Les 7... J’ai les 7 bons numéros. Je crie au volant de ma voiture, je tape avec mes mains sur le volant comme un fou. Les 7 bons numéros de l’euromillion, 60 barres comme ils disent. C’est en rentrant de mon déjeuner sur le parking de la boîte où je travaille que j’ai appris que ma vie allait changer. Pourtant c’est juste parce que je n’avais pas d’espèce que j’ai gonflé la facture avec la loterie.60 millions d’euros, c’est juste de la folie, quand Karine saura ça, les choses iront forcément mieux.Karine, c’est ma copine depuis 12 ans, on est ensemble depuis aussi longtemps que je me rappelle.On s’est rencontré à la Fac, on s’est mis ensemble et depuis, on travaille dans la même boîte de recouvrement, on est tous les deux comptables.Boulot pas franchement passionnant, mais bon faut bien payer les factures.Le problème quand on bosse ensemble, c’est qu’au bout du compte, la routine s’installe dans tous les endroits où vous êtes ensemble, au début on mange ensemble, on sort se fumer une clope ensemble, mais petit à petit, on est comme un couple à la maison, on a chacun nos trucs, et on se voit le soir. Donc forcément, ça crée des tensions, le désir diminue, on entre dans une boucle où chaque jour ressemble au suivant. Mais avec ça, ce petit bout de papier, on va quitter notre job et parcourir le monde, qui sait, on pourrait même se marier et avoir des gosses. J’ai le cerveau en ébullition, les idées fusent à toute vitesse, les projets également.J’appelle Karine, qui avait prévu un jour de congé, mais je n’arrive pas à la joindre.Plus que 3h avant de débaucher, mais je ne tiens plus en place, il faut que je le lui dise maintenant, et puis merde, je suis millionnaire, qu’est-ce que je fais à comptabiliser les dettes des autres alors que je suis maintenant plus riche que mon patron. Direction la maison, en passant chez le fleuriste, le plus gros bouquet s’il vous plaît.Je suis excité comme un enfant qui s’apprête à ouvrir ses cadeaux d’anniversaire, Karine ne va pas en revenir, elle qui rêvait de grandeur, de réussite, on y est ... enfin.Bye bye ce lotissement de la banlieue de Lyon, bye bye René et Gérard, les voisins lourdauds qui passent leur temps à reluquer Karine. Bye bye mon connard de patron qui adore me booker des réunions de dernière minute et surtout bye bye cette vie de galère, de découverts et de sacrifice. Quand je me gare, c’est avec la musique de Highway to hell dans la tête, que j’entre chez moi. Je crois que le bonheur c’est ça, une femme qu’on aime, une nouvelle incroyable et un avenir radieux.Bye bye petite maison achetée à crédit sur 25 ans, bye bye banquier.Highway To hellllllllllllllll. Soudain, j’entends un bruit sourd à l’étage, il y ‘a quelqu’un dans la chambre, pourtant Karine n’est pas censée être là.
Je m’approche à pas de loups de la porte entrouverte et y jette un œil. Karine est allongée sous la couette, ses seins à l’air libre, elle gémit, ses yeux sont fermés et sa bouche entrouverte. Ma bite se tend dans mon slip, je ne l’ai jamais vue aussi excitante. Elle semble prendre un pied incroyable, j’ignorais qu’elle se donnait du plaisir quand elle était seule. Ses gémissements vont en s’amplifiant, elle a l’air de prendre un plaisir incroyable, et j’avoue que j’hésite à entrer dans la chambre de peur que ça s’arrête.Oui... OUi... OUIIIIIIII ... Putain elle jouit comme une folle, ses seins sont ballotés par les tremblements, son visage est luisant de sueur, ses mains crispées tordent la couette pendant que son orgasme se poursuit. J’ai une gaule monumentale, il y a bien longtemps que nous n’avons pas fait l’amour et j’ai une folle envie d’elle.Je dégrafe le bouton de mon jean et je m’apprête à pousser la porte de la chambre, lorsqu’une forme se meut sous la couette. Je vois cette forme remonter doucement vers le visage de Karine et un homme sort sa tête de sous la couverture. Lui et Karine se roulent une pelle torride. Je titube en reculant sous l’effet de la surprise, une redescente pareille ça ne s’invente pas.Karine se faisait lécher la chatte par un autre homme que moi, je manque de me casser la gueule avec mon jean sur les chevilles.Je descends en 4e vitesse et sors de ma maison, notre maison, quel idiot je suis.En reprenant ma voiture, j’aperçois au coin, une voiture que je connais bien, c’est celle de mon patron..... L’enfoiré se tape ma femme.C’est la douche froide, tous mes plans s’effondrent instantanément, Karine me trompe, depuis combien de temps, je n’en sais rien, mais elle me trompe la salope, comment... pourquoi.Au feu rouge, je réalise le pire, le bouquet, je l’ai oublié sur la table. Demi-tour en vitesse, je me gare à l’écart.J’entre comme un voleur dans ma propre maison, et récupère le bouquet. L’envie de monter les tuer se fait sentir, comment elle peut me faire ça.Je grimpe les marches en silence et me rapproche de la porte entrouverte.Les cris sont obscènes à présent, des claquements envahissent mes oreilles, les cris de plaisir emplissent mon esprit. Il la baise par-derrière, je ne vois que son dos pendant qu’il bourre Karine par-derrière. Il est ruisselant de sueur, ses couilles claquent sur les fesses de ma petite copine chérie. Il lui tient les cheveux comme la chienne qu’elle est. — Tu vas me faire jouir encore une fois salaud... Il la pilonne sauvagement à un rythme fou, il tient bon cet enculé. — J’aime ta grosse bite, je la sens bien, baise ma petite chatte. Je vois mon patron se mettre en position accroupie et je vois sa bite s’enfoncer dans la chatte de ma femme et faire des allers et retours puissants. Elle coulisse en profondeur, elle possède la petite chatte délicate de ma petite Karine, cette salope, comment peut-elle me faire ça. C’est trop pour moi, alors que Karine monte dans les aigus, je me sauve comme la merde que je suis pour ne pas assister au grand final. Alors que je m’apprête à claquer la porte, je l’entends hurler sa jouissance, et lui crier son amour pour sa queue d’apollon.Le monde autour de moi tourne et s’effondre.Alors que je m’éloigne au volant de ma voiture, j’en ai presque oublié le ticket gagnant...Je prends le bouquet que je balance par la fenêtre alors que je compose le numéro de la Française des jeux......
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