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Tendre souvenir

Chapitre 1

Hétéro
Bonjour à tous, l’histoire que je vais vous raconter est une histoire vécue, elle fait partie de mes précieux souvenirs, d’une époque innocente, faite de tendresse, d’amour et de sexe.
Nous nous étions rencontrés en classe de terminale, moi le redoublant un peu faignant de 18 ans, elle le stéréotype de l’élève modèle, parfaite tant de corps que d’esprit à mon goût : petit bout de femme aux cheveux châtains lui arrivant aux épaules, elle mesure un mètre soixante pour quelques 45 kilos. S’habillant toujours d’une manière classique, dans des vêtements qui ne mettaient jamais en valeur ses petites formes à mon grand désespoir. Moi, brun de taille moyenne, un mètre quatre-vingt pour 65 kilos, j’étais assez sec et musclé grâce à mes années de cyclisme. Malgré cela, ma timidité de nature faisait que je m’habillais souvent avec de gros pulls ou des t-shirts amples. Nous adorions nous chamailler en cours et peu à peu, nous nous étions rapprochés pour finalement sortir ensemble.
Nous étions ensemble depuis quatre ans désormais, mais elle comme moi habitions chez nos parents. Les rares moments d’intimités que nous avions étaient souvent bridés par la peur que quelqu’un nous entende ou nous surprenne. Cela allait enfin changer ! J’étais désormais en première année de Master dans une autre ville et enfin, j’avais un appartement pour moi. Pour pouvoir accueillir mes amis et surtout ma copine !
Ainsi me voilà dans mon appartement d’étudiant, en train de ranger mes 18 petits mètres carrés pour l’arrivée de la miss. Elle vient passer la semaine de vacances chez moi, juste nous deux ! Une grande première pour notre couple ! Mon imagination tourne à plein régime, je m’imagine déjà l’accueillir avec un baiser passionné, un french kiss qui fait monter la température, puis lui arracher ses vêtements avant de lui faire l’amour comme une bête tandis qu’elle gémit de plaisir...
Mon alarme de téléphone sonne et me tire de ma rêverie. Il est temps que j’aille la chercher à la gare. Je prends mes clés et au volant de ma fidèle R5, parcours les quelques kilomètres qui me séparent désormais de ma compagne.
Je la vois à l’arrêt de bus, debout, attendant patiemment mon arrivée. Elle est vêtue d’un jean qui met bien en valeur son joli petit cul et un pull assez près du corps mettant en valeur son petit 85B. Encore une fois, elle est ravissante et je ne peux m’empêcher de penser que je suis le plus heureux des hommes d’avoir cette femme comme compagne. Soudain, elle m’aperçoit et un sourire illumine son visage. Des yeux marron pétillants, quelques taches de rousseur et un sourire resplendissant encadrés par sa crinière châtain. De fines boucles d’oreilles en argent font ressortir ses yeux, comme si elle s’était maquillée... Je suis conquis, comme toujours.
Une fois montée dans la voiture, on s’embrasse rapidement et je démarre, pressé d’arriver chez moi et lui faire découvrir notre futur nid d’amour. La discussion s’engage sur les banalités, elle me demande si je suis bien les cours, si je ne joue pas trop aux jeux vidéo. Je la rassure, mais elle me connaît trop bien et n’est pas dupe. De son côté, ses études sont studieuses, comme toujours. La discussion se poursuit jusqu’à mon immeuble.
J’ouvre la porte et elle découvre mon miteux 18m². La minuscule cuisine directement puis le salon/chambre avec une petite table à gauche, mon bureau avec mon ordinateur à droite et juste derrière mon clic-clac qui prend toute la pièce. Ce n’est pas grand, mais c’est mon premier « chez moi » !
Une fois la visite terminée, un petit moment de gêne s’installe. Je n’ose pas lui sauter dessus malgré mon envie. Nous sommes deux jeunes adultes qui n’assumons pas devant l’autre notre désir brûlant de sexe. Je ne veux pas passer pour un pervers sexuel, c’est sans doute la même chose de son côté, mais peu importe... Lorsque nous le faisons, c’est doucement, calmement... Bien loin des pornos que j’ai pu regarder et des films que j’ai pu me faire.
Ainsi ma solution de repli est de passer du temps sur mon PC avec elle. Je lui propose Kadokado un site de mini-jeu auxquelles nous jouions les années passées. Mon bureau est petit et je n’ai qu’une seule chaise, ainsi elle s’assoit sur mes genoux pour mon plus grand plaisir.On lance « Ironchoukette » un jeu de vaisseau spatial en 2D. Tandis qu’elle fait sa partie, j’ai le nez dans ses cheveux, je hume son parfum et l’odeur de son shampoing. Un vrai délice. Elle arrive assez loin et fait un assez joli score. Avec beaucoup de mauvaise foi et d’humour, je me moque de son score et lui dis que je vais l’éclater !

C’est désormais à moi de jouer. Ayant un peu plus d’expérience sur ce jeu, j’avance facilement et amasse des points. Elle met soudain sa tête devant la mienne pour m’empêcher de voir et ainsi de la battre. Je finis par perdre à mon tour dans un grand éclat de rire.
C’est de nouveau son tour, mais je suis bien décidé à me venger. La partie commence et immédiatement, je lui cache les yeux, lui gratte la tête et pour finir, la chatouille. Sans trop de surprise, elle perd quasiment aussitôt la partie.

— Hey ! Ce n’est pas juste, j’ai même pas pu jouer ! C’est de la triche !— T’étais pas mieux avant, mais OK, vas-y rejoue !
Elle tourne la tête et me lance un regard soupçonneux, moi je prends mon air le plus innocent possible.
— Mouai... OK donc c’est à moi ? Cool !
Elle lance la nouvelle partie et je me tiens tranquille, j’ai les bras posés sur ses cuisses, immobile, elle toujours assise sur mes genoux, concentrée sur sa partie.
Alors que la partie se corse un peu, les mains ouvertes et doigts tendus, je commence à caresser en frôlant ses vêtements ces cuisses et remonte le long de son ventre jusqu’à sa poitrine puis redescends sous les aisselles et à nouveau remonte le long de son dos.Parcourue par des frissons incontrôlables, elle perd une nouvelle fois alors que j’éclate de rire.
— OK, tu le prends comme ça ? A toi de jouer alors, mais on échange nos places !

Elle se place sur la chaise et moi pour ne pas l’écraser, je m’assieds en rebord de chaise.
— Vas-y, tu peux lancer la partie, on verra jusqu’où tu arrives !
La partie commence ainsi que les chatouilles. Peu chatouilleux de nature, cela ne me fait pas grand effet et je continue d’amasser des points. Voyant cela, ma compagne décide de sévir et débute les caresses qui l’ont fait perdre l’instant d’avant. Là encore, je résiste, mais elle redescend alors ses caresses au niveau de mes cuisses et de mon ventre, en cercle concentrique vers mon sexe. Il n’en fallait pas plus pour me déconcentrer et perdre la partie.
Elle rigole avec joie et me lance :
— A mon tour !
Un peu déçu que cela s’arrête en si bon chemin, j’acquiesce et on change donc à nouveau de place. Lorsqu’elle s’assoit sur mes genoux, ses fesses juste au bon endroit, elle doit sentir que ses caresses ne m’ont pas laissé insensible et que j’ai désormais une solide érection, mais elle ne dit rien et débute sa partie.
J’attaque directement en passant mes mains froides sous son pull léger, directement sur son ventre brûlant. Je la sens se crisper, mais tenir le coup et me lance d’un air moqueur :
— C’est tout ?— Tu vas voir si c’est tout ma cocotte !
Mes mains remontent le long de son ventre, passent en dessous de son soutien-gorge pour venir englober chacune l’un de ses seins qui pointent déjà. Je lui susurre à l’oreille tandis que je lui presse doucement la poitrine.
— Et là, ça va toujours ma chérie ?
Sa respiration est plus profonde, plus lente, mais elle me répond « Bien sûr » d’une voix légèrement crispée, tendue. A l’écran, son petit vaisseau spatial est toujours en vie, mais il a cessé de tirer...
Je continue de lui malaxer les seins, les lui comprime, fais rouler ses tétons bien durs sous mes doigts, les pince... mais elle tient !Je libère alors ma main droite de sa poitrine et la glisse lentement le long de son ventre vers le bas-ventre. Je la sens rentrer le ventre pour me laisser un meilleur accès à sa culotte malgré son jean fermé.
Mes doigts entrent en contact avec sa petite toison sur son mont de Vénus, lentement je continue mon exploration. A l’écran, on peut désormais voir Game Over, mais cela n’a plus d’importance. Elle a les deux mains plaquées sur le bureau et respire lentement, profondément. Ma main s’enfonce un peu plus pour atteindre enfin les bords de son antre.
La sensation est... bizarre. Ce n’est pas la première fois que je descends ma main à cet endroit, loin de là, mais d’habitude, c’était humide. Mais en cet instant, sa culotte était littéralement détrempée. Elle est excitée comme jamais et j’en étais plutôt fier.
Je fais glisser de haut en bas ma main le long de sa fente suintante, je remonte jusqu’à son petit bouton que je taquine et redescends dans une série de caresses, tout en tentant d’enfoncer mes doigts plus profondément en elle, mais son jean toujours fermé m’en empêche.
Sentant mes efforts, mon amante ouvre son jean, se met sur la pointe des pieds, la tête posée sur mon épaule et s’arc-boute en levant son petit cul et libère ainsi son pantalon qui descend le long de ses jambes. Elle se rassoit, bat un peu des jambes pour se libérer définitivement de son jean et se réinstalle confortablement sur moi, ses petites fesses juste au-dessus de ma bosse. Elle écarte ostensiblement les cuisses, me donnant autant d’espace que voulu pour reprendre mes caresses, ses petites mains cherchant à me rendre les caresses qu’elle reçoit, l’une me caressant la nuque, l’autre parcourant mes cheveux.
Je continue donc de fouiller énergiquement sa petite chatte. De sa culotte s’échappent désormais des bruits humides obscènes.
— flock flock flock flock flock *
Ces bruits sont peu à peu recouverts par la respiration de plus en plus forte de ma compagne, les gémissements qu’elle pousse en tortillant ses fesses le long de ma queue m’excitent au plus haut point, rendant mon érection presque douloureuse.
Soudain, elle pose sa main sur la mienne, celle qui fouille son intimité et par une simple pression, me fait comprendre qu’il faut arrêter. Elle se lève alors et tente dans sa position de retirer mon pantacourt beige taché par ses sécrétions. Je me débarrasse tant bien que mal du vêtement ainsi que du boxer qui suit le même chemin, je suis désormais cul nu, le sexe fièrement dressé.
De son côté, sa culotte violette en dentelle toujours en place, elle se rassoit sur mon sexe. C’est à mon tour d’être spectateur et de profiter des caresses que ma compagne me prodige en ondulant son bassin le long de ma verge. Je ne reste pas inactif pour autant, j’ai repris possession de ses seins et lui embrasse sauvagement le cou. Mais rapidement, ma dame veut plus et écarte le tissu, ultime barrière entre nos deux sexes. La pénétrer alors qu’elle a toujours son sous-vêtement m’a toujours beaucoup excité. Soudain l’extase... Dans un râle commun de plaisir, nous ne formons plus qu’un.
Elle s’est empalée et m’a prise tout entière, directement. Pas petit à petit comme d’habitude, je n’ai même pas senti de résistance tellement elle est excitée ! C’est chaud, très chaud et très humide, je sens mon sexe palpiter à l’intérieur du sien, je sens aussi sa cyprine qui s’échappe et coule lentement le long de mon sexe, sur mes cuisses, sur la chaise. Je suis bien... Puis elle débute ses mouvements, d’abord lents, puis de plus en plus rapides.
Bientôt la position assise nous gêne, car limite nos mouvements, je le lui fais comprendre et elle se lève, s’appuie sur le bureau avec ses coudes et se cambre, m’offrant une vision idyllique de la femme fatale, offerte tandis qu’elle me lance son regard « chambre à coucher » comme elle dit.
Sa petite chatte entrouverte d’où s’écoule un mince filet de cyprine est un appel auquel j’ai bien l’intention de répondre. Mais je fais durer un peu les choses, surtout pour ne pas exploser trop vite. Cette situation est encore meilleure que dans mes rêves les plus osés !
Je place mes mains sur son cou, puis lentement redescends jusqu’à sa croupe, elle frisonne d’anticipation. Je lui malaxe fermement les fesses, les écarte, les comprime puis n’y tenant plus, je positionne mon sexe au bord du sien, lui taquine la vulve avec mon gland. Une de ses petites mains vient enserrer mon sexe et le force à rentrer.
La petite pause m’a permis de refroidir la machine, mais je ne suis plus très loin de l’explosion tout de même. Je sais qu’il est temps de tout donner. Je débute lentement, faisant renter mon sexe dans toute sa longueur, lentement puis le ressors quasiment entièrement... Je réitère l’opération deux trois fois en accélérant, mes mouvements sont de plus en plus rapides, mais de moins en moins amples. Soudain, je me crispe et explose dans son antre, me vide entièrement en elle.
Je la prends alors dans mes bras en l’emmenant sur le clic-clac derrière où je m’effondre. Lentement, nous reprenons notre respiration et nous embrassons tendrement.
— Merci mon amour.— Merci ma chérie.
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