Mariejke avait tout d’abord appelé son mentor, Tom Phoenix, pour recevoir ses dernières instructions. Au téléphone, il avait de toute évidence été très satisfait de la manipulation réussie de sa “protégée”. — Normal, pensa-t-il, elle a été à bonne école, c’est moi qui lui ai appris toutes les subtilités pour amener des gens à exécuter mon bon vouloir... cette salope de Marie-Sabine, en l’occurrence. "
En s’installant devant son écran d’ordinateur, le smartphone à distance de main, il repensa à ce bizarre enchaînement de circonstances. Marie -Sabine, la manipulatrice auprès de ses clients assurés, son fils et son mari, l’avait tellement poussé à bout et à la vengeance, qu’elle lui avait transmis ce poison de la manipulation mentale. Lui, l’avait transmis à son tour à Mariejke, jeune femme intelligente, qui était devenue amoureuse de lui, à tel point qu’il en faisait tout ce qu’il voulait. Et de fil en aiguille, Mariejke, “programmée” par l’artiste, avait elle-même "soudoyé" le fils, qui s’était ensuite retourné contre sa mère... retour à l’envoyeur !La boucle était bouclée ! C’était perfide comme plan, mais il désirait sa vengeance... il avait attendu plusieurs années pour cela ! Et là, maintenant, il allait voir ce dont il avait toujours rêvé : voir sa plus grande ennemie, la femme qui avait failli détruire sa vie, se plonger dans un océan de luxure et d’humiliation, qui commençait avec un voyage sans retour, dans les affres de la pornographie et de l’inceste !
Recevant un SMS de Mariejke : — J’y suis, j’ai placé les GoPro comme vous me l’avez demandé... j’attends vos instructions...— Place ton écouteur dans l’oreille et reste à l’écoute, je te transmets tout ce dont j’ai envie... tu suivras mes instructions scrupuleusement.— Oui maître... “— L’intérêt avec Mariejke, pensa-t-il, c’est qu’en plus d’être une fille superbe et vicieuse au lit, elle était d’une obéissance absolue, aucune récrimination de sa part à attendre ! La soumise parfaite !
Il était surexcité ; voir une relation incestueuse en direct, il n’avait jamais fait ça ! Il faut dire que trouver une femme assez cinglée pour baiser avec son propre fils... et faire un trio avec sa petite amie... cela ne courait pas les rues ! Il avait son triomphe... enfin pas tout à fait ! Restait le plus important ! la Patte de l’Artiste !!! Au commandement de Yann, " à poil, salope " qui, une jambe de sa mère sur l’épaule, lui bourrinait la chatte, celle-ci, alanguie sur le lit et ahanant sans arrêt, Mariejke déboutonna son jean, jeta son teeshirt blanc au-dessus de sa tête, pour parvenir à poil à portée du couple... toujours son œillette Bluetooth rivée à son oreille. — Bien, tu vas lui caresser le pubis et puis tu te places à califourchon au-dessus de sa tête. Je veux qu’elle te bouffe la chatte !
Lui susurra un Tom Phoenix, qui visualisait la scène en direct, au bord de l’apoplexie.
Ainsi se forma le trio incestueux, Mariejke, jouissant de soumettre la mère de son amant, qui la baisait joyeusement. La scène l’émoustillait beaucoup, et gémissant elle-même sous les coups de langue de la mère de famille, sur sa chatte qui mouillait abondamment, elle chercha la bouche du jeune homme qui tringlait sa propre mère ! Les trois firent l’amour dans toutes les positions possibles et inimaginables, Yann laissant les deux femmes se gouiner joyeusement, lorsqu’il récupérait...A chaque fois qu’une scène ou une position lui paraissait digne d’un intérêt artistique, Tom faisait un instantané sur l’une des trois GoPro. Donnant toujours ses ordres au trio par l’intermédiaire de Mariejke, il dirigeait littéralement l’orgie des trois... Et puis il demanda, après moult orgasmes et jouissances des protagonistes, à Mariejke de placer Marie-Sabine debout, elle-même à genoux devant elle, lui léchant la chatte et lui fourrant ses doigts dans le sexe, tandis que son rejeton la sodomisait... Tom fit tirer des photos par toutes les GoPro, presque à chaque seconde... fier de lui, il dit à Mariejke de quitter le couple... il tenait sa vengeance et son futur chef-d’œuvre !!
Un jour, quelques semaines plus tard après l’orgie, alors que Mariejke s’était évaporée de la vie de son fils... fils qui avait décidé de voler de ses propres ailes, et de laisser sa mère avec ses démons... et sa "fiancée" avec son maître, Marie-Sabine reçut un SMS pour le moins sibyllin : — J’ai pu en faire une, de putain de sculpture", avec ces photos, elle décorera bien l’entrée de la société de ton mari ! "
Il n’y avait aucune provenance, un SMS anonyme... pourtant Marie-Sabine en eut tous les poils qui se soulevèrent... une onde glacée parcourut sa colonne vertébrale, elle souffla, dans un cri rauque : — Ce fils de pute n’aurait pas osé !!!??? Car elle savait très bien qui lui avait envoyé le SMS... et ce que cela recouvrait de honte et d’humiliation !
Elle bondit dans sa voiture et se lança à tombeau ouvert sur le chemin de la société de son mari.Arrivée devant le siège de sa société, elle découvrit que de nombreux véhicules étaient stationnés dans les environs. Au lieu de lui mettre la puce à l’oreille, et de décamper illico, elle se mura dans une résignation sombre, et grimpant l’escalier du perron quatre à quatre, arriva devant les portes vitrées qui s’écartèrent devant elle. — Et notre jeune société a décidé de mettre le renommé artiste sculpteur Tom Phoenix à contribution, pour nous offrir une splendide sculpture, fruit d’un imaginaire profond, dont seuls les hommes inspirés par Bacchus et Aphrodite ont le secret ! Je vous invite à admirer. Fleur de Péché capital"... une œuvre à la fois novatrice et sulfureuse ! Mais je vois que la principale participante à ce projet grandiose, j’ai nommé ma femme Marie-Sabine Glouscari, est venue d’elle même, pour admirer le projet dont elle a été la cheville ouvrière la plus inspirée ! "
Il était trop tard... Marie-Sabine ne pouvait plus faire demi-tour !Elle avait reconnu la voix de Thomas, son mari, et incidemment PDG de la société... tous les regards des invités s’étaient tournés vers elle ! Tandis que la toile, qui recouvrait la sculpture, issue de sa partie de jambes en l’air avec Mariejke et son propre fils, était soumise à l’attention du public nombreux dans le hall grandiose de " Sun Air industries ", elle demeurait là, sans bouger, telle la biche prise dans les phares d’une voiture ! Elle regardait, horrifiée, la toile descendre centimètre par centimètre, comme lorsqu’une stripteaseuse déroule son bas sur sa jambe, doucement, lentement, érotiquement... tandis que les regards des invités allaient de la sculpture à découvrir, à sa propre personne. Chacun avait le regard enfiévré et curieux, car chacun sentait que la soirée allait être mémorable... et elle le fut !Enfin, la toile s’écroula sur le sol, révélant l’œuvre pour le moins érotique de Tom Phoenix ! Marie-Sabine, les yeux exorbités, le regard ulcéré, une expression de révolte et de sidération sur le visage, put "se voir", en sculpture d’acier de tôle repoussée, plus vraie que nature. Les détails étaient tellement bien fournis et la réalisation parfaite, qu’il ne pouvait y avoir aucun doute : c’était bien elle qui figurait dans le trio, immortalisé dans une posture peu commune et très immorale.
Ce chef-d’œuvre, que chaque invité put voir et observer tout à loisir, la représentait elle-même, nue debout, avec un porte-jarretelles pour tout vêtement, ses bas reposant par terre. Elle avait la tête renversée en arrière et la bouche ouverte, dans une expression extatique, cherchant la bouche de l’homme qui derrière elle, la tenant par la taille, la sodomisait joyeusement. Le sexe du jeune homme, droit et raide était fiché entre ses fesses, et la pénétration ne pouvait être qu’anale, vu l’angle de pénétration. Lui aussi, le visage au bord de l’orgasme, cherchait les lèvres de la femme qu’il enculait. Marie-Sabine avait les deux mains "engluées" dans la chevelure de la jolie blonde, devant elle, elle aussi nue, à genoux les seins bien dressés, qui la gamahuchait avec ferveur. L’une de ses mains prenait le téton du sein droit, entre ses doigts, tandis que l’autre caressait l’entrejambe de Marie-Sabine, avec deux doigts engoncés dans son sexe. Son visage était enfoui dans son pubis au niveau de la bande poils, et sa langue était bien visible, qui venait caresser les lèvres du sexe de Marie -Sabine !Cette dernière était anéantie, elle restait là, sidérée devant la statue des trois amants en pleine action, elle ne fut tirée de sa torpeur hypnotique, tandis que les invités lui tournaient autour, en la félicitant d’avoir servi de modèle pour un si grand artiste, ou d’avoir un mari à l’esprit si ouvert et progressiste, que lorsqu’elle entendit une voix détestée depuis bien longtemps, la héler ! — Marie-Sabine, mon modèle peut être le plus excitant de ma courte carrière, pourrais-tu venir sur l’estrade avec moi et ton mari, pour te présenter à tous nos invités ? Cette soirée est surtout la tienne ! déclama avec ferveur un Tom Phoenix rayonnant !— Oui ma chérie, viens donc nous rejoindre ici. La beauté et la grâce érotiques doivent être vues de tout le monde ! Rajouta le mari. Alors tel un zombie, ayant abandonné tout amour-propre, toute honte, Marie Sabine monta sur l’estrade, comme l’on va sur l’échafaud. — Mesdames et messieurs, je vous demande d’applaudir le chef-d’œuvre de ma vie, avant d’être celui de Tom, MA FEMME, MARIE-SABINE !!!! Suivit un déferlement de hourras, de bravos, de “merveilleux”, “incroyable”, "quel talent", "quelle audace", ponctués par une salve d’applaudissements à tout rompre. — Un mot ma chérie ? Dit avec ironie, Thomas Glouscari à sa femme.— Et bien je dois dire que je suis un peu sonnée ! Réussit à articuler la jeune femme prise au piège, qui parvenait à se ressaisir.— Oui je comprends, tu ne t’attendais pas à une telle perfection dans le détail, Marie-Sabine ? Te voilà immortalisée, telle la Joconde, dit un Tom Phoenix toujours aussi modeste et discret...— Je dois avouer que je n’étais pas trop chaude au départ, pour poser nue devant Tom dans cette position très pornographique... mais il a tellement bien réalisé la statue avec grâce et vivacité, que je ne peux que m’incliner devant tant de talents. Merci Tom, et merci Thomas mon cher mari pour cet honneur", ce cadeau si personnel et particulier... pour vous remercier, je vais me livrer à un petit exercice qui je le pense, satisfera tous nos invités... Pourrait-on demander au machiniste de créer une ambiance tamisée dans la salle, de braquer deux projecteurs sur la scène, et de lancer une musique un peu douce et langoureuse, s’il vous plaît ? Tom et Thomas, je vous demanderais de me laisser seule sur l’estrade, et de vous mêler à nos invités. “
Les deux hommes en descendirent, un peu étonnés et interloqués par la demande de Marie-Sabine... mais Tom, lui, un sourire aux lèvres avait sa petite idée...Il y eut un moment d’obscurité très bref, puis deux projecteurs furent bloqués sur la personne de la femme du PDG, tandis que resonnait faiblement un morceau de saxophone plutôt érotique... La jeune femme attendit que le silence se fît, et abandonnât son manteau sur l’estrade. Puis elle se déhancha doucement au rythme de la musique. Le premier vêtement qui tomba sur la scène fut son long manteau d’astrakan, qu’elle avait attrapé au vol pour vérifier son funeste pressentiment. Et puis elle mit beaucoup de chaleur et de langueur à effectuer son striptease. Pourquoi faisait-elle cela, pour emmerder son mari, lui rendre la honte et l’humiliation qu’il lui avait perpétrée, reprendre la main sur la soirée, qui se déroulait jusque-là à son unique détriment... ou bien simplement par envie sexuelle ? Elle n’aurait su le dire ! En tout cas, elle avait bien envie de se retrouver à poil devant le petit public de bourgeois, plus ou moins dévergondés, qui avait été invités pour l’inauguration de la sculpture de Tom Phoenix.
Thomas regardait sa femme d’un nouvel œil, puis se tourna vers Tom, qui, le sourire aux lèvres, avait bien anticipé la suite des évènements. Il lui dit à mots couverts qu’il avait bien travaillé à la "libération" de sa femme. Sur ce, ce dernier lui répondit qu’à son avis, ce n’était que "le début des agapes" ! Marie-Sabine jouissait quasiment de se livrer à son exhibition sexuelle devant tant de "gens bien" ! Elle déboutonna langoureusement son chemisier blanc, bouton par bouton, puis le lâcha sur la scène, apparaissant en soutien-gorge Aubade noir à liseré argent. Sa poitrine était magnifique, ses tétons dardant bien à travers le mince tissu des bonnets. Elle s’attaqua alors à sa jupe de tailleur grise en tweed, qu’elle dézippa doucement, pour la laisser choir, et apparut en porte-jarretelles et string de la même facture que le soutien-gorge. Des applaudissements jaillirent de la salle, chacun croyant qu’elle allait en rester là... mais ce ne fut pas le cas ! Elle se tourna pour défaire l’attache de son soutien-gorge, qu’elle défit lentement, pour le porter à bout de bras et le laisser tomber sur le sol. Puis, se trémoussant de façon très érotique, fit descendre son string qu’elle lança à la foule. L’objet fut rattrapé avec ferveur par le maire qui le fourra dans sa poche de costume !
Elle avait gardé ses mains sur son sexe et ses seins, en se retournant vers son public, et puis elle se campa fièrement sur l’estrade devant ses "fans", et tendit les deux bras vers le haut, révélant sa nudité érotique. Chacun put admirer, dans un déferlement d’applaudissements et de sifflets de louange, ses seins parfaits, sa taille mince et son pubis à la bande de poils noirs... — Merci, merci, mesdames et messieurs, je vous propose de faire le service parmi vous, en vous offrant une coupe de champagne... chacun ou chacune pourra ainsi constater de visu que l’artiste a bien respecté mes mensurations ! Elle descendit donc, passa nue devant son mari, qu’elle regarda avec une pointe de défi, et prenant un plateau couvert de coupes devant le serveur médusé, fit le service en passant entre les invités. Chacun pouvait se servir en la félicitant... et comme elle était peu rétive, des hommes et des femmes s’enhardirent à venir passer une main aux doigts souvent inquisiteurs, qui sur ses fesses, qui sur ses seins, et même entre ses cuisses...Bientôt, l’atmosphère dans les salons contigus, à la salle d’honneur, se remplirent de convives excités par la femme du PDG nue, en porte-jarretelles, à présent assise et serrée par deux hommes et une femme sur un sofa. Des mains impudiques s’emparaient de ses seins, ses cuisses, son ventre et son sexe...Des couples émoustillés par la situation commencèrent à s’embrasser et se caresser sans pudeur, des pantalons descendaient, des robes de soirée s’écroulaient sur le sol, laissant leurs propriétaires à moitié nues, voire complètement pour certaines...
Tom Phoenix regardait tout cela avec amusement... il n’était pas pour rien dans l’orgie en devenir, ayant concocté un cocktail d’aphrodisiaques dans les boissons... quoique cela n’aurait pas été nécessaire, vu l’état d’esprit de beaucoup de ces couples pour la plupart libertins...Tom connaissait d’ailleurs intimement au moins les deux tiers des femmes, à présent livrées à leurs pulsions sexuelles les plus basses.Thomas, lui, regardait sa femme en train de se faire sodomiser royalement par le maire, tandis qu’elle léchait avec avidité la chatte de sa femme !Des groupes s’étaient formés un peu partout pour copuler joyeusement. Tom Phoenix, lui, passait entre les groupes formés, se donnant du plaisir sur les sofas ou sur des tables basses, écoutait les râles de plaisir, observait avec délectation les figures pornographiques autour de lui, prenait parfois des photos, en pensant déjà aux prochaines sculptures que lui inspiraient toutes ces scènes de débauche !Un sourire aux lèvres, il regardait avec presque adulation, son ancienne ennemie, Marie-Sabine qui se faisait partouzer par le maire et ses proches amis/es.Il prit de nombreux clichés du groupe orgiaque, avec jubilation.
Et puis sa vengeance obtenue, il passa devant sa sculpture, en touchant à travers sa poche, le chèque de 3 millions d’euros, donné par la société de Thomas et sa femme... puis toujours le sourire aux lèvres, il quitta les locaux.
