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Terra Sancta Nostra

Chapitre 3

Hétéro
Synopsis :    Un jeune homme entre dans le confessionnal du père Jean-Baptiste. Il confesse avoir vu et fait des choses  salaces durant les deux mois précédents. Voici la suite de sa confession.
EN COULISSE[[<<-    J’ai appelé Dylan le soir même. Je lui aie raconté cette histoire de ouf. Comme quoi j’étais la proie d’une panthère qui avait promis de me « Baiser jusqu’à ce que je demande pardon ».  Bien sûr il a réagi comme mon meilleur pote : Il ne m’a pas cru-    Vraiment !? Il ne vous a pas cru ? -    Ah non ! Il s’est d’ailleurs porté volontaire pour une mission périlleuse : confirmer mes dires. Ainsi, le lendemain matin, il toquait à ma porte. A peine m’avait-il salué qu’il  se dirigeait déjà vers la porte de Carine. Elle lui avoua cash : « Oui Je l’ai dit et oui je le ferai »  Lorsque Dylan revenait dans ma chambre, il souriait,  sifflotait et se moquait de moi. Je lui demandais quelques conseils et chose étrange, Je ne reçu qu’un « Courage petit ».  Le message était passé : J’étais livré à moi-même, ou plutôt, j’étais livré à ma voisine Krine la chaudasse. Toute la journée j’ai réfléchi. Il n’était pas question la laisser me martyriser par cette… Je me répétais sans cesse « Réagis comme un homme ! »  Alors en tant qu’homme, j’ai fait ce que tout homme ferait : J’ai fui la maison pendant des jours en espérant que l’histoire se tasse.  Je sortais le matin et revenait tard le soir aux environs de 23h30. Mais cette escapade n’a duré que cinq jours. En effet le soir du 5eme jour, en rentrant de mon escapade, je l’ai trouvé affaissée devant ma porte.  >>]]------------------------------------------------------------------------------------

23h 18 min. Je pousse le portillon de l’immeuble complètement perdu dans mes pensées. Apres une journée à réaménager l’appartement de Dylan je ne pense qu’une seule envie c’est de prendre un bain et  m’allonger sur mon lit. Quelle journée ! Aujourd’hui Dylan a reçu un appel de sa copine ; L’information de la journée est que Danielle et Julien ont finalement fixé la date de la cérémonie de demande en mariage, dans un peu plus d’un mois. Je veux mais je ne peux pas me défiler. Or si j’y vais, je vais croiser Sony et ça finira forcement mal.
Je referme le portillon derrière moi et m’avance vers ma porte. Soudain je distingue comme une silhouette devant celle-ci. J’hésite mais j’avance tout de même. Elle prend finalement forme. Il s’agit de Krine. Elle est assise devant ma porte et se lève quand je m’approche. Nous sommes dans l’obscurité totale et c’est à peine si on arrive à se voir. Des myriades de questions affluent dans ma tête. Que fait-elle-la ? Pourquoi ? As-t’elle décidé d’en finir avec moi ce soir ? — Carine !? Que fais-tu là ? — Je t’attendais robert, dit-elle avec une voix qui me semble à demi-étranglée par les sanglots.-Mais qu’est-ce que t’as ? Mais tu pleures ? Elle fond en larmes comme si mes mots avaient été les déclencheurs.— On vient de m’annoncer que ma sœur jumelle est … Elle repart en larmes et finit par le dire « Ma sœur jumelle est décédée ». Et voilà, Je ne sais pas comment réagir. J’ai de la peine pour elle mais en même temps, je ne connais pas sa sœur… JUMELLE !? Waouh donc il y’a une autre bombe comme elle sur terre ? Je lui mets ma main à l’épaule. De son coté, elle se blottie contre moi. Encore une fois je sens sa poitrine contre mon torse. Ses bigs boobs qui s’y appuient et ses petites mains qui m’enlacent. Quelle sensation agréable ! Oups ! Situation gênante. Je me rends compte que je bande. Elle l’a forcément remarqué mais ne dit rien. J’ai honte. Pourquoi je bande ? Elle vient de prendre sa sœur et tout ce que je trouve à faire c’est bander. Un porc, je suis un porc, un gros porc. Je la regarde et me dis alors qu’elle est bien fragile.--------------------------------------------- EN COULISSE -------------------------------------------------------[[<<
 D’emblée je dois vous dire mon père que nous étions au calme. Je veux dire, Nous étions assis sur ce canapé, elle pleurait avec ses deux mains sur son visage et je faisais de mon mieux pour la consoler. Mais la suite… afin… tout est allé si vite, je ne saurais dire réellement ce qui s’est passé sinon que : A un moment elle s’est arrêtée de pleurer,  a retiré ses mains de son visage ; Je crois avoir vu un sourire au bout de ses lèvres. Elle s’est une fois de plus blottie contre moi. Je l’ai senti me presser fort. Toute la partie supérieure à ses hanches s’appuyait, se pressait sur moi. Je restais inerte, entre surprise et excitation. Je sentis à cet instant ses dents sur mon cou. Une cannibale !! Je n’en sais rien.  Ses bras se relâchaient et ses ongles s’affairaient désormais se planter dans la chair de mon dos. Une cannibale ? Peut-être bien. Ses manigances commençait assurément à porter leur fruits, je bandais un max. Krine savait ou me frapper afin ou plutôt me mordre. Je restais toujours inerte, ne sachant que faire, ou quoi dire. En effet je me retrouvais confronté à un sérieux dilemme ;  N’oubliez pas qu’elle avait promis voire juré de me «… Baiser jusqu’à ce que [je] demande pardon » En même temps, on ne dit pas non à une femme endeuillée, elle a besoin de réconfort. Alors que cette équivoque roulait dans ma tête, nos regards se croisaient et de but en blanc, elle m’embrassa. Comme un automate, Je répondais a son baiser positivement. Nos langues et nos salives combattaient et se mêlaient. Soudain, elle se mit à répéter entre deux baisers « terra pura »… Mais j’étais trop excité pour le relever. Elle détruisait toutes mes barrières ! Mes mains commençaient à s’activer. Je les baladais sur son corps de rêve. Je trouvais ses courbes et je pressais ses fesses en la ramenant contre moi (Comme-ci nous n’étions pas déjà assez serrés). Je perdais le contrôle. Je m’enivrais dans sa bouche, léchant, suçant et mordillant. Elle prit ma main et la dirigea sur sa poitrine. Je compris et je commençais à presser.  >>]]
Je continue de lui masser en lui mordillant le cou (j’ai vu ça dans un film). La réaction est sans appel : ça lui plaît. Pour preuve :-hummm c’est bon.Elle gémit. Son corps tout entier bouillonne. Je la vois qui se mord les lèvres. Et ajoute. -Robert-Oui,  dis-je en m’arrêtant intrigué!Elle se repositionne me lance un regard… je ne saurais le définir, on aurait dit… En fait je ne sais pas.-je suis à toi, dit-elle dans une voix essoufflée, je t’offre mon corps. Je veux que tu en fasses ce dont tu voudras.Et à moi de me demander dans ma tête, dans quoi je me suis embarqué.    -Je… Je ne comprends pas…    -Attends je vais te faire quelque chose.Son regard s’illumine, elle pose subitement sa main sur mon sexe et se met à le caresser à travers le pantalon. J’hésite mais je me laisse rapidement faire quand je croise son regard. Elle ouvre la braguette et libère l’engin. Satisfaite ? Je ne saurais le dire ! En tout cas, elle ne semble pas déçue par  la taille. ""Je crois… OMG, elle gobe mon pieu la première pipe de toute ma vie. C’est... OMG OMG"" ;Krine s’affaire à me nettoyer la queue et je suis aux premières loges… <<Vue et toucher>>.Elle fait des va et viens, lentement me malaxe les couilles et me lance par moment des regards intriguants. Ou est-ce inquisiteurs !? Et continue de répéter <<Terra pura>>. Je ne sais pas trop vous dire, JE PLANE. Je sens comme une sensation de bien-être aux fin fonds de mes entrailles. Je me raidis et serre les points… le bonheur, l’extase en quelques secondes. ET je m’adosse sur le dossier du canapé.Je reprends mes esprits quelques minutes plus tard. Elle est là, sourire aux lèvres, à me regarder.  Puis elle me lance :-Alors heureux ?-Pardon !! Fis-je, en baissant le regard. Un peu honteux.Elle claque la jambe et se lève puis prends la direction du frigo en se déhanchant.-    J’espère que tu as à boire mon chéri. Non pas que ton… nectar ne me convienne pas, c’est plutôt que j’ai tout de même soif d’eau.    Une idée me passe dans la tête, mais je la chasse vite. Je ne veux pas y croire.    -Oui J’en ai. Des jus et de l’eau fraîche. Mais je... ne comprends pas… c’est ce qu’on vient de faire qui te rends si gaie subitement ?Elle me jette un regard par-dessus l’épaule suivent le sourire (Narquois) et la désinvolture. Elle ouvre le frigo et se saisit de deux bouteilles de Jus d’ananas.  -    Je t’avais pourtant dit que tu ne faisais que retarder l’inévitable.J’en reste pantois un certain moment, sentant une vague de colère qui surfe sur tout mon corps. C’EST LA MERDE !-    Tu veux dire que tu as inventé toute cette histoire de… de sœur jumelle morte.-    Ecoute faut boire, tu dois reprendre des forces, la suite est encore plus…-    Quelle suite !? Quelle suite dis-moi ?Elle se rapproche de moi et pose sa main sur mon torse et fixe mon regard:-    Ce n’était que l’échauffement mon chou. On a toute la nuit pour que je te fasse découvrir un monde délicieux.Je sens sa main quitter mon torse et descendre. Elle se saisit de ma main et la dirige vers son entre jambe… JE SENS QUE CA VA BARDER. !
******************** EN COULISSE ***************************** - Je sais ce que vous vous dites mon père : je me faisais malmener par une fille. Mais C’est dieu qui m’a rendu ainsi. Demandez-lui pourquoi quand vous converserez avec lui tout à l’heure.
To be continued…
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