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En terrasse à l'ombre d'un tilleul

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
J’ai deux amies qui ne sont malheureusement pas célibataires, elles sont en couple et c’est vraiment dommage, car elles sont vraiment toutes les deux adorables, de caractères différents, de corps aussi, Zoé est grande avec de longues jambes et des petits seins alors qu’Émilie est plus petite avec des seins plus gros, elle doit faire un bon 95C. J’ai d’ailleurs remarqué que la taille de ses seins varie en fonction de son poids. Si elle se laisse aller à sa gourmandise, elle grossit un peu et son cul et ses seins nous le font savoir.
Mais elle reste quand même très désirable surtout lorsqu’elle vous fixe de ses grands yeux bleus, à chaque fois que c’est le cas, j’ai envie de la plaquer contre le mur, de la déshabiller précipitamment et de m’enfoncer en elle, de la prendre d’un seul coup, sans échanger un mot et de me perdre dans son regard et son corps.
J’ai eu la même envie brusque avec Zoé. On travaille dans la même entreprise et une fois, je l’ai croisé dans un couloir, elle était de profil, un peu de biais et j’ai pu admirer la courbure et le galbe de ses fesses moulées dans son jean, j’ai eu un énorme coup de sang et j’ai dû me mordre le poing pour ne pas lui caresser les fesses...
Mais j’ai une tout autre histoire à vous raconter, on a l’habitude de se retrouver au moins une fois par mois pour déjeuner ensemble, c’est toujours de très bons moments, on se raconte nos petits comme nos grands soucis, nos espoirs, nos envies, nos rêves et on n’hésite pas à se moquer des personnes désagréables.
Un jour au début de l’été, on se retrouve en terrasse à boire un verre d’apéritif avant de déjeuner. Zoé est habillée d’une jupe légère avec un haut blanc, légèrement décolleté et Émilie d’un pantacourt avec aussi un haut d’été léger comme la brise, mais bien plus décolleté, je peux même deviner son soutien-gorge balconnet qui soutient ses seins, c’est magnifique et provocateur à la fois. Cela me surprend un peu, car ce n’est pas dans ses habitudes de porter des tenues provocantes.
Notre discussion est toujours vive et enjouée, et cette fois-là, je sens qu’elles ont envie de se défouler, elles commandent même un second apéro à la serveuse qui vient juste de nous servir l’entrée du repas.
Je m’amuse à leur faire quelques allusions sexuelles, je ne manque jamais cela lorsque l’occasion se présente. En plus, elles me racontent leur week-end qu’elles ont passé ensemble en célibataire, j’essaie de savoir s’il s’est passé quelque chose entre elles, Zoé n’a aucun penchant lesbien, elle nous l’a déjà dit, mais je soupçonne Émilie d’avoir ces envies, c’est une personne très tactile et elle n’hésite pas à prendre Zoé dans ses bras, dès que l’occasion se présente ou même, comme une fois, elle s’est jetée dans ses bras brusquement, j’étais présent et nous avons tous été surpris, elle a collé sa joue contre la sienne et lui a murmuré je ne sais quoi à l’oreille, toujours est-il qu’elles ont éclaté de rire et moi, et bien moi... je n’ai pu que fantasmer un bref instant, car rien ne s’est passé comme je l’aurais aimé...
Mais bon, parlons plutôt de notre repas dans cet agréable restaurant, nous avons choisi une table ronde, parfaite pour trois personnes, même si Zoé se retrouve coincé contre le mur, cette table est bien placée, à l’ombre d’un grand tilleul en bout de terrasse, un peu à l’abri des regards et des oreilles indiscrètes. C’est peut-être pour cela qu’elles commencent à se lâcher et délirer ensemble en éclatant de rire à chacune de nos plaisanteries.
Émilie n’hésite pas à me chambrer sur ma position de célibataire endurci :
— Alors quand est-ce que tu nous présentes une jeune femme sérieuse ? Tu n’as pas envie de refaire ta vie ? (Elle sait que je suis divorcé).— Mais je suis très heureux comme ça, j’ai tout ce qu’il me faut quand je veux et je n’ai pas eu encore la chance de rencontrer une jeune et belle femme... aussi adorable que toi. — Ha ça y est, il va encore nous faire le coup du mec qui se tape toutes les filles qu’il souhaite.— Heu... je ne dirais pas cela, mais je n’ai pas à me plaindre.— Tu parles, lâche Zoé en souriant, je suis sûr qu’il est en manque, vu toutes les allusions qu’il ne manque pas de faire.

Je ne réponds pas, je souris simplement et reste scotché au regard d’Émilie qui me fixe de ses grands yeux bleus, elle me donne l’impression de chercher la moindre expression sur mon visage, le moindre signe qui lui permettrait de savoir si je mens ou pas.Puis, sans rien dire, elle recule sa chaise et passe sous la table, comme ça d’un seul coup ! Je regarde Zoé qui semble aussi interloquée que moi, elle essaie de regarder sous la table, mais sans succès, elle ne peut pas reculer sa chaise, elle est coincée à cause du mur qui est juste derrière elle, alors elle s’exclame :
— Qu’est-ce que tu fais Émilie ? — Je vérifie s’il est en manque.— Ah bon ? pouffe-t-elle, mais comment vas-tu le savoir ?
Émilie ne répond pas, mais je sens ses mains se poser sur mes cuisses nues, il fait chaud et je porte un short.J’ai les yeux exorbités, surpris par l’audace soudaine d’Émilie.Zoé me regarde avec un grand sourire, elle me demande ce qu’il se passe, je ne lui réponds pas, mais elle doit deviner dans mon regard que quelque chose de spécial est en train de se passer.
— Allez... dis-moi ce qu’il se passe, je veux savoir !

Comme je ne réponds toujours pas, c’est Émilie qui lui dit en rigolant :
— Je regarde son short pour voir si une bosse commence à se former.— Et alors, c’est le cas ?— A vrai dire, je ne peux pas vraiment le voir, tiens-lui les bras que je puisse descendre son short.

Zoé me prend les poignets et les plaque contre la table. C’est bien inutile, car je n’oppose aucune résistance. Je suis curieux et excité à la fois, pour rien au monde je n’empêcherai Émilie de continuer son petit jeu et en même temps je crains de perdre le contrôle, de faire voir que cette situation m’excite au plus haut point. Je sens mon short glisser sur mes cuisses, Émilie a la délicatesse de ne pas aussi entraîner mon slip, je me retrouve donc en slip avec une de mes meilleures amies sous la table qui ne doit rien manquer du spectacle.
— Ça y est, c’est fait, dit-elle, et je ne suis pas surprise de voir qu’il commence à voir une érection.
En effet, je commence à être très excité par la situation et je sens mon sexe se gonfler petit à petit, je suis partagé par des sentiments de surprise, d’excitation et un peu de honte à laisser Émilie découvrir mon intimité.
— Il bande de plus en plus et je ne fais rien pour cela, j’ai juste mes mains sur ses cuisses, je n’ai même pas besoin de les caresser.— Tu vois sa queue ? demande Zoé.— Non je lui ai laissé son slip, mais je crois que je ne vais pas avoir besoin d’attendre longtemps, si ça continue, je vais finir par voir son gland dépasser.

Zoé se met à pouffer de rire et me fixe de son regard, mon excitation ne doit pas lui échapper et je la surprends à glisser sa langue sur ses lèvres, elle mordille même sa lèvre inférieure, je pense qu’elle est aussi excitée que moi par la situation.Et ce qui devait arriver, arriva... je sens que j’ai une érection terrible et incontrôlable, ma bite commence à me faire mal, enserrée dans mon slip, celle-ci n’a qu’une envie : se libérer de cette étreinte que lui impose ce morceau de tissu.
— Ça y est, je commence à voir son gland, j’ai envie de la mettre à l’air libre.— Oui, baisse son slip et décris-la-moi. Dit doucement Zoé.
Et voilà que je sens les mains d’Émilie prendre l’élastique de mon slip de chaque côté et doucement, très doucement elle le baisse vers mon short, au-dessus de mes genoux. Je sens mon sexe se tendre comme un arc, d’un seul coup il se libère et doit se dresser fièrement devant le visage d’Émilie.
— Woaw, son gland est parfaitement visible, il n’est pas couvert par le prépuce, c’est chouette, j’aime bien.— Tu ne peux pas le laisser dans cet état, lui répond Zoé.— Tu as raison, j’ai très envie de le goûter.
Sur cette déclaration, je sens les mains de Zoé se resserrer sur mes poignets, on dirait que cela lui fait de l’effet aussi. Moi, j’en peux plus, j’ai qu’une envie : celle de sentir la bouche d’Émilie enserrer et découvrir mon sexe, j’ai envie qu’elle me suce comme jamais, j’ai envie d’elle, de toutes les deux, je ne lâche pas Zoé du regard et je sens que mon excitation est partagée, je la sens aussi impatiente que moi.Tout à coup, je sens la langue d’Émilie glisser sur ma verge de bas en haut, je ferme un peu les yeux en me mordant les lèvres. C’est terrible de se faire sucer sans voir la personne en action, je ne peux que ressentir complètement mes émotions, les sensations me semblent décupler par la situation, j’ai en face de moi Zoé qui me regarde avec des yeux remplis de gourmandise, de désir et d’excitation et une pensée m’envahit en ouvrant les yeux, en voyant l’expression du regard de Zoé, je me dis qu’elle doit adorer sucer, je suis sûr qu’elle adorerait sucer ma bite...
— Oula, je crois que la gâterie a commencé, dit Zoé, tu aimes ?— Oui... c’est bon... dis-je dans un murmure.— Dis-moi ce qu’elle te fait.— Elle glisse sa langue de bas en haut et de haut en bas.
Zoé se mit à glousser et desserre un peu son étreinte sur mes poignets, elle glisse ses mains sur les miennes et je m’empresse de les garder dans les miennes, j’ai trop envie de profiter de la situation, j’ai envie de partager cela avec elle, d’ailleurs elle m’envoie un doux baiser en resserrant ses lèvres puis me sourit sans me quitter des yeux, c’est un peu comme si j’allais faire l’amour avec elle et Émilie. J’ouvre grand ma bouche en sentant ma bite s’engouffrer et glisser entre les lèvres d’Émilie.
— On dirait que les choses sérieuses commencent, dit Zoé.— Ho bon sang, c’est trop bon...— Raconte-moi.— Elle me prend dans sa bouche.— Et ?— C’est si doux, si chaud...— Elle y va doucement ?— Oui... j’en peux plus, j’ai envie de jouir.— Déjà ? Retiens-toi s’il te plaît, j’ai envie d’en profiter aussi.— Comment peux-tu... ?— J’en profite à travers toi.

En disant cela, elle entrelace ses doigts avec les miens.
— Tu as déjà eu envie de moi ?— ...— Dis-moi, tu as déjà eu envie de faire l’amour avec moi ? insiste-t-elle.— Oui.— Quand ?— Souvent, j’adore tes longues jambes et ton petit cul... et toi ?— Oui, moi aussi... surtout à cet instant.— Oooh... mon Dieu... c’est trop bon !

La succion d’Émilie se fait plus profonde, sa langue tourne tout autour de mon gland très vite puis elle ralentit progressivement jusqu’à s’arrêter de tourner et ensuite elle enfonce ma bite dans sa bouche, c’est délicieux, grandiose, je ne peux pas m’empêcher de râler et soupirer, on entend même gémir sous la table, elle fait de longs va-et-vient en inondant ma queue de sa salive, c’est tellement bon que mon sexe grossit encore, je ne pensais pas que je pouvais bander aussi fort !
Je vois la serveuse arriver pour débarrasser notre table de ses assiettes, je me mords les lèvres en regardant Zoé, je la vois se trémousser un peu sur sa chaise en relâchant mes mains, elle doit être aussi gênée que moi de cette intrusion dans notre intimité, je ne sais pas si la serveuse a pu voir ce qu’il se passe sous la table, en tout cas, elle prend nos assiettes et nos couverts comme si elle n’avait rien vu, puis se tourne vers moi pour demander si l’on désire des cafés. Je ne peux pas répondre, je n’ai pas envie de parler, le moindre son qui sortirait de ma bouche trahirait mon émotion. Zoé s’en rend compte et s’exclame d’un ton sec :
— Oui, trois s’il vous plaît.
La serveuse nous laisse et je ne peux pas m’empêcher de la suivre du regard en admirant son beau cul qui me semble tanguer légèrement sous sa jupe, je ne sais pas si c’est l’excitation, mais je trouve sa démarche très érotique. Bon sang, ce serait super si elle se joignait à nous, je suis dans un tel état d’excitation que j’ai envie de jouir pendant des heures, j’ai envie que cela dure...Émilie continue de me sucer doucement, langoureusement, très appliquée sur ce qu’elle fait, je sens qu’elle veut et qu’elle va me faire jouir comme jamais.
— La garce, rien ne peut l’arrêter, tu crois qu’elle avale ?— Tu verras, me dit Zoé en souriant.
Elle plonge à nouveau mon regard dans le mien, je lui prends les mains et on enlace à nouveau nos doigts, je ne peux m’empêcher de gémir fortement et laisser échapper des soupirs qui en disent long sur l’immense plaisir que je ressens, la bouche d’Émilie se fait de plus en plus profonde et humide.
— Zoé... c’est trop bon, elle suce comme une reine, j’ai envie...— Ne jouis pas tout de suite mon chéri, s’il te plaît... pas encore.— J’ai envie de toi Zoé, j’ai envie de vous deux... oooooh.— Je sais mon cœur.
J’approche mon visage de Zoé, celle-ci se rapproche du mien aussi, tout doucement, on vit un instant d’une terrible intensité érotique. Nos visages sont à quelques centimètres l’un de l’autre, j’ouvre légèrement ma bouche et je lui dis :
— J’ai envie de t’embrasser.— Moi aussi, mais on ne peut pas mon cœur, restons comme ça, dit-elle en effleurant mes lèvres avec ses lèvre humides.

On est les yeux dans les yeux, nos bouches à quelques millimètres l’une de l’autre, je laisse échapper d’autres soupirs, Zoé ne peut s’empêcher de gémir aussi, comme si elle ressent tout le plaisir que la bouche d’Émilie me procure :
— Tu ne peux pas savoir comme cela m’excite de te voir comme cela, tu as l’air si fort et si fragile à la fois, tu es beau. J’aime te voir prendre du plaisir, j’ai envie de te voir jouir. Tu vas prendre un énorme pied et ça m’excite...— J’ai envie de toi, j’ai envie de vous deux, j’ai envie de vous faire l’amour.
Zoé me caresse doucement le visage en me disant :
— Tu m’excites mon chéri.— Tu mouilles ?— Oh oui ! Je dois être trempée, heureusement que j’ai mis une culotte en cot...

Zoé ne finit pas sa phrase et se fige en écarquillant les yeux.
— Qu’est-ce qui se passe ?... Ca va ?— Émilie... Émilie... Non... pas ça !
Je comprends rapidement ce que fait Émilie sous la table, j’emprisonne fortement les mains de Zoé pour qu’elle ne puisse pas intervenir.Émilie stoppe sa fellation, mais sa main remplace sa bouche et elle me branle tout doucement en rigolant :
— Ça m’excite de savoir que tu es excitée Zoé, j’ai envie de vérifier...— Non ! Non Émilie ! Je ne suis pas lesbienne.— Moi non plus, répond Émilie en riant.
Je dois forcer pour ne pas laisser les mains de Zoé m’échapper et je lui dis :
— A toi de me raconter maintenant !— Mon Dieu, c’est pas possible...— Raconte-moi !— Elle est en train de me caresser la cuisse et je sens sa main aller tout droit vers ma culotte, s’il te plaît, arrête Émilie !
Je la regarde en souriant et lui dis de se laisser faire, elle va aimer aussi. Je lis un peu de détresse dans ses yeux, elle doit se sentir impuissante comme moi tout à l’heure et je me régale de la situation.
— Je t’ai tout raconté alors à toi maintenant, lui dis-je.— Elle m’a caressé ma culotte, je sens qu’elle est bien trempée et maintenant... oooh... maintenant elle glisse un doigt entre mes lèvres... noooonn... nooon... putain... c’est boooonnn.— Ah tu vois, j’étais sûr que cela allait te plai...
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase que je sens qu’Émilie me reprend en bouche, elle tourne à nouveau sa langue rapidement sur mon gland puis enfonce ma bite au plus profond de sa bouche, ma bite glisse sur ses lèvres, sa langue... on entend même ses bruits de succion... Je serre à nouveau les mains de Zoé et les porte à ma bouche, je les mordille doucement en faisant attention de ne pas lui faire mal et heureusement que j’arrive un peu à me contrôler, car sinon je la mordrais à pleines dents très fort... aussi fort que le plaisir que je reçois de la bouche d’Émilie.
— Putain je suis en train de me faire doigter par ma meilleure amie et j’aime ça ! s’écrie Zoé.— Attends de voir si elle va plus loin.— Plus loin ? J’ose même pas imaginer ce qu’elle pourrait faire... oh mon Dieu comme c’est bon, je sens que je vais jouir comme une salope !— Non ma chérie, attends... retiens-toi, j’ai envie aussi d’en profiter.— Oula, elle essaie d’enlever ma culotte.
Je vois Zoé qui se trémousse sur sa chaise, elle se lève légèrement, j’en déduis qu’elle aide Elodie à enlever sa culotte, d’ailleurs elle a arrêté de me sucer et elle ne me branle même pas...
— Pourquoi tu arrêtes Émilie, lui dis-je.— J’ai envie de m’occuper un peu de Zoé.— Quoi ? Qu’est-ce qu’elle fait ?
Zoé rigole nerveusement, elle glisse en avant sur sa chaise et me mord nerveusement les mains, je sens qu’elle sert de plus en plus fort, si fort que cela me fait mal...
— Arrête Zoé, tu me fais mal !— Putain, elle me lèche... et j’aime çaaa... oh Émilie, lèche mon bonbon, oui ma chérie, aspire-le... c’est troop boooonnnn !!!!!
Émilie est une artiste, je sens sa main reprendre mon membre, tout en léchant Zoé, elle réussit à s’occuper de moi, elle me masturbe doucement, puis elle accélère puis elle ralentit, ses mouvements sont saccadés et je devine qu’elle lèche Zoé de la même manière. Je lâche les mains de Zoé et prends son visage de mes deux mains.
— Je veux te voir jouir ma chérie.
Zoé me regarde si intensément que je peux ressentir tout le plaisir qui l’envahit. Et d’un seul coup, je me précipite sur sa bouche, je l’embrasse à pleine bouche et nos langues se mêlent, se mélangent, se goûtent... C’est un baiser fougueux et passionné, le fruit de nos excitations réciproques, du plaisir fulgurant qui nous envahit profondément...On entend brusquement une toux sèche, je lève légèrement la tête et je vois notre serveuse, rouge comme une pivoine, les yeux grands ouverts et qui arrive juste à bredouiller : vos cafés...Zoé soulève ses fesses brusquement et repousse la tête d’Émilie, ses mouvements font un peu de bruit et je vois dans le regard de la serveuse qu’elle se demande ce qui est en train de se passer. Elle doit penser déranger un couple d’amoureux qui s’embrasse, mais elle vient brusquement de comprendre qu’il y a quelqu’un sous la table. Elle reste là, les trois cafés sur son plateau, embarrassée, elle semble ne pas savoir quoi faire...
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