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La tentatrice infernale

Chapitre 1

Histoire vraie

Hétéro
— Monsieur, pour la sodo, c’est quand vous voulez, me dit mon assistante, me laissant une fois de plus décontenancé.
Mais ne nous précipitons pas. Commençons par le commencement. Léona avait débarqué dans ma vie sans prévenir et l’avait totalement bouleversée.Jusqu’alors j’avais été un homme plutôt rangé. Père de famille responsable et aimant, marie fidèle, un poste important dans une société agroalimentaire dont les publicités envahissaient les écrans de télé : voilà pour le profil.Certes, comme toute personne normalement constituée, j’avais des fantasmes. Ma vie conjugale n’était plus animée par la passion et ma sexualité se limitait à quelques ébats satisfaisants mais peu créatifs. J’aimais donc imaginer des aventures amoureuses avec des collègues de travail et ces pensées secrètes m’amenaient même parfois à bander derrière mon bureau. En avais-je honte ? Pas vraiment puisque je restais fidèle à mes principes. Tel n’était pas le cas de la plupart de mes collègues. Les histoires de coucheries allaient bon train dans les couloirs. Untel avait profité d’un déplacement pour avoir une aventure avec unetelle, celui-ci aurait été surpris dans les toilettes avec celle-là...
Je redoutais trop ces commérages pour un jour me laisser tenter. Pourtant, j’étais sollicité. Mon physique plutôt avantageux, ma sociabilité et sans doute mon pouvoir dans l’entreprise attiraient de nombreuses candidates à la promotion canapé ou d’aventureuses et libertines cadres et assistantes. Mais je n’avais jamais cédé. Jusqu’au jour où mon assistante partit en congé maternité. La remplaçante que nous avions recrutée m’ayant fait faux bond j’avais appelé une société d’interim.Avant même qu’elle se présente à mon bureau, la rumeur avait porté le souffle de son incandescente beauté jusqu’à moi.
— Qui a rendez-vous avec une bombe ce matin ? avait demandé Ludovic a la machine à café.
Si sa question ne réclamait pas de réponse, elle avait suffi à attiser la curiosité des personnes présentes qui s’étaient ruées sur les écrans de surveillance et leurs remarques ne laissèrent aucun doute sur le physique de la personne en question.Quand elle se présenta à mon bureau, j’en eus le souffle coupé. Cheveux longs et noirs, grands yeux sombres dont un subtil trait d’eyeliner soulignait la profondeur, bouche pulpeuse, elle m’offrit un sourire timide qui révéla une dentition qui aurait fait le bonheur d’un fabricant de dentifrice. Mais c’est moins son visage que son corps qui me troubla. Sans être d’une perfection totale, il présentait des courbes savoureuses qui donnaient au tailleur strict qu’elle portait une sensualité incroyable. En fait, la surprise passée, je réalisai que sa beauté était loin d’approcher la perfection. Mais, l’ensemble de ses traits et lignes composaient une incroyable harmonie. De celle que des peintres ou photographes auraient aimé immortaliser. Ou qu’un cinéaste aurait aimé saisir dans une scène présentant le prélude d’une relation tumultueuse. Cette fille était la sensualité incarnée. Ou, comme le diraient mes collègues plus tard, « elle sentait l’amour ». Bref, elle n’avait pas du tout le profil d’une assistante de direction.
Dans les jours qui suivirent son arrivée dans mon service, je ne me lassais pas de la voir entrer et sortir de mon bureau, marchant d’un pas chaloupé. Et je n’étais pas le seul. Tous les hommes de l’entreprise défilaient à mon étage pour apercevoir le phénomène. Dommage collatéral : les femmes la détestèrent d’emblée. La jalousie troublait leurs visages dès que Léona apparaissait. Aussi, au déjeuner, se retrouvait-elle souvent seule. Elle s’était donc résolue à rester derrière son bureau pour avaler une salade en surfant sur Internet.Il me parut évident qu’elle était consciente de l’effet qu’elle provoquait et s’en amusait. Toutefois, elle essayait-elle de se faire discrète et se cantonnait à composer un rôle d’assistante consciencieuse et austère.C’est cette austérité qui me rassura et constitua le piège dans lequel je devais tomber. Les bribes d’information qu’elle me confia à son sujet me permirent de définir un profil : d’origine slave, elle était mariée à un italien dont la jalousie, m’avait-elle confié, l’insupportait. Celui-ci venait la chercher tous les soirs. Son air de baroudeur aurait pu aisément lui valoir un rôle de mafieux au physique parfait dans une série Netflix. Sa virilité et son air mauvais avaient dissuadé tous les séducteurs de l’entreprise d’approcher de Léona et son physique parfait avait un peu plus attisé la jalousie des autres femmes du service.
Elle me l’avait présenté un soir, à la sortie du bureau, et j’avais décelé sous sa fausse amabilité une volonté de sonder ma capacité à séduire sa femme. Je compris d’emblée qu’il ne m’aimerait pas. Sans doute espérait-il que celui dont dépendait son épouse soit vieux et moche.Mes relations avec Leona devinrent rapidement cordiales. Assistante très compétente, elle se laissait aller de temps en temps à un trait d’humour, à un conseil ou une confidence qui révélaient de nouveaux aspects intéressants de sa personnalité.Si je lui offrais une sociabilité professionnelle, je veillais à ne jamais lui montrer à quel point sa sensualité me troublait. Et elle me troublait ! Je me retrouvais souvent à respirer son parfum quand elle entrait dans mon bureau, à imaginer mes mains sur ses seins, sur ses fesses et me mettais à bander sans retenue, réussissant toutefois à masquer mon désir en restant derrière mon bureau ou en posant un dossier sur ma turgescence.Bien entendu, je culpabilisais d’avoir ces pensées coupables. Mais qu’y pouvais-je ? Elle passait huit heures par jour avec moi ! Et quand j’étais en déplacement, ses appels pour me questionner ou me tenir informé suffisaient à raviver mon imagination.
Tout commença à déraper quand je la surpris un jour en train de pleurer dans son bureau. Je tentais de la questionner mais elle refusa de parler, la voix prise dans ses sanglots. Je lui proposai alors de déjeuner avec moi et ne lui laissai pas d’autres possibilités que d’accepter.C’était la première fois que nous allions au restaurant ensemble. Je la forçais à prendre un kir pour se détendre. Et, après quelques instants, elle me révéla son problème.
« Il est trop jaloux. Il veut que j’arrête de travailler, que je reste à la maison. Mais je ne veux pas me soumettre. J’aime venir au bureau, voir du monde, me sentir utile. Il en devient parfois violent.
— Il vous frappe ? demandai-je, inquiet.— Non. Il me bouscule, me traite de tous les noms, me questionne sans cesse sur les hommes que je fréquente au bureau. Sur vous.— Sur moi ?— Oui. Il ne vous aime pas.— Pourquoi ? — Parce que vous représentez celui qu’il ne sera jamais.— Je ne comprends pas.— Vous êtes beau, élégant, cultivé.— Il est également très beau. — Oui, mais rustre et inculte.— Pourtant vous l’aimez.— Je l’aimais. Maintenant, je ne sais plus. Il est persuadé que vous et moi... faisons des choses ensemble.— Quelles choses ?
Elle sourit et finit son verre, en commanda un deuxième.
— Il faut vraiment que je vous le dise ? demanda-t-elle en souriant.— Oui, répondis-je stupidement. Ou plutôt pour voir jusqu’où elle irait dans sa confession.— Il pense que je vous fais des pipes derrière votre bureau. Que vous me baisez dans les toilettes.
Je restai sans voix. Je n’aurais jamais imaginé qu’elle puisse utiliser ce genre d’expression avec moi et encore moins avec ce naturel. Ces propos provoquèrent des images dans mon cerveau ébranlé et je me contins pour ne rien laisser paraître de mes émotions. Dans mon pantalon ma queue se mit au garde-à-vous, comme un soldat ayant entendu son supérieur le nommer.Elle rit.
— C’est stupide, n’est-ce pas ?— Mais... pourquoi pense-t-il ça ?— Parce que lors d’une dispute je lui ai dit que s’il continuait à me harceler je vous sucerai pour me venger.
Elle assortit sa révélation d’un regard malicieux que je ne lui connaissais pas. Je posai mes yeux sur ses lèvres, les imaginai autour de ma queue.
— C’est pas très malin, réussis-je à dire.— Je sais.
En dinant, elle but deux verres de vin et je la vis changer, se détendre. Nous parlâmes de l’entreprise, des dossiers en cours. Alors que nous attendions le café, elle s’excusa et se leva pour aller aux toilettes. Plusieurs hommes la suivirent du regard, la déshabillèrent des yeux.A son retour, elle s’assit et me sourit.
— Je ne vous plais pas ? demanda-t-elle soudain.— Heu... pourquoi cette question ?— Parce que... Vous n’êtes pas comme les autres. Quand je me suis levée, je vous ai observé grâce au jeu de miroirs. Vous ne m’avez pas regardée. Pas comme eux. Comme au bureau. Je sais l’effet que je fais. Et mon mari aussi. D’où sa jalousie. Mais vous... vous êtes différent.— Je suis votre responsable et nous sommes au travail.— Pas en ce moment. Là, nous sommes au restaurant, dit-elle en riant.— Mais nous nous y sommes retrouvés parce que nous travaillons ensemble.— Donc, je ne vous plais pas.— Je n’ai pas dit ça. Mais... Je suis aussi marié que vous. Et aussi fidèle que vous.— En effet. Mais je vais vous avouer une chose. J’aime plaire, j’aime voir le désir des hommes dans leurs yeux. Mais les hommes comme vous me regardent rarement. Ou alors, avec mépris.— Les hommes comme moi ?— Oui, ceux qui ont des responsabilités, du pouvoir.— Je ne sais pas. Pour ma part, je n’ai aucun mépris pour vous.— Je le sais. Et ça vous rend... particulier. En fait, c’est avec un homme comme vous que j’aurais dû me marier. Votre femme a de la chance.— C’est gentil... Allez, nous allons être en retard, lançai-je avec une fausse assurance, afin d’échapper à cette étonnante conversation.
En sortant du restaurant, elle s’arrêta, me regarda, amusée.
— Je vais vous dire une chose que je regretterai sûrement : en faisant l’amour avec mon mari, hier, j’ai pensé à vous. Enfin, je veux dire que j’ai imaginé que c’est vous qui me faisiez l’amour. Et c’était bien.
Je restai figé, stupéfait.
— Je crois que vous avez un peu trop bu.
Le lendemain, elle vint s’excuser.
— Je suis désolée. Je... j’étais... Enfin, si vous voulez me virer, je le comprendrai.— Oublions tout ça, répondis-je. Nous avons du travail.
La vérité et que j’avais passé mon après-midi et ma soirée à penser à ce qu’elle m’avait dit. Et je n’avais pas pu résister aux images qui m’avaient assailli : elle en train de me sucer, elle avec son mari, nous deux faisant l’amour. A la maison, j’avais été distrait. Ma femme l’avait remarqué et j’avais expliqué que j’avais des soucis au travail.Et ce matin je m’étais surpris à me regarder dans le miroir, à choisir mon costume, à me préparer avec plus d’attention que d’habitude. Et quand elle était apparue, j’avais senti mon cœur s’emballer, ma respiration devenir plus courte.
*
Cette conversation marqua nos relations. Nous réussîmes à donner le change au niveau professionnel mais une certaine ambiguïté planait lors de nos échanges.
Si elle restait sérieuse, presque froide, lorsque nous étions en présence d’autres personnes, quand nous étions seuls, son attitude changeait. Elle me coulait des regards profonds, faisait des sous-entendus, prenait des poses lascives. Et nous devînmes complices. Puis, un jour, alors que j’étais en train de lui confier quelques missions, elle me posa une question :
— Avez-vous fantasmé sur moi depuis notre conversation au restaurant ?— Pourquoi cette question ? demandai-je, désarçonné.— Pour savoir.
La situation devenait trop tendancieuse. Il me fallait mettre un peu de distance entre nous. Je mentis.
— Non, pas du tout.
Elle parut déçue.
— Moi je n’ai pas arrêté de penser à vous.— C’est... gentil. Mais, Léona, je ne crois pas que ce genre de confidence soit saine.— Vous avez raison. Mais je ne peux m’empêcher de... me demander quel genre d’amant vous êtes. Tendre ? Viril ? Dominateur ? Soumis ? Pervers ?— Léona... s’il vous plaît.— J’aime vous imaginer en amant viril, continua-t-elle. En fait mon fantasme serait de vous rendre fou de désir. Jusqu’à vous amener à me prendre sur ce bureau par exemple. — Léona ! m’emportai-je.
Elle rit.
— Je sais que vous mentez. Que vous ne cessez de penser à moi.— C’est faux !— OK. Alors vous devenez pour moi un challenge. Je vais vous rendre fou de moi.— Léona, je n’apprécie pas du tout... — OK, excusez-moi, dit-elle en riant.
Elle saisit son bloc-notes, prête à reprendre des notes. Puis, sans que son visage n’exprime quoi que ce soit, elle écarta les jambes, m’offrant une vue plongeante sur sa culotte.
— Léona !— Oui ? — Vos jambes !— Ne parlez pas si fort, on pourrait vous entendre, me conseilla-t-elle, avec malice.— Écoutez, retournez à votre bureau et clamez-vous. Nous nous reverrons plus tard.
Elle se leva en riant.
— J’adore ce jeu, dit-elle. J’ai rarement été aussi excitée !
Et elle s’éclipsa me laissant la queue raide.Quelques jours plus tard, elle arriva en retard. Elle entra dans mon bureau pur s’excuser.
— Mon mari n’était pas là et je n’ai pas entendu mon réveil.— Pas de problème.— Je me suis habillée en toute hâte. Je n’ai même pas eu le temps de prendre mon petit-déjeuner.— OK, allez vous chercher un café et mettez-vous au travail.
Je baissais les yeux sur mon ordinateur.
— Oh non ! s’exclama-t-elle.
Je relevais les yeux pour la découvrir, jupe levée, montrant son sexe. Une vulve parfaite, épilée, aux lèvres généreuses, pulpeuses.
— Que...— Dans la précipitation, j’ai oublié de mettre une culotte ! dit-elle avec une voix enfantine.
Je restai perplexe. Mais je parvins à dissimuler mon trouble et à me composer un visage impassible.
— Vous êtes ridicule. Foutez le camp.
Ma remarque la vexa.Elle disparut, me laissant avec une furieuse envie de me branler.Dans la journée, elle me fit la tête.Mais, le lendemain, elle revint à la charge.
— Ne me dites pas que cela ne vous a rien fait de voir ma chatte. Je n’y crois pas.
Elle avait dit chatte. Et ce mot, incongru dans une entreprise, improbable dans la relation entre un cadre et son assistante, m’excita.
— Ca ne m’a rien fait. Vous n’être pas du tout mon style de femme. — Ah oui ? C’est quoi votre style ? Le genre petite bourgeoise coincée ?— Et ce n’est pas non plus votre style de jouer les allumeuses.— Oh ! Que savez-vous de moi ? Nous avons tous deux visages : celui que nous composons pour pouvoir évoluer en société et dans l’univers professionnel et un autre, plus intime, qui abrite nos fantasmes.
Et elle avait raison. J’étais ce cadre supérieur sérieux et respecté et j’avais réussi jusque-là à contenir mes fantasmes. Mais, depuis que Léona avait surgi dans ma vie, je ne cessais de penser à elle. Son corps, sa bouche, sa chatte, depuis que je l’avais vue, m’obsédaient. Mais je n’avais pas le droit de craquer. Je devais rester fidèle à mon épouse. Bientôt mon assistante reviendrait et Léona partirait. Je devais tenir jusque-là.
— Sans doute, répondis-je. Mais vous ne faites pas partie de mes fantasmes.
Elle m’offrit un sourire narquois pour me signifier qu’elle ne me croyait pas.
— Et votre mari, dans tout ça ?
Son visage s’assombrit. J’avais touché un point sensible et décidais d’en profiter.
— Vous lui donnez raison. Sa jalousie est justifiée.— Je ne l’aime plus. Je reste avec lui... parce que je n’ai pas le courage de partir. Et vu qu’il me prend pour une salope, autant l’être, n’est-ce pas ?— Raisonnement absurde.— Et puis qu’est-ce que ça veut dire salope ? C’est aimer le sexe ? Tout aimer dans le sexe ? Alors oui, c’est mon cas. Mais plus avec lui. J’ai engagé un jeu de séduction avec vous parce que vous me plaisez. Et parce que je sais que je vous plais également.— Vous êtes mignonne, en effet. Mais je ne fantasme pas sur vous, je vous le répète.— Dites-moi que vous n’aimez pas mon cul. Soyez sincère.
Je me sentis fébrile. Son cul. Son magnifique cul.
— Vous êtes bien foutue, c’est vrai.— Je vous parle de mon cul. Je sais qu’il est parfait. Et je vous ai surpris plusieurs fois en train de le regarder.— Oui, vous avez un beau cul.— Nous avançons, dit-elle triomphante.
Il y avait une réelle tension entre nous. Elle fouillait mon regard et je sentais mon sexe gonfler.
— Alors, soyez sincère : quelle pensée obscène avez-vous eu à mon sujet ?
Je voulus lui faire baisser les yeux, la mettre mal à l’aise à son tour, lui faire ravaler sa morgue.
— J’ai imaginé que je vous sodomisais. Directement. Sans avoir échangé de baiser. Juste ça. Même pas vous faire l’amour. Juste vous sodomiser.
Je l’avais atteinte. La romance sexuelle qu’elle imaginait prenait la tournure d’un acte cru.Je lui envoyais à mon tour un sourire ironique. Elle me toisa, furieuse et me laissa.J’étais allé trop loin sans doute. Je m’étais laissé prendre à son jeu. Elle avait été maligne, sournoise et m’avait entrainé sur la pente verglacée du désir. Mais je l’avais faite taire. Du moins, le croyais-je. Car le lendemain, elle fit irruption dans mon bureau.
— D’accord, lança-t-elle.— Pardon ? — J’accepte votre proposition.— De quoi parlez-vous ? demandais-je, alors que j’avais parfaitement compris de quoi il en retournait.— La sodo.— Ce n’était pas une proposition. Juste une élucubration. J’ai joué le jeu, c’est tout.— Bon, eh bien moi je suis d’accord pour faire comme vous avez dit. Je n’ai pas arrêté d’y penser. Et je me dis que ce serait une expérience. — Sortez.— OK, dit-elle.
Elle se retourna, se pencha en avant pour ajuster sa chaussure et remonta sa jupe. Je pus voir son cul, nu, offert, parfaitement proportionné et sa chatte tendue vers moi
— Léona !— Quand vous en aurez envie... dit-elle avant de disparaître.
Suite à venir...
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