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La tentation d'Adèle

Chapitre 9

Lesbienne
—Si nous passions à table, Cécile. Je nous ai nous préparé une salade aux pépites de foie gras poêlées dont te me diras des nouvelles.
—Et pour moi ?
—Pour toi, l’invitée surprise, ce sera un bol de céréales au chocolat.Finalement, je te rends volontiers tes sous-vêtements. Ils ne sont pas plus choquants que les fringues que tu as entassées dans ta valise. Essaye le transparent, pour voir ! Très habillé, il n’y a pas à dire.
—Très irritant surtout. Ce string m’a l’air plus petit que les autres. Il faut que je l’enlève. C’est une vraie punition.
—Moi je e trouve très aguichant. Tes seins, on dirait deux ogives. Tu ne m’en voudras pas si je joue avec les détonateurs vu que tu ne sens plus rien ? Mets-toi à côté de moi ! Je serai plus à l’aise pour les sucer.
—Ola ! Attend avant d’asseoir l’escargot! Je viens à peine de finir la restauration de mes chaises en velours. Adèle ! Pose tes fesses sur le tabouret en plastique et surtout, essaye de manger proprement!
J’ai immédiatement compris que ce string qui ne sciait l’entrecuisse et le revêtement granuleux du tabouret ne feraient pas bon ménage.
— Ces bandelettes qui m’étirent les lèvres sont infernales. Arrête! Rachel! Ton amiiie! Elle me tèèète. Puis-je mettre mon pyjama ? C’est urgent et vital.
—Si tu avais vraiment envie de t’habiller, tu ne nous demanderais pas la permission. Conclusion?
—Je me laisse démonter par Cécile et je fais semblant de rien car je suis devenue brusquement insensible.
—Voilà!
Cécile observait mon malaise avec tellement de compassion qu’elle choisit lâchement de me porter l’estocade.
—J’aime beaucoup ton rouge à lèvres. Je peux?
La plus belle fille du monde ventousa ma bouche pour m’honorer du plus long et du plus chaud baiser de l’univers. Rachel en profita pour s’approcher et me massa le sexe avec une rudesse calculée. Je n’avais jamais ressenti pareil vertige. Quand Cécile se décolla, je me retrouvai toute bête face à cette fille qui, sans le savoir, avait conquis mon cœur dès que je l’avais croisée. J’avais bien conscience de jouer un jeu dangereux en laissant deux grandes personnes abuser de mon corps. Pourtant, j’étais à mille lieues de me douter un seul instant qu’elles parviendraient m’affoler à ce point.
—C’est moche d’abuser de ma faiblesse.
—Tu as raison, on mange maintenant.
Rachel avait le don de souffler le chaud et le froid. Une discussion s’engagea entre les deux amies à propos de leurs anciennes conquêtes. Rien de très intéressant à part que ni Rachel, ni Cécile n’avaient jamais héberger une de ces filles sous leur toit. Elles commencèrent à me saturer quand elles dérivèrent vers les particularités anatomiques des plus jolies de leurs partenaires.
—Finalement, Cécile, la fille parfaite n’existe pas.
—Pas d’accord! Je trouve qu’Adèle, par exemple, est physiquement parfaite.
—C’est évident mais elle ne sent rien. C’est dommage car elle fait partie de cette espèce de femelle que je recherche depuis longtemps. Moi, tu sais, les beautés frigides, j’en suis revenue et si ça se trouve, ton Adèle, elle est conne comme un manche de brosse.
— Je te dirai cela demain quand je l’aurai sondée pour investiguer ce qu’elle a dans le cerveau.
Causez, causez, je suis sourde. Les entendre étaler leur tableau chasse, c’était moyennement intéressant. Si nous changions de conversation.
—Ca a l’air bon ce que vous mangez. Vous avez trop de chance. Mon bol, c’est dégueulasse.
—Rachel, la petite en a mis plein ton tapis oriental.
—Il fallait s’y attendre. Ses seins sont tellement remontés qu’elle ne voit même plus son bol. Veux-tu bien retirer les doigts de ton sexe, sale fille ! Donne- lui ta main, Rachel! Tu vois bien qu’elle la demande.
La marâtre m’attrapa le genou. En toute confiance, j’ouvris les jambes pour lui permettre de me câliner le minou. Erreur funeste. Elle m’envoya une claque criminelle à l’intérieur de ma cuisse détendue.
—Rachel! Tu exagères. Tu ne sens pas ta force.
—Je t’ai fait mal, mon pigeon ? Oui ? Je suis terriblement désolée. Hier, quand tu m’as avoué prendre du plaisir à recevoir la cravache, je pensais avoir touché mon rêve. Bon, je vais me coucher.
—Non! Attend! Hier, c’était différent. J’étais prête. Enfin, j’en avais vraiment envie. Vos menottes aussi m’avaient fait un effet bizarre. Vous aviez taquiné mes seins avec votre cravache aussi avant. J’avais vu ma chambre qui avait l’air d’une cellule. Vous comprenez ce que je veux dire? Non? Moi non plus.
Rachel faisait mine de ne pas m’écouter. Elle ouvrit un tiroir et en sortit une paire de menottes toute neuves. Effroi. Des menottes, il y en avait partout dans cette maison. Elle la déposa bien en vue devant moi.
A son tour, Cécile me vola l’autre genou pour m’asséner une claque symétrique au moins aussi puissante.
—Est-ce que tu aimes mieux celle-ci ?
Mes yeux ne pouvaient se détacher de l’objet qui luisait à côté de mon bol. Une deuxième paire atterrit comme par miracle à côté de la première.Je sentis qu’elles attendaient que je fasse le premier pas.
—Je veux bien les essayer mais comment vais-je manger si vous m’attachez? Ah! Vous n’avez pas pensé à ça.
Sans prononcer un seul mot, mes poignets furent solidarisés dans mes reins. Cécile referma ses menottes sur mes chevilles, immobilisées derrière le pied massif du tabouret. Je ne me croyais pas capable d’un tel écartèlement.
—La vilaine fille qui a grandi trop vite va terminer son bol de céréales. Allez ! Une cuillerée pour la jolie bouche, une petite caresse pour la jolie chatte.
—Une cuillerée pour Tata maintenant et une petite tape sur la méchante chatte qui a salopé le beau cabriolet.
A la quatrième bouchée, j’étais déjà sur orbite.
—Laissez-moi souffler ! Ce n’est pas réglo si vous vous mettez à deux.
Mon regard implorant les laissait de glace.
—Désolée ! Comme tu n’as pas la chance d’avoir une petite sœur, tu devras te dévouer pour nous deux, Mademoiselle « je ne sens rien ».
—J’ai plus faim.
—Toi non, mais la petite chatte oui. C’est très mauvais de se retenir.
Mes partenaires me firent franchir une à une toutes les portes du paradis. Cécile me faisait grimper tout doucement et passait la main à Rachel qui m’arrachait les ultimes miaulements dont elle était si friande.Les plus violents tremblements de terre sont toujours suivis de répliques. Cécile ranimait ma flamme à sa guise et mes orgasmes se succédaient à une cadence folle.
Quand Rachel me détacha, elle m’embrassa sur la joue.Cécile prononça la phrase que j’avais le plus envie d’entendre à cet instant.
—J’en ai connu des filles mais toi, tu me plais plus qu’aucune autre.
Bref, tout le monde était content de sa soirée sauf le tapis d’Orient qui fut le seul à ne pas me remercier.
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