En préambule ce texte est librement adapté du film « The Riot Club ». Il s’agit d’une prospective sur le modèle du « et si ». Les noms des personnages ont par contre été changés. Il s’agit de mon premier texte, donc soyez indulgents...
-Ca y est je suis admis. Celui qui crie cette phrase en tapant à la porte de la chambre de sa petite amie n’est autre que votre serviteur. Avant toutes choses je vais donc commencer par me présenter. Je m’appelle David, 19 ans actuellement étudiant au sein de la prestigieuse université d’Oxford. Il s’agit du cursus habituel quand on est issu comme moi de la grande bourgeoisie anglaise. Je n’ai jamais eu à m’en faire pour l’argent, mais pour des questions de prestige social, de conventions et de maintien de l’influence de ma famille, il ne serait pas envisageable que je ne fasse pas carrière dans une grande banque de la City, ou au sein du gouvernement. -Enfin c’est pas trop tôt, je n’en pouvais plus de te voir te faire humilier presque quotidiennement. Tu es vraiment sûr que cette admission est ce qu’il y a de mieux pour toi ? Celle qui s’adresse à moi en ouvrant la porte est vous l’aurez deviné ma petite amie Emma. Elle a 19 ans également, nous nous sommes rencontrés lorsque je suis arrivé à l’université. Nous nous sommes retrouvés régulièrement côte à côte pour travailler à la bibliothèque et de fil en aiguille, nous en sommes arrivés à nous voir en dehors, puis par sortir ensemble. J’en suis très amoureux, mais qui ne le serait pas. Il s’agit d’une très belle métisse à la taille élancée, mais avec suffisamment de formes au niveau des seins et des fesses pour ne pas ressembler à une anorexique de podiums. Elle est par ailleurs très intelligente et travailleuse, ce qui ne gâte rien. Son seul défaut vis à vis de mes parents est qu’elle vient d’un milieu prolétaire. Elle n’a été admise que par son travail et ne peut compter que sur ses bourses et un job à temps partiel pour payer ses études. Si je le pouvais, je l’aiderai, mais mes parents sont très à cheval sur l’utilisation que je fais de mon argent et s’ils apprenaient que je paie les études de ma petite amie avec, ils seraient capable de me couper les vivres. Cela d’autant plus qu’ils aimeraient plutôt me voir rencontrer une fille issue de mon milieu.Je lui réponds alors : -Oui j’en suis sûr, tu ne te rends pas compte du nombre de portes que l’admission dans ce club va m’ouvrir. Tu devrais plutôt être contente pour moi et me féliciter et puis tu seras indirectement amené à en bénéficier. Etre la fiancée d’un membre du Riot Club ne peut que t’offrir des opportunités. Le club auquel je viens d’être admis est un de ces clubs officieux qui n’accepte que des gens avec un pedigree au dessus de tout soupçon. A la manière des confréries américaines, pendant le temps des études, il s’agit surtout d’un groupe d’étudiants qui se retrouvent pour pratiquer toutes sortes de débauches. Mais par la suite il donne accès à un réseau regroupant un nombre très important de banquiers, patrons ministres, lords, qui y ont tous appartenu pendant leurs études. Mon adhésion vient enfin d’y être accepté après un long bizutage de trois mois, où j’ai dû subir en compagnie d’un autre candidat Allistair, divers types d’humiliations souvent de nature scatologiques, voir sexuelles, mais sans que cela ne déborde outre mesure. De plus on sentait une certaine forme de camaraderie dans la manière dont les choses se faisaient. -C’est vrai tu as raison, entre je vais te montrer comment je peux te féliciter à ma manière. Me déclara alors Emma. A peine la porte refermée elle me poussa sur le lit, puis commença à sensuellement se déshabiller.
-Mets toi à l’aise. Me dit elle Je décide donc très vite de l’imiter et me mets assis nu sur son lit.Elle se met alors à quatre pattes et se rapproche petit à petit en ondulant comme une chatte. Puis lorsqu’elle arrive à mon niveau, elle dirige tout de suite sa bouche vers ma bite qui a déjà commencé à se dresser. Elle commence par donner des petits coups de langues sur mon gland, puis petit à petit l’enserre de sa bouche et commence à descendre pour me prodiguer une de ces fellations qu’elle a appris à faire depuis que nous sommes ensemble. Elle a d’ailleurs tellement bien appris que je me retrouve très vite au point de rupture., je le lui signale avant d’exploser dans sa bouche, ce qu’elle aurait eu du mal à me pardonner.Elle s’allonge alors au bord du lit, m’invitant à lui rendre la pareille. Sa chatte dégouline de mouille tellement elle est excitée. Je glisse ma tête entre ses jambes et commence à lui lécher son vagin, puis remonte et m’intéresse plus précisément à son clitoris sur lequel ma langue concentre tous ses efforts. Je la sens devenir toute frémissante sous moi, j’en profite pour glisser mon index et mon majeur dans son vagin qui est maintenant totalement trempé. Comme je la sens particulièrement réceptive, avec mon annulaire, je cherche alors à pénétrer son anus. Mais elle réagit immédiatement en me disant :-Tu sais bien que je ne veux pas que tu ailles par là.Sagement je décide de ne pas insister. Je continue à la lécher et la doigter tout en écoutant ses commentaires.-Tu lèches trop bien, tu vas me faire jouir. Quand je pense qu’il a fallu que j’attende de te rencontrer pour découvrir la baise, qu’est ce que j’ai manqué pendant toutes ces années, tu vas faire de moi ta petite salope, je t’aimmmme..... Ce cri accompagné des petits tremblements de ses jambes et de la crispation de ses mains sur ma tête me permet de ressentir son orgasme fulgurant. Je lui laisse alors un petit temps pour se remettre, puis je la retourne sur le ventre et dirige ma bite vers son vagin. Vas-y baise moi, me dit-elle Je m’introduis alors petit à petit en elle. Puis une fois dedans je commence à accélérer le rythme. Au fur et à mesure qu’elle se remets de son orgasme, je la sens de plus en plus réceptive, je commence à caresser son clitoris, avec ma main droite, pendant que ma main gauche décrit des cercles sur ses fesses. -Dis moi des mots crus tu vas me refaire jouir me dit-elle alors.-C’est moi qui vais jouir ma petite salope, j’aime trop te baiser comme tu le mérites. En effet, le rythme s’accélérant, je suis au bord du point de rupture, je sens que elle aussi. Je veux la refaire jouir avant de craquer à mon tour. Je me concentre alors sur les caresses que je prodigue à son bouton d’amour. Puis la sentant une nouvelle fois très excitée, je rapproche le pouce de ma main gauche petit à petit de sa corolle qui me fait de l’œil. Lorsque j’arrive au niveau de son anus, elle ne dit rien, sans doute trop prise par ses sensations. J’appuie donc petit à petit mon pouce, jusqu’à y rentrer la première phalange. Je ressens alors le frémissement annonciateur d’un nouvel orgasme de sa part. De mon côté l’excitation est à son comble, je finis par exploser au fond de son vagin. Alors qu’elle me signale son orgasme par un long cri. Nous nous allongeons ensuite dans son lit épuisés et apaisés par la décharge d’endorphines. Elle me dit alors :-Pourquoi est ce que tu insistes toujours sur mon anus, tu sais que je n’aime pas qu’on y touche, c’est sale.-Tu ne me sembles pas avoir détesté à la fin. En plus lorsque je t’ai rencontré tu ne voulais pas entendre parler de me sucer, aujourd’hui je crois que c’est quelque chose que tu aimes, non ?-C’est différent, dans ma tête c’est une zone qui est vraiment sale, j’aurai l’impression d’être une pute si je me laissai prendre par là. Même si tu as l’impression et je dis bien l’impression, que j’y prenais du plaisir, je ne veux pas que tu recommences. Me dit elle alors en me regardant dans les yeux. -Très bien de toute façon je ne veux pas me disputer avec toi aujourd’hui, je suis trop heureux de mon admission dans mon club. La seule mauvaise nouvelle est que nous n’allons pas pouvoir nous voir ce week-end, tous les membres du clubs se réunissent pour notre admission définitive à moi et à Allistair. Le président a réservé une salle privée dans un restaurant des environs.Elle se tourne alors vers moi et me demande ?-Tu es sûr qu’il n’y aura que les membres du clubs, ce n’est pas l’occasion de rencontrer de jolis filles qui sont du même milieu que toi ? Un des défauts d’Emma est qu’elle n’a pas assez confiance en elle. Elle a un complexe d’infériorité vis à vis des étudiants issus de la bourgeoisie et de l’aristocratie. Je suis régulièrement obligé de la rassurer. -Ne t’en fais pas nous serons uniquement entre membres du club. De plus même s’il y avait des filles de mon milieu comme tu le dis, sache que des filles comme elles j’en connais depuis mon enfance et je n’aime pas leur compagnie. De toute façon il n’y a que toi que j’aime. -Tu me le jures ? -Oui sur ce que j’ai de plus cher, c’est à dire toi. Ma déclaration l’apaise alors comme d’habitude. Nous nous câlinons un peu, puis je finis par regagner ma chambre, Afin de préparer le week-end à venir à suivre...
