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Théâtre pour adultes

Chapitre 1

Gay
On a réussi à se faire embaucher dans un club très privé, pour y présenter une mini pièce de théâtre. Il s’agit d’un vaudeville, un couple et un amant, pornographique.On est donc trois, je suis l’homme du couple (63 ans), ma compagne est bien plus jeune (39 ans). Le troisième comparse a la quarantaine lui aussi.
La rideau se lève, et ma femelle apparait toute seule dans son salon. Elle est magnifique, une belle blondasse à forte poitrine (95D), en mini jupe et large décolleté.On sonne à la porte, et elle fait entrer un homme, un beau black.Ils tombent dans les bras l’un de l’autre, et s’embrassent à bouche que veux-tu.Elle se dégage, et s’empresse de déshabiller le nouveau venu: veste, chemise, chaussures, pantalon, caleçon, il se retrouve vite à poil. On le voit de dos, côté face, côté fesses, pour tenir le public en haleine en attendant le côté pile.Elle s’agenouille devant lui, prête à s’occuper de son sexe, lorsque l’on sonne à nouveau.
Elle se relève d’un coup, et met son doigt sur ses lèvres pour indiquer à son partenaire le silence absolu. Un deuxième coup de sonnette sans réponse de sa part. On entend alors un bruit de clé dans la serrure. Elle réalise:— Merde, mon mari! Vite, cache toi.Comme dans toutes les pièces du genre, il y a un placard libre, et il s’y précipite sans même penser à prendre ses affaires.C’est effectivement le mari qui entre, c’est à dire moi.
Je trouve ma femme bizarre, gênée, inquiète. Elle essaie visiblement de cacher quelque chose, et je découvre le vestiaire d’un inconnu. Je sais qu’elle prend des amants, j’ai une vie dissolue moi aussi, mais tout va bien du moment qu’on le fait secrètement. Là par contre, je sais qu’il est là, et ça ne se passe pas très bien. On s’engueule, et elle fini par tout m’avouer, après m’avoir fait promettre de garder mon calme, et de ne pas lui casser la gueule. Ok, j’accepte.
Son copain sort du placard, nu, les mains sur son bas ventre, sans parvenir à camoufler son engin qui pendouille à mi cuisses. Le public est ravi, et applaudi à la vue de ce boudin prometteur.
Il essaie de s’excuser, mais je le rassure aussitôt:— Ne t’en fais pas, j’ai l’habitude, c’est une salope ma femme, et tu n’es pas le premier. Par contre, je ne sais pas si elle te l’as dit, mais moi aussi j’aime la queue. Alors si tu veux m’offrir la tienne, ça me ferais plaisir et je te pardonnerais.— J’aimerais bien, mais je crains qu’elle ne soit trop grosse!— Ne t’inquiètes pas, j’aime les gros calibres comme le tien.— Elle est au repos, telle que tu la vois, mais en action, c’est autre chose. Personne n’a osé m’offrir son petit trou, et ta femme non plus.— Alors je vais être le premier, c’est un gourmand mon cul. Laisse moi te faire bander, que je vois si tu es aussi bien monté que tu le dis.

Je m’accroupis devant lui, et prend son manche en main, à deux mains tellement il est imposant. Je le caresse, le câline, le branle, le fais se raidir. Je l’embrasse, le lèche, veux le sucer, mais parvient juste à engloutir son énorme gland.Sa bite se développe, longue, grosse, énorme; sous les applaudissements du public. Un phallus incroyable, 32x7, comme il n’en existe que de rares exemplaires.Je m’adresse à ma femme:— Salope, au lieu de rester là à ne rien foutre, viens t’occuper de sa queue, de la maintenir bien bandée, pendant que je me prépare pour l’accueillir.
Elle prend ma place, et je me déshabille, sous encore des applaudissements. Il faut dire qu’après un striptease partiel, je me retrouve en bas jarretelles, string, salope à souhait. J’adore sortir dans cette tenue, ça m’excite.  J’enlève ma petite culotte, et offre mes fesses au public. Je suce mes doigts, et commence à m’investir l’anus. Un doigt, deux, trois, quatre, la main entière. Je me fouille, m’élargis la rondelle, la dilate, m’apprête à recevoir ce chibre surdimensionné.Je me mets à quatre pattes sur la table basse du salon, et invite notre invité à me sodomiser.
C’est la première fois qu’une telle offre lui est proposée, et il ne va pas laisser passer l’occasion. Il plaque son gland sur ma pastille, puis s’enfonce sans se poser de questions. Je l’ai voulu, tant pis pour moi. Je gueule de douleur sous cet assaut, mais très vite le mal fait place au plaisir. Je gémis, je ronronne, comme une chatte en chaleur. Il y a des femelles qui simulent pendant l’accouplement, mais pas moi. Je jouis du cul en réel, et doublement. Je jouis de ce manche impossible qui me ramone de toute sa longueur, de toute son épaisseur. Je jouis aussi de me faire mettre devant un public de plusieurs dizaines de personnes, des hommes à 90%, des locaux qui me croiseront peut-être demain dans la rue.
Ma femme profite du spectacle, mais veut participer elle aussi. Elle se déshabille sous les hourras du public. C’est vrai qu’elle est super belle: sa poitrine volumineuse est d’une parfaite tenue, sa chute de reins et ses fesses feraient bander un centenaire, et son sexe est de toute beauté. Une belle bite, bien raide, un 22x5 comme beaucoup d’hommes aimeraient en avoir. Et oui, ma chérie est une transsexuelle.
Elle se place derrière son amant, crache dans sa raie, crache sur sa queue, puis le pénètre sans sommation. Le public est chaud, tous applaudissent à tout rompre, sauf ceux qui ont déballé leur zigounette pour se branler.Elle défonce son amant, qui lui même me défonce, et c’est comme s’ils étaient deux à pousser derrière moi. Je bande.
Après deux minutes de ramonage intense, elle demande à notre partenaire de se retirer et de m’offrir sa bite à sucer. C’est ce qu’il fait, et à peine mon petit trou, plus si petit que ça, est libre, qu’elle s’y engage pour me sodomiser sauvagement. Mon orifice s’est vite refermé, et je sens avec délice ses allées venues. Je suce, je me fais mettre, en public, le pied. Et en plus je suis payé pour ça!
Ma femelle est sur le point de jouir et se retire. Elle s’astique le manche et décharge en abondance, de longues giclées qui montent bien haut avant de retomber sur mes reins. Le public est conquis et la félicite: de bonnes éjaculations, c’est tout ce qu’ils aiment ces pervers.
Elle change de place avec moi, suce son amant, et je vais l’emplafonner. Je la baise sans concession, matraque son oignon comme elle a matraqué le mien. Je vais jouir à mon tour, me retire, et gicle comme elle, sous une nouvelle acclamation.
On est maintenant à genoux tous les deux, elle et moi, devant son amant, mon amant, notre amant. On le suce ensemble, et il va venir lui aussi. Il branle sa colonne jusqu’à l’orgasme. Le public est en délire, debout pour une stand-ovation. C’est vrai que c’est un feu d’artifice qu’il nous offre, des giclées à répétitions, que l’on reçoit plein la gueule.Il a finit de se soulager, de vider ses couilles.On a un masque de foutre, ma femme et moi, et on se lèche, on se bouffe la poire, on se roule des pelles, pour un final torride. Le public est sans retenue, et ceux qui se branlent n’hésitent pas à décharger partout où ils peuvent.
Le spectacle est fini, on est dans notre loge, puis on s’en va. Quelques spectateurs nous attendent à la sortie. Certains, juste pour nous féliciter, d’autres pour nous faire des propositions. Ils souhaitent une représentation en privé, chez eux, avec des amis, et pouvoir participer à la séance. On ne leur dit pas non, on prend leurs coordonnées, on verra.

      





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