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La tentation d'un quadra

Chapitre 7

Divers
Gilles décembre 85
Quelques jours ont passé, je connais mieux mes voisins. On se croise, on se salue, on échange quelques mots. Je vois souvent mes petites voisines, l’une ou l’autre ou les deux ensembles. Elles ont l’air sympas et en tout cas, j’ai toujours droit à un grand sourire puis, si elles sont deux, elles se chuchotent à l’oreille tout en me suivant des yeux. Ça me met un peu mal à l’aise mais elles sont quand même très mignonnes. Je les sais bien fichues toutes les deux, il m’arrive de les imaginer en jupe et talons hauts mais ce sont encore des ados et ce n’est pas leur genre de tenue... sauf, peut-être occasionnellement.
L’autre jour, en rentrant, j’ai croisé Virginie et un jeune type sous le porche. Ils s’embrassaient à pleine bouche. Elle tenait à la main un casque de moto qui semblait bien l’embarrasser. Je n’ai pas bien compris ce qui l’empêchait de le poser par terre. D’autant qu’elle avait grand besoin de ses mains semble-t-il. Tout occupés de leur étreinte, ils ne m’entendaient pas. J’ai un peu ralenti le pas sans m’arrêter quand même mais j’ai bien vu sa main plaquée sur l’entrejambe du gars. Elle est décidément fort délurée ma petite voisine ! Après tout, c’est quand même bien de son âge aussi.
Ce soir, j’ai des corrections qui m’attendent. C’est pas le moment le plus drôle de la vie de prof mais c’est incontournable. Moi, je n’attends pas le dernier moment, bien au contraire. J’aime pas ça, alors je m’en débarrasse le plus vite possible. J’ai eu les copies ce matin, je m’y mets tout de suite. Je compte bien rendre les copies au prochain cours.
Me voilà donc parti pour une soirée studieuse. Un surgelé à la micro-onde, une bière, un yaourt, de la musique classique pour m’isoler des bruits extérieurs et aussi pour l’ambiance et zou, les premières copies pour évaluer mon barème.
21h : ça y est, c’est parti. L’avantage avec les maths, c’est qu’une fois lancé, ça va assez vite. C’est pas une copie de philo. Faut quand même souvent chercher pourquoi ils se sont gourés mais c’est généralement toujours la même chose.
J’ai le nez dans le guidon !
Le téléphone... zut j’étais bien parti. C’est Marie. Marie, je ne l’ai jamais rencontrée, c’est une relation "minitel". Eh oui, je drague sur le minitel, je fantasme et parfois on se rencontre. Marie habite Toulouse, c’est quand même un peu loin. Elle m’a envoyé sa photo... enfin j’espère que c’est bien la sienne. Plusieurs photos, en fait et pas toutes très sages.
— Ça va ? Je te dérange pas ?— Tu peux pas me déranger, je suis toujours très heureux de t’entendre, tu sais bien. Beau temps à Toulouse ?— Il fait noir, je sais pas en ce moment mais sinon aujourd’hui, pas terrible. Tu sais ce que je fais ?— ?— Devine.— Tu regardes le foot à la télé ?— Idiot.— Bon allez dis-moi tout. D’abord où es-tu précisément et comment es-tu habillée ?— Une nuisette noire quasi transparente. Elle est ouverte et ne tient que par un nœud en haut. Tu vois ?

Je visualise un truc noir, son corps en transparence.
— Plus ou moins, tu es debout ? Couchée ?— Assise dans un fauteuil, les pieds sur l’appui de fenêtre.— Mais dis-moi, dans ce cas, la nuisette est grande ouverte. Je me trompe ? Et tu es nue en dessous ?— C’est bien ça, je me suis préparée pour t’appeler. Ça te plaît ?— Waouh ! Un peu, oui !— Et toi ? Comment es-tu ?— Euh... je corrigeais des copies. Je suis pas aussi bien préparé mais je ne suis pas indifférent à ce que tu me décris. Je suis mal à l’aise dans mon jean.— Mets-toi à l’aise mon grand, tu peux pas rester comme ça. Fais comme moi.
J’enlève pull et T-shirt, jean et boxer atterrissent sur le sol. Je m’assieds dans le fauteuil relax.
— Voilà, je suis tout à toi. Je ne t’ai pas trop fait attendre ? (Il s’est passé à peine 30 secondes)— Dis-moi comment tu es installé maintenant.— A poils, assis dans un fauteuil relax, face à la fenêtre, les cuisses sur les accoudoirs et la queue tendue. Ça te va ?— Humm, cette queue, tu bandes comme sur la photo ?— Bah oui.— Ecoute !
Un silence puis j’entends des petits clapotis dont je devine l’origine.
— Tu entends ? Le bruit de ma mouille quand je me branle ! Tu m’excites mon salaud !
Je commence à me branler à mon tour et on continue à se raconter ce qu’on fait et ce qu’on ressent. Il y a de longs silences, des gémissements, encore des clapotis. Je me caresse lentement, le téléphone coincé contre l’épaule, une main serre mes couilles, l’autre tire lentement le prépuce, vers le bas, tirant ainsi sur le frein que j’ai très sensible. Ma queue est raide, dure, le gland très rouge, cramoisi. Une petite goutte s’en échappe. Elle aimerait sans doute la recueillir sur la langue. Je l’étale sur mon gland que je caresse du bout des doigts, surtout sur le frein que je fais rouler sous l’index.
Je me sens près de jouir, je sers la base de ma queue pour l’attendre. Heureusement, son plaisir est là, tout proche si j’en crois ses gémissements
— Je jouis, viens ! Me dit-elle.
Il était temps, deux ou trois va-et-vient suffisent. Je me tétanise, mes fesses se décollent du siège, mes jambes sont secouées de frissons. Un premier jet de sperme chaud atterrit sur mon ventre, puis un autre beaucoup plus puissant m’arrive presque au menton suivi d’encore un autre.
Je reprends mes esprits... à temps pour voir une silhouette dans la chambre de Lucie.

Virginie, le même jour
Mardi soir après le dînerJe suis étendue sur mon lit, plongée dans « La Peste ». Après Sartre, voilà Camus. La peste, évidemment, c’est la peste brune, les nazis. Je comprends bien l’analogie mais je ne vois pas trop comment ça se concrétise dans le récit. En tout cas, ça se lit très facilement. J’aime bien.
Le téléphone sonne, deux fois, un blanc puis deux fois encore. Ça, c’est Lulu, faut que je monte, elle a quelque chose d’important à me dire. C’est pas très discret, toute la famille est au courant du signal. D’ailleurs maintenant tout le monde attend la troisième sonnerie avant de décrocher.
C’est la mère de Lucie qui répond à mon coup de sonnette.
— Bonjour, Annie vous avez fait bon voyage ? — Oui merci, c’était très boulot boulot mais on a pu visiter un peu le soir, Prague est une bien jolie ville, très romantique... Lucie est dans sa chambre, tu connais le chemin !
J’ouvre la porte, la lumière est éteinte, je cherche l’interrupteur.
— Non ! N’allume pas, viens.— Qu’est-ce qui se passe ? Aïe, merde je me suis pris le pied de lit ça fait horriblement mal.
J’arrive à la fenêtre mes yeux sont habitués à l’obscurité maintenant et puis, il ne fait pas complètement noir : il y a des fenêtres éclairées de l’autre côté de la cour et ça répand un peu de lumière dans la pièce
— Qu’est-ce que t’as foutu, tu as raté le plus beau !— J’ai dit bonjour à ta mère, j’ai raté quoi ? — Regarde en face au deuxième.
Pas besoin de me faire un dessin, c’est l’appart du nouveau voisin. Encore une fois, je suis au cinéma mais il paraît que j’arrive trop tard. Zut ! Gilles est nu dans un fauteuil, face à la fenêtre les cuisses écartées il a l’air détendu.
— J’ai raté quoi ?— Je fumais mon clope à la fenêtre, et je l’ai vu assis à table, à faire de la paperasserie, puis il s’est levé pour répondre au téléphone, il s’est désapé complètement, tout en continuant de parler, il s’est installé, là où tu l’as vu, sur son fauteuil et il a commencé à se caresser, puis à se branler, il a une queue énorme !!!!— Il était encore au téléphone ?— Ouiiiii, un truc de fou, la prochaine fois que tu montes, emmène tes jumelles, je crois bien qu’il a giclé fort ! — Ça m’a l’air d’être un sacré cochon ce mec !— Ouais, je crois qu’on va bien s’amuser avec lui.
Je suis quand même déçue, j’aurais bien aimé voir çaJe redescends chez moi, me lave les dents, me couche nue. J’ai très envie de me masturber mais j’ai sommeil aussi. Ce soir, je serai sage.
J’ai rêvé de ce que m’a raconté Lucie, je me réveille en sueur, je me suis caressée dans mon sommeil.
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