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Tendre Elsa

Chapitre 4

Nièce à la maison.

Inceste
Résumé des derniers chapitres :
Depuis cette année, j’avoue fantasmer sur ma nièce par alliance Elsa.
De simples regards innocents et tendres, je suis passé à la vitesse supérieure, sur des regards de désir, de découverte plus approfondie, limite insistants parfois.
Je me sens tellement comme un vilain mateur à la limite du gros cochon, j’ai honte.
Il faut dire qu’elle s’est habillée très légèrement les deux dernières fois où je l’ai vue, contrairement aux années précédentes.
C’est ainsi, que lors de nos deux dernières rencontres, elle m’a laissé voir un corps superbe de jeune femme, excitant au plus haut point mes désirs d’homme. Je pense assez souvent à elle, sans en faire une obsession heureusement.
S’agissant de ma nièce, mon éducation et mes principes font que j’essaie de refouler tout ceci. Très difficilement certes, mais je me sens capable. Il ne doit absolument rien se passer, hormis le fait que je m’accorde dorénavant le droit de l’imaginer. Et ce, de façon peu orthodoxe.
Ne m’attendant à la revoir que pour les fêtes de fin d’années, voilà que j’apprends qu’elle désire venir à un séminaire qui dure une bonne semaine. Sur sa demande en plus... Cette formation se déroule dans une faculté à proximité de chez nous.
Surpris mais terriblement excité, je pars la chercher à la gare pour la recevoir à la maison pendant ces quelques jours.
Heureux de cet imprévu, poussant à une limite supérieure mes pensées obscènes, j’ose prendre quelques jours de congés, faisant fie de ce que me dit ma femme Maelys. Elle me dit de ne ne rien poser, car Elsa peut largement se gérer toute seule comme une grande, selon ma femme. Cette dernière a raison, mais la tentation est forte. Et l’occasion peut ne jamais se reproduire. Je prétexte que j’ai promis à sa maman de veiller sur elle. Quitte à l’emmener et la chercher tous les jours. J’obtiens son accord mais un regard noir en guise de réponse.
L’arrivée à la maison.

C’est ainsi que je propose à Elsa de descendre de la voiture afin de l’installer dans sa chambre, après lui avoir fait visiter la maison.
Nous sommes seuls tous les deux, ma femme et les enfants ne rentrent qu’en début de soirée. Non sans me déplaire. Oui, j’ai deux adorables enfants Charline et Maxime âgés de onze et treize ans. Leur mission, bien travailler à l’école pour réussir ou du moins mettre toute la chance de leur côté pour décrocher un jour le Saint Graal. A savoir, un métier qui puisse leur permettre de vivre décemment. Nos sommes des parents attentifs à l’éducation de ceux-ci. Ils ont une adolescence heureuse, un peu rebelle parfois certes, donc recadrage obligatoire, mais c’est ainsi. Ils le vivent bien et nous aussi.
J’invite Elsa à me suivre pour lui montrer sa pièce de vie située au rez-de-chaussée de la maison. Notre famille dort au premier étage.
— Viens, je te montre ta chambre. J’espère que tu y seras à l’aise.
— C’est sympa de voir où vous vivez. Un lit simple ahah. Ça va me changer de mon lit double.
Elle enlève sa veste cintrée dévoilant une chemisette blanche à rayures noires horizontales. Légèrement transparente, elle reste d’une pudeur acceptable. Immédiatement, j’aperçois le soutien-gorge noir en dessous de celle-ci moulant parfaitement ses gros seins insolents de vie. Elle retire également ses chaussures et ouvre sa valise en se retournant, sans doute pour chercher ses chaussons. Je reste là, comme un gamin à la contempler, à regarder ses jambes, ses fesses. Elle s’abaisse légèrement, gardant ses jambes tendues pour fouiller à l’intérieur.
Je m’entends dire :
— Désolé Elsa, mais c’est notre pièce fourre-tout, je me suis débrouillé pour la rendre présentable et y mettre un lit et un chevet. Je t’ai fait de la place dans l’armoire pour y ranger tes affaires.
— Ce n’est pas grave, ça me va parfaitement. Ne t’inquiète pas. En plus, tu l’as carrément rangé. On dirait une vraie chambre.
Elle s’assoit sur le lit en face de moi, et pour chacun de ses pieds, elle enfile ses chaussons.Elle fait cela avec une grande délicatesse, croisant et décroisant ses jambes pour les enfiler. Mon regard se fige sur l’intérieur de ses cuisses, cherchant à voir ce qu’elle a mis comme dessous. J’obtiens pour seul plaisir de voir l’intégralité du haut de ses bas. Une chaleur indécente envahit mon corps et mon bas ventre.
Faisant mine de rien, je lui dis :
— Tu crois que j’allais recevoir ma nièce dans des mauvaises conditions. Je veux que tu t’y sentes comme chez toi. Je te laisse tranquille, tu as tes affaires à ranger. Ah oui, sache qu’on a deux salles de bain, donc tu peux prendre tes aises.
— Merci pour cet accueil ! C’est génial, je suis vraiment contente.
— Si tu me cherches, je serai dans le salon ou dans le jardin à tondre.
— D’accord, mais je pense que je vais me détendre un peu avant. Ils arrivent quand ?
— Dans deux heures exactement. A plus Elsa. Détends-toi bien.
— À plus. Merci.
Je sors de la chambre en fermant la porte doucement tout en pensant à elle.
— Putain qu’elle est belle et souriante. Quel corps ! Quelles formes affolantes ! Ressaisis-toi mec, oublie !
Je me change vite en tenue de bricolage, mettant un petit short et un débardeur type "Marcel" pour être à l’aise. Ma tête est recouverte d’une casquette, ayant le crâne rasé.
Puis, je pars préparer la tondeuse tranquillement. Après avoir tondu, je pourrai préparer le repas. Ça va m’occuper.
Je branche le câble et je commence à tondre. J’en ai pour une heure environ. Je tonds sans doute depuis une bonne demi-heure. Mon excitation est quasiment inexistante, trop occupé à faire un travail de précision. La coupe doit être parfaite. Néanmoins, ayant un comportement en phase avec la nature, je laisse le gazon tel quel  avec les soi-disant mauvaises herbes pousser dans mon jardin. Sans traitement ni pesticide, cela me convient parfaitement. Je les taille juste, l’ensemble terminé reste beau et propre, sans être le fameux gazon so British. Satisfait de mon travail, je relance la tondeuse pour finir l’autre moitié du jardin.C’est alors qu’elle sort. Comme il fait beau dehors malgré qu’on soit en octobre, je l’aperçois.Elle s’est changée en mini short avec un haut de maillot de bain rouge. Elle s’assoit sur un transat avec un livre à la main. Elle oriente le transat dans ma direction et elle commence à lire.Je reste concentré dans mon travail et je continue à tondre. Il faut vraiment que je finisse.Je tonds dans la longueur du jardin ligne par ligne. Quand je me retourne vers sa direction, je croise son regard. Elle me sourit et me dévisage de haut en bas. Puis, elle me fait un petit signe le pouce levé en hauteur, m’indiquant que le travail que j’accomplis est très bien.Je la regarde et à nouveau mon bas ventre se noue.L’érection provoquée ne peut que se voir à travers mon short. Faisant mine de rien, je ne fais pas de geste déplacé pour la masquer.Je continue ma besogne.
Parfois, je tourne ma tête dans sa direction et je la vois lire, les yeux plongés dans son histoire.Mais, dès que je reviens vers elle, elle s’arrête à chaque fois pour me fixer en souriant.
Je ressens comme un invitation à me presser de finir.
— Arrête d’extrapoler, elle est juste contente d’être ici. Oublie tes idées nauséabondes. Me dis-je.
Au moment où je termine, je lui demande.
— Elsa, peux-tu m’apporter la spatule ainsi que la pelle et la balayette pour que je puisse nettoyer la tondeuse. Ça me fera gagner un peu de temps. Merci beaucoup.
— D’accord elles sont où ?
— Dans la petite salle d’eau du garage. Regarde sur l’étagère au-dessus du lavabo.
En attendant, j’enroule les câbles. C’est là qu’elle sort avec les ustensiles. Elle marche rapidement mais assez maladroitement dans ma direction. D’un coup, elle trébuche sur une racine juste à proximité de moi.
— Oh, Elsa, attention !
Dans la panique elle lâche les objets et se retrouve collée complètement à moi. J’ai juste le temps de l’attraper et de la retenir afin qu’elle évite de tomber.
Son corps se retrouve contre moi, très serré. Mes bras autour d’elle, je sens ses seins contre mon torse, son bas-ventre contre le mien. Je la tiens ainsi de longues secondes. Mes bras sont autour du milieu de son dos. Elle ne bouge pas et relève sa tête en me regardant dans les yeux sans rien dire.
— Elsa, ça va ? Tu n’as rien ? Ta cheville ?
— Tout va bien. Merci de m’avoir rattrapée. Je me serais pété la cheville je pense.
Mais elle ne fait rien pour sortir de mon étreinte. Ne pouvant plus tenir je lui dis.
— Tu sais que tu es vraiment belle. Le genre de femme dont tout homme rêve.
Je lui caresse ses joues et ses cheveux et je serre sa tête tendrement contre moi. Mon cœur bat la chamade.
Les dés sont jetés...
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