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Il termine soumis alors qu’il voulait la soumettre

Chapitre 4

Premier gage

SM / Fétichisme
Petit rappel des personnes en présence (le mieux est de relire les trois premiers chapitres)

Serge : votre narrateurSylvie mon épouse. Celle que je voyais comme ma soumise le temps des vacances.Rachel son amie de longue date délaissée par son ami et à qui nous avons proposé de venir avec nous en vacances.Dans le dernier épisode, tout avait basculé. De potentielle soumise, Sylvie avec son amie Rachel sont devenues mes maîtresses... plus qu’affirmées. Et elles sont diaboliquement vicieuses.
—-------

Nous profitons de la piscine : bronzage et baignade. Pour mon plus grand bonheur, les filles ont posé le haut de leur maillot de bain. Au final, je me sens comme un adolescent nu accompagné de deux femmes sublimes, que j’espère bientôt complètement nues. Heureusement l’eau fraîche me permet de calmer un peu mes érections à répétition. Je fantasme que bientôt nous ferons l’amour à trois, car sinon je vais avoir un infarctus très vite.
Midi arrive... Sylvie donne le signal, en indiquant qu’il est l’heure du gage. Les filles récupèrent les feuillets qu’elles ont rangés soigneusement. On sent que l’atmosphère devient électrique. De mon côté je commence à redouter que certains gages ne sortent tout de suite. L’heure passée je les ai mentalement parcourus de nouveau et pour certains je ne vois pas comment je vais les subir. Comme celui avec le gode toute la journée : j’ai acheté un modèle assez gros et n’ayant jamais été sodomisé, je redoute ce gage en particulier. Je n’avais pas imaginé ce gage pour cet orifice-là, et n’ayant pas d’autre orifice disponible je crains que les filles n’aillent l’utiliser.
Un feuillet est extrait de la liasse par Sylvie qui le montre à Rachel. Elles me regardent excitées en me disant que j’ai de la chance pour ce premier tirage. Avec perversion elles font durer le suspense...
— A genoux esclave : pour entendre ta punition, mains dans le dos. — Anneau de soumission ? Qu’as-tu prévu et où est-il rangé ? Il va être utile, petit soumis. J’espère que c’est confortable, car tu vas devoir le porter en permanence, voici ton supplice du jour – rédigé par toi, je te rappelle :— Depuis le jour du tirage de ce gage jusqu’au départ, l’anneau de soumission doit être porté en permanence.
Ouf, finalement ça semble simple. J’avais trouvé un collier d’esclave en métal, avec un petit anneau pour y passer une laisse. Mais je sais qu’il est trop petit pour moi ; ça va donc être un sursis pour moi : le gage n’étant pas réalisable. Je commence à me lever pour aller le chercher, mais Sylvie me dit que je dois rester à genoux, elle va y aller. J’explique où se trouve le collier.
Sylvie revient peu après, le fameux collier à la main. Étrangement elle semble contente qu’il soit trop petit pour mon cou.
— Vois-tu Serge, lors de nos achats pour toi, nous avons pris un anneau qui sera parfait : mets-nous ça ! Ton petit collier est trop gentil.
Et elle me tend un anneau d’acier.
Surpris, je prends l’objet qui est assez lourd. Cela ressemble un bracelet assez ouvragé, une chaînette est insérée dans la gorge du bijou. Aucun système d’ouverture : pour le cou, c’est donc impossible ! J’essaie de le passer au poignet, mais il est un peu petit et ne veut pas se laisser enfiler.
Rachel pouffe.
— Ce que tu tiens est un cockring et ce sera parfait pour habiller ta nudité. Il remplacera avantageusement ta toison pubienne - perdue à tout jamais. Tu dois passer dans l’anneau tes couilles et ta queue. On a hâte de voir ce qu’il donne sur toi en espérant que Sylvie a bien calculé ta taille. De toute façon il n’y a pas plus grand.

Maladroitement je pose l’anneau au niveau de mon sexe, mais y passer mon service trois-pièces semble encore plus impossible que de le mettre à un poignet. Pourtant l’anneau est imposant et lourd.
— Je t’explique Serge, me dit Sylvie. Tu vas aller prendre une douche bien froide, car en bandant, c’est impossible à passer. Une fois ton pénis au repos, tu mets l’anneau devant tes testicules : tu en passes un, tu tires un peu la peau des couilles puis tu passes le second. Pour finir, tu glisses dedans ta queue : au repos ce sera facile. Une fois le tout passé, tu positionnes bien l’anneau pour qu’il ne tire pas ta peau. Puis tu reviens nous faire le défilé de mode.

Je les laisse et repars dans la maison. J’y suis leurs indications et après pas mal d’efforts, j’arrive à poser l’anneau. Je suis inquiet, en me demandant si je pourrai le retirer ! La sensation est surprenante. Le poids d’abord : ça fait bizarre de sentir ses couilles lestées ainsi et prisonnières. Ensuite je me retrouve la peau des couilles bien tendue, les testicules bien visibles sous la peau. Et sous la légère pression, ma queue marque comme un début d’érection avec les veines plus saillantes que d’habitude. L’anneau, étrangement, n’est pas si inconfortable... c’est même assez agréable, car on sent son sexe mis sous une légère pression et prêt à bander à la moindre sollicitation. Ce qui risque d’arriver très vite.
Je me sens perdu en approchant de la piscine, je découvre l’effet de l’anneau en marchant qui met rapidement mon sexe dans un état « sous pression ». Arrivé à elle, elles me demandent de m’agenouiller jambes écartées et mains dans le dos à leurs pieds : pour bien voir ce que donne l’anneau. Je m’exécute.
— Superbe ! dit Sylvie. Pour une mise en valeur, cela en est une ! Et il semble juste à ta taille : tant mieux le reste t’ira donc, c’est une bonne nouvelle.

Elle vient près de moi et saisit dans ses petits doigts fins ma queue et commence à jouer très doucement avec, décalottant le prépuce très lentement... Je mouille comme un fou et en 30 secondes me voici la queue dure comme de l’acier. Elle continue doucement, me mettant au supplice, car je n’ose me laisser aller. Je crains que le sperme ne puisse pas sortir. Je suis proche de craquer quand sa seconde main commence à malaxer mes couilles, sans que la première arrête ses va-et-vient. Je suis au supplice, mais elle arrête juste au moment où je sens ne plus pouvoir tenir... Et verse son verre d’eau fraîche sur ma queue en riant : ce qui m’éloigne de la délivrance. La suite me laisse pantois, j’entends Sylvie dire à Rachel :
— Rachel, veux-tu vérifier aussi ? L’effet est top !
Rachel reste dans son fauteuil à côté de moi.
— Sylvie c’est vraiment gentil à toi, mais c’est gênant pour moi de toucher comme ça la bite de ton mari, non ? Remarques - notre soumis semble aussi le demander vu que sa bite est de nouveau bien raide.

Au lieu de se pencher vers moi, elle approche son pied de ma queue. Voir son petit pied soigné, aux ongles vernis rouges impeccables, approcher me fait aussitôt rebander. Des caresses avec un pied est une nouveauté pour moi. Elle pose ses orteils juste à la base de ma queue et elle pousse un peu mon scrotum tendu, s’immisce entre mes testicules gonflés et prisonniers dans l’anneau. Elle patouille un peu et fait de légères pressions. Au bout d’un moment elle remonte doucement mon sexe en s’aidant de ses orteils, qui deviennent comme vivants. Elle fait une pression en se servant de mon ventre comme appui. Elle arrive à la base du gland... Sa caresse est divinement bonne.
— Retiens-toi esclave, je serai très fâchée que tu flanches déjà... et tu louperais le meilleur en plus.

Sylvie regarde le pied de Rachel subjuguée, je la vois passer une main dans son maillot pour se caresser doucement. Ça me rend encore plus fou. J’essaye de temporiser l’éjaculation, mais ça devient très compliqué.
Son pied est arrivé en haut de la verge, ses petits orteils s’agrippent au prépuce et commence à tirer dessus pour décalotter mon gland. Ça glisse tout seul vu la quantité de liquide préséminal que je libère depuis tout à l’heure. Une fois découvert, son petit pied se repose sur le frein et reprend son léger patouillage... C’est à ce moment-là qu’elle amène son autre pied, qui lui se pose sur mes testicules et effectue un doux patouillage lui aussi.
J’essaie désespérément de penser à autre chose pour me retenir. Le souci est que pour se servir de ses pieds, elle a avancé le bassin au bord de sa chaise et de fait, a les jambes écartées. Et je devine son petit minou sous le fin maillot de bain... Je le devine ouvert et vois la tache humide sur le maillot. Sylvie commence à pousser de petits cris montrant qu’elle va jouir à nous regarder. Il n’en faut pas plus pour que je cède et je me mets à éjaculer en longs jets puissants, l’anneau remplissant son œuvre. Quelques jets tombent sur les pieds de Rachel.
Tu aurais pu attendre un peu, me gronde Rachel. Je n’ai plus qu’à aller me laver : tu m’as souillée. Elle se lève et part vers la maison.
Inquiet de ce que peut penser Sylvie, je viens l’embrasser alors qu’elle vient également de jouir. Visiblement elle ne m’en veut pas – bien au contraire – et nous repartons ensemble vers la maison prendre une douche également.
Après une bonne douche, je n’ose pas retirer l’anneau – censé être conservé tout le temps. Je reste nu également. Je m’allonge au bord de la piscine pour profiter un peu du calme – sans mes deux tortionnaires.
Les femmes sont longues. Elles finissent par revenir, je remarque qu’elles se sont habillées un peu de la même façon : petit pantalon en toile, chemisier léger et des chaussures de sport aux pieds. Sylvie tient mes tennis à la main, ce qui me semble étrange. Cette fois-ci, elle prend la parole :
— Chéri : il est bientôt 15h et il commence à faire faim. Nous avons trouvé une auberge à quatre kilomètres d’ici : c’est une bonne idée pour y déjeuner ? Vu la distance, nous pensions y aller à pied pour nous ouvrir l’appétit ? Qu’en penses-tu ? — C’est une bonne idée ma chérie. Ça nous fera du bien de marcher un peu, surtout qu’après la longue route pour arriver ici, la voiture me sort un peu des yeux. Vous avez eu une excellente idée.

Je me lève et me dirige vers la maison pour aller m’habiller.
— Où vas-tu Chéri ? J’ai pris de l’argent dans mon sac et j’ai pensé à tes tennis.— Si nous y allons à pied, cela veut dire de prendre la route qui passe devant la propriété... Je vais donc comme vous passer quelque chose sur moi.— Chéri, la première ville est à quatre kilomètres, ici ce n’est pas la ville... Tu as déjà oublié ton premier gage ? « De cet instant jusqu’à notre retour de vacances, tu resteras nu en permanence devant nous – sauf en ville. »— Heu... Oui, mais c’est à relativiser. Il y a plusieurs kms à faire sur une route goudronnée et il y avait des panneaux routiers : il y a sûrement des voitures qui l’utilisent. J’ai besoin d’un petit quelque chose à mettre, même symbolique.— Serge, tu es énervant à la fin. Le gage est pourtant clair et simple à comprendre. Comme tu le fais remarquer il y a des panneaux routiers : il y aura le panneau d’entrée dans la ville et là on te donnera comme promis un minimum vestimentaire. Tu veux vraiment nous énerver et demander à mettre un petit quelque chose, même symbolique ?— Oui, j’aimerai bien : ça pourrait me rassurer pour cette première journée.— Hummm... OK Serge, tu es bien exigeant je trouve, mais nous sommes bien gentilles et t’autorisons un petit quelque chose en plus, et symbolique.

Mais son sourire ne me dit rien qui vaille. Je pressens que je suis encore en train de me faire avoir. Jusqu’à présent, je vis plus dans un mauvais remake du film WishMaster, version SM. Je m’attends à tout avec mes deux furies.Sylvie retourne dans la maison, puis une fois revenue, elle prend dans son sac un petit objet que je reconnais, car il faisait partie de mes achats. Un Rosebuds « Fessman » qui, au lieu d’une pierre, a un personnage qui retient le plug. Je trouvais ça plus securit. Elle me le tend, avec un petit tube de lubrifiant.
— Puisque tu insistes, mets ça. En plus vu certains gages que tu as prévus, il vaut mieux commencer à assouplir ton anus... mon Chéri. Ce me semble parfait comme un petit quelque chose symbolique. Ça répond à ta demande et en plus c’est toi qui l’as choisi. Tu as dû aimer ce petit personnage de bronze, bien musclé et qui a une énorme queue. On devrait voir entre tes jolies fesses le petit bonhomme... Allez zou... que nous puissions aller manger !— Mais Sylvie, je ne peux pas aller comme ça jusqu’au restaurant !— Mais si, puisque c’est ce que tu as demandé depuis longtemps, que tu as osé en parler à Rachel... et que tu as acheté toi-même : même si tu pensais le voir en moi. Juste un instant avant que tu le mettes. Il nous faut une référence pour savoir si tu t’assouplis au moins.

Elle sort un gant en latex de son sac et le met. Me prenant le petit tube elle met du lubrifiant sur son index en quantité et passe derrière moi. D’une main elle écarte mes fesses et sans ménagement glisse son index dans mon anus. Elle fait quelques allers-retours. Au moins elle commence à me lubrifier. Mais quand je pense à son mignon index tout mini, j’appréhende le plug qui me semble d’un coup énorme (sur internet ça me semblait petit). Et j’appréhende encore plus d’autres achats que j’ai faits...
Je me sens tout chose, mais je n’ai rien à répliquer : tout ce qu’elle dit est vrai. Je suis prisonnier de mes demandes. J’étale une grosse quantité de gel sur le plug, pour qu’il soit bien recouvert d’une épaisse couche. Je me baisse un peu et approche le plug de mon anus et essaye de le pousser en moi. Je suis mort de honte, j’ai l’impression que ça va durer des heures pour le passer. J’exerce une légère poussée en continu sur le plug et essaye de me détendre au maximum. Pas simple. Je ressors le plug et remets du gel puis reprends l’exercice. Grâce au gel, je sens le plug qui m’écarte petit à petit, investissant mon anus qui résiste. A force de persévérance, je le sens progresser. A un moment, la partie la plus large arrivée, je le pousse encore un peu, jusqu’à ce que je le sente se propulser en moi, mon anus avalant le plug pour se refermer un peu sur la partie resserrée.
L’impression est très bizarre : je le sens très profondément enfoncé et sens le personnage entre mes fesses qui l’empêche d’aller plus loin.
Les filles applaudissent et disent qu’on peut y aller : les émotions donnent faim.
T’inquiète pas Serge ! Tu pourras le retirer pour manger... et t’asseoir ! Ça n’a pas l’air confort : espérons que tu vas t’y habituer, vu que tu en as acheté plusieurs. Ce serait bête de gâcher tes cadeaux. Je suis certaine que tu vas l’oublier en marchant – ou pas...
Elles rigolent de ma situation et là-dessus elles démarrent. Nous prenons l’allée qui mène au portail de la propriété. Je sens le plug qui cherche sa position, c’est plutôt désagréable : l’impression de quelque chose qu’on voudrait rejeter, mais qui est coincé dans l’anus. Plus nous approchons de la route et plus je panique. Si on me voit à poil entre les deux pin-up, la queue présentée dans son anneau et un objet coincé entre mes fesses... je n’arrive pas à imaginer comment je réagirai, et encore plus comment un étranger réagirait... La présence de mes deux femmes me rassure un peu, mais pas tant que ça. Je ne sais si elles ne sont pas pires que n’importe quelle rencontre.
Nous arrivons au portail, je me rassure en me disant que la route ne mène qu’à des champs, que c’est l’heure de la sieste et le soleil est au plus chaud. Je tire le portail, sous le regard attentif des filles. La petite marche a rendu plus facile le port du plug : au moins un point positif. Les filles sortent sur la route et m’attendent pendant que je referme. Me voici leur prisonnier exhibé sur la route !
Les premiers mètres sont difficiles, mon angoisse monte. Plus nous nous éloignons et plus je me retrouve exposé au premier venu, sans possibilité de me cacher sur cette route encadrée de champs. Je m’habitue peu à peu et au bout d’un kilomètre de chance, mon angoisse diminue. Mais j’écoute et n’arrête pas de me retourner : la route a des virages en longues courbes et on voit derrière ou devant que sur 200 mètres au mieux. De toute façon je n’ai rien pour si quelqu’un approche. Pourvu que le panneau de la ville soit proche !
De coup, je me souviens de ce qu’elles ont dit :
— Il y aura le panneau d’entrée dans la ville et là on te donnera comme promis un minimum vestimentaire.
Avec les dernières surprises qu’elles m’ont faites, je m’attends à tout avec ce « minimum vestimentaire » annoncé... Je repense aux sites consultés il y a quelques semaines : ça pourrait très bien être une cage de chasteté avec leurs idées vicieuses ! Quand même pas : j’espère qu’elles n’iraient pas jusque-là. Un string transparent ? Vivement ce panneau que je sois fixé.
C’est complètement dingue : nous marchons toujours sur cette route, long ruban d’asphalte au milieu des champs avec ses panneaux de signalisation : on dirait une route nationale ! Mais heureusement personne pour le moment. Par moments on passe devant un portail d’entrée de propriété, mais personne ne sort me jeter de cailloux à part de temps en temps des chiens qui aboient. Je commence à sentir mon angoisse refluer, remplacée par de l’excitation. A chaque pas le rosebud me titille les entrailles et l’anneau commence à reprendre du service... Ma queue est de nouveau en forme et se redresse dans son anneau. Plus on se rapproche du village, et plus nous remarquons des portails de propriétés. Mais au lieu de m’angoisser de nouveau, je me sens de plus en plus excité. Nous marchons depuis une petite heure : toujours pas ce panneau de la ville en vue.
Dans mon dos, j’entends comme un frottement léger. Les filles sont devant moi : je mets un petit moment à réaliser et me retourne. Une femme – la petite trentaine -arrive vers nous en vélo : elle m’a vu et le frottement entendu est fait par les freins, car elle ralentit. Elle s’arrête à deux mètres de moi et commence à me parler, mais je ne comprends rien du tout. Sylvie et Rachel font marche arrière et commencent à parler avec cette femme. Elles parlent espagnol, contrairement à moi. C’est animé, mais ça semble courtois. Ça dure un moment, la femme n’arrête pas de me regarder sans pudeur pendant leur discussion, je me sens un peu gêné au début, mais finalement : je n’y peux rien, donc soyons naturels !
Elle repart en nous faisant coucou de la main et me revoici sur ma route, de plus en plus soumis à mes maîtresses. J’essaie de savoir ce qu’elle disait, mais on me répond que je n’avais qu’à parler espagnol. Mais en synthèse, elle avait trouvé rigolo de me mater – surtout avec mes décorations.
Un peu plus loin, nous passons devant une fontaine et les filles en profitent pour s’arrêter et se rafraîchir. Sylvie reprend le lead :
— Profites-en pour te laver un peu. Nous ne devons ne plus être très loin, il est temps que tu retires ton plug et en profites pour le nettoyer. Il sera propre pour la prochaine fois, et continuer à te préparer doucement. Tu vois que nous sommes super gentilles ! Oublie pas ta jolie bite, car elle bave de partout. Dépêche-toi : on a supé faim.— Merci Mesdames pour votre complaisance.

Ça m’échappe et suis fâché de l’avoir dit comme ça en réflexe. Je commence à être vraiment soumis dans ma tête également ! Une fois propre, je redonne le plug à Sylvie qui le range et nous repartons. Je me sens nettement plus léger et naturel pour marcher, avec l’anus libéré.
Enfin, nous voyons ce fameux panneau ! Il est temps, car nous sommes passés devant des maisons en bord de route, et on sent la ville proche. On voit un cimetière tout proche, donc nous entrons en ville. Je m’arrête au poteau et regarde mes maîtresses. Je reste silencieux, mais mon regard doit être explicite. J’espère qu’elles vont tenir leur promesse ! C’est Rachel qui commence :
— Humm... j’ai l’impression que ton homme attend ses affaires... Tu les as bien prises au fait ?— Bien sûr... Un restau à poil, ça serait trop compliqué, sauf s’il nous attend au poteau - tout nu bien sûr. Mais on risque de nous le voler. Tu veux venir déjeuner avec nous Chéri ?— Oui, j’ai faim également, et les émotions creusent : et j’en ai eu mon quota ! Une trêve serait bienvenue et je vous en serai très reconnaissant.— Je croyais que tu voulais expressément être nu en permanence pendant ces vacances ? As-tu changé d’avis ? Peut-être que dans un petit bled comme ça ils te prendront pour un zinzin... Tu veux vraiment ton minimum vestimentaire ?— Heu oui, je ne veux pas choquer et avoir des ennuis... — OK, OK... nous sommes vraiment trop gentilles je trouve.

Sylvie regarde dans son sac et en sort un t-shirt qu’elle me donne, ainsi qu’un short léger. Trop content d’avoir réellement des vêtements, je les prends et les enfile en vitesse – sous leur regard amusé. J’ai eu vraiment peur de ce que serait le « Minimum ».
Le cœur léger, nous repartons. Nous passons le fameux cimetière : la grille est fermée et tout est paisible, la route rétrécie un peu et fait un S entre les premières maisons. Nous sommes bien arrivés au village. C’était limite de me retrouver là tout nu. Nous cherchons l’auberge, que nous trouvons facilement. La carte est appétissante, bien qu’assez courte.
Affamé, j’ouvre la porte, suivi de mes deux tortionnaires. La salle est à moitié vide, et l’ambiance semble assez conviviale. Les gens viennent ici pour se retrouver et passer un bon moment. Une femme vient à nous... je mets quelques secondes à la reconnaître : c’est la femme au vélo de tout à l’heure. Elle me regarde et entame la conversation avec Sylvie et Rachel.
Elle nous dirige vers une table, puis nous donne la carte. Je revis enfin normalement ! Sans angoisse – pour le moment. Une belle côte de bœuf plus tard, accompagnée d’un petit vin, la femme revient pour nos desserts. Elle s’appelle Estela. La salle s’est vidée pas mal, il reste peu de monde. Estela nous rapporte les desserts et reste à discuter avec Rachel et Sylvie. Pour une fois, j’ai le droit à un peu de traduction. En fait les filles se rencardent sur les coins sympas où aller et il semble qu’il y ait un lac à 40 kilomètres avec de belles plages assez sauvages et Estela a précisé avec un sourire, en me regardant, que le nudisme était fréquent sur ces plages. Les plus belles plages demandent un petit peu de marche, la route n’étant pas adaptée aux voitures. Et en semaine nous devrions être tranquilles. Lorsqu’elle revient avec les cafés, les filles discutent de nouveau.
Visiblement, Sylvie et Rachel ont accepté l’offre d’Estrela de nous guider demain – le restaurant étant fermé, elle n’avait rien de spécial à faire. Elle nous rejoindra demain matin après le petit-déjeuner : les filles lui ont expliqué où nous sommes.
Après ce super repas, nous faisons un petit tour du village, puis nous reprenons la direction de notre route. Tout le monde est très gai – le vin sûrement. Les filles semblent avoir oublié de me torturer. Le premier zig zag, suivi du cimetière et nous voici sur ce long ruban d’asphalte au milieu des pâturages. Mais au moment où nous arrivons au panneau de la ville : je suis rappelé à l’ordre par Rachel...
— Serge... nous passons le panneau. Tu n’essaierais pas de te défiler ? Nous ne sommes plus en ville... Donne...

Tout penaud, je retire mon t-shirt et le donne à Sylvie. À contrecœur je baisse mon short et le donne également. Me revoici tout nu sur la route. Heureusement pour moi, nous ne rencontrons personne sur la route et arrivons enfin à la maison où nous profitons de la piscine. J’espère que les émotions sont terminées pour aujourd’hui, car je sens que demain la sortie avec les trois femmes va être sportive...
Mais ce sera demain et certainement le prochain épisode si vous continuez à aimer.
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