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Tendre Héléna.

Chapitre 1

Prélude

Divers
Je suis Bruno, 1m70, les yeux verts émeraude, pas très musclé, bref quelconque.Au niveau sexe, dans la moyenne.Je suis actuellement en boîte de nuit, mais pas à la recherche d’une aventure, vu ma réputation de mauvais coup. Elle me vient de ma seule et unique conquête. Ce fameux soir, elle était décidée et avait une furieuse envie. Je lui avais caché que c’était ma première fois...
Une fois dans mon petit studio, elle était bouillante ! Juste le temps de lui retrousser sa robe, retirer son soutien-gorge, j’ai découvert ses seins très tendus que j’ai pris en bouche et mordillés afin de la faire gémir. De son côté, elle s’escrimait à me retirer ma ceinture pour atteindre mon sucre d’orge. Une fois sortie, elle s’est jetée dessus et l’a pompé comme une affamée. Ce qui devait arriver arriva, je lui ai tout déchargé dans la bouche... Elle n’a pas franchement aimé et a tout recraché dans un mouchoir.Je l’ai emmenée sur mon lit, j’ai retiré sa culotte qui était complètement trempée. Nous nous sommes embrassés, puis mes lèvres sont descendues sur son cou, j’ai tété ses tétons qui se sont redressés encore plus. La suite fut plus humide et surtout poilue...
Je suis descendu sur son antre qui comportait une petite myrtille en haut et la source en bas. Aspirant la source, je suis remonté sur la myrtille, elle gémissait sans arrêt. Ça commençait à me monter au cerveau et quand elle m’a supplié : Prends moi ! Démonte-moi ! J’ai commis l’erreur de ne pas faire descendre ma pression... J’étais au rupteur quand j’ai pénétré ce conduit brûlant, doux et serré, rempli de lubrifiant. Le résultat : trois aller/retour et le coup est parti dans la protection que j’avais pris le soin de mettre avant. De son côté, la frustration était à son comble. Elle m’a agoni d’injures en se rhabillant avant de partir en parler à ses copines. Détail marrant, elle avait oublié sa culotte, mais elle n’est jamais revenue la chercher. Je la conserve pieusement comme celle qui contenait le premier fruit défendu...
Donc, ce soir, je suis en boîte, les filles me considèrent comme un pestiféré donc, comme d’habitude, je fais tapisserie. Cela dit, elles ne m’intéressent pas, elles ne valent rien. Juste bonnes à se faire tirer sur un capot de voiture par une bande de furieux. Alors, je les regarde s’agiter le bocal en se faisant tripoter, certaines ont même perdu leur string sur la piste et ça commence à devenir marrant.Soudain, je remarque une femme sublime qui me fixe avec ses yeux lumineux. Elle éconduit les lourdingues, toujours les mêmes, les gros abrutis bien avinés qui se prennent pour des tombeurs. Pour ma part, je ne bois jamais d’alcool, je préfère être frais et prêt à tout. C’est une forme d’hygiène. Tout à coup, je ne la vois plus. J’en suis très déçu, mais je la redécouvre qui traverse la piste en broyant les mains de ceux qui tentent de la toucher. Elle se dirige vers moi et s’assoit tout contre moi, sa cuisse me touchant.
— Bonsoir, je suis Héléna.— Enchanté Héléna, moi c’est Bruno.

Je vois se ramener la frustrée qui commence à m’apostropher comme si j’étais son mec... Un seul regard noir d’Héléna la fait fuir en vitesse.
— C’est ta petite amie ?— Non, c’est une erreur.
Je note, au passage, le petit accent allemand de ma séductrice...
Elle a un beau visage orné de deux jolies fossettes et de hautes pommettes. Un joli sourire, une magnifique chevelure ébène, lui descendant au bas du dos. Mais ce qui m’hypnotise, ce sont ses yeux, gris et verts, deux intenses éclats de fluorine qui me donnent le vertige. J’ai l’impression qu’elle sonde mon âme et la pénètre couche après couche. Je la laisse faire et ne tente pas de résister. Quand elle a fini, elle m’offre un sourire resplendissant qui éclaire son visage.
Je la détaille et découvre qu’elle a mis une main sur ma cuisse sans que je ne sente rien. Ses doigts se prolongent de longs ongles à la mode, mais ils ne semblent pas factices. Elle est habillée tout en cuir noir, son pantalon est de style gothique, très ajouré qui laisse entrevoir un collant fait de résilles blanches. Paradoxalement, le tout lui colle à la peau tout en atténuant ses formes.
Nous discutons de banalités pendant environ une heure. Les lourdingues rodent autour de nous comme des requins en nous fixant de leurs regards noirs.D’un coup, les yeux d’Héléna deviennent étincelants, elle cherche quelqu’un dans la foule et se fixe. Je suis son regard et distingue une armoire à glace. Serait-ce son petit ami, son ex ?Elle se lève et me tend la main.
— Viens, on s’en va !
Je la suis docilement...Nous passons au vestiaire où elle récupère un gros sac avant de se rendre aux sanitaires. A son retour, elle porte une tenue de combat et me tend un poing américain noir mat.Je sens qu’il va y avoir du sport à la sortie...Effectivement, les lourdingues sont là... ils sont donc cinq contre deux, dont une frêle jeune femme...Les caméras ont explosé et tout est éteint.J’active mon cerveau reptilien, celui de la survie et je passe à l’attaque le premier. Le chef tombe KO, le suivant idem. Le troisième me prend en traître, me sonne et me passe à tabac. Héléna arrive à mon secours et le projette contre un mur. Ceux qui le peuvent tentent de s’enfuir, mais elle les intercepte et leur fait apprécier la douceur des murs en béton. Elle me rejoint quand soudain, j’entends un grondement sourd... je tourne la tête et tombe nez à nez avec un monstre hirsute. Héléna savait sans doute qu’il était là. Elle l’interpelle :
— C’est moi que tu cherches, boule de poil ?
Elle se met à rire, ce qui rend la bête encore plus furieuse. Mais la belle a déjà disparu de son champ de vision pour réapparaître sur son dos, une lame posée sur sa gorge. Elle lui chuchote à l’oreille et il part, la tête basse...
— Viens mon chéri, on ne doit pas rester là. Ses copains sont en route et vont tenter de nous intercepter.
Nous rejoignons son petit roadster Z4.Elle m’embrasse tendrement puis me donne un cachet contre la douleur. Elle prend le volant, démarre en trombe et roule à tombeau ouvert, tous feux éteints, en faisant des embardées pour éviter des obstacles couverts de poils. Je finis par plonger dans les bras de Morphée.
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