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Tenues d'été fort légères

Chapitre 1

Bodypainting dans la rue

Voyeur / Exhibition
Cette ville du Sud-ouest organise en ce week-end de juillet "Le festival des arts de la rue". Nous avons été sollicités pour participer à notre manière à cette manifestation particulièrement festive. Un cadre qui convient parfaitement à mes talents de peintre sur corps: tester la rue avec nos bodypainting !...En ce samedi matin Jean, mon ami photographe souvent de la partie, Sandra, Nina, Cathy mes trois modèles et moi nous sommes donné rendez-vous à la salle de danse que fréquentent les trois filles. Dehors il fait soleil et d’ici midi il va faire chaud. Nous sommes avides de constater l’effet de leurre sur les passants que peuvent avoir des femmes nues, pourtant habillées de vêtements peints en trompe-l’œil... Elles vont jouer les exhibitionnistes, le plus discrètement possible en pleine rue. Tout un programme !...Nous devons envisager que cette expérience sera jalonnée de surprises et d’incertitudes et nous ne serons peut-être pas trop de trois pour encadrer nos candidates !... Cathy, s’est ainsi jointe au groupe, habillée elle de vrais vêtements pour faire diversion et protéger si nécessaire...Confortablement installés dans une petite pièce qui sert de vestiaire, contiguë à la salle de danse, je commence enfin ma première peinture avec Nina. Pour son confort elle est couchée sur le dos sur une table ; elle conservera cette position une bonne heure et ne sera debout que pour lui peindre le dos... Bien qu’un peu stressée elle est de bonne humeur et la musique classique que nous a mise Sandra à la sono, incite presque à l’endormissement ; c’est mieux ainsi. Je suis, quant à moi, bien entouré et encouragé, même conseillé par Sandra, Cathy et Jean qui ponctue mon travail de photos souvenirs...Une heure et demie plus tard, Nina est habillée d’un chemisier rouge noué à la taille et d’un jean noir presque brillant, pour l’effet cuir, qui lui colle à la peau !... impatiente de découvrir sa nouvelle tenue, elle se précipite dans la salle de danse pour se voir dans les grands miroirs. Je la livre au zoom de Jean pour un shooting particulier !...C’est maintenant au tour de Sandra de se faire peindre : plus à l’aise que Nina, elle s’abandonne à mes pinceaux une heure durant, sa tenue étant plus légère... Précision ; certes cachés par la peinture, les deux modèles ont revêtu un mini string pour sortir. C’est vers quatorze heures que nous mettons enfin le nez dehors pour commencer notre expérience hasardeuse ! Nina marche devant avec Cathy dont la tenue très sexy, robe mini très moulante, fait diversion du jean noir et du chemisier rouge de Nina qui paraît plus habillée ; quant à Sandra, peinte d’un sous-tif blanc et d’un short jean bleu, elle marche légèrement en retrait entourée de Jean et moi-même.Dans cet équipage, nous sommes tous très attentifs aux regards des passants qui nous croisent, au risque de les mater un peu trop. En haut de la rue, se tiennent des jongleurs, des cracheurs de feu, bref beaucoup de monde déambule dans les rues très animées. Les commerçants ont sorti leurs étals sur la chaussée pour l’occasion entièrement réservée aux piétons... les terrasses de café invitent à une pause musicale improvisée par de jeunes talents. Depuis quelques minutes que nous déambulons dans cette rue piétonne, nous n’avons remarqué aucun regard de surprise de la part des gens que nous croisons.Nous arrivons à la station d’autobus. Nous montons, là encore, sans susciter le moindre regard de curiosité. Nous en sommes tellement étonnés que les filles commencent à se trémousser au milieu de l’espace entre les portes. Un homme assis au premier rang réagit alors, silencieusement, haussant les sourcils d’étonnement, un sourire au coin des lèvres !... Sandra, l’objet de sa découverte, se tourne alors pour lui présenter son postérieur... une mamie assise de l’autre côté réagit de la même façon à la vue du jean noir de Nina, et glisse un mot à son voisin, dont le regard curieux et émoustillé ne fait aucun doute sur sa découverte !... ainsi par chuchotements successifs la rumeur, accompagnée de la curiosité grandissante des passagers qui se rapprochent des deux côtés du bus, s’amplifie-t-elle si rapidement que pour éviter un éventuel avatar, nous décidons de descendre à la station suivante, laissant interrogatifs et perplexes les passagers qui ont tout vu et restent sur leur faim !...La rue est animée, et après ce premier test que nous avons arrêté avant de créer des problèmes, nous sommes tous un peu sur le qui-vive ! Mais de nouveau, les piétons semblent indifférents à nos tableaux vivants !... C’est fou comme les passants sont indifférents aux gens qu’ils croisent dans la rue. Nous décidons cette fois d’investir une terrasse de café. La musique bat son plein, et c’est en dansant que nos trois copines se pointent à une table que nous investissons. Les clients des tables voisines absorbés, qui par les musiciens, qui par sa conversation, qui par sa partenaire, n’ont rien remarqué. Le serveur arrive prestement prendre les commandes... toujours pas de réaction, pourtant Nina est juste à côté de lui et Sandra lui fait face !... nos interrogations, sans doute un peu bruyantes, ont fait tourner la tête à une jeune femme qui téléphone. Son regard étonné et son sourire traduisent sa découverte. Mais elle n’en reste pas là, pose son portable, s’approche de Nina et lui touche l’épaule en s’exclamant : — Oh ! Ce n’est pas possible un truc pareil, c’est fou !... et partout vous êtes peinte ? Et vous !... vous vous promenez comme ça ? Oh sûr ! Moi je ne pourrais pas. Qui c’est l’artiste ? Et Nina me désigne de l’index.— Bravo, c’est à s’y tromper tellement c’est bien fait. Reprend-elle.Je l’invite à se joindre à nous, et lui présente une chaise à côté de moi. Je remarque de nombreux regards tournés vers nous. Entre temps le garçon est de retour avec son plateau plein de verres ; très captivé par son boulot il n’a toujours rien remarqué. Nina malicieusement se penche vers lui, du coup il heurte son épaule avec son coude et manque lui renverser un verre dessus. Il se penche alors vers elle pour s’excuser et reste en arrêt une fraction de seconde, bouche baie, les yeux écarquillés, à la fois muet et souriant, puis décroche à voix basse un:— Merde alors !... ce coup-là, on me l’a jamais fait !... puis se tournant vers Sandra : — Oh, mais elle aussi !...Là c’est le fou rire général de toute la tablée, ce qui ne manque pas de faire tourner des têtes... et là, telle la propagation de la rumeur, chacun se lève, se déplace, tourne autour, donne son avis... certains ou certaines, sceptiques, tels Saint Thomas, osent toucher !... Eh oui... c’est bien de la peau sous leurs doigts.Plus tard, Jean qui filme discrètement notre périple est bientôt imité par quelques photographes amateurs qui sollicitent nos deux modèles pour réaliser quelques clichés. Nina et Sandra, se plient volontiers à l’exercice qui les enchante, elles qui adorent se montrer nues. Pour ce shooting, elles sont entrées dans un bâtiment où se tient une exposition de peinture, plus calme que la rue. Là, toujours en compagnie de Cathy, et devant les plus grandes toiles, elles se livrent à une combinaison de poses qui attisent nos trois photographes dont un quinquagénaire américain qui doit dépasser le quintal. Jovial, chaleureux et coquin, il nous amuse de ses plaisanteries.Un peu fatiguées, nos trois grâces s’assoient sur les marches d’un escalier et bien évidemment, leurs cuisses relevées découvrent leur intimité. Le micro string de Nina a glissé de côté. Si elle ne s’en est pas rendu compte, pour autant la chose n’a pas échappé à ses admirateurs qui, eux, matent sans vergogne son entrejambe. Tout ça dans les rires et la bonne humeur de l’américain titillé par la situation. Il en profite d’ailleurs pour solliciter des poses plus osées, jambes levées, écartées... Nina, tout à sa joie de faire le spectacle n’a pas réalisé que sa chatte prend l’air et continue sans aucune gêne son exhibition. Au gré des mouvements et de son excitation, émergent de sa fente ses petites lèvres roses, éclatantes sur fond noir... Elle en fait tant que Sandra s’exclame, un sourire aux lèvres ;— Mais Nina, tu as perdu ton string ?... et Nina baissant le regard sur son entrejambe ;— Quoi ? Comment ? Où est mon string ? Avec deux doigts passés sous l’élastique qu’elle étire, elle parvient à replacer le petit triangle au milieu... mais elle a tellement tendu l’élastique pour éviter un nouveau dérapage qu’après une autre série de poses, le triangle s’est cette fois replié dans sa fente, ce qui réjouit notre américain qui s’approche et, l’entoure de ses gros bras protecteurs, pour venir la remercier de sa générosité, en profitant au passage pour lui caresser les tétons en lui faisant la bise. Au sortir de la galerie, nous sommes entourés de beaucoup de curieux, et même si la plupart des réflexions que l’on entend à la ronde sont admiratives, étonnées et gratifiantes pour les modèles, on entend parfois quelques grincheux qui expriment vulgairement leur réprobation !... Aussi, décidons-nous un repli dans une rue plus calme. J’ai emporté deux boîtes de peinture, et, sous un porche, j’en profite pour restaurer rapidement les fesses de nos deux modèles et les endroits qui ont souffert des frottements !... En quelque sorte, Service Après Vente. Plus loin, nous prenons la passerelle pour traverser la rivière et croisons quelques groupes de piétons qui ne remarquent rien... sauf quelques rares, lorsqu’ils se retournent et découvrent la raie des fesses. Puis nous arrivons dans un jardin public. Et là, même amusement de notre part, à matter le regard des passants incrédules et bluffés. Combien ces faux vêtements auront-ils trompé de gens que nous avons rencontrés en quelques heures en cet après-midi de fête ?... Nos déambulations dureront ainsi jusque tard dans la soirée, continuant à nous amuser des regards des passants et des escales festives dans les bars et les cafés de la ville. Notre périple s’achève à la salle de danse où j’avais tout à l’heure peint les deux filles. Nous sommes tous épuisés. C’est par une bonne douche que prend fin cette charmante exhibition. Jean, Cathy et moi proposons notre aide à Nina et Sandra pour les débarbouiller sous la douche, ce qu’elles acceptent volontiers. Les trois filles que nous retrouverons pour d’autres occasions nous quittent toutes heureuses d’avoir réalisé ce défi artistique, original, plein de charme et de magie.
Cher lecteur, ce récit est bien réel. Seuls les prénoms des personnages sont différents. Artiste peintre sur corps, ce fut un fantasme, devenu réalité il y a plus de vingt ans. Cette activité m’a amené à collectionner de nombreuses anecdotes qu’ont suscitées ces animations dans les lieux les plus divers. Là c’était en 1997.Si c’est techniquement possible, tu auras peut-être quelques photos et d’autres récits sans doute plus érotiques.
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