbre, les deux bras toujours levés. Mariejke en profita pour saisir les deux fesses l’une après l’autre, les malaxer sans douceur, et titiller les pointes des seins de la mère de son " amoureux" !
Puis, alors que la femme se laissait faire sans aucune réaction négative, elle glissa sa deuxième main sous le chemisier, et dégrafa le soutien-gorge pour avoir accès aux deux seins. Ses deux mains saisirent alors pleinement les globes des seins, les caressèrent sensuellement, pinçant les pointes sans ménagement. Marie-Sabine se mit à gémir de contentement. Elle se revit alors dans ses orgies de jeunesse, faisant l’amour avec les femmes que lui désignait son maître d’alors. Elle sentait ses nymphes gonfler et s’humidifier, alors qu’une tension sexuelle invraisemblable prenait empire sur elle. Elle ne contrôlait plus rien, son attention fixée sur les délicieuses caresses de la jeune femme !
— Ma chatte ! Caresse-moi la chatte, doigte-moi !
Souffla-t-elle dans un gémissement rauque, en écartant ses cuisses au maximum.

Mariejke descendit la fermeture éclair de la jupe serrée, qui tomba sur le sol, et elle baissa le string, pour empoigner le pubis presque imberbe. Marie-Sabine, voguant dans une extase érotique, sentit deux doigts pénétrer son intimité humide, et un pouce caresser son clitoris de plus en plus vite. Les deux bras toujours levés, la tête dodelinant sous les afflux de plaisir venant de son bas-ventre, Marie-Sabine était offerte et perdait le contrôle de toutes ses émotions. La jeune fille massant son sexe de plus en plus vite, prenant un sein à pleine main, qu’elle manipulait avec brutalité, Marie-Sabine se retenait de gémir, tant la jouissance devenait forte. A peine une minute de ce traitement brutal et intrusif, et Marie-Sabine eut un orgasme qui lui coupa le souffle. Elle eut toutes les peines du monde à se retenir de pousser la clameur de délivrance qui naissait dans sa gorge.
La jeune femme lui souffla alors à l’oreille, de façon très érotique :
— Alors, je t’ai bien fait "chouir, zalope" ? La prochaine fois, on va le faire avec ton fils ! La mère et le fils je le "baiserai" bien tous les deux ! Et puis on ferait l’amour devant ton fils, et puis toi et lui, petite "zalope" ! Et je vous materai ! Excitant, niet ?! “ dit-elle avec son foutu accent hollandais, et ses fautes de diction.
Marie-Sabine écarquilla les yeux, eut un haut-le-corps puissant et se retourna instantanément, pour gifler la jeune femme à toute volée. Celle-ci en eut la tête toute retournée. Devenue toute rouge de colère, elle cracha à la mère de famille :
— Za, vous allez le payer, ton "betit" con et toi !”
Retournant vers son mari et son fils après la sortie discrète de Mariejke de la maison, Marie-Sabine expliqua qu’il y avait eu un motif de dissension entre elles deux, mais que cela s’arrangerait...
Le soir, un Yann en pleurs, venait dire à sa mère que sa bien-aimée le quittait, et que tout était de la faute de sa mère. Il lui intima l’ordre de s’expliquer. Marie-Sabine regarda son fils de façon très grave, en se demandant comment elle allait se sortir de cette situation pour le moins incongrue !
Dans un atelier sombre, un homme, entouré de statues métalliques pornographiques, écoutait en souriant le récit d’une très jolie blonde...
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