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Tendre Elsa

Chapitre 3

Imprévisible Nièce

Inceste
Je suis entrain de préparer le repas. Ce dernier a base de pommes de terre, fromage, oignons, œufs et crème fraîche fait ravir les papilles de la famille. Je me régale d’avance car j’avoue prendre du plaisir à bien cuisiner.

Tout d’un coup, j’entends mon téléphone portable sonner.C’est ma belle-sœur qui appelle. C’est rare. Mais, cela fait plaisir d’avoir de ses nouvelles de temps en temps.

Elle me raconte qu’elle a eu quelques soucis ces derniers temps. Sans compter sur un travail assez éreintant qu’elle a de plus en plus de mal à supporter.

Pendant la discussion, elle me demande si cela ne nous dérangerait pas ma femme et moi, de recevoir Elsa quelques jours à la maison.

Elle doit assister à un séminaire pendant quelques jours.

Sur le moment, je ne sais pas quoi répondre. Je me sens à nouveau troublé et excité, d’autant plus que la demande émane d’Elsa.

Sans exprimer ma profonde surprise, je lui dis d’un air plutôt neutre que je n’y vois aucun problème. J’insiste néanmoins sur le fait que je ne suis pas seul à décider.

Je suis également surpris qu’Elsa veuille venir chez nous. Elle n’a jamais eu l’occasion d’y venir jusqu’à présent. Pourquoi maintenant ? Je sais que la FAC où elle fait ses études propose également des séminaires dans sa spécialité.

J’ajoute malgré tout :

— Nous avons de la place et elle aura sa chambre. Mais parle en à Maelys d’abord.

Maelys est mon épouse. Une femme brune de 43ans coupe au carré au niveau des épaules. 1.70m 76kilos des rondeurs parfaites. Elle est toujours aussi belle à mes yeux. Je ne me gêne jamais pour le lui dire et la complimenter, et ce, très souvent.Malgré ses grossesses, elle n’a pas une seule vergeture sur le corps. Elle a conservé une peau élastique. Elle a un petit ventre et des rondeurs sur les cuisses dont elle se plaint fréquemment, mais à mes yeux, elle est juste parfaite. Son poids est parfaitement reparti sur son corps pour moi.

Elle a des belles fesses et des jambes superbes galbées aux chevilles très fines. Concernant ses seins, ils sont lourds, fermes et leurs auréoles sont larges. Ils tiennent encore parfaitement droits. J’adore les pétrir, les sucer et les lécher quand je lui fais l’amour. Ils ont grossi pendant les deux grossesses pour ne jamais revenir à leur taille d’origine. Pour ma plus grande joie.

Mon plaisir à la regarder est toujours le même malgré nos 24 ans de vie commune.

Je m’entends bien avec elle. Elle me respecte et on peut communiquer sur la plupart des sujets.Sauf pour le sexe. Sur ce sujet, elle reste fermée et coincée malgré mes nombreuses tentatives.Elle ne m’autorise que le missionnaire et très rarement elle sur moi. Et seulement la penetration vaginale. Cunni, 69, fellation, préliminaires et baisers langoureux sont bannis. Quant à la sodomie même pas en rêve. Mais je ne désespére pas un jour de lui faire découvrir tout ceci.

Malheureusement étant un homme et parfois frustré, il m’est arrivé de la tromper. Rarement.

Me rassurant ainsi que je suis capable de donner énormément de plaisir à une femme. Car je me lâche pour le plus grand bonheur de mes rencontres.

Mais surtout, que ce je lui demande n’est pas insurmontable ni trop cochon, loin de là. Contrairement à ce que mon épouse laisse entendre.

Je pense sur le coup à Elsa, à son corps, à son sourire, son regard brillant. Même si je refuse cette indécence et cet interdit, au fond de moi, je ressens une terrible envie d’aller plus loin avec elle.

Mais, il ne s’agit plus d’une inconnue et les conséquences pourraient être dramatiques en plus d’être jouissives sur le moment.

Quelques jours plus tard, j’attends son SMS pour me prévenir de son arrivée à la gare.

J’ai une bonne demi-heure pour y aller. Sans tenir compte des éventuels embouteillages.

Aussitôt reçu, je prends la direction de la gare. Son arrivée est prévue pour 13h30. Mon cœur bât la chamade, c’est la première fois que je vais me retrouver seul avec en voiture et pour une durée beaucoup plus longue que les précédentes.

Je cherche une place de stationnement, pestant sur le peu qui restent encore disponibles. Râlant contre certains conducteurs en raison de leur molesse au volant.

La place trouvée, il est 13h25, je me sens presque obligé d’accélérer le pas pour atteindre au plus vite le quai d’arrivée.

C’est là que je l’apercois. Elle porte une veste cintrée noire qui met en valeur sa taille et ses gros seins, avec une jupe courte noire qui arrive à mi-cuisses et des collants noirs. En chaussures elle a mis des converses blanches. Elle ne me voit pas arriver, elle est juste magnifique. Je remarque avec agacement que quelques personnes posent des regards sur elle. Certains sont insistants.

Je m’approche d’elle en disant son prénom.

— Coucou Elsa, tu as fait bonne route ?

— Coucou, oui mais c’était long je trouve.

Son regard est plongé dans le mien et son sourire toujours aussi radieux dévoilant une belle dentition blanche. Je ne peux m’empêcher de la regarder de la tête aux pieds à nouveau.

— Tu es très bien habillée Elsa. Donne moi tes affaires, j’ai stationné la voiture au sous-sol.

— Merci, j’aime bien m’habiller comme ça j’avoue. Tu ne veux pas que je prenne quelque chose ?

Elle ne m’appelle jamais tonton, ni même par mon prénom. Elle a deux valises bien chargées mais je refuse. Je l’invite à me suivre, tout content de sa présence à mes côtés.

Arrivés au sous-sol, je range rapidement les valises dans le coffre et je lui ouvre la portière avant passager.

— Merci, c’est rare les personnes qui font cela.

— Ah, je le fais parfois avec Maelys.
Elle s’installe et je peux regarder ses belles jambes prendre leur place sur le siège. La jupe remonte légèrement, dévoilant qu’elle porte non pas des collants mais des bas autoportants. La vue d’une de la dentelle ne me laisse carrément pas indifférent et mon ventre commence à ce nouer.

Bien éduquée et posée, elle tire rapidement sur sa jupe par réflexe au moment où je ferme la porte.

Je m’installe au volant, pendant quelques minutes un silence pèse dans la voiture. Ne sachant quoi dire l’un et l’autre.

Puis elle me dit.

— Je suis vraiment contente de venir vous voir. L’ambiance à la maison est assez difficile en ce moment.

— Ah, tu sais quelquefois dans la vie, des périodes sont plus pénibles que d’autres.

— Tu n’as pas un petit copain belle comme tu es ?

Je me retourne sur elle une fraction de seconde pour la regarder. Elle répond en rougissant.

— Tu es gentil, merci. J’ai un petit ami depuis deux ans oui.

Je ressens une petite pointe de jalousie et d’envie pour ce mec. Mais c’est ainsi.

— Ah, et ça se passe bien entre vous ?

— Au début c’était bien, mais je commence à me lasser un peu. Il est gentil mais je le trouve assez immature, toujours impatient et rarement à l’écoute.

— Tu sais Elsa, dans un couple il faut communiquer sinon il ne perdure pas. Mais l’effort est à faire par les deux partenaires. Tu es jeune et jolie, qu’elle que soit l’issue de ton couple, tu finiras par trouver ton bonheur.

Elle ne réponds pas et nous roulons quelques minutes sans parler.Je jète parfois des regards sur ses jambes collées l’une à l’autre. La jupe s’est à nouveau relevée. Je me sens vicieux et pervers mais je ne peux m’empêcher de regarder.

Perdue dans ses pensées, elle regarde droit devant elle. Mais un moment, elle tourne son regard et constate que je regarde ses jambes.

Gêné je lui demande.

— Pour le séminaire, ça se passe où ? Peut-être que je pourrai t’emmener et te rechercher afin de t’éviter de prendre les transports en commun.

— C’est à la Fac du mont Saint-André, c’est pas trop loin de chez vous normalement et puis tu bosses non ?

— J’ai pris quelques jours de congés, j’ai promis à ta maman de bien m’occuper de toi, même si je sais que tu n’es plus une gamine et que tu es à même de te débrouiller seule.

— C’est vraiment gentil ça. Maelys travaille et les enfants vont à l’école ?

— Oui.

Je remarque qu’elle n’a pas tiré sur sa jupe acceptant tacitement de se faire reluquer ses belles jambes.

Le cœur palpitant et le ventre dans un état pas possible, je ne sais pas à cet instant dans quoi je vais m’aventurer.
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