ACT V , partie a trois Toujours nu et affabulé de mon cadenas sur mon micro-pénis, lequel est gluant de foutre ainsi que mes couilles, je suis allongé au sol le long du canapé, ma nièce regardant la télévision avec ses pieds nue qui se réchauffe sur mon ventre, massant parfois mon bas ventre mais sans atteindre mes bourses puisque tendue et attachées entre mes fesses. On sonne à la porte, ma jeune maîtresse porte son regard sur sa montre et sourie, — haa voila Sonia, allez tonton va lui ouvrir! Ajoutant à cela quelques coups de pieds mollement dans mon ventre.Je me lève péniblement, je ne sais pas pourquoi j’ai vraiment peur, même si j’étais soumis, je connaissais ma nièce, la il va s’agir d’une inconnue, une femme qui va se moquer de moi. J’ouvre la porte, d’abord très lentement me cachant derrière au cas ou ce serai un facteur ou un voisin. Une femme de style gothique se tien la devant moi, sur-maquillée de noire et de dentelle dans une robe noire, affichant un collier en argent sur un décoté sulfureux. Je me fige un instant croyant à une blague, une vampirette! Pourtant on est loin de mardi gras ou d’ Halloween.La voie de ma nièce résonne derrière moi « soniiiiiiiiiiaaaaaaaaaa !!! » bon, plus de doute c’est elle, je m’écarte et la laisse entrer. Elle passe devant moi, me snob presque et se jetant dans les bras de ma nièce lui roule un patin presque exagéré. Je regarde, jaloux de ce baiser, assurément fait dans ce but. Puis elle se tourne vers moi, bavardant de chose et d’autre, m’examine avant de parler de moi.— Alors c’est lui ton gros? Adorable son cadenas, et quelle petite queue , tu avais raison, j’en ai jamais vue de si petite, on craint rien et on va bien s’amuser.— Aucun soucis ma chérie, il est très soumis, c’est dans sa nature je crois, j’ai eu aucun mal— Quand même, ton oncle ! vilaine fille, je te punirais pour cet inceste.— Oui ma chérieAllons bon, j’aurais du m’en douter, la plus Agée est une sorte de chaperonne du vice en plus d’être son amante, voila d’ ou vient l’audace de ma nièce, mais j’ai pas a me plaindre, la nouvelle est très belle, mon regard est déjà figée sur ses seins depuis un moment lorsque je prend une gifle.— Toi mon gros, on va te mettre au pas. Commence par ranger mes affaires dans ta chambre, je vais prendre ton lit.Me voila remis dehors, je vais sûrement devoir continuer à dormir sur le canapé ou sur le sol. Je ramasse son sac lorsque sa main saisie mes couilles par l’arrière.— Humm petite nouille mais quelles couilles !! J’adore , as tu palpée chérie ?— Ho oui, et quand il éjacule c’est une belle dose.— Tu m’étonnes, contente de voir qu’ il a quand même ça qui marche.Quelle honte, quelle humiliation, je ne dis rien, baissant la tête, je me rends compte que chaque humiliation m’abaisse un peu plus et me fond perdre toute dignité masculine. Je pars rapidement ranger ses affaires avant d’être punie par cette nouvelle furie. A mon retour je vois qu’elles non pas perdue de temps, nue dans les bras l’une de l’autre, elles se lèchent et se dévorent la bouche de baisés fougueux. Je suis appelé et mis à leur pieds, j’ai juste droit de mater en posant ma queue sur un tabouret. Sonia veut voir ma nouille frétiller comme elle dit. Et rapidement elle frétille, quelle beauté que ces courbes parfaites, que ces deux déesses m’offre. Il est rare que je parvienne a bander juste en regardant, mais la j’y parviens et bien sur les anneaux et le cadenas me bloque a 80% de mon érection.. je grimace, ça la fait rire, elle félicite ma nièce pour ce trait de génie.Clef en main elle me caresse la verge et retire le cadenas, hummm plaisir de l’érection, ma queue à plat sur le tabouret est lissée par ses doigts, alors que ma nièce se branle la minette, les cuisses bien ouverte pour m’ hypnotisé.Mes mains sont amené dans mon dos, attaché par une paire de menotte en X a mes chevilles et poignet. Me voila donc à genoux, le dos cambré en arrière et mes bijou sur le billot si j’osais dire.Appuyant sur mon épaule, elle monte debout sur le tabouret, ses jambes sont magnifique et ses escarpins fins à talon haut laisse apparaître de beaux orteils vernis de noir.De son pied elle pousse ma verge, appuis dessus et la roule comme quand on regarde si un animal est mort ou pas. Commence alors une séance de tramping sur ma queue, la piétinant et jouant tantôt avec sa semelle tantôt avec son talon en pressant le gland. Je râle je couine mais je suis aux anges.Par deux fois je crains de venir, et comme elle a dut le sentir à mon regard s’est arrêtée pour mieux reprendre une minute après. Je regarde la chatte de Sonia, je suis à bonne hauteur, un peu plus détendue déjà c’est une femme qui a du en voir plusieurs, ses lèvres sont décorées de deux anneaux d’argent fin et son pubis taillée en flèche vers le bas au poil très raz. Me pinçant les seins, elle me branle la verge en y ajoutant de plus en plus de poids. Petite elle tente parfois de se cacher dans mon bourrelet de graisse pubien, alors je prend un coup de pieds pour me replacer sous sa chaussure. Je grimace, je me sens venir, elle glisse ses doigts de pieds devant et je décharge entre ses oreilles, inondant la pointe de pieds de foutre chaud et gras. Ma nièce alors se glisse à mes cotés, saisie ma queue et tire dessus pour en sortir tout ce qui reste coincé dans la tuyauterie, hummmm.Chose faite, elle s’abaisse et lèche l’escarpin fourré de son amante, léchant tout mon sperme.Ma queue est brûlante, j’ai mal aux genoux et aux poignets, mais quel vision !
