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The walking dead

Chapitre 1

Divers
J’ai voulu m’essayer à un exercice de style qui change de l’ordinaire. Rédiger une histoire dans le contexte de la série The Walking Dead. Ok ça parait casse gueule comme ça et un peu bizarre mais J’ai voulu tenter le coup. M’essayer au mélange des genre tout en y incorporant le coté hard-core de la série. Je demande juste à ceux qui me liront de me donner leurs impressions._____________
Ça fait maintenant plus de 6 mois que l’épidémie s’est rependue sur la surface du globe. Partout les cadavres cannibales se sont réveillés et ont fait des millions de victimes. Au moindre bruit, à la moindre odeur, les zombies se jettent sur le moindre être vivant afin de le dévorer.
Avec mon père, ma petite sœur et un autre jeune homme, nous étions les derniers survivants présumés d’un groupe qui s’était constitué au fur et à mesure des rencontres. Malheureusement on s’est fait attaqué par une horde. Certains sont morts, d’autres ont été mordus et sont devenus zombies à leur tour, mais les survivants du groupe se sont éparpillés dans l’urgence. Nous n’étions plus que 4 depuis lors, perdus et désespérés sans nouvelles des autres.
Depuis une semaine nous avions mis le cap vers une zone commerciale. Construite il y a peu, à l’écart de la ville, nous pensions pouvoir nous y ravitailler et pourquoi pas y retrouver du monde. Malheureusement d’autres avaient eu la même idée et il ne restait plus grand-chose. Toutefois certains bâtiments pouvaient nous offrir un abri temporaire. Mais la zone ayant été le lieu de violents affrontements, La zone grouillait de morts vivants et on s’est fait repéré. En courant pour leur échapper, on s’est retrouvé coincé dans une impasse. Papa, qui avait le seul fusil disponible se préparait à nous défendre. Moi et guillaume, le fameux jeune homme, un ancien garçon coiffeur plus habitué à manier la lime à ongle, avions chacun un couteau mais on ne se faisait pas d’illusion sur nos chances. C’est là que la porte d’un quai de déchargement s’ouvrit. Un homme nous fit signe de rentrer et referma derrière nous.
Notre sauveur faisait partie d’un autre groupe. Une dizaine de bikers qui avaient investi les lieux. A les voir, ils avaient tous entre 40 et 50 ans. Après un bref tour d’horizon on a constaté qu’il n’y avait que 2 femmes parmi eux. Soudain un type imposant, l’archétype du Biker par excellence : grand, enveloppé, barbu, chauve avec un foulard sur le crâne et habillé d’un jean, d’une paire de bottes et d’un perfecto en cuir noir se présenta devant nous comme le chef de bande et vint à notre rencontre. S’en suivi entre lui et mon père une longue discussion.
— Bah alors vous vous êtes perdu ?— Merci de nous avoir sauvés. On était mal parti sinon.— De rien. Vous êtes de passage ou vous cherchez un abri ?— On a été séparé de notre groupe après une attaque de zombie et depuis une semaine on cherche un refuge.— Si vous voulez vous pouvez rester mais ici on a des règles. Si vous ne les respectez pas on vous met dehors. C’est compris ?— Pas de problème.
Le chef s’improvisa guide touristique. Ils avaient investi les sous sol de la zone. Chaque bâtiment communicant avec les autres par une série de tunnel sous terrain. Ils étaient parvenus à en sécuriser une bonne partie transformant et en réaménageant certaines pièces. Par ces tunnels ils avaient pu récupérer beaucoup de chose, nourriture, arme, matériel, … et profitait des toits des bâtiments pour faire des rondes et surveiller la zone. C’était un endroit sécurisé et sécurisant mais pour y rester il allait falloir faire nos preuves et nous rendre utiles. Le chef nous convoqua, chacun notre tour, dans sa chambre pour un entretien privé.
Le 1er à passer était mon père.
— Ok commençons. Un whisky ?— Non merci je tiens à garder les idées claires. C’est primordial par les temps qui courent.— Excellente réponse. Bon : nom, âge, profession et aptitudes.
— Marcel Ferrant, 49 ans, agriculteur et chasseur à mes heures perdues, …— Ah ! intéressant ça. On a besoin de monde pour la défense et la surveillance. Tu nous seras utile. Je te trouverai une affectation. Merci.
Pendant que mon père était avec le chef, avec Marie, ma petite sœur de 16 ans, on n’était pas rassurés. Beaucoup de regard étaient sur nous. Certains de nos nouveaux « amis » nous dévisageaient avec des regards un peu vicieux. Et Guillaume n’était pas épargné non plus. Il faut dire que son attitude très maniérée ne laissait aucun doute sur son appartenance à « l’immeuble d’en face ». Dès que papa est revenu les regards se sont évaporés et Marie est entrée.
— Bonjour monsieur.— Bonjour, tu t’appelles ?— Marie, Marie Ferrant.— Détends toi je ne vais pas te manger.— C’est que les autres me regardaient bizarrement.— Ah ? Ok je verrais ça avec eux. T’as quel âge et tu sais faire quoi ?— J’ai 16 ans, Je sais aider en cuisine.— Ok comme on est plus nombreux Mylène aura surement besoin de toi. Merci. Tiens prend une pomme. Appel le jeune homme s’il te plait.
Guillaume passa la porte pas très rassuré
— Salut— Bonjour, toi c’est ?— Guillaume Veriny, 22 ans, garçon coiffeur en salon …— Pas très utile ça— Je sais mais je suis assez habile de mes mains et j’aime bien manipuler …. toutes sortes d’outils.— Mouais …. T’as des mains assez fines ça peut être utiles. On a Karl notre mécano et parfois ses doigts trop gros lui posent problème. Je pense que vous vous entendrez bien.— Ah ? Et il est mignon ?— Tu jugeras sur place. Bon, merci de faire venir la dernière.
Il en est sortie assez content avant de me passer le relais. Au moment de mon entrée dans la pièce, Un large sourire est apparu sur le visage de mon interlocuteur.
— Bonjour— Salut, mets toi à l’aise je t’en prie.— Merci.— Tu veux à boire ? Un truc à manger.— Non merci— Comme tu veux. Alors ma jolie, présente toi.— Moi c’est Vanessa Ferrant 21 ans, avant j’étais stagiaire en école d’infirmière.— Ah pas mal ça. On a bien Cathy pour tout ce qui est médical mais c’est plus de l’improvisation. Et sinon ?— Je m’entretien, je fais de l’exercice mais rien d’utile pour se défendre.— C’est pas grave ça si tu veux des cours particuliers je serais ravi de t’en donner. Dit-il en s’approchant de moi.
Il se dégageait de lui un regard un peu lubrique. Il était évident que je lui plaisais. A lui comme à plusieurs de ses hommes. Visiblement ma silhouette fine, mes longs cheveux blonds, mes yeux bleus, mes jolies formes et mon corps athlétique ne faisaient pas d’effet qu’à mes anciens camarades de promo.
— Tu sais qu’une belle fille comme toi pourrait attirer la convoitise de bien des hommes. Si tu le voulais, je pourrais assurer ta protection … et peut-être plus encore.
Sur cette phrase, il s’approcha de moi et me caressa la joue. Cette attitude me faisait peur et je me suis reculé.
— Ecoutez, … Je vous remercie pour la proposition. Pour les cours ça pourra peut-être se faire mais pour le reste, sans vouloir vous brusquer, je crains de devoir décliner.— Tu es sur ? Dans le monde d’aujourd’hui c’est la loi de la jungle. Et même si ici on est en sécurité, si jamais d’autres de mes hommes te convoite, tu pourrais passer un sale quart d’heure. Alors qu’avec moi …
Après ça il s’est collé à moi et m’a mis la main aux fesses. Je ne sais pas ce qui m’a pris mais, par pur reflex, je lui ai décoché un coup de genou dans les joyeuses. Ce qui bien sur l’a mis à genou.
— < Ouuufff > t’étais pas obligé d’en arriver là. Un simple « non » aurait suffit. Toutefois je veux bien croire que je t’ai fait peur.— Chuis désolé c’est parti tout seul.— C’est pas grave mais n’oublie pas ce que je t’ai dit. Ma porte reste grande ouverte.
Il m’a laissé rejoindre mes 3 compagnons d’infortune comme ça, sans insister. J’avais cru qu’il allait essayer de me violer mais il n’a fait que tenter sa chance. Toutefois il avait raison sur un point. Aujourd’hui c’est la loi de la jungle, celle du plus fort. Si je voulais me préserver, il fallait trouver le bon parti. Même si il est gros et poilu, …. Il était resté respectueux. Il pouvait devenir un bon compromis.
On s’est tous très vite intégré au groupe. Guillaume passait ses journées avec Karl qui lui enseignait ce qu’il devait savoir pour maintenir le matériel en état. J’ai su plus tard que Karl ne faisait pas que le former (qui a dit qu’il le déformait ? …. Bah il a raison). Je l’ai su quand ils se sont fait surprendre en plein action. Guillaume m’a révélé que son partenaire ne lui plaisait pas particulièrement mais que comme il ne savait pas ou peu se défendre, Il s’était adjoint ses services comme garde du corps moyennant service. Marie, elle, aidait à la cuisine et accessoirement à appris à utiliser un couteau autrement que pour découper les aliments (ça peut servir). Papa, lui faisait ses rondes en binôme avec un autre quant à moi j’aidais à l’infirmerie et un peu partout ailleurs aussi.
Comme me l’avait proposé le chef, je lui ai demandé de me donner des cours de tir. Pour cela ils avaient récupérer le matériel du Paintball pas loin. Ça permettait d’éviter de gaspiller les balles. On est alors monté sur le toit pour mes cours.
— Bon, d’abord, montre-moi comment tu tiens ton fusil.
Je me suis mis en position, prête à viser la cible quant soudain …
— Stop ! Ça ne va pas du tout ça. Si tu te tiens comme ça, avec un vrai fusil, tu va te prendre le recul dans la tronche. Laisse-moi te montrer.
Il s’est alors positionner derrière moi, dans mon dos, pour m’aider. Je ne sais pas s’il avait de mauvaises intentions mais toujours est-il que je sentais dans mon dos, sa forte érection plaqué contre mes fesses. Avec ses mains, il guidait mes bras et sous couvert de me donner la meilleur position pour les jambes, je le sentais caresser mes cuisses et mes hanches. Il n’en perdait pas une miette le cochon. Le seul moment où je ne sentais pas sa respiration dans mon cou c’était quand il humait le parfum de mes cheveux. A chaque tir, prétextant que je perdais ma position, je voyais ses mains circuler entre mes bras, mes hanches mes cuisses tout en frôlant ma poitrine au passage. Chaque recul me poussait en arrière contre son ventre et à chaque fois je sentais son érection prendre de l’ampleur. Visiblement, je lui faisais toujours autant d’effet
— Si vous pouviez garder vos mains à leur place je serais un peu moins déconcentré.— …… Pardon …. un moment d’égarement. C’est que, tu le sais, tu me fais un tel effet que … — Je sais mais je vous demanderais de rester à votre place.— Promis je me tiens à carreau. Au fait, appelle-moi Jeff. Vu notre groupe autant se tutoyer.
Il n’a plus rien tenté à la suite de ça, en restant à distance raisonnable et j’ai pu grâce à lui apprendre à tirer (lui aussi aurait voulu tirer mais pas de la même manière).
Plus le temps passait plus je le voyais me dévisager de haut en bas à chaque fois qu’il me croisait. De mon coté, ça faisait bien 1 ans que je n’avais plus d’homme. Jeff n’était pas le seul à qui je plaisais parmi les motards mais ils étaient comme une meute de loup. Tant que leur chef voulait tenter sa chance personne n’avait le droit d’essayer avec moi sans sa permission. Implicitement il me préservait.
A l’infirmerie, un jour ou je faisais une suture à Karl parce qu’il s’était coupé, Mylène la cuisinière est venu me demandé si je n’avais pas vu ma sœur. Personne ne l’avait vu alors on est parti à sa recherche chacun de notre coté. C’est au détour d’un couloir que j’ai entendu des voix dont celle de Marie.
— T’en fait pas ma jolie là ou je t’emmène tu pourras gueuler tant que tu voudras personne t’entendras.— Lâchez moi vous me faites mal.— T’auras moins mal si tu te laisse faire.
En l’absence de Jeff et Papa, qui étaient partis vérifier les barricades à l’extérieur, l’un d’eux avait jeté son dévolu sur ma jeune sœur de 16 ans. Il avait visiblement prévu de l’écarter du groupe pour pouvoir lui faire ce qu’il voulait. Dans les couloirs, gisait parfois sur le sol des barres de fer rouillées, très utiles pour se défendre au cas où des zombies arriveraient jusqu’ici. Là elles allaient me permettre d’assommer ce gros tas que je voyais immobiliser ma sœur sur le ventre de sa main gauche et défaire son pantalon de la main droite. Malheureusement, au moment où j’allais le frapper, il m’a vu, trahie par mon ombre sur le mur. Marie a profité d’un moment d’inattention pour s’échapper et chercher du secours. Moi je me retrouvais face à ce mastodonte de plus de 100 kilos qui me regardait d’un air vicieux.
— Ok ma jolie. Si tu veux jouer, on va s’amuser tous les 2. Je voulais goûter à la fraîcheur de la petite mais je vais me contenter de la pute du chef. Pour une fois il va devoir partager ses jouets.
Ce type était fou. J’avais deviné que notre arrivée avait fait tourner bien des têtes mais que ça fasse cet effet j’étais loin de m’imaginer. N’étant pas habituée à l’affrontement au corps à corps il a eu vite fait de me désarmer et de me plaquer contre le mur. il me maintenait contre le mur de sa main droite sur mon cou, de l’autre il commença à caresser mes formes.
— Quand je pense que Jeff se refuse à faire de toi son jouet. Moi je n’aurais pas ce genre de scrupule.— Va te faire foutre.— Après toi alors.
Il avait rapproché son visage du mien et je sentais son haleine nauséabonde. Il puait vraiment de la gueule. Ça s’est surtout senti quand il m’a lécher la joue depuis le menton jusqu’au niveau des yeux. Pendant un moment il a baissé sa garde et je lui ai décoché un coup de genou dans les grelots. Il m’a lâché et s’est écroulé mais trouva quand même la force de me faire chuter sur le ventre alors que je m’échappais en m’attrapant par le pied.
— Alors comme ça tu aimes le hard-core ? tu vas en avoir.— Non, lâche-moi !
Il m’arracha mon pantalon, la culotte avec et s’est allongé sur moi. Il allait passer à l’assaut quand on a vu devant nous la paire de santiag de Jeff suivi de prés par mon père et Marie qui les avait guidés jusqu’ici. Heureusement qu’elle les avait croisé au détour d’un couloir sinon c’était fini pour moi. J’ai soudain vu Jeff empoigner le violeur et l’assommer avec la barre de fer que j’avais laissé tombé. Puis il m’aida à me relever. Blottie contre lui, je sentais son cœur battre. Il me caressait les cheveux tout en sentant leur parfum. Je savais qu’il attendait une récompense. Mais de ma part il n’eut qu’un simple « merci ». C’est là que je voyais mon père avec des envies de meurtre dans les yeux. On l’a très vite calmé et le violeur a été banni du camp sans arme. Juste avec un couteau.
Quelques jours plus tard, j’avais repris du poil de la bête. Il le fallait en ces temps difficiles. Tout le monde avait compris ce qu’il se passait en cas de violence. Moi je me sentais un peu coupable envers Jeff qui semblait avoir reçu de l’ingratitude de ma part. Il m’avait sauvé quand même. De plus, c’est vrai que j’avais l’entrejambe en jachère depuis un peu plus d’un an et que, même si se soulager à la main ça soulage, ça ne fait pas tout (je sais j’avais qu’à me laisser faire par mon violeur mais il était vraiment trop violent et il puait c’était dégueulasse). Du coup, un soir où tout le monde dormait, j’ai sauté le pas. Sans bruit je me suis glissé jusqu’à sa chambre. Quand j’ai ouvert la porte la lumière de ma torche l’a réveillé.
— Bon dieu mais qui c’est ? … Vanessa ? mais qu’est ce que tu fais là à cette heure ?— Je suis venu te dire merci pour tout ce que tu as fait pour nous. Lui dis-je en retirant mes vêtements devant lui et en me glissant dans son lit.
Il était à la fois ravi mais surtout étonné de ce qui se déroulait. Lui qui en rêvait il se demandait si il ne dormait pas encore.
— Tu peux me pincer pour que je … AIEE … OK je ne dors pas.— Je me suis dit que j’avais été plutôt ingrate l’autre jour alors je me suis dit ….— Ok bah merci pour le cadeau alors.
Serrée contre lui, il s’est mis à m’embrasser à pleine bouche, lui allongé sur le dos et moi, nue allongée sur lui. Puis j’ai continué à l’embrasser tout en descendant vers son entrejambe pour lui prodiguer sa 1ère récompense, une fellation qu’il semblait vraiment apprécier. Il m’a ensuite allongé sur le dos, m’a écarté les jambes et a commencé à limer avec une fougue aussi grande que la frustration que je lui ai fait ressentir. Sa queue me remplissait le ventre et me faisait un effet dingue. Je ne sais pas si c’était la conséquence de tout ces mois d’abstinence mais il me mettait en transe. Cependant j’ai quand même pris conscience d’un détail gênant. En l’absence de contraceptif, il était préférable de faire attention.
— Tu feras attention de te retirer à temps ?— Tu sais je ne suis pas malade.— Oui mais ce n’est pas de ça que je parle si tu comprends ce que je veux dire.— Ah … oui en effet. Attend j’ai une solution.
Il se retira pour m’allonger sur le flan. Il se place derrière moi, me leva une jambe et commença une sodomie pour se finir. Après qu’il ait jouis, je me suis blottie contre lui. En levant les yeux, j’ai constaté qu’il me regardait avec des yeux plein d’étoiles, avec un large sourire de satisfaction tout en me caressant de partout avec ses grosses mains.
— C’était super, tu n’imagines pas depuis combien de temps j’attendais ça.— Depuis le 1er jour ?— … euh oui à peu près. Ça s’est vu ?— Non à peine, si peu. Tu me l’as juste répété plusieurs fois.— Est-ce que je peux espérer réitérer l’expérience ?— Seulement si je le décide et pas un mot, surtout pas à papa.— Pas de problème.— Bon moi je vais retourner dans mon lit.— Tu ne restes pas ? — Bah non. Si je veux rester discrète …— Ok à demain alors
Durant les semaines qui suivirent, on s’est souvent revu lors de rendez-vous coquins de ce style. Il n’y avait pas de sentiment entre nous c’était juste physique, juste pour se faire du bien. Entre temps, le groupe s’est étoffé.
D’autres personnes en détresse sont venues nous rejoindre comme nous avions rejoint le groupe avant eux. Le groupe a évolué tout comme ma relation avec Jeff où des sentiments naissants ont fini par apparaître. Grâce à un ingénieur nouvellement arrivé, à Karl et à son mignon guillaume, on est parvenu à rafistoler des panneaux solaires. Ce qui nous donnait un peu de courant durant quelques heures afin de faire fonctionner le chauffage l’hiver ou encore un compresseur. En effet, pour économiser les munitions, Guillaume à eu l’idée de concevoir des lances projectiles a l’aide de bouteilles d’air comprimés. Ainsi cette arme silencieuse n’attire pas l’attention. D’autres toits ont été convertis en culture en faisant pousser des légumes dans des jardinières et d’autres pots en tout genre. Bref au fur et à mesure des rencontres, avec les compétences de chacun on a réussi à se faire une installation viable.
Aujourd’hui ça fait bien 1 an qu’on a plus vu âme qui vive ni zombie. Parmi tous les membres du groupe, des couples se sont formés et des enfants sont en route, notre communauté est prospère et autosuffisante et notre nombre dissuade les groupes de pillards. On espère tous que ça continuera comme ça pour nous car les quelques femmes enceinte du groupe ont besoin d’un endroit tranquille.
On espère tous que le pire est derrière nous.
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