Au réveil, vu l’énergie que j’ai dépensé pour combler cette coquine insatiable et manifestant un besoin naturel, mon estomac grommela. Héléna m’embrasse, se lève, m’emmène dans la cuisine et me fait un bon steak-frites que j’ai dévoré sur le champ. - C’est excellent, cuit à point, comme j’aime. - Je sais. - Et toi, tu ne manges pas ? - Tu y tiens vraiment ? - Oui, tu te dépenses aussi…
Elle prend un verre, sort une poche de sang, la verse et la boit avec un plaisir évident. - Haaaa, ça fait du bien. - Heu, tu bois toujours ça ? - Non, on mange aussi des steaks saignants. Ça, c’est juste pour te choquer mais c’est raté… - Tu veux gouter mon sang ? Pas tout hein, tu m’en laisses un peu… - Je ne vais pas te mordre, ce sera pour plus tard. Blesse-toi le doigt et laisse-moi faire…
Une fois mon index entaillé, elle le prend en bouche. Elle me fixe, ses yeux se mirent à pétiller et se révulsèrent. Elle me rend mon doigt et je ne constate aucune trace de blessure… - Mais ? - Oui, je sais faire ça aussi. - Et tes yeux révulsés ? - j’ai eu un orgasme… Première fois que ça m’arrive en buvant du sang…Sven et Nana ont raison, tu es parfait… - Comment ça ? - Ton sang est exceptionnel, on va le faire gouter à Svetlana. Elle va confirmer, c’est certains. Quant aux Chats, ils t’ont sondé quand ils étaient sur tes genoux. Ils m’ont transmis leurs conclusions, qui étaient aussi les miennes quand je t’ai sondé dans la boite de nuit. - Tu écoutes tout ce que je pense ? Dis-moi ce que je pense !
- tu as envie de me téter les seins… ce qui les a fait se dresser, regarde comme ils sont tendus… - Et là ? - Ho, tu es un drôle de coquin. Je n’ai jamais fait, mais avec toi, je veux bien tester si tu es délicat... - Beaucoup de femmes apprécient et parviennent à un autre type d’orgasme… - Et à propos de Svetlana ? - Svetlana est ma colocataire. Je l’ai découverte dans la forêt des Carpathes, en haillons et d’une saleté repoussante, Elle fuyait une meute de chiens et de chasseurs, bien décidés à lui faire la peau. Je lui ai pris la main et j’ai ressenti une décharge bizarre… Après les avoir semés, nous avons pris la route pour la maison.A l’arrivée, je lui ai fait un bain chaud, je l’ai lavée et j’ai démêlé ses cheveux. Puis, je l’ai séchée et guidée vers la chambre de mes parents pour l’habiller convenablement. Ses cheveux roux descendaient jusqu’à sa chute de rein. Elle choisit de se vêtir confortablement ne mettant ni soutien-gorge, ni culotte.Nous sommes allées sur le canapé, qui est devant la cheminée et nous avons entamé la conversation… J’appris qu’elle était russe mais avait fait ses études à Berlin, ce qui explique son allemand parfait. Pendant cette maudite guerre, elle était pilote d’un petit bombardier léger avec sa douce amie Anya. Toutes les nuits, elles harcelaient les Allemands, jusqu’à ce qu’ils mettent au point les chasseurs de nuit Uhu. Un soir, elles furent abattues…La suite c’est elle qui va te la raconter. Elle m’a aussi fait découvrir le saphisme… - Il nous reste deux heures avant son arrivée, tu as envie de me prendre par la rosette ? - Si tu en émets le souhait, je suis prêt ! Prend du lubrifiant afin que je te prépare. Elle s’éclipse et revient, un petit flacon à la main. Je l’accueille sur le lit et la positionne en levrette. - Écarte tes fesses, chérie. - Comme ça ? - C’est parfait. Je ne résiste pas à la vue de son petit anus rosé et lui offre une feuille de rose. Elle apprécie car sa vulve s’humidifie a vu d’œil, sa cyprine coule sur ses cuisses et son œillet palpite… Soudain, il s’entrouvre, me laissant le passage. Je n’hésite pas, je la pénètre avec ma langue ! Elle pousse un gros soupir… - ça va, tu aimes ? - J’adore, j’attends la suite avec impatience ! Je verse quelques gouttes de vaseline, puis entame un lent et sensuel massage de sa rose, qui la fait ronronner. Un doigt s’infiltre. Elle retient sa respiration. - Laisse toi aller ma chérie !
Je sens son anneau se détendre alors que j’insinue un deuxième doigt…puis un troisième. Héléna se laisse faire avec un plaisir évident qu’elle manifeste en poussant des râles sensuels. Une fois prête, je lui mets une petite claque sur les fesses. Je vais me poser sur le fauteuil, les cuisses largement écartées en l’invitant à venir s’asseoir…Elle prend mon outil et le glisse dans sa vulve, afin de le lubrifier. Puis le dirige vers la cible et commence à descendre doucement…Elle appuie son dos sur mon torse, je prends ses seins en main. Ses tétons sont extrêmement tendus. Mon gland traverse son anneau, elle fait une pause, continue ensuite jusqu’à la garde.Elle halète… - ça va ma belle ? - Ouiiii ! - Maintenant, tu peux remonter. Va à ton rythme, fait toi plaisir mon amour. Elle commence lentement, puis accélère en criant son plaisir à haute voix. Ma main, descendant sur son sexe, tombe sur un clito de quinze centimètres… Je le prends en main pour le masturber. Elle devient folle, jouit et manque de s’écrouler. Je la rattrape de justesse et la maintien, toujours empalée, contre moi. Sa respiration s’apaise, elle tourne la tête et m’embrassa langoureusement… - Merci mon Chéri ! Mais, tu es toujours en moi ? - Oui chérie et toujours aussi dur. - Et tu as aimé ? - Tu n’imagines mêmes pas… J’ai même découvert un de tes talents. - Tu veux parler de cela ? - Oui, je le sens grossir et s’allonger encore… - Ça te plait ? - C’est particulier, mais j’adore te donner du plaisir. - Tu me libères mon amour ? - Tu n’es pas bien ? - Oh si, mais Svetlana ne va pas tarder… - on va prendre une douche ? - Ensemble ? - Tu sais comment ça va se finir ? - Justement… - Tu es un coquin insatiable. - Toi aussi mon cœur ! - C’est vrai, tu me rends tellement heureuse… S’en suis une douche commune, mes mains savonneuses glissant sur son corps et les siennes masturbant mon pénis gonflé. Héléna me donne un long baiser humide, puis s’agenouille pour me prendre dans sa bouche chaude et avide. Elle se hisse alors, en laissant courir sa langue le long de mon corps avant de prendre mon sexe entre ses seins et frotter ses tétons tout durs contre moi. Elle remonte vers ma bouche et s’empale doucement en poussant un gros soupir d’aise avant de me ceinturer avec une jambe et commencer un va et viens lent. Je saisis ses fesses en les écartant avant de glisser un doigt inquisiteur vers son petit trésor sombre. Alors que je le caresse, elle me chuchote à l’oreille : - Tu aimes ce que je te fais mon chéri ? - j’adore sentir tes tétons qui glissent sur les miens, ton sexe que tu serres, caresser tes fesses, sans oublier ton petit trou du cul glissant… - Oui, mon trésor ! Rentre un doigt s’il te plait, j’en meurs d’envie ! - Avec plaisir mon cœur… Je mouille mon doigt à sa source et la pénètre… Elle se déchaine, jouit en criant, en me mordant l’épaule ! Je n’ai rien senti. N’y tenant plus, je me vide en elle… - Tu viens d’éjaculer ? - Oui, je n’ai pas pu me retenir… - Vite, allonge-toi ! Je m’exécute. Elle s’accroupit sur mon visage, me demande de prendre en bouche ce qui sort de sa vulve et compte le partager lors d’un baiser torride. J’en profite pour lécher tout son sexe, en particulier, son urètre et son clito. Soudain, un jet puissant m’asperge. - Excuse-moi chéri, mais comme tu m’as titillé l’urètre, je n’ai pas pu me retenir. Je suis morte de honte. - Ce n’est pas grave, c’est naturel et ce n’est pas désagréable du tout… c’est même excitant. Embrasse-moi, je vais te faire gouter mais il en reste très peu. Je me relève, nos lèvres se soudent, je lui transfère le liquide doré.Elle semble apprécier. - Mmmmm, tu dis vrai, c’est très bon ! Tu me feras goûter le tien ? - Avec plaisir chérie… - Mais, tu es blessé ! - Ou ça, je n’ai rien senti. - Ton épaule ! Je regarde, effectivement, il y a quatre trous qui saignent. - Laisse-moi faire ! Elle s’approche, absorbe mon sang avec plaisir, referme mes blessures avec sa langue puis m’embrasse langoureusement. - Je suis désolé mon chéri. Mon orgasme a été tellement puissant que je n’ai pas réussi à me contrôler… - Pas grave, tu ne m’as pas vidé. En revanche, tu as apprécié boire ce qui avait coulé, je me trompe ? - J’avoue. Ton sang est un nectar pour moi… - Ben on fera des prises de sang, exclusivement pour toi. - Tu ferais ça ? - Oui, à la condition que tu ne me vide pas. - Je t’adore chéri ! - Moi aussi mon amour !
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