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Tendre Elsa

Chapitre 6

Jeux sensuels

Inceste
Résumé des chapitres précédents :
Je fantasme sur ma nièce Elsa depuis cette année. Le sort a fait qu’elle soit venue à la maison pour la première fois. Poussant la perversité à son maximum, j’ai volontairement pris des congés pour m’assurer d’avoir du temps à passer avec elle. Le petit démon m’a soufflé dans les oreilles, faisant fissurer tous les principes que j’avais jusqu’alors.
Les barrières de l’interdit ont fini par rompre, nous laissant tous les deux réaliser l’impossible.
Etant troublé encore, croyant vivre un rêve, je ne sais plus sur quel pied danser. Ma tendre nièce semble aussi un peu perturbée. Mais le désir de recommencer et d’aller encore plus loin avec elle commence à émerger.
Après avoir fini de préparer le repas, toute la famille s’est réunie autour de la table. Maelys, comme les enfants ont été ravis de voir Elsa.
On a mangé tranquillement et parlé de tout et rien.
Ensuite, Elsa, Maelys et moi, on a débarrassé la table avec l’aide des enfants, tout en discutant.
Comme souvent, je prends Maelys dans les bras et je lui fais un bisou dans le cou. Je la serre dans mes bras. Mais, elle me repousse au bout d’un court instant pour se libérer de mon étreinte. Ma femme n’est malheureusement pas tendre.Cela me désespère parfois.
Elsa regarde son téléphone et je jette un léger coup d’œil à ses doigts. Ceux-ci pianotent avec dextérité sur son téléphone.
Concentrée à écrire, elle n’a pas dû voir le câlin que j’ai fait à ma femme.
Je ressens une gêne, repensant à nos ébats. Oui, c’était bien réel.
— Mais qu’est-ce que c’était bon cette première fois, me dis-je.
Je repense au bout de ses ongles griffants légèrement mon dos. Ses caresses sur mon corps. A ses gémissements et à ses regards. Mon sexe tendu qui faisait des va-et-vient très lents en elle. La sève qui montait dans ma verge, que j’essayais hardemment de retenir comme si c’était ma toute première fois. Chanson de Jeanne Mass que je me mets à fredonner dans la tête.
Toutes ces pièces imbriquées qui ont fini par entraîner le bouquet final. Une douce jouissance mais terriblement volcanique.
Je finis par reprendre mes esprits.
Les enfants viennent de finir leurs devoirs. Vers 21 heures, ils vont au lit.
Dès lors, Maelys s’installe devant la TV et je la rejoins. Elsa nous dit qu’elle va aller prendre sa douche et se reposer dans sa chambre.
— Tu ne restes pas avec nous ce soir ?
— Je préfère me détendre un peu ce soir, je dois appeler Kévin aussi. Mais promis demain soir, on se regarde un film ensemble.
— Ah Kévin, je l’avais oublié celui-là, me dis-je.
Mais, elle me fait un beau sourire, en me regardant dans les yeux sans insister toutefois. Puis elle s’en va.
Le film se déroule. Ma femme finit par s’endormir. Quelquefois, je la caresse tendrement sans la réveiller. Finalement, vers 22h30, elle va se coucher.
Neanmoins, je me couche rarement en même temps qu’elle. Je reste seul sur le canapé surfant un peu sur mon téléphone, tout en jetant un œil sur l’émission à la TV.
Il s’agit d’un documentaire sur les animaux. J’aime bien.
Je regarde l’heure. Il est déjà 23h00. Tout le monde doit dormir. Sauf moi et notre chien. Ce dernier attend toujours que je me couche avant d’aller dans son panier, situé dans notre chambre.
Fatigué, je coupe la TV. Je me dirige vers la salle de bain. En passant, j’aperçois de la lumière dans la chambre d’Elsa. Je n’ose pas frapper pour lui dire bonne nuit.
— Laisse la tranquille, me dis-je.
Je me brosse les dents tranquillement. Puis, je file rapidement me coucher. Le chien réclame son petit câlin et se love dans son panier. Je me déshabille entièrement et je m’allonge dans le lit, non sans oublier le petit bisous à ma femme qui dort déjà à poings fermés.
Je m’endors assez rapidement, épuisé moralement par les événements de cette journée. Mais comblé dans une autre perspective.
Le lendemain, je me réveille doucement. Je fais craquer mes doigts et mon corps ronronne dans le lit, comme un chat.
Ma femme est déjà levée. Je l’entends discuter avec Elsa et les enfants. Elle se prépare pour aller travailler.
Je flemmarde un peu au lit mais sans trop traîner. Je m’étire tout en douceur. Les muscles chauds se détendent laissant place à une sensation de bien-être total.
Je sors du lit de bonne humeur sachant que je ne travaille pas.
Je me dirige immédiatement dans la salle de bain. Je me rase, je me parfume, comme d’habitude. Je prends un peu de dentrifice avec lequel je me rince la bouche. Évitant ainsi une éventuelle haleine désagréable, quand je saluerai mes proches. La fameuse haleine de phoque du matin n’est pas pour moi.
Je m’habille avec un jean noir et un t-shirt gris et je prends la direction de la cuisine.
C’est un peu la ruée, tout le monde est sur le pont du départ. En arrivant, je constate qu’Elsa déjeune. Son bol dans les mains, elle me dit :
— Salut tonton, bien dormi ?
— Oui, j’ai bien dormi, très bien même. Tiens, tu m’appelles tonton maintenant ?
Cela me fait sourire.
— Oui, répond-elle avec un petit sourire taquin.
Je lui souris et je l’embrasse sur chacune de ses joues. Son parfum m’enivre. Elle a dû prendre sa douche. Sa coiffure est impeccable également. Elle porte juste un t-shirt long arrivant à mi-cuisse et pas de soutien-gorge. Je le remarque immédiatement. Malgré le t-shirt assez large, on devine parfaitement la forme de ses seins.
— Quel cochon ! La journée promet, me dis-je.
J’embrasse ma petite femme et les enfants. N’oubliant pas le chien qui vient se lover contre mes jambes pour avoir son câlin du matin.
Puis tout le monde s’attelle à ses occupations du moment.
Ma femme et les enfants s’en vont. Je reste assis en face d’Elsa à prendre mon petit déjeuner avec elle.
Je bois mon café lentement. On se regarde sans parler. Je la vois rougir un peu et baisser le regard. Je mange une pomme et une tartine beurrée.
Je regarde l’heure. Il est 9h.
Quand je suis sûr que personne ne va revenir, pour un oubli ou un autre motif, je lui dis :
— Elsa, tu commences quand ton séminaire ?
— Cet après-midi à 14h. Tu sais que tu es trop beau quand tu me regardes comme ça ?
Elle pose ses coudes sur la table en maintenant sa tête dans ses mains. Elle la penche légèrement.
Sans me laisser le temps de répondre, elle ajoute :
— Tu me fais craquer, totalement. J’attendais que tu passes hier soir. Je voulais te montrer quelque chose.
J’approche une main de son visage. Je me mets à caresser ses cheveux ainsi que la petite mèche qui pend nonchalemment sur le côté.
Je caresse ses joues, son menton, pour remonter sur ses lèvres qu’elle entrouve.Avec un doigt, je fais le tour de sa bouche, lentement, sensuellement. Elle aspire et suce ma phallange. La sensation si agréable que l’on ressent au ventre prend naissance. Même si je la connais déjà par cœur, avec Elsa, elle semble nouvelle. Mon estomac se noue, ma respiration s’accélère. Mon cœur se met à battre plus vite. Avec le désir que mon sexe trahit, je lui dis :
— Tu es trop belle pour un mec comme moi. Tu me fais tourner la tête, ma petite princesse. Je pense à de vilaines choses, mais loin de moi l’idée de te faire du mal un jour.
Pas perturbée, elle prend mon doigt complet en bouche. Elle le sort, l’entre, le suce et tourne la langue autour. Elle me regarde d’une façon langoureuse en faisant cela.
Je craque et je lui dis :
— Tu m’excites. Tu le sais.
Comme pour me défier, elle répète ces gestes plusieurs fois. Je suis comme tétanisé par cette excitation si intense qui a désormais envahi tout mon corps.
Entrant dans le jeu, je frotte un pied contre ses jambes. Remontant lentement sur ses mollets et ses cuisses. Elle ouvre un peu ses jambes et me dit :
— Toi aussi.
Sentant mon désir ardent de plus en plus incontrôlable, afin de faire baisser un peu la tension, pour savourer ce moment, je lui dis :
— Tu voulais me montrer quoi ?
— Laisse-moi deux minutes et viens me rejoindre dans la chambre quand je te dirai.
— D’accord.
Je la vois se lever et aller dans sa chambre. Je me rince les yeux sur sa sublime silhouette. Ses jambes, ses fesses, sa taille marquée, j’aime tellement ses rondeurs et ses formes.
Je débarrasse rapidement la table et je la nettoie. A peine fini, elle m’appelle.
Immédiatement, je me lève et j’entre dans la chambre.
Elle se tient debout au milieu de la pièce en petite tenue sexy. Elle demeure souriante, naturelle, dansant sur ses jambes trahissant son état d’excitation de se montrer à moi ainsi.
Elle est juste resplendissante. Jamais une femme ne s’est présentée de cette façon devant moi.
Maelys refuse carrément de mettre quelque dessous sexy. Je lui en ai déjà acheté. Ils ont fini dans le tiroir de la commode pour être jetés au final.
Elle a fait une queue de cheval qui dévoile un cou parfait, autour duquel se trouve un collier noir en feutrine. Celui-ci a un pendentif en forme de cœur en or situé en son centre.
De plus, elle a pour seuls vêtements un soutien-gorge rouge balconnet qui redresse impudemment ses seins. Il est transparent en dentelle dévoilant intégralement les aréoles gonflées et larges de ses seins. Les tétons pointent déjà et sont une véritable invitation à se faire sucer.
Elle porte une culotte assortie transparente au niveau du pubis et qui semble ouverte en son centre. Le tout accompagné d’un porte- jarretelles fixant deux bas rouge gainant à ravir ses jambes.
Je reste là, à la comtempler, ne sachant quoi faire à part me délecter du spectacle. Elle est si jeune et déjà si sexy. L’effet produit est immédiat. Quoique mon excitation était déjà bien aiguisée, à cet instant, elle me rend fou de désir.
En m’approchant d’elle, je la serre contre moi. Je pose mes mains sur ses fesses et je commence à l’embrasser dans le cou et à lui faire des succions.
Je m’entends dire :
— Tu es affolante.
Gemissant sous mes baisers, juste après m’avoir roulé une pelle d’une grande intensité, elle me dit :
— C’est tout ce que tu as à me dire ? Lâche-toi, dis que je suis bonne, que je suis ta petite salope.
Je suis surpris de la voir si entreprenante non pour me déplaire. J’avoue aimer dire des mots crus dans le contexte purement sexuel. Sans ôter le respect que j’ai pour la personne.
— Oh putain, oui, tu es trop bonne ma petite salope ! Tu sais que je veux te prendre comme jamais !
— Hummm j’aime quand tu es cochon. Tu es vraiment un gros pervers mon tonton à moi seule  !
En même temps, elle met ses mains sur mes fesses pour m’inciter à me coller davantage contre elle. Elle frotte son pubis contre mon sexe tout en m’embrassant dans le cou. Puis, elle sort sa langue et la glisse avec sa pointe sous mon menton. La sensation est exquise. Mes sens sont au taquet.
— Hummmm. Elsa, je veux te baiser. C’est ça que tu veux ! Que je te baise ! Tu es vraiment la plus bonne de toutes les petites salopes d’allumeuses !
— Hummmmm ouiiii. Je veux être ta petite catin de videuse !
Excité comme jamais, je la pousse sur le lit et je lui écarte les jambes. Je me déshabille, ne pouvant plus tenir face à cette invitation bestiale.
Je caresse ses cuisses et j’enfouis très vite ma tête au creux de son intimité. J’entreprends un doux et sauvage cunnilingus qui la fait gémir. Aucune zone n’est épargnée. Elle ondule son ventre au rythme de mes caresses.
— Oh, mais tu aimes ça ! Je t’adore ma petite puce ! J’aime te faire du bien. Tu sens mon désir. Mon âme se consume de toi.
Je lêche sa mouille, je tourne ma langue et j’aspire. Je n’oublie pas de jouer avec son clitoris qui devient vite rouge.
Elle se tortille et gémit. Elle plaque ma tête contre sa jolie chatte avec ses deux mains.
— Oh putain, hannnnn, tu vas me faire venir. C’est trop bon ! On ne m’a jamais fait ça ! Oh mon cochon ! Tu me rends folle !
Ses mots m’incitent à ralentir pour la faire languir encore. Je la laisse respirer un peu pour reprendre de plus belle quelques secondes plus tard.Ma grande langue est entière en elle, complètement tendue. Cela en devient même douloureux pour moi, mais son plaisir passe avant tout, qu’importe.
Et je ne suis pas en reste. Car une main la caresse et l’autre s’active à s’occuper de son clitoris. Je la sens frétiller sous mes assauts.
Je veux la faire jouir encore et encore. C’est tellement bon. Elle me griffe la tête. Elle serre ses mollets contre mon dos. Parfois, elle s’agrippe aux draps pour revenir ensuite me plaquer la tête. Elle se lâche complètement et je lèche sa jouissance satisfait. Elle est délicieuse.
— Oh ouiiiii. Tu me fais quoiiiii. J’hallucine. Putain, ta bouche... Tu m’as fais jouir.
— Tu es tellement magnifique. Je te devais bien ça ma petite chérie.
Puis, je m’allonge à côté d’elle. Je caresse son corps en douceur pour la laisser reprendre ses esprits.Je me perds dans le bleu de ses yeux et je l’embrasse.
— Je te veux en moi.

C’est alors qu’elle se met au-dessus de moi et décide de prendre en main la suite du programme.
Je suis sur nuage, me pinçant car je crois rêver de voir ce petit bout de femme me désirer autant...
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