Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 143 J'aime
  • 24 Commentaires

The walking dicks

Chapitre 1

Prêtes à tout pour survivre

Trash
Avertissement.
Certains passages du récit qui va suivre sont trash, vraiment très trash. Je tiens a prévenir mes lecteurs (que je remercie par la même occasion de leur fidélité), que cette histoire ne ressemble pas à celles que j’écris habituellement.Que voulez-vous, ce n’est pas que je sois tombé du coté obscur de la force, mais derrière la façade "Docteur Jekyll" se cachent probablement un côté "Mister Hyde"
Dans dix ans, six mois, demain...... ?Une terrible épidémie frappe l’humanité. Est-ce un virus échappé d’un laboratoire, une arme biologique, une malédiction ? Nul ne le sait.Nul ne sait pourquoi les morts reviennent à la vie sous la forme de zombies avides de sexe. Nul ne sait pourquoi ils pourchassent les vivants et les contaminent à leur tour.On ne sait qu’une chose, ils errent sans fin avec leur queues monstrueuses dressées vers le ciel, et malheur à ceux qui croisent leurs chemins.
On les appelle les Walking Dicks ( bites qui marchent )

— "Chut"
Christian met un doigt devant ses lèvres en prononçant ce mot d’une voix à peine audible. Puis, dans cet sorte de langage des signes propre aux militaires, il prévient son fils de la présence derrière la cloison de nombreuses têtes de nœuds, expression plus communément utilisée en France pour désigner les Walking Dicks.Alexis hoche la tête pour signifier à son père qu’il a parfaitement compris le message. Cela n’a rien de surprenant, cela fait déjà deux ans qu’il s’est engagé dans les fusiliers marins et connaît donc bien les techniques de communications au combat. Quand à Christian, ex commandant Dufresne, n’en parlons même pas. Il a passé vingt cinq ans dans l’armée dont dix dans les commandos de marines !
Une fois le danger éloigné, les deux hommes reprennent leur progression en silence.
Vous devez trouver étrange qu’un père et son fils fassent la guerre ensembles. Vous avez entièrement raison. En fait, il y a déjà longtemps que la guerre contre les Walking Dicks a été perdue. Toutes les villes, tous les villages, tous les pays ont été envahis en quelques semaines. L’augmentation exponentielle du nombre de rodeurs (autre surnom communément employé) a surpris tous les gouvernements, tous les états majors. Tout comme leurs camarades, Christian et son fils se sont battus comme des lions pour défendre leur pays, leurs concitoyens, mais cela a été peine perdue. La situation est devenue très vite incontrôlable et maintenant chacun ne pense plus qu’à une chose : sauver sa peau !"Chacun pour soi et dieu pour tous" ont d’ailleurs été les dernières paroles du sergent d’Alexis avant de succomber à son tour. Délié de ses obligations, il a rejoint son père afin de l’aider à protéger les siens. Christian a en effet deux filles âgées de 23 et 19 ans, et il est même l’heureux grand-père d’un petit Léo de 22 mois. Désormais, il n’y a que leur sécurité qui compte à ses yeux.Et c’est d’ailleurs pour eux qu’il affronte le danger avec son fil aujourd’hui. La nourriture se fait rare et devient de plus en plus difficile à trouver ; c’est même devenue le bien le plus recherché avec les armes. Les survivants sont prêts à affronter les Walking Dicks pour s’en procurer, et même à tuer d’autres survivants pour la leur voler.Il y a évidemment bien longtemps que les grandes surfaces ont été dévalisées, enfin plutôt pillées, et qu’on n’y trouve plus rien si ce n’est des rodeurs par centaines. Il faut maintenant chercher plus loin, faire preuve d’originalité, et évidemment prendre plus de risques aussi.

Aujourd’hui ils ont décidé de s’aventurer dans l’hôpital de la ville. Eh oui, dans un hôpital il y a des cuisines, et qui dit cuisine dit nourriture !Mais pourquoi spécialement l’hôpital me dirait vous, et pourquoi pas la cantine d’un restaurant ?
C’est très simple.
L’hôpital a été un des premiers bâtiments de la ville a être tombé sous les coups des rodeurs. Cela n’a rien d’étonnant en soi, les morts de la morgue qui se sont relevés, les malades immobilisés sur leur lits, le personnel héroïque qui a essayé de les sauver...Résultat : moins de trois heures ! Il a fallu moins de trois heures pour qu’il n’y ait plus un seul être vivant à l’intérieur. Eh oui, comble de l’ironie, les malades et impotents retrouvent toutes leur capacité physiques après leur transformation. Les victimes se sont alors alliés à leurs bourreaux.Mais cette tuerie, aussi terrible qu’elle a pu être, a au moins eu un aspect positif : l’attaque a été si soudaine, le massacre si rapide, que les stocks de vivres sont certainement toujours intacts, protégés des hommes par leurs impitoyables gardiens.
Christian et Alexis n’étaient évidemment pas présents lorsque le carnage a eu lieu, sinon ils ne seraient plus parmi nous, mais en arpentant les couloirs ils ne peuvent s’empêcher d’avoir une pensée émue pour les victimes. Elles sont toutes là, à marcher sans but dans les couloirs, à tourner sans fin dans les chambres, à errer dans les salles d’opérations. Elles sont toutes là, anciens malades et personnels soignants mélangés. Elles sont partout, prêtes à se jeter sur le premier vivant qui oserait s’aventurer jusqu’ici. Elles sont là, à quelques mètres.
"Par ici" murmure à son tour Alexis en désignant une pancarte sur laquelle un petit bonhomme vert monte des marches.
Les deux hommes s’engagent prudemment dans ce qui fut un escalier de secours, en fermant méthodiquement chaque issue derrière eux pour ne pas être pris à revers.Soudain, un cri rauque retentit, accompagné d’un bruit de chaussure qui racle le sol. Pas de doutes, il s’agit d’un Walking Dick, non en fait de deux. Ils se préparent à les recevoir et la première chose qu’ils voient sont leur sexes monstrueux dressés. Ils ont beau en avoir déjà croisé des centaines, la vue de ces queues démesurées continue de les fasciner. Et il y a de quoi. Leur tailles dépassent celles des chevaux, et elles ne débandent jamais !
Christian et Alexis leur règles leur compte rapidement avant qu’ils n’aient eu le temps d’ameuter leurs congénère. Pour ce faire, il n’y a pas trente six solutions, la seule façon de se débarrasser d’un Walking Dick est de détruire son cerveau. Pour cela, ils ont mis au point une technique très efficace : une grosse tige en acier fixée sur un gant épais. Un coup de poing au milieu du front et hop, une tête de nœud en moins. C’est facile et rapide. Enfin, facile quand il n’y en a que deux ou trois. Quand ils sont vingt ou trente ce n’est plus pareil !
"C’est par là" indique Christian à son fils en pointant le doigt sur le plan de l’hôpital qu’ils ont trouvé à l’accueil. D’après ce dernier, ils ne sont plus qu’à quelques dizaines de mètres de leur but.
Les deux hommes continuent prudemment d’avancer dans le dédale de couloir. Ce n’est qu’une succession sans fin de chambres, de salles de soins et de bureaux, quand enfin :Alexis fait signe à son père de regarder un peu plus loin sur la droite. Il a repéré une grande salle avec des tables et des chaises. Pas de doute, c’est le réfectoire qu’ils cherchent. Les cuisines et donc les réserves de nourriture sont certainement juste à coté!
"Yes"! Ne peut s’empêcher de dire Alexis en découvrant une véritable caverne d’Ali Baba. " On a trouvé le Jack spot"!
Et il a raison. Une salle d’au moins vingt mètres carrés est entièrement remplie de boîtes de conserves, de paquets de pates, de riz, de sucre et autres victuailles maintenant plus précieuses que de l’or. A condition de ne pas gaspiller bien sur, Christian va pouvoir nourrir les siens durant des mois !
Ils remplissent leurs sacs de nourriture, puis rebroussent chemin aussi discrètement qu’ils sont venus.
"NOOOOONNNN. AU SECOURS, A L’AIDE PAR PITIE !"
Une multitude de grognements sourds répondent à ces cris de détresse.
— Papa ! C’est pas possible ! Il a encore un être vivant ici !— Tu devrais plutôt dire il y avait, regarde !
En penchant prudemment la tête contre une cloison, Alexis aperçoit un homme en blouse blanche au prises avec une vingtaines de Walking Dicks. Les femelles, plus rapides, se jettent comme des lionnes sur lui, arrachent ses vêtements et l’immobilisent sur le ventre le cul offert. Pendant ce temps, les mâles se rapprochent lentement mais inexorablement avec leur sexe menaçant.Il n’y a plus rien à faire pour ce malheureux, les rodeurs sont bien trop nombreux.Bientôt le premier enfonce sauvagement son pieu monstrueux dans l’anus de sa proie qui pousse un hurlement inhumain. Une autre queue tout aussi énorme le fait taire en s’enfonçant à son tour au fond de sa gorge, lui décrochant la mâchoire au passage.Le pauvre homme n’a aucune chance de s’échapper, et devant ses souffrances Alexis propose à son père de l’achever à distance d’une balle. Celui-ci l’en dissuade, car cela alerterait les Walking Dicks de leur présence et ils se retourneraient contre eux.Ils ne peuvent rien pour lui, mais tels des papillons hypnotisés par la lumière, ils ne peuvent s’empêcher de regarder le spectacle.
Au bout de quelques-minutes interminables, une substance noirâtre jaillit de l’anus du supplicié. Le Walking Dick qui l’enculait vient de déverser son foutre empoisonné dans ses entrailles. Lui aussi va bientôt se transformer en bête immonde avide de sexe.L’homme finit par succomber sous les coups de boutoir ; c’est ce qui pouvait lui arriver de mieux. Souvent en effet, les Walking Dicks sont tellement occupés à se battre entre eux qu’il laissent leurs victimes agoniser pendant des heures. Au moins celle-ci n’a pas souffert très longtemps.
Alexis a beau avoir déjà vu la scène qui va suivre de nombreuses fois, il reste à l’observer complétement fasciné. Il faut reconnaître qu’au delà du dégout qu’elle inspire, elle possède une sorte de sensualité morbide. Jugez par vous mêmes :Lorsqu’ils en ont fini avec leur proie, les Walking Dicks sont dans un état d’excitation extrême, les mâles comme les femelles. Ses dernières s’empalent alors volontairement sur les queues de leurs monstrueux amants, et se font sauter comme des chiennes enragées. Le sexe de ses monstres est tellement énorme qu’aucun être humain ne pourrait survivre à leur assaut. Et pourtant, certaines femelles Walking Dicks sont capable de se prendre une de ces bites monstrueuses dans chacun de leur orifice. Par quel miracle leur corps n’est pas disloqué par les énormes pieux qui les ramonent ? Nul ne peut l’expliquer, mais il n’empêche que le spectacle de cette orgie bestiale est hallucinant.
Christian arrache son fils à sa torpeur.
— Inutile de rester plantés là. Profitons qu’ils soient occupés pour partir.
C’est une sage décision, le pauvre bougre est en train de se transformer et sa queue dépasse déjà les trente centimètres de longueur pour cinq de diamètre. Bientôt elle en fera le double ! Inutile d’attendre qu’il se mette en marche avec à la recherche d’une nouvelle victime.
Les deux hommes se sont à peine éloignés de quelques mètres qu’un nouveau hurlement retenti. Cette fois-ci c’est celui d’une femme, d’une jeune femme pour être plus précis.Un coup d’œil rapide par dessus la rambarde leur permet de la voir. Elle a une vingtaine d’année et porte une blouse verte, sûrement un ancien membre du personnel médical elle aussi. Peut-être était-elle avec le type qui s’est fait sodomiser à mort tout à l’heure. Maintenant cela va être son tour et elle hurle de terreur en voyant les Walking Dicks s’approcher d’elle.
— Chloé ! Viens par là, vite.
Cette jeune fille n’est donc pas seule. Une autre femme, nettement plus âgée, est montée sur une grande armoire et lui tend la main pour l’aider à la rejoindre. Quelle scène pathétique ! Elles ne font que repousser l’inéluctable. Les Walking Dicks s’agglutinent déjà autour du frêle refuge et dans quelques-minutes ils l’auront renversé.
— Papa, il faut les sauver !— Tu es cinglé ! Les rodeurs sont bien trop nombreux, ces deux femmes sont foutues.— Dans ce cas tant pis, j’y vais seul.— Alexis, NONNN !!!!
Trop tard, il a déjà sauté par dessus la rambarde et se retrouve au beau milieu de la horde des Walking Dicks. L’un d’entre eux s’approche déjà de lui.
"TCHAC !"
Un flot de sang noirâtre jaillit du front et le monstre s’écroule sur le sol. D’un coup de poing bien senti, Alexis lui a transpercé le crane avec la tige métallique fixé sur son gant.
"TCHAC ! TCHAC !" Deux autres têtes de nœud le rejoignent presque aussitôt.
— Putain de putain de merde ! Il va se faire tuer cet abruti !
Fou de rage, Christian saute à son tour dans l’arène et se mets aussitôt dos à dos avec son fils. Ses instructions sont très brèves :
— On reste collés quoiqu’il arrive et chacun s’occupe des arrières de l’autre, compris ?— Oui papa.
"TCHAC ! TCHAC ! TCHAC ! TCHAC ! TCHAC ! TCHAC !"
Tels deux engins de guerre bien huilés, les deux hommes abattent les dizaines et dizaines de rodeurs qui se précipitent sans relâche sur eux.
"TCHAC ! TCHA C ! TCHAC ! TCHAC ! TCHAC ! TCHAC !"
Des jets de sang noir giclent de tous les cotés, les aspergeant de la tête aux pieds. Ils frappent sans arrêt, comme des sourds. Mais ils ont beau abattre encore et encore des dizaines de rodeurs, d’autres surgissent toujours plus nombreux. Les corps inertes de leurs assaillants s’amoncellent autour d’eux, et ils doivent bientôt monter sur les cadavres pour ne pas finir ensevelis.Leur combat acharné dure maintenant depuis plus de dix minutes. L’hôpital semble vomir sur eux son atroce contenu. Ils sont épuisés, leurs bras leur font atrocement mal. Bientôt ils n’auront plus la force de les lever, plus la force de frapper..., et ce sera la fin.
— Courage fils, je sens qu’il faiblissent. Il y en a moins que tout à l’heure.
Alexis sourit en entendant son père tenter de l’encourager, mais il n’y croit guerre. Il sait qu’il va bientôt mourir ainsi que son père, et puis ensuite ce sera au tour de ses sœurs, de non neveu. Tout ça par sa faute, parce qu’il a voulu jouer au héro.
"TCHAC !........ TCHAC !...... TCHAC !....."
Non, il ne rêve pas. La fréquence de leurs coups diminue. Son père a raison, il y en a de moins en moins. L’espoir renait et avec lui la force de terminer le travail.
"TCHAC !........ TCHAC !......"
Ca y est c’est fini, c’étaient les derniers. Les corps d’une bonne centaine de "têtes de nœud" gisent maintenant autour d’eux, formant par endroit des tas de près d’un mètre d’épaisseur.
Ils sont complétement exténués quand les deux femmes les rejoignent après être descendues de leur perchoir.
— Oh merci, merci. Vous êtes nos sauveurs !
Elles se jettent dans les bras de leurs héros. La plus jeune dans ceux d’Alexis bien évidement, quand à la deuxième il ne lui reste que ceux de Christian. Mais alors que le fils accueille sa princesse avec plaisirs, l’attitude du père reste glaciale, voir même hostile. La femme le ressent aussitôt et s’écarte.
— Bonjour, je m’appelle Anaïs et voici ma fille Chloé. Et vous ?— Moi c’est Alexis et mon père se nomme...
Celui-ci lui coupe la parole avant qu’il ne finisse sa phrase.
— Commandant. Pour vous c’est Commandant.— Bien Commandant. Je vous remercie sincèrement de nous avoir sauver la vie, à moi et à ma fille.— Il n’y a pas de quoi. Si mon imbécile de fils n’avait pas stupidement sauté au milieu de toutes ces têtes de nœud, je vous aurais laissé crever toutes les deux.— Bien, je ne sais pas ce que vous avez contre nous, mais merci quand même de ce que vous avez fait. Je ne suis pas une ingrate et je saurais vous rendre la pareille d’une manière ou d’une autre.— Me rendre la pareille ! Parce-que vous croyez peut-être que je vais vous emmener avec moi.— Mais..., bien sur, vous n’allez tout de même pas nous abandonner là comme ça. Nous sommes déjà à moitié mortes de faim.
Christian enlève son sac à dos et en sort quelques victuailles qu’il leur tend à regret. Se séparer d’une petite partie de cette nourriture gagnée si difficilement semble lui briser le cœur.
— Tenez, ça vous permettra de tenir quelques jours. Pour le reste, débrouillez-vous. Je n’ai aucune envie de m’encombrer de vous.
Anaïs tente de le faire changer d’avis.
— Je suis chirurgienne, une très bonne chirurgienne, et ma fille a terminé sa troisième année de médecine. On pourrait vous être très utiles.— Désolé, mais nous avons tous une santé de fer dans la famille.
Affolée par le sort qui les attend, elle tend maintenant les mains en signe de supplique.
— Par pitié Commandant, emmenez nous avec vous. Nous n’avons aucune chance de survivre seules.— Ce n’est pas mon problème.— Papa, s’il te plaît. On ne peux pas les laisser là.
Christian a du mal à retenir sa colère. Non seulement son fils a failli se faire tuer à cause de ses deux petites connes, mais en plus maintenant elles mettent en péril la survie de ses enfants et de son petit fils.
— Alexis, ce n’est pas possible. Nous avons à peine assez de nourriture pour nous permettre de nourrir tes sœurs et ton neveux pendant quelques mois. Nous ne pouvons pas nous permettre de nous encombrer avec des bouches inutiles.— Mais enfin papa, nous...
Cette fois-ci, c’est Anaïs qui le coupe.
— Merci pour tout jeune homme, mais je crois que votre père a déjà pris sa décision. Commandant, avant que vous nous laissiez, nous permettez-vous à ma fille et à moi même de vous prouver notre gratitude ?
Christian ne comprend pas vraiment ce qu’elle veut dire par là et accepte d’un simple hochement de tête.Anaïs lance alors un regard complice à sa fille que celle-ci comprend aussitôt. Sans attendre, elles s’agenouillent et leurs doigts agiles se mettent à défaire les boutons des pantalons des deux hommes afin de se saisir de leur contenu. Puis, dans un mouvement parfaitement synchronisé, elles embouchent le sexe de leur partenaire respectif.
Les deux femmes se mettent à pomper comme si leur vies en dépendaient. En fait il ne s’agit pas d’une simple supposition. Dans le cas présent, leur vies dépendent vraiment de la qualité de leur prestation. Anaïs a en effet compris que sa seule chance d’être acceptée par cet homme, c’est de le faire hurler de plaisir.Alors elle donne tout ce qu’elle a dans les tripes. Elle suce, lèche, pompe, caresse avec sa langue, ses lèvres, ses doigts. Dans le but de faire du mieux possible, elle se remémore toutes les pipes qu’elle a taillées au cours de sa vie et se félicite d’avoir été une belle petite salope quand elle était étudiante.Tout en s’activant, elle jette de temps en temps un petit coup d’œil vers le commandant. Manifestement il apprécie. Sa tête est penchée en arrière, ses yeux sont fermés et il se contente d’accompagner les mouvements de va-et-vient avec les mains.Pendant qu’Anaïs pompe la bite qu’elle a dans la bouche comme une damnée, sa fille Chloé n’est pas en reste. Vu son âge elle n’a évidemment pas encore l’expérience de sa mère, mais il n’empêche que c’est déjà une fellatrice du tonnerre. En effet, sous ses coups de langue assassins, Alexis souffle bruyamment tandis que sa queue entre et sort constamment de la bouche de sa suceuse.
Après dix minutes de fellation intense, Anaïs lance un petit clin d’œil complice à sa fille ; elle sent que le commandant est sur le point de juter. Chloé lui répond de la même façon, signifiant ainsi à sa mère que c’est également le cas d’Alexis."A trois" indique Anaïs en se servant de ses doigts.Trois secondes plus tard, les deux hommes expulsent le contenu de leur couilles en grognant, tandis que la mère et la fille reçoivent les décharges au fond de la gorge sans sourcilier. Après avoir fait constater à leur amants qu’elles avaient bien tout avalé comme deux belles salopes, elles remettent les queues en place puis les boutons des pantalons.
Ceci fait, Anaïs se redressent, remet lentement de l’ordre dans ses cheveux, puis récupère du bout de l’index le sperme qui a giclé sur sa joue avant de le glisser entre ses lèvres pulpeuses.
Alors ! Dit-elle enfin en regardant Christian droit dans les yeux.
— Pensez-vous toujours que nos bouches sont inutiles !

Ndla :
Il y a-t-il une suite ? En bon Normand je vous répondrais "ça dépend".En effet, écrire prend un temps fou (facilement 6 ou 7 heures rien que pour ce premier chapitre), et hormis le plaisir qu’un auteur peut prendre à exprimer ses fantasmes, sa seule récompense est l’intérêt que portent les lecteurs à ses histoires.Dis plus clairement, si cette histoire plaît je ferais l’effort de la poursuivre ; je fourmille d’idées à son sujet. Par contre, si elle reçoit un accueil mitigé ou si encore pire, on me reproche d’avoir un esprit tordu, et bien je garderais mes fantasmes pour moi.Cela peut vous semblez brutal et racoleur, et bien je l’assume totalement. Comme je l’ai déjà dit, publier un texte sur ce site demande beaucoup de travail, et je ne ferais cet effort que si j’estime que ça en vaut la peine.Alors à vos commentaires !
Diffuse en direct !
Regarder son live