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Thérapie familiale

Chapitre 3

La fessée

Erotique
03 : La fessée.

Jade de rend directement là où elle pense trouver sa mère, consciente d’avoir déjà tardé à le faire. Dès qu’elle quitte la moquette confortable qui recouvre le sol de sa chambre, les clic-clac de ses talons-aiguilles se font entendre. D’abord sur le parquet vitrifié du couloir en émettant un bruit mat, puis sur le carrelage du séjour d’une manière plus clinquante. Ses seins lourds et dénudés bougeant au rythme de ses pas. Lorsqu’elle arrive dans le salon armée de tout le courage dont elle est capable, elle constate légèrement dépitée que son bourreau ne s’y trouve pas encore, contrairement à son frère.  Enzo est un jeune homme de taille moyenne, mesurant un mètre quatre-vingt-un pour environ 70 kilos. Ce qui lui donne une silhouette sportive car son corps étant dénué de graisse, beaucoup de ses muscles sont apparents bien qu’ils ne soient pas développés de manière excessive. Il est brun de poils et contrairement à ses parentes sa peau est mate, ce qui fait ressortir le vert de ses yeux et ajoute à son charme. Tout comme son nez légèrement fort et son menton volontaire, qui lui donnent un air viril malgré sa jeunesse. Le tout étant adouci par un sourire charmeur dont il use sans compter, étant d’un naturel enjoué. Contrairement à beaucoup de ceux de son âge il se rase tous les jours, ce qui plaît énormément à sa mère, qui est convaincue que plus qu’un accessoire de mode la barbe est un signe de fainéantise. Même si le look baroudeur avec des poils de deux ou trois millimètres de long, ne lui déplaît pas.

Enzo porte comme souvent lorsqu’il reste à la maison un pantalon de jogging, ainsi qu’un t-shirt large qui autrefois a été noir. Il n’est absolument pas surpris, de voir sa sœur arriver sans aucun vêtement. Il se retient de sourire, avant de la détailler sans aucune gêne et même avec une certaine délectation. Agacée, elle lui demande hargneusement :

— Man est pas là ?!
— Non, mais elle va pas tarder. Elle a dit qu’on doit l’attendre ici.
— Je suppose que t’es déjà au courant ?
— Pas vraiment. Je sais juste que tu vas être punie. Elle m’a prévenu que tu serais à poil, ce qui est une grande première dans cette famille.
— Et ça a l’air de te réjouir.
— Voyons Sœurette, on est plus des minots.
— C’est vrai. Mais comme tu l’as si bien fait remarquer, Frérot, je reste ta sœur. Alors me mater fait de toi un pervers.
— Je le serais vraiment si on baisait ensemble, car chez des gens moins coincés que nous vivre à poil est considéré comme normal.
— Mais là, je suis la seule à l’être.
— T’as raison mais moi j’y suis pour rien. D’ailleurs t’as fait quoi comme connerie, pour mériter d’être fessée à ton âge ?

Alors que leur petite chamaillerie tout à fait dans leurs normes, lui avait fait quelque peu oublier l’étrangeté de la situation, Jade devient tout à coup écarlate. Elle répond en baissant la tête :

— Je peux pas te le dire... c’est trop la honte.

χ


Enzo même s’il fait parfois preuve de moquerie à son égard, aime énormément sa sœur. C’est la raison pour laquelle la voyant effondrée, il s’avance vers elle pour la prendre dans ses bras dans le but de la réconforter. Ils restent un petit moment ainsi sans prononcer une parole, jusqu’à ce qu’ils entendent les clic-clac des talons maternels.  Anne-Lise lorsqu’elle rentre habituellement du travail, enlève son tailleur et défait son chignon strict pour mettre quelque chose de plus confortable. C’est toujours comme ses enfants en bas un pantalon de jogging assez large et épais, si bien qu’Enzo et Jade ne peuvent pas savoir si elle a gardé sa culotte. Quant au haut il s’agit d’un t-shirt ample, qui ne laisse aucun doute sur le fait que ses gros seins sont libres dessous, car ils bougent allègrement au rythme de chacun de ses mouvements. Toutefois la morale est sauve puisque sa poitrine est cachée dans son intégralité, sa tenue étant invariablement complétée par une paire de mules à talons-plats.  Mais pas cette fois étant donné que si elle s’est bien changée, sa fille et son fils ont la surprise de constater qu’elle a enfilé un de ses peignoirs, sur lequel ses cheveux auburn pendent librement dans son dos. Alors que ses pieds comme ils l’ont entendu, sont toujours chaussés des ses escarpins à talons-aiguilles de 9 centimètres de haut.

Cette combinaison leur semble si étrange que Jade pouffe de rire, sans doute à cause de sa nervosité, alors qu’Enzo ouvre de grands yeux, comme si sa mère avait fait qu’elle que chose d’inconvenant. Cependant cette dernière ne semble pas le remarquer et elle s’adresse directement à lui en disant :

— Si tu t’es assez rincé l’œil sur ta sœur, tu peux nous laisser mon Amour.
— Euh... tu veux dire que je suis pas obligé d’assister à sa punition ?
— Non. Vous n’êtes plus des enfants, donc je ne pense pas que ce soit utile d’un point de vue pédagogique. Maintenant si tu veux en voir plus tu as le droit de rester ici, après tout, le salon est une pièce commune.

Enzo hésite, déstabilisé par ce retournement de situation, puis il répond :

— Alors je vais rester, pour soutenir Jade moralement.

Puis il ajoute en se tournant vers sa sœur :

— Enfin si t’es d’accord, Sœurette.

χ


Jade acquiesce en silence et en rougissant à nouveau, incapable de répliquer. Anne-Lise laisse à ses enfants le temps d’apprécier la situation, qui est en même temps rituelle et inédite. Elle affiche sur son superbe visage un air neutre calculé, car elle a appris assez jeune à masquer ses émotions. Laissant les autres se dévoiler avant elle, pour avoir de cette manière un avantage psychologique sur eux. Ce qui lui est très utile dans sa fonction de cadre féminin, mais également dans d’autres situations de la vie courante.  Lorsqu’elle va s’asseoir dans son fauteuil, celui qu’elle utilise toujours, sa fille reste immobile la tête basse. Soumise comme elle l’a toujours été à la volonté maternelle. Son fils quant à lui semble hésiter sur la conduite à tenir, peut-être même songe-t’il à quitter la pièce, malgré la permission qui lui a été donnée d’assister à la correction. Toutefois il n’en fait rien et lorsque sa mère hausse un sourcil ironique en le regardant, il se décide à aller prendre place dans un siège identique au sien. Ils sont positionnés chacun à quarante-cinq degrés par rapport au canapé, qui pour sa part fait face à la télévision. Ainsi placé, il aura une vue imprenable sur les fesses de sa sœur.  Une fois qu’Enzo s’est confortablement installé Anne-Lise abaisse ses accoudoirs grâce à un dispositif électrique, de manière à ce qu’ils se retrouvent à la même hauteur que ses cuisses. Ensuite elle tapote doucement celui de droite, pour que Jade comprenne qu’elle doit venir placer sa tête de ce côté. 
La toute jeune femme est en même temps soulagée et confuse, car elle sait qu’ainsi positionnée elle va pratiquement tourner le dos à son frère. Ce qui lui permettra de ne pas avoir à affronter son regard, mais en même temps il aura une vue imprenable sur son postérieur, ainsi que sur ce qui va lui arriver. Cependant elle n’a pas le choix à moins de se rebeller, ce qui elle en est convaincue décevrait énormément sa maman. De plus elle est toujours persuadée qu’à cause de la gravité de la faute commise, elle mérite d’être punie. 
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C’est la raison pour laquelle Jade va docilement se mettre en position, commençant par venir se placer sur le côté gauche du fauteuil maternel, puis elle se penche en avant pour aller poser ses mains sur l’accoudoir droit. Ce qui fait pendre admirablement sous son buste, sa superbe poitrine juvénile. Ensuite elle plie les bras, jusqu’à ce que le dessous de ses seins vienne s’appuyer contre le bord extérieur du siège. Lorsque son sternum est en appui, elle va cette fois mettre ses mains à plat sur la moquette qui recouvre le sol de la pièce. Simultanément elle a reculé ses pieds de manière à ce qu’ils s’éloignent du siège, pour qu’ainsi ses jambes restent tendues tout en n’étant plus à la verticale. Les talons-aiguilles de ses sandales pour leurs parts se retrouvent en l’air et elle pense même bien qu’elle ne puisse pas les voir, qu’ils sont à présent à l’horizontale.

Pendant toute l’opération un ange est passé mais à la tête que fait Enzo en voyant sa sœur ainsi exposée, il est plus que probable que bien quêtant resté invisible, il devait avoir une petite paire de cornes recourbées au sommet du crâne, ainsi qu’une queue fourchue.

Sans que Jade ne le remarque, Man à écarté les pans de son peignoir situés sous sa ceinture. Ce qui fait que le ventre plat de la fille, se retrouve directement au contact des cuisses maternelles. Ça aussi c’est une grande première, car lors des corrections précédentes il y a des années de cela, il y avait toujours eu deux épaisseurs de tissus entre elles. Celle du vêtement qu’elle portait, en plus bien entendu de celle de la tenue de sa mère.

Le caractère inhabituel de la chose ne lui échappe pas, car si les contacts physiques ne sont pas rares dans la famille Pasquier, ils se résument à des caresses de la main. Mais aussi occasionnellement des bisous affectifs les lèvres posées sur la joue ou le front, ou plus rarement encore sur la bouche pour faire un smack. C’est sans doute la raison pour laquelle pour la deuxième fois de la journée, Jade sent un frisson parcourir lentement sa colonne vertébrale. Il va comme le premier se loger dans son bas-ventre, pour y rester lové. 
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Dans cette posture les fesses de Jade se trouvent à portée de la main gauche d’Anne-Lise, sans que cette dernière ait besoin de tendre le bras. Ce qui est confortable pour toutes les deux, puisque si la mère a une parfaite maîtrise de la situation, le corps de sa fille est soutenu du haut des cuisses jusqu’au buste. Ce qui fait qu’elle n’a pas besoin de forcer sur ses bras, ses poignets quant à eux n’étant pas sollicités.  Jade pense qu’elle pourrait rester ainsi des heures, mais la situation évolue lorsque Man lui demande :

— Redresse la tête et ouvre plus les jambes, mon Amour.

Bien qu’elle ait parlé sur un ton doux, il s’agissait d’un ordre auquel sa fille obéit en rougissant. Car si tendre le cou pour regarder droit devant elle ne lui pose aucun problème, écarter ses pieds l’un de l’autre la gêne énormément, pour la bonne qu’Enzo pourra ainsi mater son abricot. Toutefois elle le fait sans hésiter et il lui semble ensuite qu’un temps interminable s’écoule, avant que la première tape heurte ses fesses. Elle sursaute plus de surprise que de douleur, alors que le choc entre les deux peaux provoque un clac sonore.  D’autres coup suivent et tandis que lors des corrections précédentes ils avaient été administrés rapidement, comme si Man était pressée d’en finir, cette fois ils pleuvent de manière aléatoire. Tant au niveau de la durée qui les sépare, que de l’endroit où ils s’abattent. Comme s’il s’agissait d’un jeu, mais d’un genre très particulier.  Jade qui reste passive, fixant docilement le mur qui se trouve en face d’elle, a tout le temps d’analyser la situation. Dans ses souvenirs la souffrance était venue assez rapidement jusqu’à devenir assez vive, ce qui était justement, le but de la punition. Mais aujourd’hui elle sent la chaleur se répandre sur toute la surface de son épiderme, puis s’insinuer lentement en profondeur jusqu’entre ses cuisses, pour ainsi aller rejoindre le frisson qui y est toujours lové.

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Jade identifie à présent cette sensation comme étant du plaisir, mais un plaisir sexuel qui ne devrait jamais avoir lieu entre deux personnes appartenant à la même famille. À moins qu’il ne s’agisse d’un couple, bien évidemment. Tandis qu’elle devient écarlate, parce que son intimité peu à peu s’inonde de cyprine sous les caresses brutale de sa mère, elle se risque à tourner la tête pour la regarder. Mais cette dernière n’a pas l’air de remarquer la façon étrange dont sa fille réagit, tant elle est absorbée par ce qu’elle est en train de lui faire subir. Ses sourcils sont légèrement froncés sous l’effet de la concentration, ce qui ne l’enlaidit pas mais la rend au contraire encore plus belle.  Jade plie alors le cou dans la direction de son frère, ce qui l’oblige à poser son menton sur son épaule, pour constater qu’Enzo est fasciné par le spectacle qu’elles sont en train de lui offrir. Il lui semble même que son pantalon de jogging pourtant ample, est déformé par une bosse. Si son imagination ne lui joue pas des tours il doit lui aussi être au supplice, parce qu’au grand jamais il n’oserait se masturber devant elles, bien qu’il doive en avoir une terrible envie.  Pendant ce temps et alors que Jade recommence à regarder droit devant elle, Anne-Lise a continué à la fesser. La jeune femme ressent à présent de la douleur, qui mélangée à sa volupté plus profonde lui procure des sensations très surprenantes, encore inconnues à ce jour. Tandis qu’elle se remet à analyser la chose des adjectifs lui viennent en tête, c’est jouissif, explosif, délirant. Encore plus vu le lien de parenté qui l’unit, à celle qui l’a mise dans cet état second. 
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Alors que la souffrance et le plaisir augmentent peu à peu de puissance, tout en étant de plus en plus entremêlés, Jade en arrive à se demander si elle a envie que cela continue ou s’arrête. Dans le deuxième cas elle pourrait aller dans sa chambre, pour se caresser jusqu’à l’orgasme. Ce qui elle en est convaincue, ne lui prendrait pas plus de quelques secondes. Mais ce n’est pas à elle de décider et elle continue à subir cette correction, qui est à ses yeux d’une nature très équivoque. Se demandant avec un mélange de crainte et de délectation, de quelle manière cela va se terminer.  Sans qu’elle arrive à savoir combien de temps la fessée a duré, ni combien de claques elle a reçues, elle s’interrompt alors qu’elle se surprend à attendre avec impatience la prochaine tape, ne sachant toujours pas à quel moment elle va s’abattre. Elle ne comprend que c’est réellement terminé, que lorsque Man demande à Enzo de sa voix en même temps douce et grave :

— Tu vas me chercher l’arnica et un essuie-mains, mon Amour ?

Son frère obéit sans attendre, puisqu’elle l’entend se lever précipitamment de son fauteuil. Lorsqu’il passe devant elle pour quitter le salon, Jade remarque deux choses. La première étant qu’il est rouge jusqu’aux oreilles, probablement autant que ses fesses à elle. La seconde est que son sexe en érection, tend son pantalon comme un piquet de tente. Les deux phénomènes sont sans aucun doute liés, ce qui malgré la gêne de la situation dans laquelle elle se trouve, lui donne envie de rire. Elle se retient à grand peine de pouffer, tandis qu’Enzo quitte rapidement la pièce. 
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La suite, si vous en manifestez le désir...
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