La marche, le paso-doble se passe très bien, pour la valse, c’est déjà un peu plus compliqué, mais finalement les deux ados s’en sortent pas trop mal et on décide de remettre ça en changeant de partenaires pour s’habituer et finalement, on revient sur un slow où Louis chauffe un peu sa mère en la serrant contre lui et en collant le colle os contre le pubis pour chauffer. Nicolas qui n’a pas ses yeux dans sa poche, adopte la même attitude avec sa mère, qui contrairement à ce qu’il aurait pu croire, apprécie de se sentir serrée dans ses bras, même si son colosse est plus petit, c’est quand même bon de se sentir désirée. On remet un autre slow en changeant à nouveau de partenaire et Nicolas se retrouve dans les bras de Nicole qui a été bien mûrie et sur le point de se laisser aller quand elle sent une force vive de la nature s’appuyer contre sa motte et surtout quand elle sent Nicolas le visage plongé dans ses cheveux qui souffle comme un phoque en rut. – Attention, tu n’as pas encore le droit, il faut réussir, lui dit Nicole en faisant un terrible effort pour ne pas se laisser aller. Nicolas est comme fou, sentant des phéromones de femelle en chaleur, lui emplirent ses narines, bien de plus attractives que celles des culottes de maman, mais il sait qu’il devra se donner à fond à l’étude pour réussir à pouvoir en profiter.À la fin du slow, les participants se restaurent d’une boisson fraiche, ils en ont besoin. Finalement Nicole demande à Nicolas si Nicolas et elle peuvent emprunter sa chambre, vu que Nicolas est empressé de s’améliorer. – Certainement Maman, nous avec Luce, on va réviser les fondements du traité de Rome dans ta chambre.– Je ne veux pas de détails.– Nous non plus lui réplique-t-il du tac au tac. Nicole et Nicolas, ce qui va bien ensemble vont dans la chambre de Louis. Ils déballent les livres et les épreuves et pendant que Nicole, les lunettes sur le bout du nez qui lui donne un air sérieux, se met au courant du niveau d’étude de Nicolas, lui, il s’en met plein les yeux de la mère de son copain, ce qui fait qu’il se trémousse sur son siège en essayant de camoufler son problème en essayant de donner le change, mais Nicole n’est pas dupe, elle voit bien d’où vient le manque de concentration. – Je vois que tu es un peu distrait et trop tendu, lui dit-elle en passant sa main sur une protubérance qui dépassait un peu trop. Je vais te donner un avant-goût si tu es plus assidu et que tu réussisses tes examens haut la main.Elle lui défait sa braguette et aussitôt, tel un diable sorti de sa boite, la bite s’est tenu cachée…mais dans sa prison trop étroiteelle baille et voudrait respirer.Elle sent des doigts impatients,elle a soif de grand jour et d’air…elle voudrait savoir les nouvelles,elle fait craquer le slip vert.Puis, d’un geste brusque, elle jaillit
enfin à l’air, l’œil humide de plaisir. – Je vais un peu purger ton impatience, j’espère qu’après, tu seras plus consciencieux. Dit Nicole qui d’un geste ample retrousse la peau du prépuce, ce qui amène une certaine contraction des coucougnettes qui se préparent à envoyer en l’air leur fabrication maison… C’est déjà en route ? – Oui, c’est trop bon, je viens. Brusquement elle arrête et met en suspend son mouvement pour sortir un mouchoir en lin de sa poche. Elle coiffe ce joli mandrin pour que cela ne gicle pas partout et reprend son mouvement masturbatoire qui amène à la libération de la tension tellurique qui habite le bas ventre de Nicolas. Elle nettoie consciencieusement son sexe qui devient mou et tranquille, elle le remet dans le slip et referme le tout. Maintenant on peut se mettre à étudier sérieusement. – Je vois que tu as butté sur les intégrales simples, alors tu vas me les expliquer tout d’abord avec ton cours et ensuite sans support. On ne peut passer à l’étape suivante qui est l’intégration par partie sans assimiler le fondement. Mais au fait tu es au point avec le calcul des dérivées, je peux te demander n’importe laquelle tu saurais me la donner ? – Je crois, mais je ne suis pas sûr.– Bon, maintenant explique-moi les intégrales simples. Au bout de dix minutes, en piochant fréquemment dans le cours, l’explication complète avec démo est faite. Nicole à ce moment, le lui confisque. – Maintenant, réexplique-moi sans le cours, si tu y arrives sans faute, tu auras droit à un bisou.– Tu sais Nicole, si mère appliquait les mêmes méthodes d’enseignement que toi, je serai premier de classe.Sur ce, il récite parfaitement sa leçon et démontre par ce fait qu’il a bien compris, en suivant, on procède de même avec l’intégration par partie et là il a droit à une bonne prise de bec et même elle lui laisse tâter un peu la marchandise. Ayant osé, mettre la main au panier selon l’expression populaire, il place son doigt sous son nez. – Hum ! Ton odeur m’encourage à faire vraiment tous les efforts possibles.– Tais-toi polisson ! Balbutie-t-elle en rougissant comme une pucelle, flattée par ce compliment.… Allons retrouver Luce et Louis, si ils ont fini de réviser le traité de Rome. Arrivant au salon, ils retrouvent Luce et Louis assis sagement l’un en face de l’autre, à ce moment là, Nicolas va embrasser sa mère et veut lui expliquer qu’il va se donner à fond quand il remarque qu’une drôle d’odeur se dégage de la bouche maternelle, c’est pas colgate, ni un dentifrice quelconque, mais il a plutôt souvenir de l’odeur qui se dégageait des culottes polluées par ses branlettes frénétiques. – Mère, ta bouche a une drôle d’odeur. On dirait …– Oui, Louis m’a donné à goûter une légumineuse qui vient d’Amérique centrale.– Je vois, comment tu as aimé cette légumineuse ?– Intéressant pour ne pas dire bon. Il paraît qu’elle est très diurétique et lutte efficacement contre la constipation.À ce moment-là, sentant que la conversation prenait un tournant périlleux, Nicole annonce que Nicolas a bien travaillé ses math et qu’elle attend qu’il fasse un maximum. Viens le moment du départ et Nicole lui demande de venir dès qu’il a les résultats de son examen pour la leçon suivante.
