Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 51 J'aime
  • 10 Commentaires

Tendre Elsa

Chapitre 8

Inceste
Les enfants couchés, je me retrouve sur le canapé avec mon épouse d’un côté et ma nièce de l’autre. Sur le moment, je me sens comme un roi entouré par deux superbes femmes.

Soirée avec Elsa

Nous regardons une comédie musicale romantique, "Mama Mia". L’héroïne se questionne en permanence sur lequel de trois messieurs, qu’elle a d’ailleurs au préalable invités sans l’accord de sa mère, s’avère être son père.

En effet, elle doit se marier à la fin du film. Par conséquent, elle imagine quel bras paternel la soutiendra jusqu’à l’autel. Le moment doit rester inoubliable.Concentré sur autre chose, je masse en douceur les pieds de Maëlys. Je m’applique en fonction du rythme des musiques du film, pour appuyer ou relâcher la pression. Maelys ronronne. Elsa pose subitement sa tête sur mon épaule. Immédiatement, ma joue vient se poser sur le haut de sa tête. Son odeur me parvient rapidement et elle commence à envoûter. Les effluves de son parfum enivrent.Ma femme la regarde d’un air surpris, limite jalouse, ma nièce demeure plutôt distante avec moi en général. Personnellement, j’apprécie cette tendresse spontanée et affichée sans scrupule. D’une main, je continue à masser mon épouse et avec l’autre je me mets à caresser les cheveux de ma nièce.
— C’est mignon ça. Entouré de jolies princesses, je suis gâté ce soir.
— Profite de ce moment, ajoute Elsa.
— Chuuut, regardez le film ! grogne Maëlys.
Au bout d’une heure, ma femme commence à s’endormir. Elle aime la position en chien de fusil, allongée de côté, la tête posée sur le gros coussin moelleux de l’accoudoir du canapé. Ses pieds sont placés sur mes jambes. Elle est mignonnette quand elle dort.Au même instant, ELsa pose un bras sur mon torse et commence à me chatouiller tendrement.
Je lui fais signe de s’arrêter et d’attendre. Maëlys se réveille et décide d’aller au lit.
— Bonne nuit, je file.
— Bisous ma puce.
— Bisous Maëlys, dors bien.
Je la regarde s’éloigner, non sans oublier de jeter un coup d’oeil furtif à son joli derrière, qu’elle dandine sans s’en rendre compte.A peine est-elle sortie de notre champ de vision, qu’Elsa glisse sa main sous mon t-shirt, pour recommencer à me caresser.Sa main se fraie un passage partout où elle le souhaite. Je ne peux résister à cette douceur et cette insistance. Ma peau s’hérisse sous la tendresse de ses gestes. Ses mains sont si chaudes. Je me laisse forcément aller. Subitement, elle vient s’assoir sur moi.
Je glisse une main sous son t-shirt et j’entreprends de caresser son dos, en appuyant délicatement sur le bout des doigts. Sa peau est si douce, si délicate. Je parcoure le long de sa colonne vertébrale sans appuyer sur les os. Mes points d’appuis à deux doigts cheminent l’ensemble de son dos, de la nuque au haut des fesses. Elsa se cambre de plaisir. Très vite, Elle se positionne contre mon bas ventre. Je me décale pour lui permettre d’entourer mes fesses avec ses mollets. Ses cuisses enserrent mon corps. La position totalement grisante, favorise l’accès à toutes les parties de nos corps. Placée ainsi contre moi, elle demeure très désirable et sensuelle.
— J’adore ce que tu me fais ma petite chérie.
— Toi aussi.
Je m’aperçois qu’elle n’a pas mis de soutien gorge, laissant son dos totalement à l’accès pour mes mains, indéniablement baladeuses sur le coup. Nos langues commencent alors un balai de sensualité, qui exacerbe rapidement nos sens. Nous haletons mutuellement, ne cachant aucunement nos plaisirs partagés.Je soulève son t-shirt sans le retirer totalement. Très vite, j’attrape ses seins. Je commence à les pétrir et à les malaxer. Je les sens vite durcir, les tétons pointent. J’aime ça. Je les suce, les lèche, les mordille et les aspire doucement, puis avec fougue et audace. Je me délecte de ces moments comme s’ils étaient les derniers à chaque fois. Je n’oublie pas de remonter jusqu’au sillon de ses lèvres qui accroîent mon appétence. J’y glisse ma langue avide de sa salive, de son goût.Son corps me transmet le plaisir qu’il ressent. Le désir monte. Elle tient ma tête dans ses mains et m’embrasse encore plus passionnément. Je sens des papillons dans le ventre. Le désir est là. Incontrôlable, limite bestial. Toute retenue devient impossible.
Je porte un shorty noir en coton. Il demeure impossible de me retenir. Dès lors, je l’écarte pour faire sortir mon sexe.
— Coquin !!!
Elsa m’imite instantanément. Elle me guide dans la foulée en elle. Inconsciemment, nous préférons rester habillés au cas où. Nous évitons tout simplement d’être surpris en très mauvaise posture. Mais l’excitation confirme que ceci ne bride en rien le plaisir mutuel.La sensation de pénétration devient très vite délirante. Je me retiens de gémir ou de carrément hurler mon plaisir. Elsa n’attend pas. Elle ne joue plus. Elle me prend entier en elle très vivement. J’exulte. Elle bouge son bassin d’avant en arrière et enserre mon sexe d’une façon incroyable. Son fourreau me rend dingue. Je divague. Je me tortille. On s’embrasse aux rythme des mouvements des nos sexes qui fusionnent.
— Que tu es bonne ! Je te veux encore et encore.
— Je sais que je suis la meilleure hihi.
— tu l’es ma petite chérie. Oh que oui !
En disant cela, je lui mets quelques coups de reins appuyés, sans me comporter brusquement. Il s’agit d’une pénétration mesurée, lente et suffisamment active, pour qu’elle génère des sensations très intenses.Je m’enfonce à mon maximum. Son antre brûlant me serre. Certaines de ses contractions taquinent ma verge. Sa jouissance commence à couler sur mes testicules. Le plaisir que je lui donne accentue le mien. Je durcis encore. Elle gémit et me murmure dans l’oreille qu’elle est sur le point de jouir. Que ma queue l’excite. Qu’elle aime trop çà. Qu’elle me veut aussi. Qu’elle veut me sentir jouir au fond d’elle. Ses beaux yeux me dévorent. Ils se ferment parfois. Son doux visage se crispe. Il traduit totalement le plaisir que son être ressent.
— Tu sais vraiment comment m’exciter ! putain ! dit-elle.
— C’est toi et tes regards qui me donnent envie.
— Vas-y, continue. Je t’adore trop.
— Moi aussi, à un point ! Si tu savais !
Le plaisir ultime finit par monter. Je ne me controle plus. Tout ceci dure quelques secondes si magiques, si fortes. Je l’embrasse partout où je peux. Mes mains se promènent partout. Je la serre tendrement, l’approche contre moi.
— Elsa, je t’aime !! Je t’aime mon amour. C’est tellement bon ce que tu me fais.
— Je t’aime si fort aussi. Si seulement Kevin était comme toi, gentil, tendre et attentionné.
— Kevin peut changer. Et si ce n’est pas lui, ça sera un autre. Tu es tellement adorable comme nana. Quoi qu’il en soit je serai toujours là pour toi ma petite chérie.
Durant quelques instants, on se tient encore très serrés l’un contre l’autre. Et juste avant de se séparer, nous n’oublions pas de nettoyer et d’effacer toute trace sur le canapé qui pourrait être compromettante. Cela nous fait sourire.
— Merciii. Je serai là pour toi aussi mon tonton d’amour. Si Kevin et Maelys savaient ce qu’on fait. Quels coquins nous sommes quand j’y pense.
— C’est vrai. J’espère que tu ne regrettes rien ?
— Non. Je ne regrette pas. Je pense que ces moments resteront gravés en moi.
— Ma petite princesse, je veux juste que tu te sentes heureuse et rayonnante dans ta jolie vie qui s’annonce.
— Ouiii. Au fait, j’ai une bonne nouvelle.
— Ah.
— Demain je suis avec toi toute la journée ! C’est trop bien. Les colloques sont annulés !
— Vraiment ! Trop génial. Je vais te préparer une surprise pour demain alors ! Aller, on file au lit !
J’embrasse ses joues, son cou, la commissure de ses lèvres. Je mordille ses oreilles.
— C’est quoi ?
— Ce n’est plus une surprise si je te le dis. A demain ma petite puce.
— D’accord, bisous. hihi j’aime les surprises !
Elle sort de la pièce et va directement dans la salle de bain. Je monte finir ma toilette, puis je pars rapidement me coucher. Maëlys dort déjà à poings fermés. Je m’endors rapidement, encore sous le coup de cette étreinte jouissive, totalement vidé mais comblé au plus profond de mon être.

Sortie imprévue

Le lendemain, le reste de la famille étant déjà parti, Elsa et moi prenons tranquillement le petit déjeuner sur la terrasse. Avec pour seul bruit, le chant des oiseaux. Je prépare un jus d’orange frais, avec une corbeille de fruits et du pain beurre. Nous nous régalons.Au préalable, j’ai préparé des sandwichs pour l’emmener faire une pique-nique au bord de l’eau, le tout sur une plage en général vide de monde. Rien de mieux comme endroit romantique.
— Alors cette surprise, me dit-elle.
— Tu es trop pressée ma puce. Attends encore un peu, tu le sauras bien assez vite. Habille toi léger et accessible hihi.
— Rhoo, je te vois venir vilain.
Nous finissons quelques minutes plus tard. Elsa part se changer. Pour ma part, je suis habillé avec un short marron clair uni et un t-shirt noir. Je porte des chaussures en cuir ouvertes. Elle arrive avec une petite robe rouge très moulante qui se termine à la limite décente des fesses. On devine immédiatement le petit bikini en dessous. L’ensemble est juste déconcertant !
— Elsa, tu es plus belle que belle !!!
— Merciiiiii.
— Aller, je sors la voiture et je t’emmène vers ta surprise.
La plage se trouve à une quinzaine de kilomètres. Il suffit d’une vingtaine de minutes en véhicule pour y accéder.Il s’agit d’une crique privée en contrebas d’une falaise. Sur cette dernière se trouve une forêt de pins assez dense. La crique n’est pas visible. Un petit chemin et un escalier très discrets permettent d’y aller.
Quand nous arrivons sur les lieux, je me réjouis des traits du visage d’Elsa. Elle semble rayonnante, presque hypnotisée par les lieux. J’installe rapidement une grande couverture et je place le sac au frais à l’ombre. Nous sommes complètement seuls.
— J’ai trop envie de me baigner tonton ! Viens avec moi.
J’ai à peine le temps de retirer mon short qu’elle me tire sur le bras pour m’entraîner dans l’eau. Elle passe avant moi et remue ses fesses pour m’inciter à céder à la tentation. Son bikini est très sexy sans être obscène.
— Tu es impayable petite beauté !
On se mouille tranquillement la nuque et le ventre. Puis, nous nous aspergeons mutuellement. Elle plonge et ressort rapidement en secouant ses cheveux dans tous les sens. Je m’imagine alors sur le devant d’une scène de cinéma, où une bombe sort de l’eau. Et je suis parmi les spectateurs mâles, tirant la langue limite par terre, tel le loup de Tex Avery. Perdu dans mes pensées à l’observer, je ne la vois pas arriver. Elle me pousse dans l’eau puis saute sur moi en m’enlaçant.
— Merciiii pour cette surprise j’adooore trooop !
— Ravi que cela vous plaise jeune femme.
Nous nageons un peu. D’un seul coup, elle rejoint la couverture et retire son ensemble. Elle le fait sans pudeur tout en me fixant dans le yeux. Elle s’allonge ensuite sur le ventre et écarte les jambes. Elle relève le bassin, m’exposant son intimité pour me défier.Emoustillé par cette vue indécente, je sors de l’eau, je retire mon maillot de bain et je viens directement me placer à côté.
— Je te veux encore et encore Elsa.
— C’est le but recherché. Je n’ai pas besoin d’insister. Tu démarres au quart de tour hihi.
Je m’allonge sur elle. Je prends ses deux seins dans les mains et je commence à frotter mon gland sur ses fesses, son anus, l’entrée de sa vulve et son clitoris. Elle se cambre davantage pour m’inciter à devenir plus entreprenant. Ce qui me surprend et m’affole, c’est qu’à chaque passage de mon gland vers son petit trou, elle pousse pour me provoquer à la pénétrer.
— Oh... Elsa, tu veux que je te sodomise ou quoi ?
— Trop envie de toi. Initie moi.
— Tu sais que Maëlys m’a toujours refusé ce plaisir ma chérie. Ce cadeau que tu m’offres me rend dingue.
A ce moment là, elle aspire mon gland en écartant ses fesses avec ses deux mains. Je ne peux plus résister. Je m’enfonce très lentement et avec une main, je masse ses lèvres intimes et son clitoris déjà bien gonflé d’excitation.La sensation se montre plus qu’agréable, limite divine.
— Oh putain Max ! Continue doucement !
— C’est trop bon ma beauté. Tu m’excites comme jamais.
Mon sexe continue sa progression jusqu’à la totalité de sa longueur. A cet instant, je me refuse de bouger pour me délecter de ce plaisir très intense. Je l’entends gémir de plaisir et sans doute de douleur. Je lui laisse le temps de s’habituer. Elle commence à onduler légèrement son bassin. Ensuite, elle relève ses fesses et les cambre d’une façon des plus provocante. Dès lors, je sais qu’elle m’invite à la prendre réellement. Je commence des lents vas et viens.
— C’est trop bon. Pas plus vite. Je ne pensais pas que ca serait autant excitant.
— Je ne vais pas tenir longtemps.
Nos corps s’enlacent et nos baisers deviennent plus intenses et profonds. Je la sens trembler, son regard devient vitreux, le mien aussi sans aucun doute. Je ne contrôle plus mon corps tendu à l’extrême. J’ai l’impression de découvrir de nouveaux ébats à chaque fois. Cette petite puce n’imagine pas l’effet qu’elle produit sur moi. Je n’en peux plus. Ne voulant pas la souiller, je me retire, puis j’éjacule quasiment dans la foulée sur ses fesses et son dos.
— Oh Max. C’était trop bon !
— C’est toi qui est trop bonne ma beauté.
Je prends des mouchoirs et j’essuie délicatement son corps. Je les range ensuite dans un petit sac poubelle que je prends toujours quand je vais pique-niquer. Dame nature nous accueille dans sa grande bonté, ne pas la polluer demeure un devoir voire une obligation.
Nous nous reposons quelques temps avant de prendre un déjeuner comme deux amoureux accompagné de rires, taquineries et doux câlins.
Quand nous repartons, je lui mets un joli morceau de musique que nous chantons tous les deux en coeur. Je reste bien sûr concentré sur la route.Malheureusement, un camion arrivant en face se déporte de sa voie et vient percuter notre véhicule. Je ne peux l’éviter. A cet instant, la vie défile devant soi. Mon regard se situe entre l’effroi et l’étonnement. Puis l’impact arrive, très violent. Un grand craquement, suivi par les tôles qui se broient...
Lorsque je me réveille, je me trouve dans un hôpital. L’accident ne nous a laissé aucune chance.Je me vois flotter au-dessus d’un corps avec plusieurs personnes autour qui s’affairent à essayer de faire repartir mon palpitant. Le bip est linéaire et constant. Mauvais signe.J’ai juste le temps d’apercevoir Elsa, pas trop loin. En pleurs. Elle ne semble souffrir d’aucune lésion majeure. C’est juste l’essentiel ! Je pense aussi à ma famille et aux êtres qui me sont chers. Je me retrouve vite aspiré vers le mystique. Vers l’inconnu qui nous attend tous un jour, nous, les simples mortels.Une dernière lumière, puis un voile noir apparaît. Le cerveau disjoncte. Je suis parti. Définitivement mais heureux finalement.

FIN

Je vous remercie d’avoir lu.
Diffuse en direct !
Regarder son live