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Teresa, mariée et (presque) fidèle

Chapitre 1

Divers
J’ai longtemps hésité avant de soumettre ma vie à votre jugement, car je suis une jeune brune un peu timide. Mais il m’est arrivé une aventure il y a trois jours que je ne peux plus garder pour moi!!
Mon mari et moi allons bientôt fêter nos 18 mois de mariage, 18 mois torrides et tendres, que je vous raconterai peut-être plus en détails si le cœur vous en dit. Bref, tout ça pour dire que tout allait -non, tout VA- pour le mieux avec lui, notamment sexuellement. Pour marquer notre semi-anniversaire, je voulais lui faire une énorme surprise qui impliquait un gâteau au chocolat. Mauvaise cuisinière que je suis, je me rends donc dans une pâtisserie afin de lui en commander un à la crème (matière plus facile à étaler qu’un gâteau au yaourt). Ce jour là, j’étais en tailleur-jupe crayon noir satiné, avec des dessous en dentelle rose.
J’arrive donc dans cette fameuse boutique, vide, et attends patiemment le retour du vendeur. Cette pause me permet de fantasmer sur ce que les doigts et la langue experts de mon mari me feront en goûtant ce gâteau sur mon nombril, mes seins, mon pubis... Je commence à ressentir l’humidité de mon intimité lorsque le teneur de l’échoppe me ramène à la réalité en m’appelant par mon prénom:"-Teresa?" (Oui, j’ai oublié de mentionner ceci)Je n’en crois pas mes oreilles. Je reconnais la voix grave, rauque et suave de mon premier amant dont je n’avais plus eu de nouvelles depuis plus de cinq ans!! Je lève les yeux, ébahie, et je me rends compte que je me mords la lèvre de mon fantasme conjugal."-Teresa, c’est bien toi, je ne rêve pas?!-Bon sang, c’est ce qu’on appelle une coïncidence!! Tu as réussi dans la pâtisserie?-Comme tu le vois. D’ailleurs, je peux te servir?-Oh!! Oui, euh... Je voudrais un gâteau à la crème au chocolat, qui dirait "Forever", pour deux, s’il te plait. Un beau, avec de jolies décorations...-C’est pour ton mari?"Je vois son regard descendre sur ma main gauche, puis une sorte de douleur dans son regard. J’acquiesce silencieusement, ne sachant que dire, me sentant un peu honteuse.
Après avoir marqué la commande sur un papier, il relève le visage vers moi, me scrute, et comme s’il venait de prendre une grande décision, fait le tour du comptoir d’un pas décidé. Il s’approche de moi, et avant que je ne puisse lui demander ce qu’il faisait, il m’enserre par la taille, comme j’aimais qu’il m’attrape avant, et m’embrasse tendrement. Il semble ne pas vouloir me laisser de chance de repartis, m’enserre toujours fermement et m’embrasse de plus en plus fougueusement, et finit par passer sa langue sur la mienne. Et il attendit, car c’était notre code: celui qui voulait la langue de l’autre léchait sa lèvre supérieure et attendait la réponse. Mais ici, maintenant, ouvrir ma bouche signifierait plus qu’accepter un baiser plus profond. Ce serait l’acceptation d’un adultère.
Après quelques secondes, mon ancien amant comprend la dualité qui se passe dans ma tête et me relâche, essoufflé. Il s’excuse et repart, comme confus derrière son comptoir pendant que je réalise... Je mouille. Je suis humide à cause de l’interdit de la chose, à cause de ses baisers si doux et si sauvages, à cause des souvenirs que tout cela a fait remonter. Alors sans réfléchir, je me dirige vers la porte, retourne la pancarte qui indique maintenant que le magasin est fermé et me déplace presque désespérément à mon grand brun, qui parait soulagé de me voir venir!!
Il ouvre grand ses bras, m’attrape par les hanches, me pose sur le comptoir de marbre et m’embrasse de nouveau à pleine bouche!! Ses mains, d’abord chastement posées sur mes hanches, commencent à caresser mes cuisses, de plus en plus vers l’intérieur, puis comme pour me faire languir, il repart sur mon dos. Il se décide à passer aux choses sérieuses et ouvre un à un les boutons de mon chemisier, en frôlant "malencontreusement" ma peau. Il m’en lève enfin le vêtement, regarde avec envie, tendresse et admiration ce cette poitrine qu’il convoite. Il dégrafe mon soutien-gorge et caresse mes seins pendant que ses lèvres s’apposent sur mon cou. Petit à petit, il descend, embrasse ma clavicule, et de sa langue, trace le passage depuis son dernier baiser jusqu’à mon nombril en passant par un téton en descendant, et l’autre en remontant. Enfin, il s’y arrête, le lèche, l’embrasse, le mordille, fait un suçon juste en-dessous, passe au sein gauche et lui administre le même traitement. Sentant que je commence à lâcher prise, il me soutient le dos pendant que je m’allonge tout en repassant sa langue sur mon nombril.
Ses mains recommencent à s’intéresser à mes cuisses, il s’attarde plus, cette fois-ci, à leur intérieur. Il tire avec plus d’empressement qu’il n’aurait voulu, sur la fermeture zippée de la jupe et dévoile mon tanga rose clair humidifié par la douce torture qu’il m’a déjà infligée. Il embrasse la peau nue de mes cuisses en remontant (trop!!) lentement vers mon dernier rempart à la faute. Cette pensée me tend un instant, mais il ne me laisse plus le choix: il me l’arrache avec ses mains enragées, se fiche de l’avoir craqué et commence un cunnilingus à damner un saint!! Il lèche mes lèvres, cherche mon clitoris, et une fois celui-ci trouvé, il le lèche, le suçote, le re-lèche, en fait le tour avec le bout de sa langue. Je sens la vague de chaleur m’envahir, et mes spasmes lui communiquent ma défaillance imminente. Il passe ses doigts sur mes cuisses, redessine mon ventre et mes seins, et, car il n’a pas oublié mon corps, suçote une dernière et longue fois mon bouton de rose gonflé à l’extrême... Aaaaaah, Dieu que c’est bon!! Des flashs, des coups de jus, des fourmis m’indiquent l’emplacement de ses doigts pendant mon orgasme, et il n’a pas lâché mon clitoris. Un orage, le nirvana, la plus grosse tempête de ma vie et la plus douce des sensations.
Lorsque je reviens à moi, il continue de lécher et sucer mes lèvres, comme il se souvient de mes préférences jouissives. Je n’ai plus de souffle ni de force, mais je parviens à me relever pour le remercier d’un regard. Il a l’air heureux, et je sais que m’avoir donné cet orgasme lui aurait suffit. Mais je n’ai pas dit mon dernier mot, et je compte bien le remercier proprement!!
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