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Tendre Héléna.

Chapitre 4

Héléna offre sa fleur...

Hétéro
On se glisse sous sa couette, pour être au chaud. Je l’enlace, elle pose sa tête sur mon torse, replie une jambe sur les miennes et commence son histoire...
— Je suis née en janvier 1922, dans cette maison. J’avais une grande sœur qui était née quatre ans plus tôt. Nous étions heureuses dans notre forêt, insouciantes de ce qui s’y cachait. A mes dix-sept ans vint le début de la guerre. Mon père fut rappelé et mourut de froid à Stalingrad. Avec ma mère et ma sœur, nous quittâmes la maison pour Dresde afin de fuir l’avancée des alliés... A notre arrivée, Dresde n’était que ruines et incendies. Au moment de repartir, nous sommes tombés sur une dizaine de soldats russes.
Ils tuèrent ma mère et ma sœur, les éventrant sous mes yeux. Un autre sort m’était réservé... je devais être violée par eux puis finir comme ma mère et ma sœur. Après m’avoir arraché ma robe et retiré ma culotte, ils s‘apprêtaient à me violer... quand un soldat SS surgit, les abattit tous et finit les blessés avec sa dague. Il me rhabilla et me porta dans un bunker qu’il connaissait. Il me soigna, physiquement et mentalement. Il finit par me proposer la Noxophilic sanguivorae... Bref, devenir un vampire...
Héléna me sent frémir.
— Ne t’inquiète pas mon amour. Tu n’as rien à craindre.
N’ayant plus rien à perdre et une seule chance de survie, j’ai accepté.Il me mordit, ce fut douloureux. Ma transformation prit une semaine. Il en fut d’ailleurs très surpris. Selon lui, du sang de vampire coulait dans mes veines, seule explication à cette mutation si rapide. Il fit des razzias dans les hôpitaux bombardés pour récupérer des poches de sang afin d’étancher ma soif et m’apprit à me contrôler. Il m’expliqua beaucoup de choses puis disparut... Je finis par sortir, de nuit. Je suis tombée sur un russe à qui je n’ai laissé aucune chance, tellement j’étais en rage.
J’ai appris à devenir invisible, à courir vite, longtemps, sans fatigue, puis à me battre sauvagement. J’ai retrouvé la maison en un mois en slalomant pour traverser le front. La maison étant très isolée, en plein cœur du Schwarzwald, je l’ai retrouvée dans le même état que nous l’avions laissée... je suis rentré à l’intérieur après trois jours de surveillance. Je me mis à l’explorer. Je commençai par ma chambre, celle où nous sommes puis celle de ma sœur où j’ai découvert ses jouets de plaisir en bois. Je compris le pourquoi de ses gémissements, tard le soir. Je passais ensuite à celle de mes parents... il y avait une lettre dans le coffre-fort de mon père et une arme de poing. Je lus la lettre et en fus très ému... il m’expliqua qu’il était un vampire, mais ne voulait pas infliger à ses filles cette malédiction...
Il avait transféré toute sa fortune en Suisse. La majeure partie était placée, ce qui donnait un confortable revenu. Puis un plan, dont tu as vu une petite partie. Je fis le choix de transformer la maison en forteresse grâce à de l’armement stocké par les soins de mon père. J’ai aussi installé un maillage de surveillance vidéo... je suis aussi métamorphe, je peux changer d’apparence. Tu as vu mes cheveux, mes seins, ma toison, mon sexe... Je peux tout modifier...
Je suis également stérile et immortelle. Je ne t’ai pas tout dit, tu le découvriras avec le temps...
Je la prends au dépourvu :
— Je t’aime ma chérie.
Elle a un gros sanglot et se met à pleurer franchement.
— Pourquoi ces larmes ?— Tu es le seul, l’unique à m’avoir dit ça et je suis follement amoureuse de toi.— C’est réciproque mon Amour.
Elle descend son visage mouillé de larmes le long de mon torse et de mon abdomen jusqu’à me prendre dans sa bouche suave et chaude. Mon outil est à présent dur comme l’acier. Elle l’enfourche en descendant lentement. Après un petit arrêt, elle force et m’engloutit. Elle vient de se déflorer... Quel plaisir de la posséder totalement, je sens qu’elle me serre très fort. Je caresse ses fesses tout en tétant ses seins. Elle roule des hanches de plus en plus vite, elle est déchaînée, poussant des cris de plaisir ! Elle finit par atteindre le nirvana et s’écroule sur moi. Je lui donne des coups de reins pour prolonger son voyage et elle remet ça. Roulant des hanches, les yeux révulsés, la respiration rapide. Elle a un deuxième orgasme consécutif, mais là, elle hurle et convulse. De mon côté, je n’ai pas pu me retenir et j’ai tout lâché. J’ai eu l’impression que son sexe aspirait le mien, un vrai bonheur !
Quand elle reprend ses esprits, elle me propose qu’on se nettoie en soixante-neuf elle pose son sexe sur ma bouche et elle me prend dans la sienne. Elle ne me nettoie pas, elle me masturbe et me pompe. De mon côté, je suce sa vulve, du clitoris à l’anus. Ma langue, sur ce dernier, la fait frémir puis je passe mes mains sous elle pour attraper ses seins et frotter ses tétons dans mes paumes. Je me prépare, ouvrant la bouche en grand, j’englobe toute sa vulve, les yeux fixés sur son anus. Quand je le vois battre, je sais que j’ai gagné. Je reçois ma récompense sous la forme d’un bon jet de cyprine. J’en garde dans la bouche puis lui fais un baiser pour partager ses humeurs divines. Elle est surprise.
— Tu vois, ce n’est pas de l’urine.— Coquin, on devait seulement se nettoyer...— Haha, tu es de mauvaise foi. Qui a commencé la première ?— J’avoue, je voulais encore de ton sirop.— Je t’ai donné un aperçu de ce que tu m’as offert. Le goût te plaît ?— Oui, j’en reprendrais avec plaisir !— Il ne tient qu’à toi mon amour. Et merci pour ta défloration !— Tu savais que j’étais vierge ?— Non, j’ai compris quand tu t’es arrêté à mi-hauteur, avant de te laisser tomber pour déchirer ton hymen. Je t’avoue que c’est un beau cadeau que tu viens de m’offrir.— Je suis aussi heureuse d’être devenue une femme, ta Femme ! Surtout que tu m’as laissé le faire quand et comme je veux, pour que ce soit un feu d’artifice ! Ça a été inimaginable... Un orgasme à peine fini que tu me reprends en douceur, ce qui m’a rallumée pour un deuxième plus puissant parce que tu m’as remplie, en même temps, de ta lave brûlante... ça a décuplé mon plaisir...
Nous nous faisons un gros câlin plein de tendresse...
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