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Tempête

Chapitre 1

Erotique
La Tempête - 1

Putain que ça caille! Me dis-je.Il souffle un vent glacial depuis ce matin et ça fait quelques heures que la neige s’amoncelle sur le sol. Elle tombe en tourbillonnant ou bien alors pratiquement à l’horizontale tant la tempête fait rage. Il est à peine 17h et le ciel est déjà quasiment noir. C’est bien parce que j’ai besoin de rentrer du bois que j’ai osé sortir de ma maison.
Cette tempête est digne des blizzards du grand nord, j’ai beau être bien couvert, je sens le froid me pénétrer. J’avoue n’avoir jamais vu cela de ma vie malgré mes 47 ans. Un tel hiver sous nos contrées doit remonter à l’ère glaciaire ! Non franchement, c’est une période absolument glaciale que nous vivons depuis plusieurs jours! La température a baissé de jour en jour depuis dimanche. Est-ce un effet du bouleversement climatique tant annoncé ?Au thermomètre extérieur j’ai lu -18°C, mais avec le vent qu’il fait, je prends enfin conscience de cette notion abstraite de "température ressentie" qu’évoquent les présentateurs de la météo. Bon pour moi, là je dirais qu’il doit faire une température ressentie de -40°C. BRRRR, GLAGLA!
Pour couronner le tout, l’électricité est coupée depuis des heures, probablement que cette tempête a endommagé les lignes. Il est de même du réseau téléphonique et du réseau internet eux aussi désormais inopérants. Ma chaudière s’est mise en sécurité et s’est arrêtée quand le courant a été coupé. Du coup, la température a rapidement chuté dans la maison. S’il fait 5°C à l’intérieur c’est beaucoup !Il m’a donc fallu remettre en service le vieux poêle à bois, même s’il est peu puissant, il peut au moins permettre de réchauffer le salon et peut-être un peu le séjour en fermant bien la porte du couloir. J’envisage même de dormir dans le canapé convertible cette nuit car les chambres sont exposées au nord et sont, de tout temps, les pièces les plus froides de la maison!
Il faut préciser que ma maison est une ancienne ferme, elle est mal isolée thermiquement mais en revanche elle est bien isolée de la civilisation. Les plus proches voisins doivent être à plus d’un kilomètre et encore, c’est un couple de retraités néerlandais qui ne vient que durant la période estivale.
Avec ma femme, on avait acheté cette maison vraiment pour une bouchée de pain. Nous souhaitions fuir la ville et sa frénésie pour vivre plus sereinement. Nos emplois respectifs permettant le travail à distance, nous avions alors pu bénéficier de l’expérience pilote du raccordement au réseau haut débit, puis à la fibre optique bien avant tout le monde, cela grâce aux accointances qu’avaient l’ancien maire avec un membre du gouvernement de l’époque.
Petit à petit, nous avions fait évoluer notre habitation et créé des dépendances dans l’ancienne grange pour y faire: une buanderie, un petit atelier pour bricoler et un garage pour deux voitures. En pratique une seule voiture peut y entrer car l’espace restant sert surtout de débarras.
Bon, mais là, tout de suite, je suis dehors, les mains transies par le froid, j’en suis à mettre des bûches dans un gros sac en toile de jute quand je distingue une ombre fugace bouger près du portail. Une silhouette titube et finit par s’écrouler devant chez moi!Oh là là! Ça a l’air grave ! Cette personne semble en grand danger... Il faut que j’aille l’aider.
Je rentre à la maison, dépose mes bûches dans l’entrée et, sans réfléchir, mais surtout par habitude, j’appuie sur le bouton pour actionner la gâche électrique, qui bien sûr ne peut pas fonctionner faute de courant. Je me saisis alors du trousseau de clés et me précipite vers le portail.Quand je dis que je me précipite, c’est un grand mot, compte tenu de la forte épaisseur de neige qui recouvre déjà le sol, je suis obligé de lever les genoux très haut à chacun de mes pas!
Fort heureusement la serrure n’est pas gelée comme je le craignais. La clé entre sans trop de problèmes et le claquement sec de la gâche m’annonce que la porte est déverrouillée. J’arrive difficilement à entrouvrir le vantail même en dégageant au maximum la neige à l’aide de mes mains. Je trouve une femme agenouillée dans la neige qui peine à se relever tant elle paraît fourbue par les efforts qu’elle a fournis.
Immédiatement, je remarque sa détresse et me propose de l’aider à se redresser afin de vite aller nous abriter du mauvais temps. Malgré le givre qui entoure son visage, je reconnais cette femme, c’est Mathilde! La petite amie de mon fils.Que fait-elle là ? Pourquoi s’est-elle aventurée hors de chez elle avec ce temps horrible ?
Je ramasse son sac à main et tente de l’aider à marcher en la tenant par la taille. Pour rejoindre la maison, c’est une véritable gageure, je manque plusieurs fois de trébucher en soutenant au mieux ma future bru. Mathilde est vraiment trop faible pour avancer. Aussi, je prends la décision radicale de la porter!La chose n’est pas des plus faciles, même si Mathilde est une fille qui est plutôt mince. Je ne suis pas vraiment du genre costaud, mais en la prenant sous les fesses, j’arrive à la soulever. Elle se colle à moi et m’enlace le cou. Elle comprend bien que j’agis ainsi pour l’aider à regagner rapidement la maison où nous serons à l’abri.
Arrivé à la porte d’entrée, je suis à bout de souffle après avoir fourni cet effort. Aïe! Je peste en me cognant la cheville sur le sac de bûches que dans la précipitation j’avais laissé dans le hall d’entrée. L’urgence pour le moment est d’aller jusqu’au salon et de poser la jeune femme dans le fauteuil près du poêle qui pour le moment peine à chauffer. Mes doigts sont engourdis par le froid. Je m’empresse d’aller refermer la porte et me saisis du sac plein de bois avant de retourner vers la jeune fille. Les flammes sont faméliques et le feu est sur le point de s’éteindre, aussi je rajoute deux belles bûches et améliore le tirage afin d’activer le poêle.
Je débarrasse Mathilde de son manteau trois-quarts que je trouve fort peu adapté à un tel froid. Je lui pose mon blouson en polaire sur les épaules afin qu’elle puisse commencer à se réchauffer, puis lui enlève ses gants et frictionne ses mains glacés.Ses sneakers sont couverts de neige mais surtout sont trempés, il en est de même pour son pantalon de jeans.
Je lui dis :
— Mathilde, il va falloir que tu enlèves ton pantalon, il est trempé! Tu dois absolument te réchauffer en étant au sec! Je vais aller chercher quelque chose pour t’essuyer. Je reviens tout de suite.— D’ac.. D’accord, je vous attends. Dit-elle en claquant des dents tout en étant à moitié somnolente.
Toute la maison semble entourée par des rafales violentes. Des volets claquent, des tôles grincent, des sifflements inquiétants se font entendre, des bruits bizarres résonnent. Vraiment, en ce moment il vaut mieux être à l’abri ici que trainer dehors!
Je me dépêche de grimper au premier étage. Il y fait un froid terrible. Je n’y vois rien du tout car il fait noir dans le couloir, j’aurais dû prendre une lampe. À tâtons, je retrouve la porte de la salle d’eau et, toujours dans le noir, j’attrape mon peignoir de bain accroché au mur à une patère, puis fouille dans l’armoire pour y prendre une grande serviette éponge, avant de vite rejoindre ma protégée.Mathilde est hagarde, les yeux dans le vague! Elle n’a pas enlevé son pantalon, probablement n’en a-t-elle pas eu la force. Elle n’a même pas réussi à le déboutonner. Il faut impérativement qu’elle quitte tout ce qui est mouillé!
Je m’agenouille à ses pieds et lui tamponne le visage avec la serviette, puis me charge de lui enlever ses chaussures, puis ses chaussettes, mais ça ne suffit pas!
— Mathilde!— Humm ! Dit-elle, proche du coma.— Je vais devoir enlever ton pantalon, tu me le permets?— Mouiii ... Me répond-elle péniblement après quelques secondes.
Bon, il faut faire vite si on veut lui éviter l’hypothermie.Je laisse de coté ma retenue pudique et m’empresse de lui ouvrir la braguette et de lui soulever au mieux le bassin afin de descendre son pantalon qui est collé à ses cuisses tant il est humide. L’opération est difficile même si elle fait quelques efforts pour m’aider. Je fais mon maximum pour la dégager de tous ses habits trempés, mais n’ose pas lui enlever sa culotte, même si une grande auréole humide souille la fesse droite.
Très vite, j’essuie ses jambes avec la serviette puis les frictionne à deux mains. Et là m’arrive soudainement un picotement malsain au niveau de mon entrejambe, je bande, mais c’est vraiment involontaire. Je me foutrais des baffes d’être excité à cet instant ! Il faut quand même avouer que malgré la pâle lueur du jour de cette fin de journée et la lumière blafarde des flammes dansantes du poêle, je ne peux m’empêcher d’admirer la forme harmonieuse de son mont de vénus, ainsi que la fente de sa vulve dont on devine le sillon moulé par la fine culotte en coton. De plus, ses poils pubiens dépassent les limites du tissu, ce qui a le don de m’exciter encore plus! Mathilde ne proteste pas que je m’applique à masser ses jambes et ses pieds afin de rétablir la circulation sanguine. J’avoue que j’éprouve du plaisir à ce contact délicat avec sa peau si douce.
Si je suis chaste depuis longtemps, c’est parce que ma femme est décédée et que depuis, je vis seul. Elle a été emportée par un sale virus il y a trois ans. On croyait alors qu’il s’agissait d’une sorte de grippe, mais il n’en était rien! Durant plusieurs semaines son état n’a cessé d’empirer jusqu’à son décès à l’hôpital.J’ai mis beaucoup de temps à relever la tête après cette épreuve. D’ailleurs je ne suis pas sûr de m’être encore vraiment remis. Sous l’insistance de mon fils, mais surtout avec l’aide active de Mathilde, j’ai commencé, il y a peu, à débarrasser les affaires de mon épouse. Benjamin voulait que je revende, ou même, que je brûle tout, afin d’effacer toute trace de sa mère à qui il était pourtant très attaché. Il semblerait qu’il lui en veuille de nous avoir quittés. En tout cas, je trouve le trouve beaucoup changé depuis. Il est devenu comme plus amer, plus aigri et surtout plus égoïste qu’avant.
Pour moi, tout effacer d’elle, c’était au-dessus de mes forces. Car même si je sais que c’est stupide de penser ça, quelque part dans mon esprit, je garde une forme d’espoir et me dis qu’elle va me revenir un jour ou l’autre. C’est idiot, j’en ai conscience!
Mathilde, elle, avait bien compris mes états d’âme et m’avait proposé de ranger tous les vêtements et sous-vêtements de ma femme dans des valises et des armoires souples que je pourrais mettre au grenier. Quant aux autres effets, comme les bijoux par exemple, je les rangerais dans des coffrets. D’ailleurs, dans les faits c’est elle qui a presque tout géré, car je rêvassais trop quand j’avais une de ses affaires dans les mains. À chaque fois, je repensais à ma douce épouse.
Concernant Mathilde, même si c’est la copine de mon fils, je reste malgré tout un homme. Bien sûr, à plusieurs reprises et à la dérobée, mon regard s’est déjà posé sur son corps, sur ses fesses ou dans son décolleté quand elle se penche. J’ai pu entrapercevoir sa belle poitrine même si elle cherche à la cacher mais dont je devine ses seins en forme de cône ou peut-être d’obus? Humm!J’aime beaucoup son visage qui a quelque chose d’innocent avec cette petite fossette au menton. Ses cheveux longs sont châtains avec quelques mèches blondes, mais ils sont trop souvent tressés ou en queue de cheval. Tout en elle respire la fraîcheur et un romantisme qui me charme depuis le premier jour.Le seul reproche que je pourrais lui faire c’est qu’elle veuille cacher sa féminité, elle se tient trop souvent avec un peu tête basse comme une introvertie ou bien comme si elle avait honte de montrer son buste en prenant une posture plus altière !
Il arrive très fréquemment que nous passions du temps à deux, en effet mon fils Benjamin sort souvent avec ses copains célibataires ou bien préfère la virtualité de ses jeux vidéo. Du coup, ces soirées-là, Mathilde vient à la maison ou bien je vais chez eux, on cuisine ensemble et on discute de tout et de rien sur de nombreux sujets, voire même en refaisant le monde selon notre point de vue. On se tient compagnie mutuellement et j’apprécie cette forme d’amitié complice qu’il y a entre nous deux, sans réelle arrière-pensée de ma part! Par contre, malgré notre grande complicité, il est impossible pour elle de me tutoyer, elle n’y arrive pas, même quand j’insiste pour qu’elle le fasse.
En revanche, ce soir ce n’était pas prévu qu’elle vienne! D’autant plus que les conditions sont exécrables tant en ce qui concerne la météo que la circulation sur les routes ! Il est vrai que Benjamin est parti en début de semaine pour un déplacement professionnel et peut-être que Mathilde s’ennuyait. Mais quand même, parcourir plus de dix kilomètres par ce temps relève d’une inconscience que je ne lui connais pas! Ses raisons pour venir me voir doivent être importantes !
La pauvre fille se contorsionne sur le fauteuil en geignant de douleur. Je recouvre ses jambes avec le peignoir, me précipite à la cuisine et tâtonne dans la première armoire près de la porte pour y trouver ma boîte à pharmacie. Je veux prendre un peu d’eau au robinet, mais rien n’en coule! Les canalisations sont probablement gelées elles aussi, c’est dire le froid qu’il fait dehors.Dans le frigo, je sais que je laisse toujours une petite bouteille d’eau. Je m’en saisis et retourne vite près de la mignonne. Je dissous un antalgique dans un verre que je porte ensuite à ses lèvres tremblantes. Je ne sais pas si ça sera utile mais ça ne doit pas faire de mal de lui donner ça.
Mathilde boit à petites gorgées en grimaçant. Je repose le verre et prends ses mains froides que je glisse sous mon pull. Je ressens comme deux blocs de glace se poser sur mon ventre chaud. Je frissonne mais j’espère que ce sera efficace pour la réchauffer.Je suis dans une posture inconfortable avec un pied au sol, un genou sur l’accoudoir, tout en maintenant mon équilibre au-dessus de Mathilde avec mon avant-bras en appui sur le dossier. Ses mains courent sur mon abdomen à la recherche de la zone la plus chaude.
Elle sanglote et pleure de douleur quand l’onglée se manifeste. Aussi, pour la consoler je lui murmure des mots de réconfort et dépose quelques bises pleines de tendresse sur son front.Elle hoquète, bredouille et baragouine alors un : "Merci Paul, merci pour tout ce que vous faites pour moi!"Ses mains glissent à présent dans mon dos à la recherche de chaleur, mais elles m’appuient si fort que je suis sur le point de perdre l’équilibre et de tomber sur elle.
— Aïe ! Aïe ! Houille! hurle-t-elle en me griffant les côtes.

J’oublie ma propre douleur qu’elle provoque en me plantant ses ongles dans la chair de mon dos et préfère serrer les dents que de la repousser. Je modifie ma position pour l’enlacer en la serrant très fort contre moi afin, de lui procurer plus de réconfort et également de lui communiquer un peu de ma chaleur. Elle garde les mains dans mon dos et maintenant les frotte doucement contre ma peau.Là encore, ça me picote au niveau de l’entrejambe!Zut alors ! Qu’ai-je encore à bander comme ça!
Je la sens bien dans mes bras, ses convulsions se calment et son corps se détend au bout d’un temps. Je crois qu’elle somnole maintenant. Je la repose délicatement sur le dossier et me dégage de cette posture compliquée en me réajustant le pull et surtout ma bite tendue à l’extrême. J’espère qu’elle n’a rien perçu de mon trouble quand nos corps étaient serrés l’un contre l’autre.
...

Bon! Je vais devoir m’organiser et utiliser la lumière de mon téléphone pour m’éclairer. Prioritairement, je vais chercher des choses dans ma chambre à l’étage à savoir: ma couette, les oreillers, un drap non, plutôt deux draps, une couverture. Tant que j’y suis, je prends une paire de grosses chaussettes de laine dans la commode. Je reviendrai plus tard s’il le faut.
Mathilde dort toujours quand je la rejoins. J’enlève le peignoir de ses jambes puis, à la place, les recouvre soigneusement avec la couverture et me dis:     Humm... quelles belles cuisses elle a cette fille!
Afin de préchauffer la couette, je la place sur une chaise face au poêle, lequel semble faiblir en intensité. Je tisonne un peu les braises et rajoute une bûche. Il me faudra devoir ressortir pour faire une bonne réserve de bois pour la nuit. Je frissonne rien que d’y penser tant dehors le vent mugit. En jetant un coup d’œil par la fenêtre, je note que la chute de neige semble aussi importante que tout à l’heure. Je remets donc à plus tard ma sortie!
Je déplie maintenant le canapé clic-clac, mets un drap, dispose un oreiller et m’approche de ma jeune naufragée. Je lui enfile mes chaussettes de laine, même si elles sont trop grandes pour elle, elles pourront l’aider à lui réchauffer les pieds. Mathilde somnole encore mais je l’invite à se déplacer jusqu’à ce lit improvisé. Une nouvelle fois mon aide est nécessaire. Je l’enlace et la soulève du fauteuil. Elle se colle fortement à moi et, même si la situation est très agréable, je dois me concentrer pour l’aider à se mettre sur le lit. Alors qu’elle s’allonge, sa culotte glisse un peu découvrant légèrement la raie de ses fesses. Je détourne pudiquement le regard et recouvre son jeune corps de la couette bien chaude. La belle en profite pour se débarrasser de cette culotte encore mouillée, puis s’endort en se lovant dans le moelleux du lit. Je dépose une bise affectueuse sur sa joue et il me semble voir un fin sourire se dessiner sur ses lèvres. Comme elle est charmante!
Je m’affale dans le fauteuil qu’occupait précédemment Mathilde pour souffler un peu et réfléchir à la suite des évènements.
Il va certainement falloir plusieurs jours pour que la situation revienne à la normale. Combien de jours? Je n’en sais rien et donc Mathilde va devoir rester ici durant tout ce temps ! D’autre part, il va falloir s’organiser pour gérer les vivres et l’énergie. Il fait très froid même à l’intérieur maintenant et l’unique chauffage se trouve être dans cette pièce. Pour s’éclairer il va me falloir retrouver toutes les lampes de poche et les bougies.Pour les aliments, il y a des conserves, le contenu du frigo et de mon petit congélateur. Pour les cuissons, le poêle ne sera peut-être pas suffisant. On verra!Pour avoir de l’eau, je peux faire fondre de la neige, mais pas pour la boire. Je sais qu’il reste deux ou trois packs de bouteilles dans le garage. Il faudra que je les rapatrie ici au plus vite. Pour s’informer des évènements, il faut que je retrouve mon petit poste de radio et des piles. Là aussi ça doit être dans le garage.
Bon allez ! Il faut que je me motive pour sortir et faire tout ça pendant que Mathilde se repose et reprenne des forces. Je la contemple quelques secondes avant de m’harnacher et de trouver la bravoure nécessaire pour me motiver à faire tout ça.Je la regarde une dernière fois et me dis :    Qu’elle est mignonne !
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