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La tentation d'un quadra

Chapitre 5

Divers
Virginie, Besançon novembre 1985
Moi, c’est Virginie. Je suis en terminale C. Le lycée, ça va, merci. Pas de problèmes, mes résultats sont bons et mes parents me fichent la paix. Ce qui m’intéresse ? Tout sauf peut-être le foot, surtout j’adore ... mais chut, on en reparlera plus tard. Elle, c’est Lucy. C’est mon amie d’enfance, on habite le même immeuble, l’une au-dessus de l’autre, enfin presque. Moi, je suis au premier, elle au troisième. On est tout le temps fourrées l’une chez l’autre, on se dit tout. En classe, elle est un peu moins bonne que moi et c’est moi qui l’aide le plus souvent. Un peu trop d’après les Profs, ça nous a coûté trois jours d’exclusion et un zéro chacune quand on était en seconde. Maintenant, on fait gaffe.
On a à peu près la même taille ce qui fait qu’on se passe nos fringues, mais je suis plus grosse qu’elle. Sur moi, ses fringues sont plus ... ajustées, on va dire. Lucy est super belle, mais elle se trouve moche. Elle envie mes fesses, moi j’envie sa taille et ses cheveux. Elle est mince, fine. Elle a des cheveux bruns qui tombent presque sur ses hanches, de grands yeux noirs, des lèvres charnues qui me donnent toujours envie de les mordre, des seins petits et un beau cul même si elle dit le contraire, mais c’est vrai que le mien est plus rond, je remplis bien mes jeans. Je suis blonde, j’ai les cheveux mi- longs, sur les épaules, mes seins sont plus gros que les siens, c’est vrai et j’en suis assez fière. Les garçons se retournent souvent sur moi, surtout que je ne porte pas toujours de soutif.
Je vous le disais : toutes les deux, on se raconte tout, et surtout toutes nos histoires avec les garçons. Lucy a un succès fou. Tous les mecs tirent la langue, moi moins. Faut dire que je suis plutôt timide alors qu’elle, elle a un culot monstre et les mecs, elle les fait marcher. Moi, ce n’est pas la même chose, je ne sais pas trop bien m’y prendre. Faut dire aussi qu’ils sont chiants : ils veulent baiser et si on baise on est des putes. Faudrait savoir !
Sinon, j’aime qu’ils m’embrassent et qu’ils me pelotent les seins et surtout qu’ils sucent mes tétons, mais ils ne savent pas y faire. Avec Lucy, c’est divin, avec eux, c’est brutal, ils se jettent là-dessus comme un chien sur sa gamelle. Merde, c’est délicat ces choses-là ! Ils sont très sensibles mes tétons et plutôt gros. Sous les pulls, ils pointent beaucoup plus que ceux de Lucy et ça aussi elle l’envie.
Oui, avec Lucy, on se dit tout et on se fait tout. Elle est plus vieille que moi, elle a bientôt 19 ans. C’est elle qui m’a appris à me masturber. Depuis je suis devenue la reine des masturbatrices. Plusieurs fois par jour, en me réveillant, en me couchant ou n’importe quand, dans ma chambre, dans les toilettes et même en classe. Une fois, on s’est branlées toutes les deux pendant un cours de maths. Putain que c’est bon.
Les mecs quand ils me branlent, ils essaient tout de suite d’enfoncer leurs doigts dans ma chatte. On dirait qu’ils veulent marquer des buts ! Font chier, mais, j’adore leurs bites, alors je laisse faire.
Oui, j’adore les bites, c’est incroyable comme ça peut grossir ces trucs-là. La première que j’ai vue, c’était celle de mon cousin. Un jour, qu’on était en visite chez ses parents, je suis tout de suite montée dans sa chambre en arrivant et il était en train de se branler. Moi, je savais ce que c’était que de se branler parce que Lucy me l’avait montré et que je faisais ça tous les jours depuis un bon moment, j’ai tout de suite deviné ce qu’il faisait. Lui, il est devenu tout rouge et il a voulu cacher sa bite et il m’a dit de foutre le camp, mais je suis restée. Je crois que j’étais toute rouge moi aussi, mais j’avais trop envie.
J’ai fermé la porte, je me suis appuyée contre elle, les mains derrière le dos et j’ai dit « Montre, je veux voir ». Il ne voulait pas, j’ai dit que j’allais le dire aux parents. Finalement, il a recommencé à se branler. Sa bite était encore bien raide. Il a très vite craché. Ca, je n’avais jamais vu, ouah ! C’était géant, ça lui a giclé jusque sous le menton. Il en avait partout. Je suis sortie en courant et je suis allée me branler dans les toilettes. Je me souviens que ma culotte était toute mouillée, je pense que c’était la première fois que ça m’arrivait.

Virginie, novembre 1985
Fait froid fait moche, tiens ça bouge dans l’immeuble d’en face. Un nouveau locataire, un homme seul, enfin je n’ai pas vu d’autres personnes avec lui, ça changera de la vieille bique d’avant qui nous criait dessus, surtout sur moi et ma guitare. Mais l’appart n’est pas bien grand il me semble, peut être un divorcé, c’est la mode.
La nuit est tombée. Ce soir, il faut que j’en finisse avec cette disserte de philo, mais il faut d’abord que je finisse de lire La Nausée. J’enlève mon jean pour être plus à l’aise et je me couche sur mon lit pour lire le dernier chapitre. Mon marque-page c’est la photo de Jo. Il me l’a envoyée à la fin de l’été. Il est en maillot de bain, il est beau. On a baisé tous les deux, mais lui, il habite Marseille et puis j’aime bien trop les mecs pour me ranger. On s’est écrit quelques lettres, on se reverra peut-être aux prochaines vacances, je ne sais pas, mais j’aime bien sa photo, son sourire, ses yeux verts et sa peau toute bronzée. On s’était quand même bien amusés tous les deux.
Je n’arrive pas à me concentrer, je lorgne la photo, une douce chaleur m’envahit. J’aimais bien ses baisers et ses mains. Lui, il n’était pas brutal. Ça palpite dans mon bas-ventre, je crève d’envie de caresser mes seins, de les pétrir, d’agacer mes tétons, comme il faisait si bien. Ma main glisse sur ma culotte elle est déjà toute humide. J’aimerais bien que cette main, ça soit la sienne. Plus j’y pense plus ça m’excite. Je retire ma culotte, mes doigts glissent sur mon petit bouton. J’aime le caresser et lécher mes doigts. J’aime le goût de ma mouille - celle des autres filles à t-elle le même goût ? - je sens monter la jouissance je ne pourrais pas me retenir longtemps, j’accélère le doigté, alterne entre pressions rapides et un peu plus lentes, j’enfonce deux doigts de ma main gauche pendant que ceux de la droite branlent délicieusement mon clito, ça monte ça vient. Je retiens mes gémissements, mais pas les spasmes de plaisir.
J’ouvre les yeux, j’aperçois une ombre derrière la fenêtre d’en face, on dirait le nouveau voisin, m’a-t-il vu ? Qu’importe ! J’ai pris un pied terrible en pensant à Jo,Allez Virginie ma belle, ce n’est pas de tout ça, faut bosser.
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