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La tête dans les culottes de ma coloc

Chapitre 2

Avec plusieurs femmes
La nuit même, Sabine et moi dormons tous deux dans son lit, nus l’un contre l’autre. Je me remémore ces moments de pure folie passés ensemble, où sous ses ordres, je lui ai sucé le gros orteil, bouffé la chatte et où elle m’a pénétré le cul en gode ceinture, sans oublier la golden shower finale où elle m’a couvert de sa pisse. Je m’endors, très satisfait de m’être soumis à ma coloc. Je rêve de me faire humilier encore.
Le lendemain, on va à l’Université ensemble, comme d’habitude, mais bien sûr, tout a changé entre nous. On étudie toujours ensemble. En amphi, on prend les cours ensemble mais quand on discute avec le reste de notre bande, ça fait tout bizarre. C’est une sensation étrange de passer du temps avec eux et elle, sans qu’ils ne soient au courant des saletés qu’on a faites à la coloc.
À un moment dans la journée, alors qu’on se dirige vers la salle de notre prochain cours, je vois Sabine chuchoter à l’oreille de Nina, une camarade étudiante de notre bande, et cette dernière écarquiller les yeux puis me dévisager. Non ? Sabine n’aurait quand même pas osé lui dire ?!
Pendant le cours qui suit, je n’arrive pas à me concentrer. Je n’ose pas poser de questions à voix haute par peur que ça attise la curiosité de Félix, Martin et Justine, les trois autres membres de notre groupe de cinq. Mais enfin, je ne tiens plus et j’envoie un message sur mon smartphone à Sabine.
[SMS]> T’as dit quoi à Nina quand tu lui a parlé à l’oreille tout à l’heure ? Tu lui as quand même pas dit pour nous deux ?
Elle ne me répond pas alors que je la vois consulter son smartphone. À la place, elle me jette un regard, sourit et me fait un clin d’œil. Elle retourne ensuite à ses cahiers et poursuit ses exercices de maths comme si de rien n’était. J’enrage. Elle lui a tout dit, c’est sûr. Mais pourquoi ? J’ai honte, mais dans le cadre de la fac, ça ne m’excite pas et je suis en colère, même. Ça devait rester privé. C’est notre intimité, merde.
J’attends impatiemment que le cours se termine puis je prends Sabine à part pour lui parler :
– Écoute, ça ne se fait pas. Je croyais qu’on était d’accord. C’est pas parce que j’aime me faire humilier en privé que j’ai envie que toute la fac soit au courant, merde. C’est pas parce que j’aime qu’on ne me respecte pas en privé que c’est pareil en public. T’aurais vraiment dû me demander avant, putain.– Wow, wow, tu descends d’un cran, Christian ! s’offusque-t-elle. Je ne suis pas ton ennemi, merde, je t’ai rendu un service, là. Figure-toi que Nina est à fond sur toi. Et on a les mêmes kinks. Alors maintenant, elle est carrément folle de toi. Je l’ai invitée à venir à la coloc, ce soir. On va faire des trucs à trois, crois-moi, tu ne vas pas le regretter.
Je suis abasourdi. Hier soir encore, je me branlais seul, la tête dans les culottes de ma coloc, puis, j’ai fait toutes ces choses avec Sabine, on a dormi ensemble et elle est en train de me dire qu’on va faire un plan à trois ce soir même, avec une pote en commun de la fac qui est à fond sur moi, et, je n’en savais rien ?
La journée se termine et les choses se concrétisent. Nina nous suit jusqu’au métro pour rentrer chez nous. Elle sait que Sabine m’a dit pour ce soir mais nous n’avons pas encore échangé entre nous. Elle me regarde d’un sourire un peu gêné et nous nous rendons à trois à la coloc, sans rien dire, ce qui maintient la gêne jusqu’au bout.
Arrivés à la maison, voyant notre embarras à Nina et moi, Sabine brise la glace pour nous :
– Bon, Christian, tu sais pourquoi Nina est là. Nina, tu sais ce qu’on a fait avec Christian. Et enfin, on est tous d’accord pour prendre notre pied ensemble, non ? Alors, on est bien sur la même longueur d’onde ?

Je fixe Nina d’un regard dur et la préviens :
– D’accord. On va faire des trucs ensemble. Mais tu vas devoir me montrer de quoi tu es capable. Si tu continues à faire ta timide, tu ne vas pas aller loin avec moi. J’aime qu’on me domine. J’aime qu’on m’humilie. Je veux des femmes fortes qui prennent les devants. Alors, tu crois que tu peux être à la hauteur ?
Nina exulte à mes paroles et me prend par surprise. Je sursaute alors qu’elle me saute au cou et me répond :
– Oh, putain. Tu m’excites comme une folle. Oh, ça oui, je vais prendre les devants, comme tu m’en donnes l’autorisation. Tu vas voir, je vais faire de toi mon jouet, tu ne vas pas regretter de m’avoir fait confiance.
Nina me plaque contre un mur de la coloc et fourre sa main dans mon pantalon sans prévenir. Je suis choqué et lâche un petit cri de stupeur. Elle me contrôle fermement. J’adore ça et commence à durcir. Les doigts introduits dans mon caleçon, elle tâte ce qui se trouve à l’intérieur sans modération, chatouillant d’abord mon anus tout au fond, me malaxant les testicules ensuite puis me tenant fermement la verge qu’elle commence à branler sous mes vêtements.
Dans le même temps, c’est sa langue qu’elle sort et, toujours par surprise, elle me lèche le visage du menton au front en m’humectant en zig-zag les joues, la bouche, le nez et les paupières. Je subis sa manœuvre, de sa salive plein le visage et les yeux révulsés, tout en gémissant de plaisir.
– Mmh, grogne-t-elle. Maintenant, garde les yeux bien fermés. Je vais mettre des trucs dans ta bouche et tu vas devoir deviner ce que c’est, ça te tente ?– Je suis à vos ordres, les filles, acquiescé-je. Vous pouvez assouvir vos fantasmes les plus pervers avec moi, rien ne me ferait plus plaisir.
Je me mets à genoux, mets mes mains dans le dos, ferme les yeux, lève le menton, ouvre la bouche et tire la langue, en transe de soumission sexuelle fanatique. Sabine passe sa main dans mes cheveux et me complimente pour mon zèle, enjouée. Nina s’éloigne, revient à moi et pose le premier objet sur ma langue.
C’est acide, ou aigre, je ne sais pas trop. Je reconnais un cornichon et croque dedans. Nina me giffle. Un courant électrique me traverse le corps sous sa baffe et je vis comme un mini-orgasme.
– On ne croque pas, me gronde-t-elle. Crache et ne t’avise plus de recommencer.
J’obéis. Elle introduit à nouveau un cornichon dans ma bouche et commande :
– Suce. Occupe-t’en comme si c’était la micro-bite d’un pote.
Je tire une moue contrariée quand l’image me vient à l’esprit. Nina et Sabine ricanent et je me sens rabaissé, abusé, et c’est si bon. Continuez comme ça les filles, putain, oui, je prends mon pied, là.
Je suce le cornichon en poussant le vice en imagination encore plus loin que ce qu’elle m’a demandé. Je me représente en pensée le gros concierge bedonnant de notre immeuble. Les reliefs du cornichon sont autant de petits boutons sur sa verge. Son acidité ou son aigreur sont les marques de son manque d’hygiène. Je suce le légume avec dégoût, la larme à l’œil et pourtant, plus je me sens avili, plus la douleur psychologique est forte, et plus je me tords de plaisir, dans des spasmes semi-orgasmiques.
Enfin, Nina me tire le cornichon hors de la bouche.
– Ah ouais, comme tu y vas… me lance-t-elle avec admiration. Passons à l’objet suivant.
Je me remets en position, le goût du cornichon encore en bouche, puis c’est du tissu que je sens sur le dessus de ma langue. Je reconnais vite une culotte de ma coloc.
– T’aimes ça, hein, sale porc, m’insulte-t-elle. Sabine m’a tout dit. Je veux que tu fourres sa culotte dans ta bouche et que tu la mâches bien fort.
Je m’exécute. Ce n’est pas très agréable au début. C’est tout sec. Mais, plus la culotte de Sabine s’humecte pendant que je la mâche, plus je peux sentir son goût et c’est encore meilleur que quand, d’habitude, je me contente de renifler. Elle n’est pas très sale mais elle a bien été portée au moins une fois. Je sens toute la saveur de l’entrejambe de Sabine dans ma bouche.
– Elle doit être bien humide à présent, crache, poursuit Nina.
Je crache, discipliné, quoique j’aurais bien aimé continuer de profiter de ce chewing-gum en lingerie. J’entends le bruit de l’ouverture d’une bouteille à bouchon qui se visse. Je reconnais le son de l’ouverture de la bouteille d’huile d’olive vierge extra. Je devine que Nina imprègne la culotte de son contenu. Je tends la langue, prêt à la goûter à nouveau, mais ce n’est pas ce que Nina a prévu.
– Pas touche. J’ai prévu un autre orifice pour cette fois. Déshabille-toi.
Elle va me fourrer la culotte dans le cul ? Curieux choix qui, sans me déplaire, ne m’excite pas plus que ça. J’aime par contre, qu’elle me demande de me mettre à nu, surtout qu’elle et Sabine sont encore habillées et que cette différence entre elles et moi me procure encore plus de plaisir.
J’enlève tous mes vêtements. Sabine me caresse le torse. Elle laisse Nina mener le jeu mais n’en profite pas moins. Nina me fait écarter les fesses puis enfonce la culotte dans mon anus avec un doigt, en y revenant plusieurs fois pour faire entrer tout le tissu. Je sens son majeur qui s’enfonce en moi avec la culotte et tressaille en gémissant. Du plaisir, du plaisir et encore du plaisir, voilà ce que je ressens à répétition, sans relâche.
– Bien, dit-elle satisfaite. Passons au troisième objet.
Quelque chose d’arrondi et de poilu se dépose sur ma langue. C’est plutôt inattendu. Je ne reconnais pas. C’est mou. Ce pourrait-il que ce soit un testicule ? Auraient-elles fait entrer un complice dans l’appartement sans que je le sache ? Cette idée me scandalise et en même temps, je me plais à le croire et me délecte du doute. Je commence à aspirer la chose en la suçotant. Ce serait la première fois que j’ai le testicule d’un mec en moi, d’un inconnu en plus, ou peut-être est-ce Martin ou Félix, ce qui serait encore plus humiliant. Je ne débande pas.
– Eh bien, mon cochon, s’exclame Nina, on dirait bien que t’aimerais bouffer de la couille. Pas si vite. Ce n’est qu’un kiwi trop mûr que j’ai un peu pressé pour qu’il soit bien mou.
Elle retire le fruit de ma bouche. Je rougis. Allez, vas-y, mets moi tout ce que tu veux dans la bouche, je suis prêt. Je le dis à voix haute sans m’en rendre compte.
– Oh, putain, s’exclame-t-elle encore, tu me fais mouiller, j’en peux plus. Attends un peu. Et tu gardes les yeux bien fermés.
J’entends Nina et Sabine qui se désapent. Je n’ai encore jamais vu Nina nue. J’ai hâte de découvrir son corps, d’abord, par tous les autres sens que la vue.
– Quatrième objet, maintenant, annonce Nina.
Je m’apprête à recevoir en bouche quelque chose comme un sein, un orteil, une chatte ou un doigt de Nina ou Sabine mais c’est un pénis en silicone lubrifié qui vient dans ma bouche. C’est le gode de Sabine avec lequel elle m’a enculé hier soir. Je suce, tel un automate, concentré pour obéir.
– Très bien. Cinquième objet maintenant. Ça va être un peu spécial. Tu es bien sûr que tu es prêt à tout mettre dans ta bouche ?
Je crains le pire mais ne me défile pas. Je suis prêt à tout prendre, tout mâcher, tout sucer, tout avaler et plus encore. Je le dis à voix haute. Puis, c’est de nouveau le kiwi qu’elle porte à ma bouche, puis le gode, puis le kiwi, et enfin, quelque chose se substitue au kiwi. Je sens l’odeur de Nina et exulte alors que ce qui se rapproche a une odeur de chatte. Je lèche. C’est mou et poilu. Je suis entre ses jambes, les yeux toujours bien clos, et explore son intimité curieuse, sa chatte molle dont j’ai bien du mal à atteindre la fente. Je suppose, désorienté, que je me trouve en haut de son pubis, et descend de là pour trouver le trou de sa vulve. Elle soupire de bonheur et m’agrippe les cheveux pour me guider. Pas de vulve, et le pubis est bien volumineux.
Enfin, je comprends. Ce n’est pas un pubis poilu, mais des testicules. J’aspire et alors il n’y a plus de doute. Une de ses bourses en bouche, je me délecte de cet inattendu mais ne peut me retenir. J’ouvre les yeux. Je contemple alors ses deux boules que je lèche et une verge épaisse, de taille moyenne, gonflée à bloc et le gland luisant. Nina me sourit, me prend par les cheveux, me fixe et prend sa bite avec deux doigts pour la diriger sur mes joues. C’est la première fois qu’un tel organe se frotte à mon visage. Enfin, elle continue de me fixer et glisse son organe sur mes lèvres. Je suis prêt. J’ouvre la bouche et suce mon premier pénis, le pénis de Nina.
Quelques allers-retours de découverte et j’adore ça. J’ai envie de la sucer jusqu’à ce qu’elle éjacule en moi. Enfin, encore une fois, ce n’est pas ce qu’elle a prévu pour moi. Elle me demande si elle peut m’enculer avec une capote. Oh que oui que je le veux. Elle a tout prévu et en sort une de son sac, avec un lubrifiant, l’enfile, se lubrifie et je me mets en levrette. Je la sens qui se positionne derrière moi et qui s’enfonce lentement. C’est une vraie bite qui s’enfonce dans mon cul, c’est autre chose que le gode ceinture de hier soir. Je l’invite à s’enfoncer jusqu’à ce que je sente ses testicules contre moi. C’est délicieux. Je suis en train de me faire pénétrer par une femme, une femme avec une vraie bite, par Nina, une camarade de fac.
Elle prend la confiance, se retire une première fois, s’enfonce à nouveau puis elle va de plus en plus fort, frappant contre mes fesses comme si elle enfonçait un clou. Plus fort encore que quand elle m’a baffé, un courant électrique me traverse et c’est presque comme si j’avais un orgasme.
Sabine gémit d’un cri poussif puis franc. Elle vient de jouir alors qu’elle se doigte en nous reluquant. Elle dit :
– Ah… Tu l’as bien mérité, Christian. À ton tour de jouir. Et pas qu’un peu. À nous deux, on va repousser tes limites. Tu vas jouir comme tu n’as jamais joui.
Non, je n’en crois pas mes yeux. Sabine, nue comme nous le sommes tous les trois à présent, vient s’allonger sous moi, le visage vers mon entrejambe et la chatte près de ma bouche. Je me baisse sur elle, en 69, ne pouvant me contenter qu’elle me suce la queue, friand de sucer son clito en même temps, et de boire un peu de sa mouille. Nous nous appliquons à bouffer les organes l’un de l’autre et Nina, pas en reste, se repositionne pour continuer de m’enculer en capote.
Je me convulse et pousse un grand râle alors que je suis pénétré analement par Nina, sucé par Sabine et que j’ai à la bouche le sexe de cette dernière. J’éjacule dans Sabine qui avale goulûment, en continuant de me sucer jusqu’à ce que ça fasse mal. Enfin, Nina pousse aussi un râle, redoublant d’excitation quand elle me sent jouir, et éjacule à son tour, dans l’opercule de caoutchouc. Elle se retire. On se replace tous les trois. On s’enlace, nus, transpirants, brûlants et surtout, satisfaits de ce grand moment de sexe que nous avons vécu ensemble.
– Je t’aime, me déclare Nina, en pleurant. Je t’aime tellement.– Je t’aime aussi, putain que c’était bon, dis-je.
Nina me serre fort dans les bras, et Sabine nous prend tous les deux dans les siens. Après tout, c’est elle qui a tout manigancé. Hier soir, j’étais incrédule après que les choses soient allées aussi vite. Ce soir, je constate seulement. Jusqu’où tout cela ira-t-il ? Je n’en ai aucune idée mais je devine qu’il n’y aura aucune limite.
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