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Ma thérapie

Chapitre 1

1ère séance

Travesti / Trans
— Salut chérie, à ce soir.— Bonsoir mon ange, courage, je t’aime.— Merci, ma princesse, moi aussi je t’aime.
Me voilà parti vers mon avenir, direction Orléans, 45 minutes de route, c’était le prix à payer pour aller à mon rendez-vous qui, peut-être, allait bouleverser mon avenir.
J’allais voir une sexothérapeute. En effet, hormis le fait d’être un obsédé, j’avais besoin de savoir qui j’étais, un homme homosexuel ou bi, ou alors une femme emprisonnée dans un corps d’homme.
J’arrive au cabinet de ma thérapeute, je sonne à l’interphone, la gâche s’ouvre sans question. Je rentre et m’installe dans la salle d’attente.
Quelques minutes après, la porte s’ouvre, ma thérapeute m’invite à entrer dans son cabinet. Celui-ci est cosy, un bureau en bois clair, un canapé 2 places et face à lui un fauteuil crème, certainement celui de la thérapeute. Elle m’invite à m’installer confortablement dans le canapé. Elle prend place face à moi dans le fauteuil. Elle s’y enfonce profondément, ce qui a pour effet de faire remonter sa robe jusqu’à mi-cuisse. Elle a également un fin chemisier blanc laissant entrapercevoir ses aréoles. Ses seins ne sont ni trop gros ni trop petits, juste la taille idéale. Elle avait une grande natte allant jusqu’au bas du dos, avec de jolis yeux noisette. Elle a un port impeccable. Je suis sous le charme.
— Bonjour, alors dites-moi ce qui vous amène.— Heu comment dire...— Dites-le simplement, vous savez, il n’y a rien de honteux et si vous voulez que je vous aide, il va falloir me parler en vérité.— Très bien Madame, et bien, en fait, je ne sais plus où j’en suis dans ma sexualité. Déjà, je pense être obsédé et dans un second temps, ce qui est la vraie raison de ma venue, c’est que je me pose des questions, suis-je homosexuel ou bi, ou alors suis-je une femme dans un corps d’homme.— Très bien, c’est noté, déjà pourquoi dites-vous que vous êtes obsédé ?— Je pense toujours au sexe, il n’y a pas un jour où je ne me masturbe pas et également le visionnage de sites pornographiques.— C’est tout ?— Non, voyez-vous à l’instant présent, je me demande si vous avez une culotte et si vous êtes entièrement épilée. (Je viens vraiment de dire ça ?)— Ça je le sais depuis que vous êtes assis dans le canapé, vous avez du mal à regarder autre part que mon entrejambe.
En même temps qu’elle me dit ça, elle écarte les cuisses et me dit.
— Bon, voici les réponses à vos interrogations.

Mon cœur s’accélère, mes paumes deviennent moites, mon rythme cardiaque s’emballe et mon sexe durcit. Une fois les cuisses largement ouvertes, elle m’offre une vue imprenable sur la fente de son sexe, entièrement épilé. Mon regard ne peut se détacher de ce spectacle.
— Effectivement, vous êtes un obsédé, voyez-vous, la majorité des personnes aurait détourné le regard, or vous, vous continuez toujours à regarder mon intimité sans aucune gêne.
Elle lit en moi effectivement, je n’ai aucune honte à me rincer l’œil. Nul doute que je me toucherai en pensant à ce spectacle lors de mon retour à mon domicile.
Elle griffonne quelque chose sur un bout de papier et me dit :
— Je viens de noter quelque chose pour voir si vous êtes un obsédé. Je viens d’écrire ce à quoi vous êtes en train de penser.
Elle me tend le papier, je l’ouvre et deviens rouge de honte, elle a vu juste.
— Alors, me dit-elle ?— Vous avez raison, Madame.— Lisez à haute voix ce qui est marqué.— Est-ce que cette pute de doc a sa grosse chatte de chienne qui mouille  ?

Je suis honteux de lire ce mot, mais tellement excité d’avoir la réponse, mon chibre va exploser dans mon slip.
— Désolé, je garde la réponse secrète, me dit-elle, avec un sourire provocateur. Elle referme également ses cuisses en me disant, fin du spectacle, si on veut avancer, il faut stopper les distractions. Elle a raison, je reste à l’affût du moindre écartement de cuisses.— Poursuivons, pourquoi vous interrogez-vous sur votre homosexualité ? Vous vivez seul ?— Je suis marié, j’ai des enfants, et si je me pose des questions, c’est que je fais des rêves homosexuel ou bi, il m’arrive de regarder des vidéos homos, d’aller sur des tchats.— Votre femme le sait ?— Oui. Enfin que pour les fantasmes et sur mon questionnement.— Et c’est tout à ce sujet ?— Non, il m’arrive également de prendre les sex-toys de ma femme et de les utiliser.— Vous les utilisez de quelle façon ?— Je me sodomise, je fais également des fellations.— C’est noté, vous le faites en présence de votre femme ?— Oui.— Elle vous aide ?— Parfois.— Vous arrive-t-il d’avaler votre sperme ?
Comment pouvait-elle savoir ça, je répondis timidement.
— Oui.— Excusez-moi, je n’ai pas entendu.— Heu... oui Madame.— N’ayez pas honte, vous pensez que je vais penser quoi de vous ?— Que je suis une salope.— Et vous l’êtes ?— Quoi donc, demandais-je.— Une salope, me dit-elle.— Oui.— Dans votre fantasme le plus fou, que se passe-t-il ?— Je suis en levrette, entre 2 blacks, un qui me sodomise et l’autre à qui je fais une fellation.— D’accord, il vous sodomise de quelle manière ?— Il enfonce tout son membre, si je puis dire, il me défonce le cul.
Elle a un petit rictus et me dit, au moins c’est clair. Et quelle est votre réaction ?
— Je gémis comme une actrice de film X.— Ado, vous avez déjà eu des rêves homos ?— Oui, je m’imaginais homme, travesti avec des dessous féminins en tenue de soubrette à faire des fellations à tous les hommes de la soirée.— OK, rien d’autre ?— Heu si, je me faisais prendre en levrette par mon père pendant que je faisais un cunnilingus à ma mère.— Voyez-vous, c’est typiquement un fantasme d’homosexuel le fait de se faire sodomiser par son père.
A quel âge avez-vous vu votre premier porno gay ?
— Je ne sais pas, mais j’étais ado.— La première fois que vous l’avez regardée, quelle réaction avez-vous eue ?— J’étais excité, je pensais que j’allais être écœuré, mais pas du tout.— Vous étiez excité à quel point ?— Je me suis masturbé jusqu’au bout.— OK, et vous avez déjà joué à touche pipi avec un autre homme, ou fait l’amour ?— Heu juste touche pipi avec un cousin, quand on était ado. Et j’ai mis ma bouche la même soirée autour du pénis d’un autre garçon, on avait mis un drap sur son sexe.— Qu’avez-vous ressenti ?— J’ai adoré et j’aurais bien aimé essayer sans le drap.— Coquin ! Et c’est tout ? A quel âge vous êtes-vous sodomisé pour la première fois avec un sex-toy ?— Heu vers 18 ans.— Pourquoi pas avant ?— Parce que je n’en avais pas sous la main.— A qui appartenait ce gode ?— C’était ceux de ma mère.— De votre mère... OK... et heu... décrivez-les.— Il y en a un, c’était un double dong et l’autre, une taille XXL.— Qu’avez-vous fait la première fois que vous les avez trouvés ?— Je les ai sentis pour voir s’ils avaient l’odeur de mouille de ma mère.— Et... ils avaient l’odeur ?— Oui.— Et qu’avez-vous fait ?— Je les ai sucés pour essayer d’avoir le goût.— Et... ils avaient le goût ?— Oui.— Qu’avez-vous fait après ?— J’ai pris le plus gros et j’ai essayé de me sodomiser.— Le plus gros directement ! Eh bien, je comprends mieux pourquoi vous dites être une salope.
Je suis à la fois surpris et heureux de l’avoir choquée d’une part et qu’elle acquiesce le fait que je sois une salope.
— Et comment s’est passée votre sodomie ?— En fait, je n’y suis pas arrivé, le diamètre était trop gros.— Evidemment, et qu’avez-vous fait ?— Je me suis rabattu sur le double dong qui lui, est entré.— Vous l’avez enfoncé beaucoup ?— Malheureusement non, à moitié, environ 15 centimètres.— Ha quand même. Et qu’est-ce qui compte le plus pour vous, un gros diamètre ou une sodomie profonde ? Je dirai le diamètre et tant qu’à faire, avec la profondeur.— Naturellement, et aujourd’hui, vous avez de gros sex-toys ?— Oui, j’en ai un avec trois diamètres qui grossissent de plus en plus et deux de taille normale.— Et comment les utilisez-vous ?— Quand je suis seul, il m’arrive de me faire des doubles, ou de m’enfoncer le plus gros à fond.— Et quand vous êtes avec votre femme ?— Seulement un de taille normale, fellation et sodomie.— C’est noté.
Quand je relève les yeux, je vois ma thérapeute, une main sous sa jupe avec deux tétons énormes qui transpercent son chemisier.
— Parlons maintenant de votre côté femme. Pourquoi avez-vous l’impression d’être une femme ?— Ado, je fantasmais sur ma mère.— Comme tous les ados du monde.— Sauf que moi je m’imaginais femme, ayant une relation lesbienne avec ma mère.— Quoi d’autre ?— Depuis ado, il m’est arrivé de me travestir avec la lingerie de ma mère et aujourd’hui avec celle de ma femme.— D’accord, que mettiez-vous comme lingerie de votre mère ?— Je me mettais en bas string porte-jarretelles et soutien-gorge.— Du maquillage ?— Oui.— Votre mère se doutait que vous utilisiez sa lingerie ?— Oui, une fois elle m’a grondé.— De quelle manière ?— Elle m’a mis sur ses genoux et m’a donné une fessée, cul nu.— Et quand elle a fini, qu’a-t-elle fait ?— Elle m’a dit que même si j’avais un superbe cul, ce n’était pas une raison pour lui piquer sa lingerie, et que s’il devait y avoir une prochaine fois, j’allais vraiment le regretter.— Et il y a eu une prochaine fois ?— Oui.— Et que s’est-il passé ?— Un soir, alors qu’il y avait des invités, après le dessert, elle me dit d’aller me coucher, mais qu’avant, je devais revenir nu pour avoir ma punition.— Vraiment ? Quel était votre ressenti ?— J’avais super honte de me présenter nu devant d’autres adultes et en plus, je complexais et je complexe toujours sur la taille de mon pénis. Et d’autre part, j’étais excité de recevoir une fessée de la femme sur laquelle je fantasmais tous les soirs.— A propos de votre sexe, baissez votre pantalon et votre slip, parfois la petite taille est un facteur de non-développement hormonal et justement d’un mauvais sexe.— Tout penaud, je me lève et baisse mes vêtements, laissant voir mon sexe.
Elle se lève, prend une réglette sur son bureau et s’approche de moi. Elle s’agenouille, saisit mon pénis et le mesure.
— 8 centimètres, c’est la moyenne inférieure, mais rien de catastrophique. Vos testicules sont peu développés, mais si vous vous masturbez tous les jours, c’est normal, elles sont vides. Je vois que vous avez un slip.— Et, demandais-je ?— J’aurais cru que vous seriez venu en lingerie. Apparemment pas si salope que ça.— En fait, je n’ai pas osé.
Elle se lève, va à son bureau, ouvre un tiroir, saisit quelque chose et revient. Elle tend la main vers moi et l’ouvre. Je découvre un string blanc. Je suis rouge de honte et comprends la non-question, il faut que je le mette. Je le saisis et m’exécute. Une fois le string en place, elle me demande de lui tourner le dos, et de me pencher en avant. Je le fais et j’entends ce constat.
— Votre mère a raison, vous avez de très belles fesses.— Merci, c’est gentil.— Venez vers moi maintenant.
Elle est assise sur le rebord du fauteuil.
— Mettez-vous sur mes jambes, pour la fessée. C’est le prix à payer d’avoir mis ma culotte.
Quel bonheur, une fessée ! Elle me matraque le cul, il doit être rouge vif. Je ne bronche pas. Elle dit :
— Votre mère vous a bien éduqué, vous ne pignez pas. Donc, on dit salope, soumise, comment vous sentez-vous à l’instant présent ?— Une chienne, une grosse pute.— J’en étais certaine que vous étiez une grosse pute. Bon, retirez mon string en prenant soin de lécher vos gouttes de sperme et rhabillez-vous.
Je retire le bout de dentelle, le porte à ma bouche et lèche mon sperme.
— Hé bien ça, c’est de la grosse pute, elle me regarde dans les yeux en léchant son foutre. Vous devez vraiment vous mettre le cul dans un drôle d’état.
Quand vous serez rhabillé, rejoignez-moi à mon bureau.
— Bon Monsieur, je confirme bien que vous êtes un gros obsédé. Quant à dire si vous êtes gay ou femme, c’est encore trop tôt pour me prononcer.
Pour la prochaine fois, je vous fais une ordonnance pour un ensemble de lingerie, bas string porte-jarretelles et soutien-gorge.
Je vous prescris également des hormones féminines pour faire pousser votre poitrine.
Et enfin une ordonnance, pour un plug anal, je veux que vous dormiez tous les soirs avec ce plug.
Voilà, ça fait 90€.
Merci, et bon retour, tâchez de garder vos mains sur le volant.
— Au revoir docteur.
J’allais passer la porte quand elle me dit.
— Au fait, si ça vous intéresse toujours, je n’ai jamais autant mouillé pendant une séance.
Mêlant les gestes aux mots, elle lève sa jupe et me laisse voir sa vulve béante d’excitation et dégoulinante de mouille. Je me mets à bander comme un ours. Je me branle par-dessus mon jeans et ne peut m’empêcher de jouir comme une truie. Alors elle me dit.
— Dégagez salope.
Je rentre chez moi, le cul brûlant de ma fessée et mes vêtements souillés par mon foutre.
Je suis rentré chez moi, ma femme m’accueille dans une superbe nuisette, je me précipite vers elle pour la baiser en pensant à ma thérapeute, mais elle me dit :
— Désolée mon chéri, mais ta doc m’a envoyé un SMS, privé de câlin pendant un mois.— Zut, ça va être long ce mois.
Voilà c’est fini, pour le moment. Ça vous a plu ? La prochaine fois, achat de lingerie et sex-toy, puis hormone à la pharmacie.
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