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Texeros

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
PrièreMon Dieu qui êtes aux cieux, à genoux, je vous supplie vous baise la face et suce votre grâceO mon Dieu, faites qu’il vienne me serrer entre ses bras, me caresser de haut en bas, qu’il m’embrasse et me lèche debout, couchée et tête-bêcheO mon Dieu qui êtes aux cieux, faites que sa bite, son dard, son pieu se dresse et se glisse entre mes cuissesOui mon Dieu je le veux et l’invite sur moi, en moi autant qu’en vous, je crois, je veux que toute entière, il me possède et m’habiteO mon Dieu, faites qu’il vienne que sa volonté soit mienne, qu’il écarte mes fesses et je serais sienne que sur mon dos, sur mes seins, sur mon ventre il se presse.O mon Dieu, faites que ça dure et qu’il se retienne que sa queue, ses doigts, sa langue me caressent, me pénètrent et j’en suis sûre qu’il m’aime comme je vous aime.O mon Dieu, je suis toute à vous, ma vie est entre vos mains, et je veux mon corps entre les siennes, faites qu’il bande et rebande et me prenne encore et encore que je jouisse de tout mon être, je serais votre servante, je chanterai votre gloire O mon Dieu et j’avalerai sa divine semence pour mieux vous rejoindre au plus haut des cieux.

Un repas argentin
La soirée avait bien commencé, Juan et son ami Julien avaient merveilleusement apprécié le repas argentin que Maria avait préparé, empanadas, matambré avec du chimichuri, alfajoles. Le bordeaux était délicieux et Maria rayonnante dans son ensemble noir au décolleté juste assez profond pour laisser deviner des seins fermes et généreux.
Je débarrassais la table quand en soulevant l’assiette de Maria, je cognais son verre qui se renversa sur la table et coula aussitôt vers elle pour venir se répandre sur sa robe. Je pris aussitôt de l’eau et une serviette pour nettoyer la tache de vin. “Laisse, je vais le faire”, me dit-elle
Et elle commença à frotter la tache qui se situait juste en dessous de son ventre.“Je crois qu’il vaudrait mieux enlever la robe, ça serait plus facile” dit Julien. “Ça va pas, non” répondit Maria. “Mais si, mais si” renchérit Juan.“ Elle est timide, elle n’ose pas, peut-être faut-il l’aider” dis-je. Et passant derrière elle, je l’embrassais dans le cou pendant que je lui saisissais les bras. “Allez-y, je la tiens, enlevez-lui sa robe, vous en avez tellement envie”. “Arrête, Jean Philippe, arrête, c’est pas drôle, je... »
Mais elle n’avait pas fini sa phrase que Juan lui soulevant sa chemise, déboutonnait sa robe et la laissa glisser le long de ses jambes. Stupeur et admiration ! Elle ne portait pas de culotte. “Génial” dit Julien se précipitant pour admirer la scène. Maria se débattait, mais comme je lui mordillais le cou et les épaules, elle commençait à faiblir et même à pousser de petits gémissements. Je la poussais vers le rebord de la table et la prenant par les épaules, la renversai sur le carrelage frais et bleu, puis prenant ses jambes, je les écartais.
Dans cette posture qui l’écartelait avec une rare obscénité, Maria montrait toute son intimité aux regards brillants de nos deux amis.Son sexe parfaitement ouvert au-dessus de la toison frisée découvrait la chair rose et humide de la vulve que le vin avait trempée. Entre ses bonnes grosses fesses ramenées vers l’avant par la position du bassin, l’anus ressortait comme une minuscule petite tache étoilée d’une jolie nuance rose pâle.
Je plaçais aussitôt une main sur la chair entrouverte et je me mis à caresser avec délicatesse la tendre crête rosée qui saillait à la commissure des deux grosses lèvres. Puis dans un petit mouvement circulaire à peine esquissé, mon majeur commença à frictionner et à titiller son clitoris durci et congestionné.
La vulve devint plus humide et le doigt branleur se servit d’un peu de cette tiédeur mouillée pour rendre plus douce et plus glissante sa tendre caresse.Afin d’avoir une meilleure vue de la scène, Juan et Julien s’étaient agenouillés derrière elle à ses pieds et, le visage à quelques doigts de la chatte de Maria, ils buvaient littéralement des yeux le spectacle merveilleux ainsi offert à leurs penchants érotiques.
Maria sentait leurs deux souffles rapprochés lui caresser l’intérieur des cuisses et déjà frémissante, cela l’excitait davantage et elle commença à remuer les fesses.Pendant que Juan et Julien se déshabillaient, je me mis à genoux et commença à lui lécher la raie de la chatte à l’anus, puis Julien s’approcha du visage de Maria, lui caressa les cheveux, posa sa verge en érection sur le rebord de la table et lui rapprocha la tête près de son gland, ses lèvres déjà entrouvertes ne résistèrent pas et elle ne fit qu’une bouchée de cette bite amicale.
“Dis-moi, avec quoi elle fait les empanadas ?” me demanda Juan. “Avec de la graisse de bœuf” lui répondis-je. “Il en reste ?”. “Oui à la cuisine”. Et Juan alla en chercher, quand il revint, il en prit un petit bout entre ses doigts et commença à caresser l’anus de Maria qui la bouche pleine ne pouvait rien dire, mais aux mouvements de ses jambes et de ses fesses, nous comprîmes sa surprise. Lui léchant le clitoris, des deux mains, je lui écartais en même temps les fesses. Juan put ainsi mieux lui enfoncer délicatement l’index enrobé de graisse blanche. Dilaté, son petit cul commença à remuer de haut en bas, accompagnant ainsi ma langue de son clitoris à son vagin dans lequel mon nez s’enfonçait à chaque va-et-vient.
Me redressant pour reprendre ma respiration et me déshabiller, Juan en profita pour prendre ma place et ajuster sa verge à la chatte ballante et suintante de salive. Doucement, il la pénétra tout en gardant son doigt à demi enfoncé dans l’anus parfaitement lubrifié.
Pendant ce temps, Julien allait et venait dans la bouche de Maria, sa verge, d’une taille appréciable épousait parfaitement le contour de ses lèvres.
“Alors tu l’aimes mon matambré !” lui dit-il. “Hum !, hum !” répondit Maria. “Attends un peu, dis-je à Julien, elle va adorer” et sur la table je saisissais le bol de dulce de lèche, dans lequel je plongeais ma queue. “Faisant autant, tu vas voir, elle adore ça” Et pendant que je tendais le bol à Julien je le remplaçais. Aussitôt Maria me lécha goulûment, m’avalant la bite entière. “Tu vois, je te l’avais dit” Et Julien à son tour approcha sa verge contre la joue gonflée par la mienne. Maria se dégagea un peu et commença avec sa langue à passer d’une verge à l’autre. Pendant ce temps, Juan l’embrochait gentiment.
“ Je crois qu’il faudrait changer de position, regardez ses pauvres petits seins tout écrasés sur la table” dis-je à nos amis. Tout le monde se dégagea doucement et Maria put se relever et se retourner, faisant apparaître ses deux beaux seins gonflés de désir sur lesquels nous nous précipitâmes. Julien demanda “Qu’est-ce que c’était cette délicieuse sauce avec le matambré ?”“Le chimichuri, il est là, regarde il en reste” lui dis-je en lui désignant la bouteille sur la table. Il s’en saisit et commença à le verser goutte à goutte sur la pointe des seins et sur le ventre de Maria, et tous les trois en même temps, on se mit à l’embrasser, à la lécher, à la mordiller. Elle se soulevait, se cabrait de plaisir. “Ah ! c’est bon ! Ah ! oui”. Nos mains se mélangeaient sur son corps tâché d’huile et d’épices, que nous massions dans tous les sens et partout à la fois.
“Prenez-moi tous les trois” dit-elle d’une toute petite voix timide.Cette petite phrase eut l’effet d’une bombe. Je la pris par la main et l’emmenais sur le tapis du salon. Aussitôt dit, aussitôt Juan s’allongea par terre, “Je veux son cul” dit-il.“Et moi sa chatte” dit Julien “Eh bien, il me restera ses seins et sa bouche” répondais-je.
Alors, la saisissant par-dessous les bras, je lui pétrissais les seins et la fis descendre doucement jusqu’à l’extrémité de la verge de Juan qui bandait comme un gaucho, Maria se saisissant les fesses, se les écarta, Juan guida son engin au bord de l’orifice et commença à la pénétrer. Maria émit quelques petits cris puis se mit à gémir “Oh ! oui, oh ! oui, oui, doucement, encore, doucement” et se laissa tomber sur lui.
Aussitôt, je me mis à genoux en écartant les jambes au-dessus de son visage, elle put ainsi avec sa langue me lécher la verge, les couilles et le cul pendant que je lui triturais ses tétons. Julien lui, n’en pouvait plus, il lui souleva les jambes et d’un coup, lui pénétra la chatte.
Une forte secousse ébranla tout le corps de Maria, quel spectacle ! Trois bites en même temps qui allaient et venaient, ça bougeait, ça tanguait devant, derrière, dans la bouche pendant que ses seins étirés ballottaient au bout de mes doigts !
Soudain, il y eut comme un râle de fauve et presque tous les trois en même temps nous déchargèrent notre vague de sperme. Maria disloquée, lâcha une longue plainte “Ah !, ah ! que c’est bon, que c’est bon”
Juan se releva et dit à Julien “Alors, je te l’avais bien dit que c’est Maria qui fait le mieux la cuisine argentine, hein n’est-ce pas !”. “ Ah ça, oui alors, elle est géniale, je m’en souviendrais de ce repas argentin !”
Il était tard, nos deux amis nous quittèrent, je finis de débarrasser la table, tandis que Maria allait prendre une bonne douche réparatrice de tous ses efforts. Je la rejoignais dans notre lit et l’embrassant tendrement, je lui dis à l’oreille “Sais-tu que je suis de plus en plus amoureux de toi ?”.
“Oui, je le sais mon amour, heu, je veux dire mon salaud, en tout cas la cuisine argentine, c’est fini, tu entends, c’est fini !” “ D’accord mon amour, alors la prochaine fois, on mangera chinois”“Ah ! Oui pourquoi pas” me dit-elle en me mordant les lèvres.L’entretien philosophique
Ixel m’avait invité à donner des cours de philosophie à ses élèves. Sur ses dix élèves, trois avaient ressenti la nécessité de s’initier à la philosophie ; Armand, Violaine et Romuald.Pour être plus à l’aise que dans une salle de cours, nous décidâmes, Ixel et moi, de faire le cours chez nous, dans notre salon.Le cours, plutôt l’entretien philosophique, avait lieu une fois par mois, le vendredi soir, pendant environ deux heures. Ixel servait à boire, me rejoignait sur le canapé, tandis que nos trois élèves s’asseyaient en face de nous chacun dans un fauteuil.
Ce jour-là, l’entretien avait comme sujet l’être et le temps. Je proposais d’analyser les cinq genres de l’être définis par Platon : l’être lui-même, le mouvement, le repos, le même et l’autre, pour finir par le “Da-sein” “être là” de Heidegger.
Nous commençâmes par la prise de conscience des différents états de l’être. Être une chose et être au-delà de la chose. Une chaise, elle est, mais ne le sait pas. Elle est une chose qui existe d’une façon absurde sans temps. L’homme peut être une chose, mais il est quelque chose de plus. Il déborde la chose, il est transcendant (transcendant : ce qui en moi se dirige vers l’extérieur). Un exemple : Ixel est à côté de moi, elle est là, je peux la reconnaître soit comme une chose, soit comme un être. C’est le regard d’autrui qui nous définit. Je lui prends la main, je prends donc une chose qui s’appelle une main, mais je peux prendre aussi une chose qui est la main d’Ixel, je reconnais donc une existence à cette chose, une identité, il existe donc un être de la main.
Autre exemple : Violaine, je ne te connais pas, tu es donc une chose qui s’appelle Violaine, un point c’est tout, mais si je me dirige vers toi, si je me transcende, je peux te saisir comme je saisis ce verre ou bien m’adresser à toi et ainsi reconnaître, en toi une chose qui parle, donc un être humain. Je te reconnais, mais ne sais pas qui tu es, pas encore. A ce stade, nous avons une chose qui est et le mouvement, le regard, le geste, qui reconnaît cette chose et qui lui donne une existence. Sartre disait que le regard d’autrui nous ôte la liberté, il nous définit. Violaine, je te vois comme une femme, mais Ixel aussi est une femme, nous sommes donc en présence de deux choses qui sont apparemment des femmes. Mais comment le savoir, et comment savoir la différence entre elles ?
Par le regard, dit Romuald. Certes, mais comment être sûr que ce sont des femmes ?En leur demandant, dit Armand. Mais enfin, dit Ixel, je suis une femme !Peut-être, mais il faut le prouver et apprendre quelle différence il y a entre toi et Violaine, si Violaine est une femme.Mais bien sûr que j’en suis une ! dit Violaine.On ne peut en rester à la philosophie de la chose, il faut pouvoir le démontrer, n’est-ce pas Ixel ? Montre-nous que tu es ce que tu dis.L’atmosphère de la pièce se densifia, lourde, tangible, oppressante. Maria rougit, hésita, mais déboutonna son bustier, ses seins tendaient le satin écarlate de son soutien-gorge. D’un geste élégant, elle les libéra. Ils s’étalèrent orgueilleusement, superbes, d’un grain mat, avec de larges aréoles bistre au centre desquelles s’érigeait un mamelon gros comme la pointe d’un citron. On avait envie de les prendre entre les dents, de les mordre.
A toi, Violaine, tu nous fais voir les tiens, dit Ixel à son élève.Violaine fut incapable de répondre, mais son silence était déjà un acquiescement. Elle frissonna quand Ixel lui souleva son pull, elle ne portait pas de soutien-gorge, ses seins n’étaient guère plus volumineux que ceux de Ixel et ses tétons durcis, pointés vers le haut semblaient appeler des lèvres.
Alors, vous voyez bien que nous sommes des femmes ! Et vous alors, qu’est-ce que vous êtes ? dit Ixel.Ah oui, je voudrais bien voir ! acquiesça Violaine.Moi j’ai rien contre, dit Romuald, en déboutonnant son jean, et laissant deviner une verge bandante sous son caleçon bleu qu’il baissa aussitôt.Là, vous voyez, il est important de savoir que Heidegger a dit que l’essence de l’homme c’est son existence, que l’homme n’est pas une chose définie. On ne peut pas dire que quelqu’un est un homme ; on peut seulement dire qu’il devient homme, qu’il se réalise comme existence humaine, et notre ami Romuald par son érection est en train de nous le prouver.
Je suis, donc je bande, dit Armand.Ah non, je bande, donc je suis ! C’est l’acte, le mouvement qui te définit. Et dans ce cas précis, nous avons la preuve que c’est bien par le regard sur l’autre que tu existes. Les seins t’ont fait bander et donc t’extérioriser de toi-même.
Romuald, par ce geste, a défini ce qu’il voyait comme des femmes, ainsi il les fait exister.Mais c’est aussi grâce à ces êtres femmes qu’il existe lui aussi, puisque ce sont elles qui le font bander, donc nous pouvons affirmer que parce qu’il bande, il existe en tant qu’homme aux yeux de l’autre et que sans l’autre, sans sa présence, il n’existe pas, sauf pour lui-même, lui-même étant une des définitions de l’être au repos. Être en soi-même, c’est ne pas être en mouvement.
Et toi Armand, dit Violaine, tu es en repos ou en mouvement ?Je crois bien qu’en te voyant, c’est le mouvement qui m’habite, si j’ose dire, tu veux voir ?Oh oui, j’aimerai bien voir ça !Voir ? Seulement voir ? dit Ixel, je suis sûre que tu voudrais plus que ça, hein ? Je suis certaine que nous avons affaire à une petite curieuse.Je ne crois pas être la seule, répondit Violaine, qui fixant Ixel du regard, commença à lui caresser les seins et à descendre une main agile vers le ventre d’Ixel qui se laissa retomber sur le dossier du canapé, pendant qu’Armand nous exhibait une verge bien tendue.
Je suis sûre que toutes ces bites te font mouiller, dit Violaine en enfonçant sa main sous l’élastique du pantalon d’Ixel, qui dès que la main experte atteignit sa fente, écarta les cuisses et me tendit la main, comme pour demander de l’aide.
Exister, c’est agir, et c’est dans le mouvement que l’être prend corps, je pense qu’il me faut à mon tour signifier mon existence, n’est-ce pas mon amour ?Ixel ne put répondre, Violaine lui caressait la bouche d’une main et de l’autre lui fouillait l’entrejambe. A présent, nous les hommes étions nus, Romuald affalé dans son fauteuil se caressait doucement, Armand sirotait son coca, mais tous les deux ne perdaient pas une miette de l’action entreprise par Violaine.
Je me levais et commençais à enlever le pantalon d’Ixel qui était déjà trop enfiévrée pour se dérober. Libérée de sa culotte en soie noire, elle se cambra quand les doigts de Violaine atteignirent les bords de sa vulve, et qu’elle insinua un pouce dans le vagin et l’index au seuil de l’anus. Ixel trembla sous l’effet de cette caresse très impudique. Elle se serait rapidement abandonnée si Violaine avait continué, mais Violaine se leva, se déshabilla, nous faisant découvrir un corps superbe et généreux. Elle s’agenouilla aussitôt entre les cuisses d’Ixel et lui fourra la langue dans sa touffe brune. Maria gémissait, retenant peut-être quelques cris, j’en profitais pour m’approcher d’elle et lui déposer aux bords de ses lèvres humides le bout de ma verge, qu’elle lécha aussitôt goulûment, comme assoiffée. Romuald s’approcha aussi, se mettant à genoux derrière Violaine et commença à lui caresser les seins et les fesses.
Armand, lui nous rejoignit sur le canapé pour s’occuper des seins d’Ixel. Violaine, sans aucune gêne, léchait, lapait et s’agrippait aux fesses charnues de sa professeur. Elle se permit même de fourrer un doigt au bord du petit trou moite. Surprise, Ixel remua les hanches en gémissant.
Fasciné, je la regardais lécher l’entaille largement ouverte à travers l’épaisse toison brune et j’en profitais pour aller titiller du bout des doigts le clitoris de ma chère épouse. Quel délice alors de sentir ce charmant petit clitoris sous mes doigts et de sentir en même temps une langue experte venir l’effleurer et remonter sur ma main.
Soudain, Violaine releva la tête, je voulais vous dire Madame que j’adore la philosophie ! Ixel relâcha ma verge et la tendant vers la bouche de Violaine, lui répondit : eh bien, tiens, gouttes-en aussi !
Et sans plus attendre, notre jeune étudiante m’empoigna la tige et se l’engouffra presque entière. Armand, lui ne perdit pas une minute et me remplaça dans la bouche d’Ixel.Je vous fais remarquer qu’un même sentiment nous anime, et que ce même sentiment nous fait agir et nous confond dans le même acte. Nous pouvons ainsi dire que quand plusieurs êtres s’unissent, ils deviennent le même être.
Relâchant de ses lèvres la verge d’Armand, Ixel me répondit : Justement, j’aimerais bien être un peu plus profondément unie.Violaine alors me prit la bite, se dégagea d’entre les cuisses d’Ixel, et me lustrant le gland d’une abondante salive, elle l’introduisit délicatement dans le vagin tiède et détendu d’Ixel, qui les yeux clos, la bouche ouverte, se pâmait d’aise. Violaine sans perdre de temps se précipita sur le canapé, empoigna avec énergie les seins gonflés d’Ixel et commença à les mordiller. Armand se plaça derrière elle et des deux mains, entreprit l’exploration de ses parties intimes. Très vite, elle se mit à gémir à chaque introduction de doigts et de langue. Romuald lui, vint caresser le visage d’Ixel avec sa verge bien dressée, Violaine et Ixel se mirent bientôt à la lécher de bon cœur.
Doucement, j’allais et venais dans Ixel totalement offerte, Armand s’était enfin introduit dans Violaine, par où, je ne sais pas, en tout cas, le Oh oui ! qu’elle prononça aussitôt, confirmait son réel plaisir de la philosophie.
Nous étions tous à présent en pleine communion, nos mains se caressaient les uns les autres, nos sexes vibraient au même rythme et c’est Romuald qui déchargea le premier, prise de spasmes, Violaine avala d’un coup tout le sperme débordant de ses lèvres et lécha jusqu’à la dernière goutte le gland endolori. Le ventre d’Ixel se durcissait à chaque coup de reins et soudain, je m’affalais sur elle, jouissant en même temps qu’elle. Tandis que Violaine remuait de plus en plus sous les coups de butoir d’Armand, on l’entendit bientôt s’écrier Oui Oui et Armand pousser un long râle de contentement.
Ixel se redressa et m’embrassa tendrement. Je ne savais pas que la philosophie pouvait faire autant jouir, dit-elle.Être c’est penser, et c’est par le corps que l’on pense. Une pensée sans corps est une pensée désincarnée, c’est-à-dire incapable de se projeter dans l’avenir. Dans l’amour, l’être se projette dans le temps, il est le temps. Donc l’amour peut être le créateur de l’être et le sens du temps.
Mais je crois que plus personne ne m’écoutait.La prochaine fois, le sujet sera : Aliénation et Liberté, Violaine regarda Ixel et dans leurs regards complices, on put deviner un désir passionné de continuer à étudier la philosophie.Bon anniversaire !
Après un long silence, tenant dans ma main un sein tiède et ferme, je déclare : je veux te laver le sexe.Viviane me dévisage, et son regard à cet instant est celui d’une gamine qui rougirait si elle ne me connaissait depuis si longtemps, puis elle baisse les yeux sur son corps qui baigne dans l’eau bleue de son bain, et glisse une main vers les poils bruns et touffus, sous son ventre rebondi, écartant légèrement les jambes.
Non, dis-je calmement. Par-derrière. Mets-toi à genoux, je veux regarder. Tu es si belle.Elle se retourne et se met à quatre pattes, le cul hors de l’eau, tandis que je rejoins l’autre bout de la baignoire pour mieux voir sa chatte, qu’elle tripote d’une main savonneuse. Je glisse ma main par-dessus son poignet, jusqu’à son anus que j’enduis doucement d’une goutte d’huile de bain. Il se contracte ; elle pousse un soupir. J’ôte mon doigt pour le glisser dans son sexe, en dessous, et nos doigts entrent, ressortent ensemble, entrent à nouveau. Elle est trempée à l’intérieur, et j’en profite pour remonter jusqu’au petit trou, dans lequel j’enfonce mon doigt sans difficulté, jusqu’à la jointure. Elle se contracte, deux fois, et se tend, recule sur mon doigt, sans cesser de se toucher le clitoris qui clapote dans l’eau. Nous continuerons ainsi un moment, jusqu’à ce que quelqu’un frappe à la porte.
Je dis à Viviane de sortir du bain, de prendre un peignoir et d’aller m’attendre dans la chambre.Il a certainement vingt ans, en tenue de sport, noir, non plutôt terre de Sienne brûlée, des yeux clairs et une voix très douce. Je viens pour la pizza que vous avez commandée.Ah oui, entrez.Mon esprit est soudain traversé par d’étranges idées, et hésitant, je me lance. Voilà, dis-je, en lui prenant sa pizza, vous avez besoin d’argent et je peux vous faire gagner un bon pourboire sans trop vous fatiguer.
Étonné, il me regarde, bafouille un peu : Ben, heu oui, pourquoi pas, qu’est-ce que je dois faire ?Voilà, je voudrais faire une surprise à ma femme, comme un cadeau, c’est son anniversaire, vous comprenez, elle est dans son lit, elle m’attend, nous pourrions la rejoindre ensemble, vous verrez, elle est belle, et puis baiser un petit coup, ça fait pas de mal.
Ah, oui, pourquoi pas, c’est une blanche votre femme.Oui, une belle brune, chaude et puis elle aime les beaux noirs comme toi.Elle s’appelle Viviane, et toi ?M’ba, je suis sénégalais.Bien, tu vas dans la salle de bain, tu te laves et je viens te chercher.Quelques minutes plus tard, il ressort, une serviette de bain autour de la taille. Ses muscles saillants d’un brun luisant lui dessinent un corps parfait.Ne faites pas de bruit en entrant.Viviane est allongée, dans l’obscurité, sur le ventre. Qui c’était ? dit-elle.Rien, dis-je en me déshabillant et en la chevauchant, m’asseyant sur son dos délicatement, ma queue à moitié raide, face à notre ami M’ba qui regarde le cul offert de Viviane d’un air déterminé et curieux. Avec mes deux mains, je soulève les fesses et maintiens la chatte et le cul bien ouverts. De la tête, je fais signe à M’ba de s’approcher, de venir voir, de renifler, de sentir.
M’ba a maintenant le visage à la hauteur du sexe de Viviane, que je doigte vaguement, et il se rapproche encore, pour qu’il vienne sentir mes doigts, que je lui fourre dans la bouche et qu’il suce goulûment. De l’autre main, je continue de masser la chatte lourde, mouillée, trempée sous l’anus dilaté.
Vas-y, dis-je à voix basse, lèche !Qui est-ce ? dit Viviane, surprise, voulant se retourner. Une surprise, mon amour, un petit cadeau pour ton anniversaire.Mais elle n’a pas le temps de répondre, M’ba s’est mis à la lécher comme un chien, sa chatte écartée, tout en massant son clitoris, avant de remonter jusqu’au trou du cul, qu’il lèche de la même façon. Viviane commence à gémir sans pouvoir se contrôler, et à tendre son cul plus fort, contre le visage de M’ba, contre sa langue, que M’ba introduit lentement dans l’anus, puis retire.
Fatigué de tenir l’équilibre sur son dos, je me laisse tomber de Viviane, et me couche sur le dos, mettant la tête de M’ba devant le cul de Viviane et devant ma queue bien raide. Sans rien dire, il me saisit la bite et se l’introduit dans la bouche, me branlant tandis qu’il me suce le gland. J’attire Viviane vers moi, l’embrasse à pleine bouche, la léchant, écrasant ma langue contre la sienne, l’enfonçant plus loin, aussi profondément qu’elle puisse aller dans sa gorge. Elle se doigte la chatte, si mouillée que l’on dirait que tout le haut de ses cuisses est enduit d’une substance huileuse, luisante.
Je repousse la tête de Viviane, pour qu’elle aide M’ba à me sucer, et tous deux me sucent tour à tour le gland et la queue.À un moment, leurs deux bouches se rencontrent et sans même se présenter, ils s’embrassent à fond juste au-dessus de ma bite qui les effleure.Je me redresse, attrape Viviane par la taille, la soulève, mets son sexe à la hauteur de mon visage sur lequel elle s’assoit avec reconnaissance. Mouillé, dilaté, le clito gonflé, gorgé de sang, sa chatte est à présent au-dessus de moi, et j’y plonge mon visage, ma langue, me régalant de son goût, tout en lui effleurant l’anus.
Les doigts de Viviane pendant ce temps ont saisi la queue sombre et bien bandée de M’ba, de ses lèvres, elle l’a décalottée et à présent, elle lui suce le gland rose et lisse prêt à jaillir. M’ba lui s’acharne sur ses seins qu’il a pris à pleines mains, et il lui triture, les secoue, les pince, les caresse, les malaxe.
Soudain, retirant la bite de M’ba de sa bouche, Viviane la saisit à pleines mains et se caresse le visage avec, puis descend à ses couilles gonflées, grosses comme deux petites prunes, et se met à les lécher, avant de les avaler entièrement et de les masser, de les sucer alternativement, une à une, les séparant avec sa langue. Puis remontant en léchant son corps jusqu’à sa bouche, Viviane regardant M’ba, dit essoufflée : Baise-moi, maintenant, viens ! Et se dégageant de mon visage, elle se retourne, se met à quatre pattes, soulevant son cul le plus possible, passant sa main par en dessous elle s’écarte la chatte. M’ba sans attendre la pénètre doucement, Viviane me saisit la verge entre ses lèvres et commence à la glisser au fond de sa bouche.
M’ba accélère, je me redresse pour voir ce magnifique tableau, la bite noire, bien droite, s’enfonçant entre les fesses blanches de Viviane qui remue de plus en plus, mais déjà, je n’en peux plus, et je jouis dans sa bouche, manquant de s’étrangler, elle me relâche le sexe pour mieux tout avaler et finir de me lécher le reste. M’ba semble vaciller, Viviane râle à présent, oh oui, oh oui, oui, c’est bon, c’est bon, ça y est, il décharge, Viviane tremble de plusieurs secousses, elle jouit et l’orgasme la fait se tordre, se contracter, palpiter et gémir doucement, oh que c’est bon, que c’était bon !
C’était bien ma chérie ?Oh oui !Bon Anniversaire Madame, dit M’ba en se retirant lentement d’entre les cuisses de Viviane. Merci, répondit Viviane en me mordillant les lèvres.

La panne
huit heures du soir. Il fait encore chaud, très chaud. Juillet touche à sa fin.Sur la route, tranquille, Pia chante en conduisant. Elle est heureuse, les vacances commencent et la salsa de l’autoradio l’entraîne et la fait rêver.À 1 kilomètre du village, soudain, affaissement du côté gauche de la voiture, elle freine, s’arrête. Elle descend et découvre qu’elle a un pneu crevé. Personne autour d’elle. Elle cherche, mais ne trouve pas de roue de secours. Une voiture arrive, elle hésite, fait un signe de la main, la voiture s’arrête.
Pouvez-vous m’emmener au village, il faut que je trouve un garage, j’ai un pneu crevé ?Bien sûr, Madame, montez.Une demi-heure après, elle revient dans la dépanneuse d’Alberto, le garagiste du village. Il est jeune, la trentaine, grand, brun, les yeux clairs, la peau mate et la démarche souple, féline. Il regarde, cherche, ne trouve pas lui non plus de roue de secours. Il faut remorquer la voiture jusqu’au garage. Il est neuf heures, il fait bon, encore chaud, mais moite. Pia a une longue jupe légère, noire, un débardeur noir aussi qui laisse voir ses bras et ses épaules et un décolleté assez profond pour laisser deviner les formes généreuses de ses seins.
Arrivés au garage, Pia en profite pour aller aux toilettes se rafraîchir et se désaltérer. Deux autres mécaniciens travaillent encore dans le garage, profitant de la fraîcheur du soir. L’un en allant aux w. c. croise Pia qui se recoiffe, il sort et se lave les mains. Il doit avoir vingt ans, les cheveux noirs, longs, retenus par un lacet en cuir, il est torse nu, sur sa peau des traces de cambouis, de graisse et d’huile. Il ressemble à un indien.
Il fait chaud.Trop chaud, lui répond Pia.Vous voulez boire quelque chose de frais ?Oh oui, merci.Venez au bureau, on a un frigo.Dans le bureau, encombré de bidons d’huile et de pneus, le mécanicien lui tend un coca bien frais. Pia fait rouler la cannette métallique sur ses bras, autour de son cou et sur sa gorge pour se rafraîchir la peau. Elle soulève la languette, mais le coca un peu trop agité, s’échappe et gicle autour d’elle et surtout sur elle.

Alberto rentre au même instant dans le bureau.Mais qu’est-ce qui ce passe, mais vous êtes trempée !Oui, c’est le coca, il a giclé et j’en ai partout, répond Pia un peu gênée.Vous avez d’autres affaires dans votre voiture ?Non, malheureusement !Et bien ma pauvre dame, vous ne pouvez pas rester comme ça, dit Alberto en s’approchant d’elle. Il faut enlever tout ça pour le faire sécher, non ? Ça doit coller, non ?Oui, ça colle un peu, mais ça ira.Mais non, restez là, enlevez vos habits et pendant qu’on répare la roue, tout ça va sécher.Bon, d’accord dit Pia qui commence à soulever son débardeur. Mais comme il est mouillé, elle n’y arrive pas bien.Attendez, je vais vous aider, dit le mécanicien. Et passant derrière elle, il l’aide à enlever son débardeur. Pendant qu’elle lève les bras, Alberto s’approche devant elle.Il faudrait enlever le soutien-gorge aussi, dit-il en caressant la dentelle noire, tout ça est mouillé.Maria ne sait plus ce qui se passe, le mécano derrière elle dégrafe son soutien-gorge, Alberto devant lui enlève d’une main pendant que l’autre lui caresse le ventre et descend un peu plus bas, vers les boutons de la jupe.
Le mécanicien s’est collé à elle et lui presse les fesses. Elle sent une masse dure se frotter contre elle, des lèvres, des dents l’embrassent et mordillent ses épaules, ses seins nus se gonflent, leurs tétons se dressent et se durcissent, Alberto les saisit et les lèche, sa main a déboutonné la jupe qui glisse et tombe. Pia tremble, vacille et ses jambes nues commencent à fléchir.
Rentre le deuxième mécanicien. Très jeune, 18 ans peut-être, certainement l’apprenti.Viens Tino, dit Alberto, nous avons une cliente en difficulté et il faut toujours satisfaire les clientes.Surtout quand elles sont chaudes comme Madame, répond Tino.Oui, c’est ça, il faut lui refroidir le moteur, dit le mécanicien qui derrière les épaules de Pia descend les mains vers ses fesses.Putain, t’as vu ça comme elle belle, dit Alberto à Tino, viens voir ça !Et saisissant la petite culotte en soie noire, il la baisse doucement le long des cuisses de Pia qui ferme les yeux.

Regarde, regarde cette chatte ! Regarde, vas-y, mets ta main Tino, n’aie pas peur, tu vas voir, la dame est très gentille.Le jeune Tino s’approche, tâte, fouille, caresse, se met à genoux, écarte les cuisses de Pia qui semble s’effondrer, mais le mécano derrière la retient par les seins qu’il palpe, malaxe. Pia rejette sa tête en arrière, à présent totalement offerte, son ventre rebondi se durcit, ses cuisses largement écartées frémissent. Alberto lui soulève une jambe, la dépose sur l’épaule de Tino, puis l’autre, elle ne touche plus terre et sa chatte tout entière cache le visage du jeune Tino qui ne cesse de la laper et de lui sucer le clitoris. Alberto s’est allongé sous Pia, il regarde, admire, lui écarte les fesses, lui effleure l’anus.
Le cul de Madame est magnifique, dit-il.Peut-être qu’il a besoin d’une révision, dit le mécano.Ah oui, tu crois, répond Alberto qui aussitôt se saisit d’un bidon d’huile par terre à côté du bureau, dévisse le bouchon et trempe un doigt dans le bidon.On va voir ça, dit-il et doucement, délicatement, enfonce son doigt dans l’anus écarté.Pia n’en peut plus, elle gémit, se tord, le plaisir monte, l’envahit.Ne vous inquiétez pas Madame, c’est de la bonne huile, de la super, c’est pour les gros moteurs, les gros culs comme on dit dans le métier, et il accélère le va-et-vient, pendant que Tino enfonce sa langue dans le vagin, le plus profond possible, il sue, tout le poids de Pia repose sur ses épaules et il commence à fléchir.
Alberto se dégage et la soulève, tous les trois, ils la déposent sur le sol. Pia les yeux fermés, la bouche ouverte comme cherchant plus d’air, s’est totalement abandonnée. La nuit à présent a envahi le garage, il fait sombre, mais encore chaud, lourd, très lourd et trois bites bien droites, gorgées de sève se pressent contre elle. Une entre ses seins, une sur ses cuisses et une autre sur son visage. Les odeurs se mélangent, l’huile, le cambouis, l’essence, la sueur, elle a chaud, de plus en plus chaud. Soudain, elle tremble, sursaute, du coca glacé s’écoule sur ses lèvres, elle boit, c’est bon, très bon, le liquide se répand sur ses joues, sur son cou, sur ses seins, entre ses cuisses, une langue s’enfonce dans sa bouche, une autre lui suce les seins et une autre lape le coca qui s’infiltre dans sa chatte. Pia remue, se soulève, elle voudrait hurler.
Des mains la pressent, la caressent, l’écartent, ils la retournent, de l’huile se répand sur ses fesses, s’insinue dans le sillon qu’ils écartent.
L’huile perle autour de son anus aux reflets de miel et s’infiltre entre les poils de sa chatte dégoulinante. Un doigt, deux doigts dans son vagin, un autre dans le cul, d’autres doigts sur son clitoris, ça glisse, son corps entier se couvre d’huile. Soudain, elle ne sait plus si ce sont encore des doigts ou bien des bites qui la pénètrent en même temps. C’est bon, si bon qu’elle jouit, non, elle explose, encore et encore, elle n’en peut plus, mais en redemande, encore, elle supplie, oh oui encore !
Venez Madame, dit Alberto, une bonne douche nous fera du bien à tous.Oh oui, dit Pia.L’eau fraîche, le savon, le jet de la douche, les six mains qui la massent et s’introduisent partout, elle s’abandonne, elle dit oui, oui, non, elle ne sait plus, elle s’agenouille, une bite dans sa bouche va-et-vient, elle branle les deux autres qui lui caressent le visage, l’eau ruisselle entre ses mains, sur ses joues, entre ses lèvres, ça coule, ça gonfle et puis soudain, ça gicle de partout, de l’eau, du sperme, tout se mélange, elle se caresse, se lave, se redresse, s’appuie contre le carlage frais et reprend son souffle, elle est épuisée, mais tout son visage, ses yeux resplendissent, on dirait du bonheur.
Réparation faite, elle repartit dans la nuit, fatiguée, endolorie, mais calme et sereine, appuyant sur la cassette de l’autoradio, elle se remit à fredonner la salsa qu’elle n’avait pas fini d’écouter et songeuse se dit que, si souvent les pannes sont désagréables, celle qu’elle venait de connaître était la plus délicieuse et que des pannes comme celle-là, bien des femmes en rêveraient.

Le poète
Pourquoi doit-il y avoir amour plutôt que rien ?Se peut-il que je ne sois pas sans l’autre moi, je veux dire, sans ma part inconnue, celle que tu représentes ? Être seul, c’est cela, être sans cette autre partie de soi-même, cette partie que l’on peut reconnaître dans l’autre.S’il y a un vase, c’est pour y mettre une fleur. Si tu as entre les cuisses une poche humide, c’est bien pour y mettre quelque chose. Quelque chose que tu puisses garder, comme on garde dans sa poche des clés et de l’argent, pour rentrer chez soi et pour acheter de quoi se nourrir. Et ce quelque chose ressemble à une clé et à de la nourriture. C’est une clé de chair qui ouvre la porte de plaisir et nourrit l’amour de sa sève. Point de clé sans serrure et donc, dans mon cas, point d’homme sans femme ; je veux dire que je ne peux être entièrement un homme sans me confondre dans la femme.
Ainsi parlait le poète. Il parlait, Maria écoutait, entendait les mots des lèvres à ses lèvres. Les mots vibraient de la bouche à sa peau, du corps à son corps, et son souffle happait les mots, s’en abreuvait. Des mots aux lèvres, il n’y a qu’un souffle à franchir, qu’un geste à esquisser, mais elle préférait se laisser encore envahir par le son, la musique des mots, voir les lèvres, deviner la langue, imaginer la bouche sur sa bouche.
L’amour est un miroir qui ne peut refléter qu’un seul visage, celui fusionné de deux êtres, mâle et femelle. “Dieu créa l’homme à son image ; c’est à son image qu’il le créa ; mâle et femelle. Puis, ce n’est pas bon que l’homme soit isolé ; je lui ferai une aide semblable à lui”. Donc malgré sa perfection initiale, l’homme a besoin de son - de sa semblable, de quelque chose qui lui ressemble, mais qui n’est pas lui, une femme. Bien sûr dans la bible, Dieu est au masculin, c’est un éjaculateur qui pénètre les esprits, un écrivain, un artiste, il ébauche, corrige et parfait sa création. C’est la bible, mais comme dans toute grande œuvre, il y a beaucoup de vrais. Tout être ne peut être sans l’autre, et être véritablement sans fusionner. On ne peut être un sans être deux. L’amour est donc le point de fusion de deux images incomplètes, c’est par le coït que se soudent les alliages et que prend forme le corps unique de l’amour.
Ainsi parlait, encore le poète, Maria écoutait, mais commençait à ne plus entendre, où plutôt elle entendait autre chose que le son de la voix. Elle percevait en elle ce vibrato du corps qui en écho venait la caresser, comme une berceuse caresse, captive, hypnotise l’esprit et le corps avant de l’endormir. Mais présentement, il n’était pas question de sommeil, mais d’éveil, d’éveil des sens, comme la mer et la vague éveille l’envie de nager, elle ressentait lentement monter en elle l’envie de se laisser saisir, enveloppée par la parole. Elle n’écoutait plus elle s’enivrait, qu’importent les mots, se disait-elle, ce sont les ondes émises par celui qui parle qui sont la vérité, la réalité de ses paroles. Voilà la vraie nature des œuvres d’art, les ondes propices à l’amour, tout le reste n’est que bavardage.
Une parole, une musique, un tableau, une sculpture, un poème, qui n’inciterait pas à l’amour, qui n’éveillerait pas au désir, qui n’inciterait pas à l’union physique et spirituelle, ne serait pas de l’art, mais de l’illusion, du factice.
Et le poète parlait ainsi. Nous ne prenons véritablement forme humaine que par le désir d’aimer que nous sommes capables de faire naître chez l’autre, car le sexe seul n’est rien, dans sa solitude un sexe est vide. Nous sommes les habitants d’un sexe vide. C’est le désir qui invite à combler se vide. Et quand deux sexes se visitent, n’existe alors plus qu’une seule demeure, celle habitée par l’amour. Ainsi en va également de la vie qui demeure en elle-même vide de sens puisque son but ultime est la mort. Pareille au sexe, la vie est un vide qu’il faut remplir de soi, et comme une vie ne se comble pas de sa propre solitude, il faut bien l’union de deux vies pour à l’unisson du tressaillement des sens n’en vivre qu’une.
Maria n’écoutait plus, ses yeux griffaient l’air, ses lèvres se tendaient aux mots, ses mains frémissaient de partir pour le grand voyage. Sans agitation, mais sûrement, elle se dépouilla de ses vêtements, barrières au souffle de la voix. Libéré, son corps apparu, admirable, marbre lascif. Sa poitrine aux seins fermes et pointés était d’une fascinante puissance. Ses hanches et son ventre avaient l’ampleur et la courbure des amphores enivrantes et épicées. Et sous son nombril placide, un pubis foisonnant et sombre laissait deviner une fente mystérieuse, une fine bouche endormie au bord de laquelle scintillaient quelques perles, quelques gouttes, quelques larmes. À demi couchée, elle entrebâilla ses cuisses de lutteuse et fit admirer au poète le célèbre coquillage qui rend fou et redresse le dard le plus endormi.
À genoux, comme en prière face au dieu caché, le poète s’introduisit par la langue entre les lèvres humides et roses nacrées. Il ne léchait pas, ni ne suçait, il se noyait, s’envahissait, se maquillait du sexe ouvert avalant sa face. Se redressant, comme le nageur ressort sa tête de l’eau pour reprendre son souffle, le poète s’avança, rampa, nageant sur le corps déployé de Maria qui se soulevait et s’étalait comme une vague éreintée vient se rompre sur la plage tant espérée. La verge du poète, au bourgeon luisant, chaude et endurcie, vint buter, se frotter, caresser son clitoris humecté de salive. Leurs bouches confondues, leurs ventres soudés, leurs corps se fondaient l’un dans l’autre au rythme d’un souffle unique. Il y eut un silence, long comme un cri qui se meurt, et comme une supplication venant du plus profond de son corps, on entendit Maria dire d’un souffle court, “Baise-moi ! Baise-moi !”.
J’entrai dans la chambre, Maria se réveille.As-tu fait une bonne sieste ?Oh oui, très bonne, viens, viens m’embrasser, j’ai fait un rêve merveilleux et je crois qu’il te ressemble.Ah bon, raconte-moi, tu veux ?Alors viens !.......Vulvegaire rencontre.
La journée fut plaisante, les gens polis et serviables. Le buffet succulent et le colloque passionnant -Borges, métapsychologie et poésie-. Mais Patricia sous les coups de cinq heures de l’après-midi, sentit monter en elle une immense lassitude. Tous ces discours, toute cette science, tout ce décorticage de la pensée d’un écrivain, certes talentueux, parfois génial, mais quand même très abstrait, trop loin des réalités et des misères de ce foutu monde, faisaient naître comme un sentiment d’aveuglement, comme si le fait de parler d’un créateur aveugle rendait ses commentateurs aveugles aussi. Tout cela manquait de chair, de sueur, de larmes. Une beauté pure, une intelligence pure, splendide et isolée et qui ne peut résonner que dans des salons feutrés enrubannés de velours et de dorures, elle en eut soudain la nausée.
C’était à présent l’heure du cocktail, et l’ensemble des initiés se précipitaient au bar, l’air détaché, mais néanmoins pressés, tous ces purs esprits, malgré tout habitaient encore des corps. Quelqu’un dans la précipitation frôla Patricia qui remarqua aussitôt une chevelure superbe, noire et brillante, rassemblée en une magnifique queue-de-cheval nouée par un petit foulard rouge. De dos, elle eut un doute, un homme, une femme ? Elle s’approcha, c’était un homme. La trentaine, la peau mate, le regard sombre, le front large, le nez d’une ligne douce et une bouche parfaitement dessinée et sensuelle. Un charme étrange se dégageait de ce visage sombre et calme à la fois. Il ne ressemblait à aucun des participants et semblait ne connaître personne.
Je vous ai bousculée, excusez-moi, dit-il en dévisageant Patricia.Patricia lui répondit que ce n’était rien et c’est ainsi qu’ils firent connaissance. Il était l’un des traducteurs du colloque. Sa voix chaude et claire accentuait son charme. Au bout de quelques minutes, il avoua à Patricia qu’il s’était rarement autant ennuyé et qu’il était content que cela se termine. Patricia lui fit part de son semblable sentiment.
Partons d’ici, voulez-vous, laissons tous ces crânes d’œuf se masturber l’esprit entre eux ?Patricia fût tout d’abord déconcertée par ces propos, mais acquiesça et discrètement, ils s’éclipsèrent.Il l’invita à venir prendre un thé chez lui. Sans vraiment réfléchir, elle accepta. Elle ne l’écoutait pas, elle était comme fascinée par ses cheveux, se bouche et à présent par la grâce de ses grandes mains.
Le studio n’était pas grand et avec très peu de meubles, juste le nécessaire dans une seule pièce.Je voyage beaucoup pour mon travail et je n’ai pas le temps de m’installer, dit-il en préparant le thé.Patricia s’installa dans un vieux fauteuil et le regardant, elle ne pouvait plus détacher son regard de ce visage inconnu. Elle fut néanmoins surprise par le changement de langage qu’il employait au fur et à mesure de la conversation.
Je me suis rarement autant fait chier qu’aujourd’hui. Tous ces intellos qui se prennent pas pour de la merde, vraiment ça me fout les boules et en plus traduire leurs conneries toute la journée, vous ne pouvez pas savoir, quelle chierie !
Comme c’est étrange, se dit-elle, si beau et parlant si bien il y a une heure à peine et à présent ce langage de charretier. Ce doit être la tension nerveuse, il décompresse, traduire c’est épuisant. Elle trouvait ça étrange, mais en même temps cela excitait sa curiosité, car paradoxalement ses mots grossiers accentuaient son charme.
Vous avez l’air choquée !Non, non, étonnée que vous puissiez ainsi changer si rapidement de manière de parler.Oui, je sais, mais vous savez, passer toute la journée à écouter des pseudo- intellos se lancer dans des démonstrations alambiquées, à la fin de la journée, je n’en peux plus. Il faut que je me débarrasse des subjonctifs imparfaits et autres concepts elliptiques réservés à cette foutue élite satisfaite d’elle-même. Alors quand ça se termine, je me laisse aller, je deviens bestial, au sens figuré bien sûr, je sais, c’est bizarre, mais c’est comme ça, il faut que je me vide l’esprit. Vous savez, escalader à longueur de journée les sommets de la culture, c’est éreintant, alors traîner un peu dans le caniveau, c’est une image, ça ne fait pas de mal !
Oui, bien sûr, je comprends très bien, j’ai parfois le même réflexe, répondit Patricia.Le thé était délicieux, Ceylan à la bergamote, petits gâteaux, je vous sers, encore, oui, un sucre, frôlement des mains, regards qui se croisent, merci, je vous trouve vraiment belle, ah oui merci, non c’est vrai, même très attirante, vous me gênez...
Et puis comme l’éclair foudroie soudain l’azur calme et limpide, j’ai très envie de baiser avec vous !Maria accuse le coup, baisse les yeux, rougit, ne sait quoi répondre, balbutie.Mais enfin, je vous en prie, je ne sais même pas votre nom.....Léo, je m’appelle Léo, pour vous servir. Je n’ai pas envie de vous baratiner pendant des heures et puis je vois bien que je ne vous suis pas indifférent, alors pourquoi faire des manières.Patricia hésite, partir, rester et puis il y a cette bouche, ces cheveux, ces mains, tout ça la tourmentait plus qu’elle n’osait se l’avouer.Ne vous fâchez pas, dit-il passant derrière le fauteuil et se penchant au-dessus de la nuque de Patricia, je suis sûr que vous n’êtes pas une de ces bourgeoises pincées qui frétillent en disant oh non, non, mais qui ne pense qu’à ça.
Là n’est pas le problème, je trouve simplement que vous allez un peu vite en besogne et que vous m’avez l’air bien sûr de vous, lui répondit Patricia essayant de se retourner, mais aussitôt elle sentit deux larges et lourdes mains saisirent ses seins tout entiers. Léo se baissa un peu plus et relâchant ses seins, s’empara du visage de Patricia et l’embrassa goulûment, avalant ses lèvres, forçant sa bouche d’une langue épaisse et assurée. Patricia se décrispa, ouvrit largement la bouche et commença à remuer sa langue, son visage écrasé par celui de Léo, elle tournait, retournait sa langue, suçait les lèvres qu’elle désirait tant. Léo replongea ses mains vers les seins de Patricia, ses seins qui sous la chemise de soie se tendaient de plus en plus et durcissaient au rythme du baiser qui n’en finissait plus.
Du fauteuil au lit, il n’y avait qu’un pas, un geste, un effondrement, qui fut fait, tous les deux enlacés. Et puis ce fut comme une inondation, un flot ininterrompu de baisers, de caresses, de gestes, de positions, de mots obscènes.
Allez, viens ma salope, hein que t’es une salope, vas-y, écarte tes cuisses, mieux que ça, montre-moi ta chatte que j’y fourre un doigt, oui comme ça, ouvre ta bouche, grosse cochonne, regarde ma queue, tu la veux, tiens avale, suce, mieux que ça, salope, dis-le que t’es une salope, oui je suis une salope, allez pompe, lèche, vas-y, oh putain ta bouche ! Suce ma belle !
Quelle suceuse tu es ! Ecarte ta chatte, que je te la bouffe, tu aimes ça, hein, hum, hum, quelle chatte, trempée, tu mouilles comme une vraie salope, t’en veux combien de doigts, un, deux, trois ? Deux ! Et bien tiens, vas-y bouge, bouge ton cul, allez, laisse-toi aller, c’est ça que tu veux, tu aimes la baise, hein, tiens suce encore, bouffe-moi les couilles, oh la-la, mais tu fais ça bien, Madame est une experte, oui, oui, qu’est-ce que t’es bonne ! Et puis ces seins, nom de dieu ! Je vais te les bouffer, quoi ? C’est bon ! Oui, dis-le que c’est bon, plus fort ! Retourne-toi, tu vas voir, oh ce cul ! Ecarte, écarte je t’ai dit, avec les deux mains, oui voilà, tu la sens ma langue ? Soulève ton cul, où il l’est ce clito que je m’en occupe ? Ah oui voilà, il est là, mais il est mignon ce petit clito, il ne demande que ça, c’est un clito de salope, et puis ce cul, un vrai cul de salope, magnifique ce trou, tu veux que je te baise, hein, salope ! Grosse salope !
Quoi, j’ai pas compris, oui baisez-moi, mettez-la-moi, bien sûr que je vais te baiser, te défoncer la chatte, voilà, comme ça ? Oh oui, oui, vas-y remue, viens, que je te la mette au fond, tiens, tiens, tu la sens ma queue ? Oui, c’est bon, c’est bon, encore ! Ah oui, ah oui, je vais jouir, tiens prends ça, oui, oui, tu jouis aussi, oui, oui, oh que c’est bon !
Patricia avait un rendez-vous dans la soirée, comme elle était un peu en retard elle téléphona à l’amie chez qui elle devait dîner.Bon d’accord, on t’attend, et ce colloque pas trop chiant ?Oh non, génial, vraiment génial, si tous les colloques étaient comme ça, quel pied ça serait ! répondit-elle tout en souriant à Léo qui nonchalamment lui caressait les seins et lui tendait ses lèvres pour un dernier baiser.Menu végétarien
Lors de la préparation d’un menu végétarien, il n’est pas nécessaire de revêtir un costume de jardinier, bottes, chapeau de paille et tablier, non, ne soyons pas ridicules. Il faut rester nature, donc soyons nus. Tout d’abord, il faut savoir choisir la femme à qui l’on offre son premier menu végétarien. Il vous faut une femme ni trop petite, ni trop grande. Tâtez-la, sentez-la, ses fesses et ses seins doivent être lourds et fermes, bien arrondis, qu’il y ait de la chair et du muscle. Que son ventre ne soit pas trop plat, non, il est nécessaire qu’il y ait du mouvement dans les formes. Enfin une femme qui aime la nature et tous ses sens, une femme bien en chair, aux courbes généreuses, aux lèvres sensuelles et surtout qui aime bien manger et boire par tous les orifices, comme dame nature. Une femme par exemple comme Maria, ma femme, mon épouse, en un mot mon amour.
Vous prenez donc cette femme, Maria, vous lui faites prendre un bain, bien chaud, vous la savonnez, vous la massez, que la chair se détende, s’assouplisse, vous la rincez, mais pas trop et vous l’essuyiez à peine. Vous prenez une belle nappe que vous disposez sur le sol de votre cuisine et vous y couchez Maria. Nue, sur le dos, les jambes écartées et la tête sur un coussin moelleux.
Vous aurez au préalable réuni la liste d’ingrédients suivants : un concombre, une courgette, une carotte, un poireau, 100g de crème fraîche, 1 cuillère à soupe d’huile d’olive, 100g de beurre et pour le dessert une banane ainsi que de la crème Chantilly. Pensez à préparer le café pour finir le repas.
À l’eau chaude, vous lavez le concombre, la courgette, la carotte et le poireau, vous gardez les fanes de la carotte ainsi que les racines du poireau et vous laissez tremper tout cela dans un peu d’eau chaude. Vous disposez ensuite sur la nappe les divers ingrédients, crème fraîche, beurre, huile et crème Chantilly. Puis vous entreprenez votre invitée, en l’occurrence Maria, qui bien souvent commencera par jouer la paysanne effarouchée ou la sainte-nitouche, mais un baiser langoureux, un petit coup de langue sur son clitoris, un soupçon de doigt entre ses lèvres du bas et vous la verrez aussitôt se mettre en appétit. Alors surtout ne peut pas laisser refroidir, prenez la carotte, trempez son extrémité dans l’huile et délicatement caressez-lui le bout de ses seins, puis descendez et là très lentement écartez-lui les lèvres de son vagin et pénétrez-la à peine.
Puis saisissez-vous du poireau et avec ses racines comme si c’était un pinceau, caressez-lui les seins et le ventre. Dès que son corps exprimera quelques ondulations, accélérez le mouvement de la carotte, puis enlevez-la doucement et amenez le poireau subrepticement sur sa chatte, là, uniquement avec l’extrémité des racines, passez et repassez sur son clitoris, pas trop vite, sans à coups, normalement à ce moment-là, vous la verrez réagir et vous demander d’accélérer, et bien surtout pas, prenez plutôt la courgette, trempez-la dans la crème fraîche et faites-la pénétrer entre ses lèvres jusqu’au fond du vagin, là, la concentration est importante, d’une main, caressez son clitoris avec les racines du poireau, de l’autre main, commencez un lent va-et-vient de la courgette entre les parois de son vagin où la crème fraîche a dû s’étaler et sans vous arrêtez une seconde, descendez lui mordiller et lui embrasser les seins.
Les secousses de son corps vont s’accélérer, ses cuisses vont se durcir, et la jouissance, bientôt, l’envahir. Lentement, alors, retirez-vous, embrassez-la et dites-lui à l’oreille que ce n’était que l’entrée et qu’il reste le plat principal et le dessert.
Pour apprécier le plat principal, la meilleure position, c’est à quatre pattes, quand ses seins lourds pendent et remuent, que ses fesses rebondies se tendent et s’écartent, que son dos se creuse, que son cou s’étire, alors prenez le concombre, beurrez-lui l’extrémité, puis doigt après doigt, pénétrez son vagin englué de crème et après l’avoir bien branlée, introduisez délicatement, à la place de vos doigts, le concombre tout en lui léchant à petits coups de langue l’intérieur des fesses. Faites aller et venir le concombre en elle de manière régulière, sans précipitation, remuez, tournez-le bien au fond, puis quand vous sentirez sous votre langue son anus se détendre, s’écarquiller, nappez-le de crème Chantilly, c’est le dessert qui arrive. Il vous faut alors faire preuve d’une grande dextérité, et ne pas vous énerver. C’est une question de rythme et de délicatesse, d’amour si vous préférez.
Retirez lentement le concombre, mais pas complètement, dès qu’il est prêt à sortir de sa chatte, enfoncez-lui tout doucement la banane entre les fesses, ne soyez pas brusque, laissez-la venir, c’est elle à présent qui doit se laisser pénétrer comme il lui plaira, n’allez pas plus vite que le mouvement de ses fesses, plus la banane s’enfoncera, plus vous enfoncerez le concombre en même temps et dans une même houle de plaisir vous la laisserez aller et venir jusqu’à la suprême jouissance.
Le plaisir l’ayant envahie, couvrez-la de baisers, essuyez-la à l’aide d’une serviette humide et chaude et demandez-lui si elle a encore faim. Si oui, proposez-lui un petit café. Un café pas trop chaud, sucré comme il faut. Faites-lui goûter, s’il lui convient, prenez votre verge, trempez-la dans le café comme si c’était une cuillère. Puis tendez-lui votre sexe bien bandé, vous verrez alors avec quelle frénésie elle vous l’avalera et vous le sucera jusqu’à l’extase.
Après ce repas intime, je pense que vous trouverez bien d’autres manières, encore plus subtiles, de vous rassasier l’un l’autre en faisant de votre amour un perpétuel festin lubrique et toujours magique.
Réincarnation
Antoine de Maurepas-Silver, commissaire aux biens de l’empire, dénicha un jour ce billet signé de Madame du Barry, adressé à un de ses amis peintres : “Je ne saurais trop vous conseiller Maria Rosario et Francine Desportes, pour vous servir de modèles au travail que Monsieur l’Intendant vient de vous commander pour illustrer son livre précieux de l’Arétin.
Elles sont jeunes, mais ont vice comme cent. Et toujours belles malgré la grande expérience qu’ont de toutes choses en bel amour et qu’en savent toutes fantaisies, et jusqu’aux moins normales et aux plus licencieuses, à point qu’en serez surpris.
Et si vous voulez contrôler vous-même, mon ami, que vous conseille leurs étonnantes dispositions sensuelles avant que de les livrer devant vos élèves et en croquer la beauté des poses sur vos carnets, vous constaterez, par exemple, que sont plus larges de fesses que de ventre tant ont habitude de ces manières, mais que leurs muscles sont bel et bien en forme et savent se resserrer à bonne volonté.
Et constaterez aussi que nombre d’hommes, en quelque façon que soit, ne leur fait point peur, surtout la sus nommée Maria Rosario, et qu’ont l’art du bon accueil poussé à l’extrême de toutes civilités.”
“ La voilà la preuve, je te l’avais bien dit que tu étais la réincarnation d’un personnage du 18eme siècle. Je l’avais vu pendant les séances de régression sous hypnose et j’en ai enfin trouvé la preuve. Tu t’appelles Maria Donamor del Rosario et elle s’appelait Maria Rosario, c’est quand même troublant. Et puis il y a la peinture et tu es peintre. Pour le reste, toi seule peux dire ce qu’il en est, je parle des fesses plus larges que le ventre et des muscles qui savent se resserrer à volonté.” dit Marco, le voyant que fréquentait Maria depuis plusieurs années.
“ Oui, c’est étrange, même stupéfiant, la peinture, le nom, la sensualité, tout ça est extraordinaire.” répondit Maria, troublée par cette découverte.“ Je pense, qu’à présent tu ne dois plus contrarier ton destin, tu es devenue peintre, car tu découvris la peinture chez ce peintre quand tu étais son modèle, mais avant, tu étais avant tout une amante experte, et ça tu ne dois pas l’oublier, je suis sûr que tu dois le ressentir au tréfonds de toi.”
“ Oui, c’est un peu vrai, je sens souvent des pulsions, des envies m’envahirent et je ne sais pas d’où cela vient.”“ Et bien maintenant, tu le sais.”“ Tu sais, la réincarnation c’est la migration d’un état, d’une âme, cette âme migre de corps en corps, habite ces corps successifs et devient esprit. Cette âme habite ton corps à présent, elle se confond à ta propre âme et fait naître en toi des sensations, des perceptions qui vont régir à la fois ta pensée et les réactions de ton corps. Si ton corps t’appartient, ta pensée est faite d’âmes éternelles, qui comme des barques sur la mer, emportées par le vent et la houle, vont s’échouer sur un récif ou sur une île ou bien un continent, et bien tu es ce récif, cette île, ce continent sur lequel est venu s’échouer et s’amarrer une âme. Une âme merveilleuse, sensuelle, belle et généreuse”.
Maria écoutait, à la fois étonnée et curieuse. Le soir s’approchait, baignant le salon du voyant d’une douce pénombre. Était-ce la voix chaude de Marco, la révélation de la lettre qu’elle ne quittait pas des yeux, ou bien les images de ces temps anciens où elle fût courtisane ? Je ne sais, mais tout cela éveillait en elle de troublantes sensations, fourmillements, frissons, bouffées de chaleur.
“Je te sens troublée, émue, viens sur le canapé, nous y serons plus à l’aise pour parler de tout cela, veux-tu boire quelque chose ?”“Oui, je veux bien un peu d’eau.”Marco alla chercher une carafe d’eau fraîche, quand il revint, Maria était sur le canapé, la tête en arrière, pensive.“Vraiment, dit-elle, crois-tu qu’il s’agît vraiment de moi, dans cette lettre ?”“J’en suis sûr. Et puis si tu en doutes, rien ne peut t’empêcher de vérifier par toi-même.”“Que veux-tu dire par-là ?”“Je veux dire qu’il ne tient qu’à toi de vérifier si les aptitudes de ton corps correspondent aux descriptions qu’en fait la comtesse du Barry.”“Tu n’es pas gêné, je vois très bien où tu veux en venir, petit vicieux.”“Vicieux, non, curieux, simplement curieux de prouver que ma découverte est exacte.”“Oui, je vois, c’est le professionnel qui parle.”“D’une certaine manière oui, et puis d’une autre, reconnais que c’est quand même une découverte très excitante, aussi bien pour toi que pour moi.”“Excitante est bien le mot” dit Maria, remarquant sous la ceinture, une bosse se former dans les plis du pantalon de Marco, venu s’asseoir prés d’elle.“Il est bien écrit plus large de fesses que de ventre, il serait bien je crois de vérifier, tu ne crois pas, allez, ne soit pas farouche, montre-moi un peu ces fesses !”Maria rougit, mais se lève et doucement soulève sa longue jupe jusqu’à l’apparition de son majestueux globe lunaire recouvert d’une fine culotte blanche. Marco en tombe à la renverse, c’est trop beau, dit-il, splendide et d’une main, il retient la jupe tandis que l’autre glisse sur la croupe offerte.
Il caresse, tâte, pelote les fesses, en parcourt toute l’étendue, toute la masse, en épouse les contours, glisse par-dessus, les soupèse, Maria se baisse encore plus, elle s’abandonne, Marco lui relâche sa jupe qui tombe sur ses épaules, des deux mains il tripote, caresse, froisse la culotte, la tire et la fait glisser le long de la raie qui s’écarte pour mieux avaler le tissu soyeux. Maria, sous les caresses, commence à se trémousser, elle se contracte, s’épanouit, s’ouvre, se ferme, se lève, s’abaisse, se couvre par instants de chair de poule, ses reins se creusent, sa croupe épanouie semble électrisée par le souffle de Marco qui s’est rapproché, la bouche ouverte prête à mordre. Mais d’un mouvement du bras, il encercle la taille de Maria et pesant sur elle l’oblige à mieux se courber entraînant par réaction une saillie plus prononcée du séant. Attrapant l’élastique du slip, il tire celui-ci vers le haut.
La fine étoffe s’enfonce alors plus profondément entre les fesses, faisant mieux ressortir les deux globes de porcelaine. Maria aussitôt écarte les cuisses, entre les plis de sa culotte apparaissent les poils de sa toison, Marco n’en peut plus, il la fait glisser sur le canapé et plonge sa tête entre sa raie, écartant ses fesses des deux mains, il la lèche, la mordille, l’embrasse, de son petit trou luisant jusqu’à sa chatte trempée. Maria, le visage dans les coussins du canapé, ronronne, gémit, remue sous les coups de langue, excitée au plus haut point, elle creuse ses reins, écarte encore plus ses cuisses, il lui baisse doucement la culotte, son cul alors s’étale, révélant ses mystères, son orifice si menu sous lequel s’allonge la vulve entrouverte embroussaillée de poils noirs.
Marco la langue dardée salive tous les creux, les sillons et les orifices, ses doigts remplaçant parfois sa langue, il découvre avec délectation que les muscles de son vagin et de son petit cul répondent bien à la description de la du Barry. Ouvrant sa braguette, il libère son pénis qui aussitôt se cabre de plaisir. Il le tend entre les fesses de Maria, puis le fait glisser lentement jusqu’à l’entrée de sa chatte trempée, il ne la pénètre pas, non, c’est Maria, sa chatte dilatée, épanouie qui l’avale tout entier. Son cul bien écarté laisse apparaître un œil sombre et brillant de salive qui semble inviter Marco à ne pas le laisser frustré d’une visite. Il n’attendit pas et après s’être humecté l’index, il l’approcha et l’enfonça doucement entre les fesses de Maria qui le corps parcouru de mille frissons s’abandonna à un va-et-vient effréné. Submergés par tant de volupté, leurs jouissances se confondirent en un même râle de plaisir.
Voulant prolonger un peu cette extase inattendue et néanmoins secrètement espérée, Maria, en contractant ses muscles retint Marco en elle, il s’effondra sur elle et l’embrassant dans le cou, lui susurra à l’oreille : “Maintenant j’en suis sûr la comtesse ne s’était pas trompée, et tu es bien la plus belle réincarnation de sa Maria.”
“Peut-être, mais je crois qu’il faudra encore me le prouver.” répondit Maria, le sourire aux lèvres.
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