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Tentation à la Saint-Valentin

Chapitre 1

Inceste
— Angélique, marquise des putes, oui !— Qu’est-ce qu’elle vient faire là, elle ?— Dis-moi que tu l’as pas baisée ?— C’est possible, peut-être, j’ai pas souvenir !— Audrey, Claire, Laetitia, Margot, et cette conne d’Angélique, ah oui et même Sarah ma meilleure amie ! En 3 ans de relation, c’est pas mal !— C’est vrai, c’est pas mal, tu oublies Delphine et océane, je crois ! le jeune homme était fier de lui, recherchant c’est conquête, ravie de son succès.
Le silence dura 3 secondes.
— Et tout ça avec une bite grosse comme un coton-tige ! relança la jeune femme.— Hé ho, c’est marrant, tu me disais que j’en avais une grosse au début ! Piqué au vif, l’homme se retourna pour regarder l’auditoire, en espérant qu’ils n’aient pas été entendus.— Oui, ben j’ai changé de lunettes ! et ma chatte ne s’en souvient pas ! tu ne lui as pas laissé un souvenir impérissable !— Avec une baise par mois, ça ne m’étonne pas !— J’ai pas Alzheimer, moi !— Tu veux jamais baiser, de toute façon !— Une pipe et une levrette, quand tu le décides, ça ne donne pas envie, non plus !— La baise, c’est ma passion ! Fière de sa sortie.— Apprends la guitare, connard !
Le ton montait dans le petit restaurant, dont une partie de l’auditoire était consternée du langage trop imagé à leur goût, alors que l’autre s’en amusait. Certains hommes acquiesçaient au propos de confrère, alors que d’autres femmes prenaient le parti de la consœur.
— Pouvez-vous, vous asseoir et faire moins de bruit, s’il vous plaît, le serveur intervenait auprès des deux protagonistes.— Tu vois tu emmerdes tout le monde avec tes scandales, à répétition !— Mais, je vous emmerde les machos phallocrates ! Macho phallocrate était une expression couramment utilisée par la mère de la jeune femme.— Pouvez-vous partir, merci ! Le serveur haussait le ton, écartant les bras pour leur demander de les accompagner vers la sortie.
— On a pas pris le dessert !— Il y a un Mcdo au bout de la rue. Sortaient maintenant ! — Je paie pas pour un demi-repas ! — C’est offert par la maison. Lança à demi-voix le serveur. Au revoir !
Ils prirent leurs affaires et partirent prestement vers la sortie. Derrière eux, on entendit le serveur lancer à la salle « Désolé, de ce désagrément, veuillez nous excuser. » Essayant de reprendre le ton courtois des serveurs de restaurant haut de gamme.
Les couples présents dans la salle continuaient d’évoquer la scène qui venait de se dérouler sous leurs yeux.
— Il est marrant, le mec !— C’est un connard prétentieux !— Après, il a pas tort.— T’es con, toi ce soir ! T’as pas envie de baiser si je comprends.
L’esclandre se poursuivit jusqu’à l’entrée du couple dans la voiture.
— On s’est bien marré. — Le repas était pas mal.— Et gratuit. Bonne Saint-Valentin, mon amour ! Lança-t-elle Joyeuse embrassant son partenaire.
Rencontré lors d’une soirée chez des amis communs, il s’était immédiatement plu, l’osmose était parfaite tant sur les valeurs, l’humour et le sexe, et depuis maintenant 6 mois, il se fréquentait. Malgré eux, depuis 2 mois des tensions apparaissaient à la suite de la maladie déclarée de la mère de Thomas qui perturbait leurs relations et le nombre en déclin de leurs rendez-vous.
Thomas âgée de 23 ans avait beaucoup de charme, brun aux cheveux courts, des yeux verts, un visage sculpté dans une beauté virile, une voix chaude au ton posé et un corps entretenu sans excès. Malgré son jeune âge, il avait une maturité et une nature d’homme dominant qui plaisait aux femmes qui le qualifiaient volontiers de très bel homme.
Marion âgée de 28 ans, brune aux cheveux longs et bouclés, le teint hâlé, des yeux bleus au regard envoûtant, un visage légèrement ovale aux lèvres sensuelles, était une belle jeune femme régulièrement convoitée par des hommes de tous âges. Son corps était agréablement proportionné, une charmante poitrine, une taille fine, de belles jambes longues et des chevilles fines, son apparence et sa grâce sensuelle sans arrogance lui permettaient d’être apprécié sans jalousie des hommes, mais aussi des femmes en toutes circonstances.
Arrivée devant la porte de l’immeuble où logeait Marion, elle lui demanda de monter chez elle pour prendre un dernier verre, comme elle le lui demandait inlassablement depuis un mois, lorsqu’il la raccompagnait chez elle tard le soir. Mais invariablement Thomas déclinait l’invitation.
— Désolé, je dois aller voir si ma mère ne fait pas de connerie.— Elle nous fait chier.— S’il te plaît. Tu sais comment elle est.— Excuse-moi, mais ce soir j’aurais aimé que tu montes.— Je me rattraperais.— Tu as intérêt.
Le couple s’embrassa fougueusement avant que Thomas ne reparte chez sa mère où il habitait.
La mère de Thomas avait deux problèmes, le 1er d’une jalousie maladive et le second son besoin de sexe incessant. Bien qu’elle fût extrêmement débridée au lit et dans d’autres lieux comme son fils avait pu s’en rendre compte à plusieurs reprises, surprenant sa mère dans des situations extrêmement délicates sans que cela ne la choque où ne l’arrête, elle redoublait même d’ardeur lorsqu’elle l’apercevait lors de ses ébats, la stimulant et la faisant jouir plus vite.
Ses partenaires avaient du mal à tenir plus de six mois ne supportant plus les crises de jalousie à répétition et le scénario se terminait inlassable par une rupture. Sa mère les vivait comme une humiliation, un abandon, ressentant un profond dégoût pour elle-même.
Thomas était à la fois ravi que son dernier amant l’ait quittée, cela lui évitait d’avoir à assister aux scènes qu’elle lui faisait subir lorsqu’il ne répondait pas aux multiples messages qu’elle lui envoyait, et aux multiples baises qui suivaient, lorsqu’ils se réconciliaient.
Le problème était qu’en l’absence de partenaire, sa mère rejetait sa jalousie sur son fils, recherchant régulièrement le conflit pour les motifs les plus futiles, ou le provoquait soit par des propos obscènes, soit par des gestes ou postures déplacés.
Camille, la mère de Thomas consultait pour ces troubles depuis deux mois à la suite de sa dernière rupture, mais cela ne semblait pas être encore efficace.
Camille attendait son fils au salon. Une bouteille de vin blanc avait été ouverte. Habillée d’une robe de couleur bleue nuit, qui ne descendait qu’à peine en dessous des fesses ne laissait aucun doute sur le fait qu’elle ne portait aucune culotte, un décolleté qui laissait apparaître une poitrine généreuse dont la pointe des seins perçait au travers du tissu, des jambes gainées de bas noir auto fixant et des chaussures bleues noires à talons hauts, dont les lacets, remontaient aux dessus des chevilles. Ses formes avantageuses parées par la robe moulante exaltaient sa beauté, sa silhouette rehaussée par les talons hauts accentuait sa féminité, un maquillage masquant toutes les petites imperfections du temps, et sa chevelure châtain clair ondulée la rendait envoûtante et désirable.
Dès les bruits de clés, Camille se leva pour accueillir son fils. Elle prit une posture lascive, s’adossant au mur du salon donnant une vue directe sur l’entrée, une jambe légèrement repliée, la chaussure à talon haut s’appuyant sur la cloison, cette position laissait entrevoir la dentelle du bas sur la cuisse. Elle arborait un regard soumît. La pose était d’une sensualité érotique absolue.
— Bonsoir, mon chéri. Camille parlait d’une voix suave. Comment tu me trouves ? Je suis à ton goût ?— Bonsoir, maman, tu es magnifique. Thomas dévorait sa mère d’une envie de sexe bestial.— Un peu sexy quand même ?— Terriblement sexy même ! Il réprimait ces instincts malgré les pulsions qu’elle lui déclenchait.
Camille était satisfaite de son effet, elle avait un besoin irrépressible d’être complimentée, désirée, aimée, et cela même s’il s’agissait de son propre fils. Ses difficultés de confiance en elle, de jalousie, ses besoins de sexe compulsif lui servant essentiellement à obtenir ce qu’elle désirait des hommes, étaient apparues à la suite de sa séparation, il y avait maintenant 3 ans d’une relation avec un pervers narcissique qui l’avait littéralement brisée.
Thomas en subissait aujourd’hui toutes les conséquences, et oscillait entre la tentation physique qu’elle lui inspirait et parfois le profond dégoût d’une mère qu’il qualifiait de dégénérée.
— J’ai vu ma psy, tu viens avec moi au salon, on prend un verre de vin et on discute.— Si tu veux.
Thomas prit place sur le fauteuil en face de sa mère. La robe remonta et laissait voir les cuisses, la dentelle des bas et son sexe épilé lorsqu’elle croisait et décroisait les jambes. Thomas était captivé, sa bite se développait sans tenir compte qu’il s’agissait de sa mère. Camille servit un verre de vin à son fils lui dévoilant sa poitrine.
— C’était la robe que j’avais achetée pour l’autre con. Elle te plaît.— Oui, elle est très jolie.— En tout cas, c’était un bon choix, vu la grosseur entre tes jambes.
Thomas était rouge de confusion et ne savait plus comment réprimer son désir pour sa mère, qui ne le ménageait pas.
— Ta soirée avec cette pute, pardon Marion c’est bien passé ? Excuse-moi, c’est la maladie, je ne pensais pas ce que je disais.— C’est rien, oui la soirée était plutôt pas mal.— Tu l’as baisé ? Tu rentres tôt.— Tu sais quand ce moment c’est difficile je dois faire attention à toi.— Merci, mon amour d’être là pour ta petite maman. Elle décroisa une nouvelle fois les jambes laissant ces genoux légèrement écartés.— Et qu’est-ce qu’a dit ta psy ? Thomas essayait de reprendre une contenance.— Ha oui attend, elle m’a demandé de télécharger une application sur mon téléphone, je t’envoie une invitation comme ça tu peux aussi l’utiliser avec moi.
Thomas était surpris de ce changement de conversation, mais se sentait un peu soulager, ils prirent tous deux leurs téléphones, et Thomas installa l’application et valida l’invitation envoyée par sa mère.
— Ça sert à quoi, c’est une messagerie instantanée, c’est pas terrible ?— Oui, mais joue avec le rond blanc sur le carré noir.— D’accord. Si tu veux, enfin je vois rien de spécial.— Tu n’arrêtes pas continu, tu vas voir c’est marrant. Relançait sa mère.
Un léger vrombissement se fit entendre dans la pièce silencieuse. Et Camille commençait à dodeliner son bassin, écartant et resserrant ces cuisses, son visage se crispait.
— Tu veux aller aux toilettes ?— Non, non continu, c’est bon. La voix de sa mère se faisait plaintive.
Thomas compris alors qu’il activait via son téléphone un jouet sexuel que sa mère s’était introduit plutôt dans la soirée. Machinalement, il continua augmentant la cadence de ses mouvements sur le téléphone, excité par les gémissements de sa mère, il activa une séquence de stimulation préprogrammée.
Il se leva retira son pantalon et son caleçon, pour venir face à sa mère. Camille suça immédiatement le gland de l’épaisse queue de son fils. Il lui prit les cheveux et la força avaler la totalité du sexe, lui baisant la bouche de façon violente. Camille se laissait dominer et descendit sa main entre ses cuisses pour branler son sexe trempé.
— Putain, t’es qu’une salope. Lui éructa Thomas dans une rage folle.
Thomas ressortit sa bite de la bouche déformée, des filets de bave tombant à terre, et se branla en maintenant fermement par les cheveux la tête de sa mère. Camille en transe regardait son fils attendant de recevoir son sperme. Dans un râle, les jets de foutre épais s’écrasèrent sur son visage, et dans sa bouche toujours ouverte. Elle jouit au premier contact chaud du sperme qu’elle reçut, l’avala et étala le reste sur son visage. Thomas lui imposa de reprendre son sexe pour qu’elle le suce encore quelques instants. Camille était dans un état de bien-être, d’une satisfaction retrouvée d’un homme qui la domine et maltraite, qu’elle ne lui refusa pas ce dernier délice.
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