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Tempérament de Feu !

Chapitre 4

Tout ce qu'une mère ferait pour son fils !

Inceste
Yann faisait la gueule à sa mère depuis une bonne semaine.
Il sursautait à chaque fois que le téléphone sonnait. Son portable, quant à lui, restait désespérément muet. Il avait bien essayé de recontacter la jolie blonde batave, mais celle-ci lui opposait à chaque fois une fin de non-recevoir. Les larmes aux yeux, Yann avait dû se rendre à l’évidence, Mariejke le "ghostait" de façon irrémédiable, et avait sans doute dérivé son numéro de portable, pour ne plus être importunée par ses appels incessants. Alors Yann espérait le miracle : un coup de téléphone de sa bien-aimée, qui parlerait à sa mère, pour en terminer avec cette dissension terrible entre les deux. Et malheureusement Yann en était la victime expiatoire. Il avait bien essayé de tirer les vers du nez de sa mère, pour connaître les raisons du départ précipité de Mariejke, ce jour maudit, mais celle-ci s’était murée dans un mutisme total. Yann ne comprenait plus rien, mais ce qu’il savait c’est qu’il souffrait comme une bête, et il en voulait terriblement à sa mère.

Il avait cessé d’aller en fac et avait repris ses bonnes vieilles habitudes de gros nul, incapable et sans volonté. Il s’était remis à fumer des gros "pétards", restait allongé comme une larve sur son lit, et ne se dérangeait même plus pour manger. Il avait déjà perdu au moins trois kilos. Sa mère se faisait un sang d’encre pour lui. Après de vains efforts pour faire revenir son fils à la raison, elle avait compris que tant que cette fille ne lui reviendrait pas, son fils sombrerait de plus en plus dans une grave déprime, qui, en poussant ses plus grandes angoisses à leur paroxysme, lui faisait entrevoir une issue fatale.
Et effectivement, quand elle forçait la porte de la chambre de son fils et lui voyait cette figure verdâtre, les mégots de cannabis dans les cendriers pleins à ras bord, les "cadavres" de bouteilles de whisky et de tequila gisant sur le sol, ses joues creuses, son air hagard, elle ne pouvait que penser à une destinée tragique pour le plus grand trésor de sa vie. Rien ne semblait faire avancer la situation ; et puis Marie-Sabine reçut un appel.
— Bonjour, c’est votre artiste préféré au téléphone... — Tom Phoenix ? — Lui-même ! Alors il va bien ton rejeton ? — Pourquoi parlez-vous de lui ? — Eh bien... disons que sa bien-aimée, la petite bombe néerlandaise, est en réalité l’une de mes anciennes petites copines... tu vois où je veux en venir, petite pute ? — QUOI ?! C’est, c‘est vous... — Eeeeeh oui, ma belle ! Jolie stratégie non ? Toi, tu es inattaquable, alors pour me venger il a fallu trouver ton point faible ! Ton gentil petit Yann qui a un groooooooos chagrin d’amour ! Tu vois, la vengeance est un plat qui se mange froid ! Alors que vas-tu faire petite traînée ? — Vous n’imaginez quand même pas que je vais céder aux injonctions grotesques de cette petite pute blonde ? Vous m’imaginez coucher avec elle et mon fils ? — Huuuummm... je ne l’imagine que trop bien ! Ce sera trop excitant ! — JA... MAIS, connard ! " Ce serait" plutôt ! Parce que cela n’arrivera jamais !!— On verra ! Salut petite pute !”

Et il raccrocha. Et puis un SMS du sculpteur arriva, environ dix minutes plus tard.

— Tu devrais aller voir ton rejeton... on ne sait jamais. Après le SMS qu’il vient de recevoir !

Les larmes aux yeux et la boule au ventre, Marie-Sabine se précipita dans l’escalier, grimpa les marches quatre à quatre, voulut ouvrir la porte de la chambre de son fils qui resta close. Elle poussa, poussa, sans réaction. Alors, elle eut l’idée de se munir de l’extincteur du couloir, (normal, quand on est agent d’assurance, on prend garde à éviter le feu chez soi !) et elle l’abattit sur la porte, cassant le bâti. La serrure céda et elle entra comme une furie dans la chambre. Elle trouva la tablette de son fils, diffusant une vidéo, sur le lit. Dessus on y voyait Mariejeke, qui faisait l’amour de façon extrêmement vulgaire avec deux blacks très musclés. A quatre pattes, nue et soumise, et excitée comme une harpie, elle œuvrait avec force bruits de succion, le chibre monstrueux de l’un des deux, dans sa bouche, tandis que l’autre lui éclatait carrément le cul. Entre deux bruits de succion écœurants, elle gueulait littéralement des horreurs :
— Oui, “kasse” moi le cul, prends-moi comme une chienne ! Ach, encule-moi plus fort !”

Sous la vidéo, un message laconique : " tu n’en auras jamais une comme les leurs, petit puceau !"
La tablette était abandonnée sur le drap blanc, à côté d’un cendrier, contenant un gros "pétard" qui fumait encore...à côté un rasoir à lame, type "coupe-choux" avait déposé quelques gouttes de sang sur l’immaculée blancheur du drap. Lorsque Marie-Sabine suivit du regard le haut du lit, elle aperçut l’avant-bras de son fils, qui baignait dans une énorme auréole de couleur sombre, qui ne faisait que s’agrandir. Les yeux révulsés, elle hurla à la mort !

Deux heures plus tard, elle veillait son fils, paisiblement endormi sur son lit d’hôpital, avec l’avant-bras gauche recouvert d’un gros pansement. Elle écoutait avec ravissement le bip de l’électrocardiogramme... jamais musique ne lui parut plus idyllique. Elle avait cru mourir de frayeur quand elle avait trouvé son fils, baignant dans son sang, à côté de cette vidéo abjecte de sa copine, se faisant baiser avec férocité par les deux types.
A n’en pas douter, Yann n’avait pu supporter de voir l’amour de sa vie s’avilir de cette façon. Il avait préféré partir d’une manière irrémédiable, plutôt que de souffrir les affres d’un amour détruit et apparemment impossible.
Marie-Sabine se promit que plus jamais une telle chose ne devait arriver, même si elle devait pour cela, faire des choses insensées pour ramener cette traînée dans le lit de son fils... et du sien par conséquent ! Tant pis, sa décision était prise, elle avait eu trop peur ! Elle saisit son portable et appela sa "Némésis personnelle" :
— Allo Tom Phoenix... c’est oui. Je le ferai ! — Biennnn... vous voilà revenu à de meilleurs sentiments. Vous n’allez faire que payer votre dette passée à mon égard ! — C’est bien cher payé quand même ! — Tiens ? Voulez-vous que je vous rappelle tout ce que j’ai subi par votre faute... peut-être devrais-je dire à mon avocat de le rappeler à celui de votre mari ?? — Non ! Non, surtout pas ! J’ai dit que j’acceptais. Mais j’ai votre parole que Mariejke reviendra ? — Parole d’honneur ! — Comment cela va-t-il se passer ? — Comme un mélodrame érotico-porno. Un scénario crescendo, dans lequel vous vous redécouvrirez"... — Que voulez-vous dire ? — Vous croyez que je ne connais pas vos "prouesses" de jeunesse ? "

Marie-Sabine coupa la communication. Une immense bouffée de désir et de frustration lui coupa la respiration. Elle faillit frôler l’orgasme, ce qui, vu sa position de mère veillant son enfant dans un hôpital, eût été pour le moins déplacé ! Son corps assoiffé de sensations, se remémorait les émotions dantesques de sa jeunesse étudiante, ses orgies à répétition, ses séances sado-masochistes, où elle jouait le rôle de la vierge torturée et soumise à son maître vénéré. Le salop avait donc bien toutes les cartes en main. L’artiste la connaissait presque mieux, qu’elle ne se connaissait elle-même ; ou du moins connaissait-il sa véritable personnalité, qu’elle n’avait cessé de ravaler dans les méandres profonds de son inconscient. Elle recontacta l’artiste :
— Ah, j’avais cru que vous aviez changé d’avis... ou plutôt non, laissez-moi deviner.
La morsure du passé"... vous avez ressenti les émotions riches et sauvages de votre jeunesse ? N’est-ce pas ?
— Vous êtes le diable ! — Et vous, sa servante dévouée ! — Que voulez-vous exactement ? — Je vais vous expliquer le scénario. Ce sera tout en douceur, sans précipitations, jusqu’au final... dantesque ! "

Quand Tom lui eut expliqué tout ce qu’il exigeait d’elle, Marie-Sabine, après les atermoiements de rigueur et les fausses pudeurs outrées, s’aperçut que son string était mouillé. En se changeant dans les toilettes de la chambre d’hôpital, et en se regardant dans le miroir, en même temps qu’elle jetait un coup d’œil à son fils endormi, elle se dit à mi-voix :
— Et pourquoi pas ??
La convalescence de Yann fut pour lui, durant ces trois semaines, comme une immersion dans un conte de fées... enfin plutôt du genre de ceux que l’on ne laisse pas dans les mains de personnes mineures ! Pendant ces journées et ces nuits, il "vogua" comme dans un paradis érotique incestueux, ne sachant pas exactement s’il y avait une parcelle de vérité à tout cela, ou bien s’il divaguait carrément pour oublier Mariejke ?
Sa prise journalière de médicaments antidépresseurs et calmants divers devait y être pour quelque chose. En tout cas, il lui arrivait de rêver de choses fort agréables, quoiqu’échappant largement à la morale communément admise !
Trois ou quatre jours après son retour chez lui, alors que sa mère débordait d’amour et de sollicitude pour lui, il faisait quotidiennement des rêves très hard, indigne de l’amour d’un fils pour sa mère. Chaque soir, en s’endormant, abruti par les médicaments, il avait l’impression qu’une femme brune très belle, et désirable, ressemblant beaucoup à sa mère, mais dans le clair-obscur de sa chambre c’était difficile à dire, venait lui susurrer des paroles très "hot" à l’oreille, en lui caressant son sexe qui prenait alors des dimensions fantastiques. Souvent, la main s’égarait sous les draps, et menait une masturbation éblouissante et libératrice.
D’autre fois, c’était un souffle chaud qu’il sentait sur la zone de son pubis, et alors il sentait son sexe toujours très dur, être enfermé dans un étau de chair. Des lèvres venaient sucer gloutonnement cet appendice de chair, qui se libérait dans cette bouche inconnue avec gros bouillons. Il arrivait que Yann se réveillât dans son sommeil, en proie à l’orgasme, seul dans sa chambre, avec seulement un parfum féminin rémanent dans la pièce.

Mais le jour, il se passait aussi de drôles de choses. Tout d’abord dans l’apparence générale de sa mère... Yann savait confusément que son père était parti en voyage d’affaires, à l’autre bout du monde. Il se trouvait donc seul avec sa génitrice. Et bien que l’image de Mariejke, son amour, effleurât encore souvent ses pensées endolories par le chagrin, il devait s’apercevoir que bientôt son image fantasmatique était de plus en plus enfouie dans sa mémoire, pour être remplacée dans son univers mental, par l’image d’une splendide brune d’une quarantaine d’années : sa propre mère.
Toujours à moitié abruti par les médicaments, il s’apercevait que son esprit était de plus en plus accaparé, par l’image fantasmée et onirique d’une mère sexy et désirable en diable ! Il en rêvait toutes les nuits, mais durant les journées, son image devenait de plus présente en son esprit, pour devenir très vite obsédante.
Il faut dire que Marie-Sabine n’était plus vraiment elle-même, elle avait changé radicalement de look, de vêtements, de maquillage... pour devenir une véritable “Messaline domestique” !

Quand Yann se réveillait le matin, après une série de rêves érotiques, tous plus incestueux les uns que les autres, il descendait prendre son petit-déjeuner, et trouvait sa mère toujours réjouie et plaisante au regard. Elle portait des tenues de nuit toutes plus éblouissantes les unes que les autres. Des déshabillés largement échancrés à la poitrine, des kimonos très courts, serrés par une ceinture en soie, qui lui faisaient se demander si sa mère n’était pas nue en dessous. Parfois des déshabillés très érotiques, ou des nuisettes quasi transparentes, que laissait apercevoir une robe de chambre toujours en soie, noire, bleue ou blanche, dont la ceinture s’ouvrait commodément. Et toujours Marie-Sabine frôlait le jeune. Parfois il se retrouvait avec ses seins, aux pointes turgescentes de désir largement visibles sous les tissus diaphanes, à quelques centimètres de son visage, quand sa mère lui versait son café du matin.
Parfois, alors qu’il essayait de se concentrer pour se sortir de la torpeur induite par les calmants, il voyait subrepticement sa mère se pencher devant lui, pour ramasser quelque chose. Alors il devinait, à moitié groggy, ne sachant si c’était la réalité, ou une vision due à son imaginaire érotique débridé, le haut des cuisses de sa mère se dessiner sous la nuisette remontée sur son bassin, avec la naissance des fesses bien bronzées. Parfois, il lui semblait même apercevoir de derrière, l’abricot velouté de sa génitrice. Ce qu’elle pouvait être maladroite durant ces journées... toujours à ramasser un truc tombé par terre !
Et dans la suite de la journée, c’était presque pire ou encore mieux, suivant le point de vue. Sa mère était toujours vêtue et maquillée avec soin. Elle portait des jupes courtes très serrées, des chemisiers quasi transparents, qui laissaient voir un soutien-gorge au décolleté pigeonnant.
Sa mère portait des bas couture, des bas résilles et souvent pas de culotte, il en aurait donné sa main ou "autre chose" à couper, quand elle se prélassait sur son divan, les jambes toujours sensiblement écartées.
Essayer de saisir un morceau de l’anatomie secrète, enfin dévoilée de sa mère, apercevoir son porte-jarretelles, dans ses rares moments de lucidité, était devenu une passion obsédante. Yann bandait tout le temps en regardant sa mère. Perdu dans ses pensées libidineuses, il suivait sa mère à la trace, guettant l’apparition fortuite d’un sein, un morceau de fesse, une cuisse dévoilée, voire son pubis.
Mais les apparitions étaient si succinctes, qu’à chaque fois il se demandait encore et encore, si ces images n’étaient pas le résultat d’un esprit survolté, par une passion animale incestueuse obsédante !

Pourtant après cinq jours, il surprit une scène qui ne pouvait pas être le fruit de ses fantasmes débridés...
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