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  • Concours Au service d'Erika

Thea au service d'Erika

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Théa au service d’Erika
La petite aire d’autoroute d’Ecot dispose uniquement de toilettes d’une propreté douteuse. Le soleil avait une apparence fantomatique derrière les nuages gris. Je suis arrivée en avance à mon rendez-vous. Très frileuse, mon corps petit et menu grelotte. Les bras croisés, je ressers mon blouson sur ma poitrine. Je sautille sur place, sous le auvent de la maisonnette. J’attends un semi remorque bleu de marque Volvo. Je guette l’entrée des véhicules et des camions sur l’aire d’autoroute. Je consulte ma montre pour la énième fois, impatiente. Les dents qui claquent, je reprends mon sautillement frénétique.
Mon portable sonne. La voix féminine, très sensuelle, à l’autre bout du fil m’apprend qu’elle a prit du retard dans sa livraison. Je me suis inscrite sur un site de covoiturage deux jours auparavant. Je me rends à une fête des anciens élèves à Lyon. La seule personne qui m’a répondu est Erika. Je l’ai appelé, ensembles nous avons fixées l’heure et le lieu du rendez-vous. Erika m’a dit d’attendre un poids lourd bleu. Je fus intriguée. Dit-on une femme routier ou une routière ?
Le semi remorque approche enfin. J’attrape la poignée de ma valise, en admiration devant la cabine américaine. J’avais toujours admiré les camions, mais je n’étais jamais montée dans l’un d’eux. Le poids lourds se gare facilement sur son emplacement réservé. Je m’en approche. Une jeune femme de taille moyenne apparaît à l’angle de la cabine.
— Je suis Erika, tu dois être Théa ?
J’acquiesce, impressionnée par son assurance. Je plonge dans ses yeux bleus lagon, je perds pieds. Ses lèvres roses framboises attisent ma gourmandise. Muette et incapable de remuer, je me trouve pathétique. Son bras m’enlace chaleureusement, elle embrasse mes joues. Je hume la fragrance subtile de son parfum floral qui s’harmonise à son odeur naturelle. Ce rapprochement me trouble. Les joues brulantes, mon cœur chante la sérénade. Mon corps s’enflamme au contact de sa poitrine qui se presse contre la mienne.Ses yeux me dévisagent. Une lueur malicieuse les illumine. Une part, au fond de moi, espère que cette attirance est réciproque.
— Monte dans le camion ! Ordonne Erika.
Mon corps se consume au son de sa voix ferme et sensuelle. J’ouvre la portière passager. Impressionnée par la hauteur à grimper, Erika me propose son aide. Sur ses indications, je pose mon pied sur le marchepieds, j’attrape la poignée sur ma droite. Ensuite, je pose ma main sur le bord du siège, et me hisse tant bien que mal. Des mains se posent sur mon postérieur et me poussent vers le haut. Le mouvement soulève ma jupe. L’air frais caresse mes fesses vêtues d’un collant fin. Je me retourne discrètement, Erika est en train de regarder sous ma jupe. Je sens mon intimité se contracter délicieusement de désir d’être explorée et caressée. Ravie, je grimpe sur mon siège. Ma jupe est relevée sur le haut de mes cuisses.
Erika pose la valise à mes pieds. Ses yeux caressent mes jambes. Elle ferme la portière. La vue panoramique à travers le pare-brise m’intimide.
— La taille de mon engin t’impressionne ? Demande Erika.Un sous-entendu flotte sur ses lèvres sensuelles. Un sourire coquin et complice étire les miennes.— C’est sûr qu’il faut avoir une sacrée paire de couilles, pour le conduire.— T’as pas idée, répond mystérieusement Erika.
Je regarde les mains fines de ma voisine manier l’immense volant. Je les imagine caresser ma peau nue avec douceur et sensualité. Erika est concentrée sur ses manœuvres. Le semi remorque sort lentement de son emplacement. Les voitures rangées sur le bas côté paraissent fragiles à mes yeux. Cependant, Erika sait ce qu’elle fait.

La jeune femme me confie qu’elle est attirée par les camions depuis sa plus tendre enfance. Petite, elle préférait en commander pour Noël ou à son anniversaire, plutôt qu’une poupée comme la plupart des gamines.
— Ça t’ennuie si on fait une pause dans la prochaine aire, j’aimerais prendre mon petit déjeuner ?— Non, bien sûr. Je n’ai pas pris le temps de manger non plus avant de partir.
Je surprends une nouvelle fois le regard intéressé d’Erika, glisser sur mes jambes. Une douce chaleur excitante parcours mon corps. Elle me plaît énormément, je vois que c’est réciproque, mais je ne sais pas comment le lui dire. « Tu es belle » serait bien trop banal et pas à la hauteur de l’effet qu’elle me fait. Je me sens rougir à chaque fois que nos regards se croisent. Ma peau frissonne de désir.Erika me demande pour quelles raisons je vais à Lyon, et combien de temps je compte y rester. Nous revenons dans la région le même jour. La jeune femme me propose de faire le retour ensemble. J’en suis ravie. Dans la conversation, elle m’apprend qu’elle habite à une dizaine de kilomètres de chez moi. Une éventuelle histoire d’amour se dessine dans mon esprit.
— Où est-ce que tu dors quand tu fais de longs voyages ainsi ? Je demande.— La cabine est équipée d’une couchette et d’un coin repas, derrière les rideaux.
Intriguée, je me retourne sur les rideaux fermés en velours bleu roi, derrière les sièges.
Nous approchons de l’aire du Jura. Erika emprunte la sortie. Elle se gare sur le parking réservé aux poids lourds. J’ouvre la portière. Erika apparaît, je me laisse glisser en bas. Ma jupe se relève sur mes hanches. Elle a une vue imprenable sur mon mini tanga blanc en dentelle, à travers mes collants chair. Ses yeux brillent d’un désir brûlant. Mon corps s’enflamme. Ma respiration devient haletante.
— Eh les minettes ! C’est sur mes genoux que vous devriez être, pas toutes seules au volant d’un camion. C’est trop dangereux pour de si jolies petites chattes.
Je lève la tête sur notre voisin perché à sa vitre, les avant-bras tatoués croisés sur le rebord. Son clin d’œil coquin m’excite. Erika lui adresse furieusement un honorable majeur, sans même se retourner. Elle surprend l’excitation qui se lit sur mon visage. Une expression prudente peint ses traits fins. Elle ferme la portière. Nous marchons côte à côte jusqu’à l’entrée commerciale. J’ai envie de prendre sa main dans la mienne, mais je n’ose pas.
Au bar, je commande un chocolat chaud et elle un thé. J’achète des viennoiseries pour nous deux. Erika nous choisi une table libre à l’écart. Assise en face de moi, elle m’observe intensément. Son regard est animé par quelque chose qui m’est inconnu. Intimidée, je baisse les yeux.
Soudain, mes pieds sont frôlés. Je ne bouge pas, mon souffle se coupe. Erika me sourit, j’ai envie de l’embrasser. Mes pieds sont caressés. Mon cœur s’emballe joyeusement. Je réponds à ses caresses. Sa main se pose sur la mienne, elle est agréablement douce. Nos doigts s’entremêlent. Mon corps brûle de désir. Ma bouche s’assèche. Je lis le même désir sur son visage. Ses yeux brillent d’une lueur érotique. J’ai envie de découvrir ses fantasmes.
— La façon dont tu as regardé le routier, tout à l’heure m’a surprise, déclare Erika.— Son regard m’a excité. Je suis bi, et toi ?
Ses yeux s’illuminent. Sa langue lèche sensuellement ses lèvres. Ses dents les mordillent. J’ai envie de sentir sa bouche parcourir ma peau, de frissonner de plaisir sous sa douce caresse.
— J’aime les femmes. Tu as l’air d’être plutôt soumise, non ?— Non, j’adore donner du plaisir à ma partenaire. J’aime tenir son plaisir sur le bout de ma langue. Bien souvent, je m’occupe plus d’elle au dépend du mien. J’ai rencontré une seule femme qui m’en a donné autant. C’était vraiment génial !
— Humm… Tu me plais de plus en plus. Tu obéis aux ordres ?
Mon souffle se coupe. Erika m’excite à un point qu’elle n’imagine même pas. Mon intimité se liquéfie. Je suis prête à tout pour la satisfaire et la faire jouir. Je veux l’entendre crier jusqu’à me supplier d’arrêter.
— Je rêve qu’on m’en donne !— Tu m’excites ! Déclara-t-elle d’une voix rauque. Quand on reprendra la route, tu te déshabilleras. Tu t’installeras sur le tableau de bord, les cuisses largement écartées. Tu te caresseras pour moi.
J’ai incroyablement chaud. Un long filet juteux s’écoule de mon vagin. Je glisse discrètement ma main sous ma jupe. Mon collant est trempé. Je frotte mes doigts sur ma chaleur intime. Un petit courant électrique me traverse. Mon clito se dresse délicieusement. Mon vagin se contracte. J’ai envie d’y enfoncer mes doigts. J’ai envie d’être prise sauvagement sur la table, aux yeux de tous. J’espère qu’elle a des sextoys dans son camion, pour éteindre l’incendie entre mes cuisses.
— Tu te caresses ! S’écrie Erika, outrée.Sa voix couvre le brouhaha des discussions des tablées. Des regards curieux convergent vers nous.
— Allons au camion ! Ordonne-t-elle.
Je me lève dans un bruit de ventouse humide. Son regard surpris se pose sur ma jupe. Elle l’a entendu, je suis gênée. Mes joues s’enflamment. Ses yeux brillent d’un désir sauvage. Mon souffle se coupe, les battements de mon cœur s’engagent dans une course folle. Elle est le prédateur, je suis la proie. Ses yeux me dévorent.
Erika me prend la main, elle m’entraîne vers la sortie au pas de course. Je trottine presque pour ne pas me faire tirer. Arrivées au camion, elle ouvre la portière passager. Un autre poids lourds a prit la place de notre voisin vicieux. Il n’y a personne dans la cabine. J’approche lentement mon visage de celui d’Erika pour l’embrasser. Sa main empoigne sauvagement mes cheveux bruns. Je gémis de surprise. Un courant électrique lèche mon ventre. Sa bouche embrasse avidement la mienne. Sa langue est d’une douceur sensuellement excitante. Elle a gardé le doux mélange amer des plantes de son thé.
Son parfum embrase mes sens. Je ne contrôle plus rien. Je la désire au plus profond de mon être. C’est plus qu’un besoin, c’est une nécessité, comme si ma vie en dépendait.
Je presse son corps fin et élancé contre le mien. Ma poitrine s’écrase contre la sienne. Mes tétons durcissent. Je la serre plus fort, à vouloir la fondre dans mes veines.
— Monte dans le camion ! M’ordonne Erika.
Ses mains caressent délibérément mes fesses pendant que je grimpe sur mon siège. Un courant électrique lèche mon ventre. J’ai envie qu’elles s’aventurent plus bas. Je ralentis ma progression et frotte mes fesses contre ses mains. Erika les claque subitement. Surprise, je pousse un cri aiguë. Son rire cristallin retentit. Elle referme la portière passager.
Erika grimpe derrière le volant. Comme une stripteaseuse, je déboutonne les boutons de mon chemisier un à un très lentement, mes mains caressent délibérément mes seins par-dessus le tissu. Le regard brûlant d’Erika suit chacun de mes gestes. Je fais glisser le vêtement en satin de mes épaules. Je m’en caresse sensuellement les seins, le ventre, entre mes cuisses écartées.
Les yeux troublés de la jeune femme suivent mes mains. Elle se lèche les lèvres. J’imagine qu’elle ne s’attendait pas à ce petit show. C’est la première fois que je fais un truc pareil pour une femme. Ça m’excite de m’offrir à son regard libidineux.
Me plaçant à quatre pattes sur le siège, je tends mes fesses à Erika. Je descends le zip de ma jupe, lentement en tortillant sensuellement mon derrière. Passant les doigts sous la ceinture, je la fais glisser très lentement, mes hanches cambrées ondulent. La jupe glisse aux genoux, je caresse mes fesses, ma raie, jusqu’au petit gonflement de mes lèvres emprisonnées dans mon tanga. Mon collant est trempé de ma mouille. Ça m’excite de savoir qu’Erika voit que je la désire, que je mouille pour elle.
Je me rassoies sur mon siège. Je relèves mes pieds joints en l’air, les mains plaquées le long de mes jambes, je fais remonter ma jupe jusqu’à mes talons aiguilles. Un gracieux mouvement de pied l’envoie voler à travers la cabine. J’approche un pied de ma bouche, les bras sensuellement passés autour de ma jambe, j’embrasse mon soulier, lèche la pointe. Je ne suis pas fétichiste des pieds, mais je me sens prête à tout pour exciter Erika et combler tous ses désirs. Mon jeu lui plaît.
Elle prend ma deuxième cheville délicatement entre ses mains. La jeune femme enlève mon escarpin.
— Tu as de beaux pieds, déclare-t-elle ses yeux dans les miens.
Ses doigts se resserrent sur ma voûte plantaire. Ses dents mordillent mon pouce à travers mes collants. L’effet de surprise me fait gémir. L’infime douleur chatouilleuse provoque un courant électrique qui parcourt mon corps. Son regard malicieux observe ma réaction. Ses dents mordillent mes autres orteils. Je me tortille en gémissant sous la douce torture partagée entre la douleur et le plaisir inconnu.
Lentement, sensuellement, mon regard de braise dans le sien, je fais rouler mon collant sous mes mains, le long d’une jambe, puis l’autre, jusqu’aux mains d’Erika. Elle observe chacun de mes gestes. Un désir sauvage fait briller ses magnifiques yeux bleus.La pointe de sa langue sort de sa bouche, lèche sensuellement ses lèvres entrouvertes. Je prends son doux visage en coupe, l’embrasse passionnément.
Je me lève, le torse penché sur le tableau de bord, mes seins pressés sur la surface lisse et fraîche. Les pouces passés sous la ceinture en dentelle de mon tanga blanc, Je le fais glisser très lentement le long de mes fesses tendues. Erika a une vue panoramique sur mes orifices offerts. Le tanga termine sa descente le long de mes jambes si douces, jusqu’à mes chevilles.
— Très joli ! Me complimente Erika.
Son regard me brûle, sa voix me consume, je veux lui faire l’amour, l’entendre crier de plaisir, qu’elle m’en redemande encore.Obéissante, je m’assois sur le tableau de bord, les cuisses largement écartées. J’ai conscience que je peux être vue. Étonnamment, cela m’excite. Je caresse mes seins, malaxe leur rondeur qui remplit mes mains. Ils sont incroyablement doux. Les pointes roses durcissent, se dressent.
Je glisse une main entre mes cuisses écartées. J’effleure mes grandes lèvres ouvertes. Mon clito se dresse. Je pince mes petites lèvres entre mon index et mon majeur, à la base du clito gonflé. Le petit bouton rose nacré se montre. Je glisse mes doigts plus bas. Leur pulpe rencontre l’entrée de mon vagin trempée et visqueuse. Je les fais remonter doucement jusqu’au sommet de mon clito. Un délicieux courant électrique me traverse. Je soupire. Mon index fait de petits cercles au-dessus du bouton, le frôle à peine. Un plaisir brûlant inonde mes veines. Mon doigt glisse rapidement. Mon souffle s’accélère, mes soupirs deviennent des gémissements. Mon corps tremble de plaisir.
Les yeux brûlant de désir d’Erika m’observent. Sa langue lèche régulièrement ses lèvres. J’ai envie qu’elle lèche les miennes. Ses mains caressent son entre-jambe, par-dessus son Jean.
Soudain, elle se lève et ouvre les rideaux bleu roi derrière les sièges. Je vois une petite table de repas en bois clair, deux petits tabourets l’encadrent. Erika m’ordonne de la rejoindre.
— Assieds-toi sur la table ! Ordonne-t-elle encore.Je m’assois les pieds dans le vide. Erika fait « non » de la tête.— En face du siège.Je change de place, son ton sévère m’excite.— Écartes les cuisses ! Tu vas me nourrir.
J’ouvre largement les cuisses, les pieds à plat sur la table. Erika s’installe sur le tabouret. Son regard gourmand planté dans le mien, sa bouche embrasse ma chatte offerte. Sa langue caresse l’entrée de mon vagin, le pénètre, s’agite dans mon antre humide et brûlante. Je soupire de bonheur. Sa langue fait des va-et-vient. Je tends mon bassin, la réclame plus profondément. Erika remplace sa langue par un doigt. Je mouille en longs filets sous la caresse profonde. Je gémis de plaisir, la tête renversée en arrière. Mes mains malaxent mes seins.
— Tu aimes être caressée, constate-t-elle.— Oh oui !
Sa langue titille mon clito, le lèche, le suce. Un deuxième doigts s’insère dans mon vagin dégoulinant de mouille. Erika caresse la paroi supérieure. Les va-et-vient sur mon point G produisent de délicieuses ondes électriques dans tout mon corps. J’ai chaud, je tremble. C’est bon !
Sa langue retient mon plaisir. Un violent orgasme me foudroie. Je me tortille de plaisir, des couinements, presque des cris fuient mes lèvres desséchées.
— Encore ! Je réclame dans un souffle.
Un deuxième orgasme me submerge presqu’aussitôt. Mon corps sensible au plaisir ravit mon amante. Ses doigts s’activent plus rapidement sur mon point G. Sa langue tourbillonne sur mon clito, sa vitesse me donne le vertige. Je perds pieds, en apesanteur dans un monde de délices et de luxures. Mes orgasmes se succèdent à un rythme hallucinant. Je ne sais plus quand l’un fini ou l’autre commence. Mon corps n’est qu’une masse vibrante. Ma bouche hurle tant qu’elle peut. Mon esprit est anesthésié par le plaisir.
La bouche d’Erika lâche sa proie. Son regard extasié me fixe. Son menton est nappé de mouille brillante. Elle embrasse l’intérieur de ma cuisse.
— T’as envie d’être prise ? Me demande-t-elle.
J’imagine que la belle coquine a un gode ceinture caché dans un coin discret. J’ai toujours rêvé d’être prise par une femme. Un long frisson d’excitation me traverse.
— Oh oui ! Mais j’aimerais te goûter avant.— D’accord. Déshabille-moi !
Erika m’aide à descendre de la table. Mes jambes flageolent, encore fragiles du plaisir ressenti. J’empoigne la base de son pull fin, le soulève au-dessus de sa tête. La douce laine gris souris dévoile une peau diaphane, son ventre plat, des seins ronds de taille moyenne. Les tétons roses dressés me fixent. J’enlève sauvagement son pull, le jette, plonge mes lèvres sur ces pointes attirantes. Je les embrasse, les lèche, les suce délicatement. Elles sont dures et brillantes comme des pierres précieuses.
Je serre son corps contre le mien. Sa peau douce comme un pétale de rose me bouleverse. Je défais le bouton de son Jean, baisse le zip. Erika soupire contre mon oreille. Je l’embrasse. Sa langue sensuellement douce flirte avec la mienne.
Je passe la main dans l’ouverture de son Jean, rencontre de la dentelle. Je continue l’exploration, mes doigts butent sur quelque chose de dur. Je suis surprise, mais je continue. Cette chose est chaude et volumineuse. Ma main l’examine, je reconnais la forme d’un gland. La dentelle est humide et visqueuse sur cette extrémité qui ne devrait pas se trouver là. Je caresse la longueur intéressante de se membre masculin. Erika soupire entre mes lèvres. Mes yeux dans son regard troublé, je descends son Jean sur ses cuisses. Mes mains reprennent leur exploration, l’une caresse doucement le membre, l’autre découvre de petites couilles rondes et fermes. Elles sont très chaudes. Ce sexe masculin est naturel.
— Tu t’es fait opérer ?
Je demande par curiosité, en glissant la main sous la dentelle. Ce membre m’attire inévitablement. Elle va me prendre et je vais aimer ça.
— Non, je suis née comme ça. J’étais un garçon jusqu’à ce que mes seins commencent à pousser. Un médecin a voulu m’obliger à choisir entre l’un ou l’autre sexe, mais j’ai refusé. J’adorais me branler, et c’était bien trop excitant de pouvoir peloter des seins de fille quand je voulais.
Je ris, à sa place j’aurais été incapable de choisir aussi. Je m’agenouille à ses pieds. Elle porte un boxer en dentelle rose corail. La vue de ce sexe masculin en transparence dans sa lingerie féminine m’excite terriblement.
Je lèche le membre sur toute sa longueur, Erika soupire. Je titille le gland du bout de la langue. Le tissu est rugueux, mais cela ne me dérange pas. Du jus s’écoule de son unique œil, je le savoure longuement, puis l’avale. Il est sucré, c’est bon !
J’ouvre le boxer, dévoile le gland en forme de cœur. Je le lèche, le titille, le suçote, le mordille doucement. Erika gémit.
— Suce-moi ! Ordonne-t-elle impatiente.
Je souris, son gland entre les lèvres. Je l’aspire doucement dans les profondeurs de ma bouche. Sa queue est délicieuse. Elle a un goût délicat, une odeur féminine. C’est troublant ! Je la savoure, la fait coulisser sur ma langue. Je serre son membre entre mes lèvres, le suce à un rythme soutenu.
Erika empoigne mes cheveux, donne des coups de reins. Je la laisse faire à son rythme. Sa queue caresse ma langue, me fait baver, m’étouffe par moment. Elle gémit, ça m’excite !
Elle enlève rapidement son membre de ma bouche, la pénètre d’un coup sec et profond. J’ai un hoquet, son sexe glisse dans ma gorge, s’enfonce entre mes lèvres jusqu’à la garde. Erika recommence plusieurs fois. J’aime ça !
— Tu aimes qu’on te traite comme ça ? Demande-t-elle, la voix rauque.
Je lève un pouce pour approuver, je suis incapable de parler. Ma bouche est l’objet de son plaisir. Je suis à son entière disposition. Erika donne de grands coups de reins rapides, s’enfonce dans les profondeurs de ma gorge. Toute excitée, je me caresse en même temps. Ma chatte dégouline sur mes doigts. Mon vagin ouvert a besoin d’être pénétré profondément.
— Tu m’excites ! S’écrie Erika.
Elle me demande de m’asseoir sur le tabouret, face à elle. Je la regarde enlever son boxer et son Jean. Son sexe dressé, épilé, m’attire. Ses mains manucurées caresse sa verge. Elle trouve sa place naturelle sur ce sublime corps aux courbes sensuelles.
Erika s’approche plus près, son bassin contre ma poitrine. Elle n’a pas besoin de me donner d’ordres. Je sais ce qu’elle veut. Je prends mes seins en coupe, Erika frotte son sexe entre eux. C’est doux et excitant ! Je sers mes seins contre sa verge. Je la caresse doucement en les malaxant. Erika soupire de plaisir. Son bassin se tend, donne des coups amples. Sa verge glisse entre mes seins. Ses petites bourses butent contre eux. Son gland pénètre mes lèvres, caresse ma langue. Erika donne de grands coups de reins. J’aime sentir le relief des veines de sa verge, sa chaleur, sa douceur, entre mes seins pressés. Je pince mes tétons, un délicieux courant électrique traverse mon corps.
Ses gémissements deviennent des cris. Son gland grossit entre mes lèvres. De longs jets brûlants de sperme inondent ma bouche. Son goût est doux et agréable. Erika continue ses coups de reins. Son sexe caresse ma langue couverte de sperme. Il s’écoule dans ma gorge au rythme de ses va-et-vient. J’avale les dernières gouttes mêlées à ma salive. Elle soupire de plaisir. Son gland tressaute sur ma langue. Erika le retire brillant et encore gonflé de mes lèvres.
Elle me montre une échelle derrière le siège passager.
— Grimpe ! M’ordonne-t-elle.
J’obéis. Pendant mon ascension, Erika en profite pour glisser des doigts dans ma fente trempée. Je gémis, m’immobilise sur un barreau, lui tend mes fesses. Son doigt glisse profondément dans mon vagin, un deuxième le rejoint. Erika caresse rapidement la paroi inférieure, insiste sur mon point G. Je sens sa langue lécher mon petit trou offert. La pointe titille l’entrée, glisse à l’intérieur. C’est doux et agréable. Elle fait de petits cercles, mon petit trou se dilate. Sa bouche contre mon petit trou, Erika retire sa langue, l’insère d’un coup sec. Elle répète l’opération plusieurs fois. Je gémis de plaisir, le corps en ébullition. Ses doigts s’activent dans mon vagin. Je caresse mon clito en même temps. Sa langue fait de rapides va-et-vient, me sodomise. Ça m’excite !
Un triple orgasme me foudroie. Mon petit trou, mon vagin, mon clito. C’est trop bon ! J’hurle de plaisir. Des larmes d’extase s’accrochent au coin de mes yeux. Je me tortille, mon corps tremble violemment.
Sans me laisser de répit, Erika retire ses doigts de mon vagin qui dégouline. Son corps se plaque contre le mien. Ses seins se pressent contre mon dos. Son gland caresse ma raie, se frotte entre mes fesses. Il se stoppe à l’entrée de mon petit trou, se presse sur la résistance. Enfin, le membre pénètre l’orifice serré, je soupire, ravie.
Erika donne des coups de bassin fluides, ses mains malaxent mes seins. Ses lèvres embrassent ma nuque. De délicieux frissons hérissent ma peau. Son sexe s’enfonce profondément dans mes fesses tendues.
— Plus fort ! Je la supplie d’une voix gémissante.
Erika empoigne mes hanches. Le mouvement de son bassin devient ample. Son sexe s’enfonce profondément, se retire jusqu’au frein, revient entièrement à un rythme soutenu. Mes soupirs sont des gémissements. Je me maintiens aux barreaux de l’échelle pour ne pas glisser. Elle me possède comme aucune autre avant elle. Son corps brûlant contre le mien bouge au rythme de nos cris de plaisir.Soudain, Erika se retire de mon petit trou, me claque les fesses.
— Continue de grimper, vilaine ! M’ordonne-t-elle d’une voix rauque.
Je frissonne de plaisir. Mes jambes me supportent difficilement. Je grimpe les deux barreaux. Un espace restreint au-dessus des sièges avants, accueille un matelas moelleux couvert de draps bleus, et d’une couette épaisse. Des petits hublots sur les côtés laissent entrer la lumière du jour. J’avance à quatre pattes sur le lit, fait attention de ne pas me cogner au plafond bas.
Les draps ont gardé l’odeur féminine d’Erika, la fragrance subtile de son parfum. Je m’allonge sur le dos, me vautre sensuellement sur la couette. Mes doigts vont à la rencontre de ma chatte trempée entre mes cuisses largement écartées.
— Écarte tes lèvres ! M’ordonne Erika qui s’approche à quatre pattes.
J’écarte toutes mes lèvres, mon clito hisse son drapeau. L’air caresse l’entrée de mon vagin offert.
— Ouvre ton vagin avec tes doigts !
J’insère mes deux index, étire les parois tant que je peux. Erika branle sa belle queue brillante en regardant mon orifice dilaté. Ses yeux brillent d’excitation. Elle est belle, je la désire.
Erika présente son gland à l’entrée de mon vagin que je maintiens écarté. Elle me pénètre d’un coup vif. Son gland percute le fond de mon intimité. Je pousse un gémissement surprit. Ses mains empoignent mes cuisses, son bassin claque contre le mien à un rythme soutenu. Je ne sens que son gland qui caresse mon point G. Je crie de plaisir, les yeux mi-clos, mes mains empoignent les oreillers. C’est trop bon ! Un orgasme me foudroie, une chaleur bouillonnante se déverse dans mes veines. Mon corps convulse. Ma peau frissonne. Une migraine presse mon crâne, derrière mes yeux. Ma bouche pousse des hurlements.
Erika lâche mes cuisses, relève mes bras au-dessus de ma tête. Son sexe s’enfonce profondément en moi. Son corps se vautre sur le mien. Son bassin ondule a vive allure contre le mien. Nos seins se frottent les uns contre les autres. Les pointes durcies de ses tétons caressent ma peau. Je me noie dans ses yeux brûlants de plaisir bestial. Nos bouches crient l’une contre l’autre.Je voudrais caresser son corps sublime, sa peau d’une douceur bouleversante. Ses mains emprisonnent mes poignets. Je subis ses assauts.
Soudain, ses coups de reins deviennent violents et profonds. Sa verge grossit dans ma chatte. De puissantes giclées de sperme tapissent les parois de mon vagin. Ses yeux rouges fixent les miens. Elle est magnifique, les joues roses, les lèvres gonflées et pourpres.
Sa bouche pulpeuse embrasse sauvagement la mienne.
— Passe la nuit avec moi ! M’ordonne-t-elle.
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