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Tempête incestueuse

Chapitre 1

Bienvenue chez moi

Inceste
Ce soir était notre dernier dîner tous ensemble avant que Marta, ma mère, et Ana, ma sœur, ne partent en vacances au soleil, en Corse. Mon père, Mamadou, n’avait pu poser de congés et resterait donc à la maison, avec moi, bloqué dans un cycle universitaire qui, bien que très intéressant, ne me mènerait nulle part, j’en étais convaincu.
Moi, c’est Joachim. J’ai 19 ans, tout comme ma sœur Ana, qui, vous l’avez deviné, est ma jumelle. Mélange original d’une mère catalane et d’un père congolais, nous nous ressemblons fortement et sommes très proches, aussi, son absence à venir ne me rend pas forcément joyeux, au contraire, je l’envie d’aller comme ça, en plein début d’été, profiter de la vie, du soleil, des eaux turquoises ou des rivières cristallines de cette île magnifique, alors que moi, j’ai encore deux semaines de cours et quelques examens à passer. Je crois qu’Ana serait restée avec moi, mais voilà, Maman est enceinte de 7 mois maintenant, et c’est mieux pour elle d’être accompagnée. Je n’aurais jamais pensé dire ça un jour, même si pour le moment je suis puceau et que la sexualité ne m’intéresse que depuis mon entrée à la fac, mais Maman, même avec son gros bide rond comme un casque de cosmonaute, est plus belle que jamais. Et Mamadou est de cet avis-là.
Ana et moi les entendons le soir, le matin, et aussi en pleine journée le week-end : je crois qu’ils n’ont jamais autant baisé de leur vie de couple. Et si Maman a les hormones en vrac et une libido en feu, Mamadou semble lui très excité par cette version alternative du corps de sa femme.
Notre mère Marta a toujours été une femme très séduisante, on ne lui retirera jamais ça ! Un regard sombre à la Penelope Cruz, mais avec les formes d’une Scarlett Johansson, vous voyez, pour faire simple. Des cheveux noirs comme les yeux d’un cheval sauvage, le visage dur d’une femme du désert andalou, couleur des montagnes, de la glaise. Un cou élégant et souple, souvent paré de colliers aux pierres semi-précieuses claires, contrastant merveilleusement bien avec sa peau. Mais surtout, ces pierres attisent la curiosité de l’œil, qui invariablement, est aspiré par la profondeur de son décolleté. En son centre, une ligne de faille profondément sombre sépare deux globes massifs, lourds, envoûtants. Ma sœur, jalouse de son tour de poitrine, a plusieurs fois essayé les soutiens-gorges en dentelles de Maman, mais ses seins, bien qu’encore en croissance et déjà joliment ronds, flottent pitoyablement dedans. Il reste du chemin à faire à Ana si elle veut remplir le 95E de sa mère.
Avec un soin élégant et presque futile, notre mère s’habille toujours avec goût, maniant avec talent l’art de mélanger les formes, les tissus et les couleurs, qui, de prime abord semblent totalement dépareillés. Ce soir par exemple, elle porte un tissu africain autour de ses cheveux bouclés, lui donnant l’allure d’une reine de la brousse. Sa poitrine est ce soir presque entièrement cachée d’un crop-top couleur crème. On voit se dessiner sur le tissu les contours de son soutien-gorge qu’elle doit obligatoirement porter pour supporter se seins, que dis-je, ses mamelles qui commencent à se gorger de lait, et qui ont sensiblement grossi ces derniers jours. D’ailleurs, on aperçoit le galbe de ses seins, son croc-top ne le cachant pas entièrement. Oh ce n’est pas grand-chose, juste un petit centimètre, mais, moi qui depuis un an a découvert l’étendu du porno sur Internet, cette simple vision me donne quelques suées...
Son ventre rond est à l’air libre, sa peau si lisse et tendue ne nous pose aucun problème, aucune gêne. Malgré la chaleur de cette soirée, elle porte un pantalon jaune pétant, un ton plus sombre que les gilets jaunes, mais avec ses bandes réfléchissantes. Très étrange comme choix, ça casse entièrement le côté presque artisanal et régional du haut. Une grande dame, ma mère. Vous ne pouvez pas voir cette partie puisqu’elle est assise à table, mais plus tard, quand elle se lèvera pour aller aux toilettes, vous serez subjugués par le pétard qu’elle se trimballe.
Et même si son pantalon de signalement est ample, vous le verrez quand elle marchera et que le haut de sa cuisse et ses grosses fesses ovales s’écraseront l’une sur l’autre, combien cette femme est un danger sexuel, combien cette femme doit être harcelée, combien cette femme a dû briser des cœurs - et des organes génitaux, aussi, c’est sûr, mince, voilà que j’ai encore des flashs pornos en tête, il faut que je redescende et cesse de visualiser ma mère se défouler sur mon père, son cul maltraitant son sexe gros et puis...
Stop !Elle me fait face à la table, sur la terrasse, et son sourire, son air serein et heureux me ramènent au moment présent.
À côté de moi se trouve Ana, ma sœur chérie, mon tout. Ana est une fille, plutôt une jeune femme maintenant, piquante, à l’esprit plus vif que le mien. Elle est admirée, mais plus souvent rejetée par son rapport un peu cynique aux choses, cynisme réfléchi et volontairement exposé - je suis son plus grand admirateur. Polémiste redoutée à la cantine de la fac, elle arrive à être plus douce et contenue à table, car elle défend des idées et une vision du monde jeune, peu expérimentée, bien que valable, et face à nos parents, cela va souvent au clash. Elle le sait, nous le savons, aussi nous évitons l’écueil d’aborder ces sujets et ainsi d’envenimer nos relations, qui sont très bonnes. L’autre différence entre Ana et moi, autre que nous n’ayons pas le même sexe biologique, est qu’elle a la peau un peu plus foncée que moi. On dirait une Africaine pure souche : ses lèvres retroussées sont omniprésentes et franchement, c’est un cadeau de la nature.
Elle a la plus belle bouche que je connaisse. Pleine de vie, si parfaitement dessinée qu’elle semble être l’œuvre d’un grand sculpteur. Leur contour est légèrement en relief, et ses lèvres marquées de quelques rides/pliures verticales, qui vous attirent vers la ligne de rencontre, sombre, mystérieuse, l’endroit d’où sort toutes ses réflexions acides et bien senties. Ana est plus en chair que sa mère. Loin d’être obèse, elle est pleine de rondeurs envoûtantes, dont le moelleux appelle à la caresse, au toucher, aux mordants des dents de son amant. Son nez est droit, légèrement recourbé à son apex, et ses yeux en amandes finissent de vous convaincre que vous avez là une solide prétendante au trône. Plus grande que ma mère aussi, assez basse dans la famille avec son mètre 69, Ana et moi atteignons le mètre 78, là où notre père culmine à 1m90. Ana est très athlétique, d’ailleurs elle suit un parcours STAPS, ayant toujours été une grande passionnée de basket et de natation.
Sa poitrine, jeune, mais ronde, atteint déjà un 90C bien prometteur, souvent recouvert d’une brassière - elle en a une collection : brassière pleine ou échancrée, ouverte au milieu, avec ou sans décolleté, parfois en tissu qui respire, donc presque transparente, mettent les passants dans la rue ou les visiteurs lors des matchs à rude épreuve. Contrairement à ma mère, qui doit d’abord penser à son confort et au maintien de sa lourde poitrine (attention au dos !), et qui de toute façon a une poitrine si parfaite qu’elle est élégante au naturel, ma sœur aime, il faut le dire, que ses seins soient légèrement pressés, elle aime en exagérer la forme ronde, la plastique siliconée qu’elle trouve enivrante et sexy. Au bonheur des regards curieux ! Son ventre est parsemé d’abdominaux que l’on devine. Elle ne les aime pas. Sportive de presque haut niveau, cela n’y fait rien, elle trouve que les abdominaux sur une femme, c’est laid. On les devine seulement, mais ça la travaille.
Moi je la trouve belle comme elle est. C’est ce qu’elle est, que peut-on y faire ? Je vous disais qu’elle semble être africaine, jetez un œil à la cambrure de son dos. Vertigineux n’est-ce pas ? On dirait une piste de saut à ski en miniature. La colonne vertébrale s’élance vertigineusement jusqu’à la courbe du coccyx, et là, le plateau. Le plateau en haut de son fessier, quelle merveille. Puis une courbe ronde, tracée au compas, parfaite, d’une géométrie frisant le ridicule, son cul est une lune qui éclipse tous les autres culs. Pour l’avoir déjà touché, je peux vous dire que c’est quelque chose. C’est ferme, mais les doigts s’y enfoncent avec un plaisir sexuel certain, on le croquerait, tant c’est moelleux et invitant. Sa peau est parfumée. Ses fesses ne sont pas à proprement parler rondes, puisque ses hanches sont assez larges, donc l’arrondi est un peu ovale sur les hanches. Bref c’est un cul de qualité qu’elle a, souvent, en accord avec la brassière, moulé dans des leggings.
Et là pas besoin de subterfuge, de lignes de coutures qui feraient croire à de prétendues courbes ou formes, non non, chez ma sœur, fessier, cuisses et mollets dictent leur loi, et elle est intransigeante. Les cuisses sont puissantes, fuselées, impertinentes, pleines de chair, pleines, tout simplement. Le mollet est fin, féminin, tout comme ses pieds d’une élégance déroutante, aux ongles toujours colorés des vernis les plus extravagants. C’est ma sœur, une déesse.
Mon père. Mamadou. Que dire de mon père ? C’est un homme très secret, réservé, contrairement à sa femme et sa fille. Je crois que je tiens ça de lui. Jamais avare en compliments ni en encouragements, on en sait finalement peu sur lui. Un passé traumatisant, la guerre, l’exil : je crois qu’il faut creuser dans cette direction pour comprendre les fantômes et démons qui l’empêchent d’être l’homme extraverti que ses connaissances pensent qu’il est. Masque de protection. Mais c’est un homme aimant, attachant, fin observateur, et un bon père, qui nous soutient et nous pousse dans nos choix sans jamais s’imposer, sans jamais empiéter sur nos libertés. Physiquement, c’est un homme grand et solide, bien bâti, avec de la carrure, et charismatique. Sa peau est un peu plus sombre que celle d’Ana, sans pour autant être noire comme la nuit. Il a des yeux assez ronds, une bouche large, des fossettes qui racontent une histoire douloureuse et violente, pleines de cicatrices.
Mon père est un bâtisseur, au sens philosophique, mais aussi au sens propre. C’est un charpentier reconnu dans la profession. Mon père est quelqu’un de physique, il s’éprouve dans l’effort, voilà d’où vient Ana, d’une certaine façon. Mamadou a rencontré Marta à Grenade, alors qu’il retapait la maison voisine à la maison d’enfance de Marta, en visite chez ses parents. Depuis leurs 25 ans, ils ne se sont jamais quittés. Aujourd’hui, à à peine 47 ans, ils se demandent par quelle bénédiction ils ont été touchés. Mais le calme allait partir en même temps que le départ de Marta et d’Ana, et une tempête appelée inceste s’abattre sur le foyer...
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