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Thérapie familiale

Chapitre 4

La Proposition.

Erotique
Alors que Jade et Anne-lise patientent sans bouger ni parler, Enzo ne tarde pas à revenir. Il tient dans une main un tube de baume cicatrisant et dans l’autre une petite serviette éponge. Son bas de jogging est toujours déformé par son membre dressé, toutefois son visage a retrouvé une teinte normale. Ce qui signifie qu’il a réussi à dominer la plus grande partie de ses émotions.  Une fois qu’il a donné ce qu’il à ramené à sa mère, cette dernière lui dit :

— Merci mon Amour, à présent tu peux nous laisser.
— Je... je peux pas rester ?
— Le spectacle est terminé, de plus ta sœur et moi avons à parler entre femmes. Mais sois gentil, ouvre la porte-fenêtre en partant car il fait lourd ici.

Il est vrai que dans les Bouches-du-Rhône au début de l’Été, porter un peignoir en coton n’est pas la tenue idéale, surtout que cette année il fait particulièrement chaud. C’est sans aucun doute une des raisons pour lesquelles, le beau visage d’Anne-Lise est devenu brillant de moiteur. Mais même s’ils en ont tous les deux conscience, aucun de ses enfants n’aurait l’audace de lui en faire la remarque, Jade encore moins qu’Enzo.

La toute jeune femme éprouve une grande satisfaction de voir son frère être chassé du salon, car elle estime qu’il s’est assez délecté de sa misère à elle et que c’est son tour d’être traité comme un minot. Elle le regarde avec un petit sourire aux lèvres aérer la pièce, puis s’en aller les bras ballants et la tête basse, comme si c’était lui qui était à présent puni. Elle ne doute pas un instant qu’il va aller se masturber dans sa chambre, étant donné qu’elle le voit mal appeler Clara sa copine depuis maintenant deux ans, pour qu’elle vienne le soulager de sa crampe.

Tandis qu’elle réfléchit à tout ça et que son frère s’en va en refermant la porte derrière lui, sa mère a dévissé le bouchon du tube. Après avoir déposé de la pommade sur les fesses de sa fille qu’elle a elle-même maltraitées, elle commence à les masser avec douceur. Ce qui réveille les sensations de cette dernière, qui étaient passées une nouvelle fois au second plan.

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La douleur vive que Jade a ressentie au moment de la correction qu’elle a reçue, est maintenant devenue plus sourde tout en restant bien présente. Mais ce qui l’inquiète, c’est que l’excitation provoquée par la situation dans laquelle elle s’est trouvée et est encore, soit toujours lovée entre ses jambes. Elle a peur que sa mère s’en rende compte si ses doigts s’aventurent pas mégarde au contact de sa vulve, car elle est convaincue que jamais celle qui l’a mise au monde, n’aurait ce genre de comportement de manière délibérée. Même si aujourd’hui elle l’a énormément étonnée, en lui demandant de se mettre nue pour recevoir sa punition.
  Anna-Lise qui ne semble pas s’être rendue compte du trouble de sa fille, lui demande :

— Alors, tu m’expliques ce qui t’a pris ? Car vu ton caractère je n’aurais jamais imaginé que tu puisses te faire gauler, avec une queue dans le goulot et deux autres entre les paluches.

Jade devient immédiatement écarlate, autant à cause du rappel des faits que par le langage très imagé de sa mère, auquel elle n’est absolument pas habituée. Elle pourrait se décharger de sa faute en accusant Emma de l’avoir entraînée, ce qui ne serait pas un mensonge, mais balancer ce n’est pas son genre. C’est pourquoi elle répond, d’une toute petite voix et toujours aussi rouge :

— Je voulais pas entrer à la fac en étant le boulet de service, alors que toutes mes copines se sont déjà faites enfiler et qu’elles s’en vantent. Y en a même parmi elles qui ont essayé la sodomie.
— Je vois. Alors tu t’es dit qu’avoir une réputation de traînée allait t’aider dans tes études. C’est bien ça ?
— Non, mais...
— Je peux comprendre qu’à ton âge ça te démange entre les cuisses, mais tu aurais tout de même pu faire dans la discrétion. Car il n’y a pas que ta réputation qui était en jeu...

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En disant cela Anne-Lise a passé délicatement un doigt imprégné de pommade, sur les grandes lèvres charnues toujours exposées de Jade. Même si cette douce caresse était très agréable, la jeune femme a senti avec horreur ses grosses babines de chair s’écarter légèrement l’une de l’autre, comme pour inviter sa mère à aller plus profondément. En même temps qu’elle se mordait la lèvre, pour retenir un petit gémissement de plaisir.  Toutefois madame Pasquier ne semble pas s’être aperçue de l’émoi qu’elle a provoqué chez sa fille, c’est pourquoi elle continue à parler, imperturbable :

— J’ai une marché à te proposer, qui sera l’alternative à la punition que tu mérites.
— Quoi ?!? Mais tu viens déjà de me punir !
— Ah bon ? Parce que tu crois qu’après ce qui s’est passé aujourd’hui, je vais t’acheter une voiture qui te permettra d’aller te faire enfiler comme tu le dis si bien, aux quatre coins d’Aix ? Et même jusqu’à Marseille et encore plus loin, si ça ne te suffit pas ?
— Mais Man, je te promets...
— Tu peux me promettre tout ce que tu veux, mon Amour, mais à partir de maintenant je ne serai plus jamais tranquille. Est-ce que tu as pensé à moi ? Au choc que j’ai eu quand ce gros lard de dirlo m’a appelée sur mon lieu de travail, pour me dire ce que tu avais fait ? Il faut absolument que quelqu’un ancre des limites dans ta tête, avant que tu fasses quelque chose de vraiment grave.
— Je suis désolée Man, je voulais pas te faire du souci. Mais c’est quoi ce marché ?
— Tu vas aller dans les Cévennes chez Tonton Damien. Il va te prendre en main et te faire connaître ce qu’est la vie.
— Mais c’est un dinosaure, il a au moins 100 ans ! Comment tu veux qu’il m’apprenne comment vivent les jeunes d’aujourd’hui ?
— Là tu exagères, car je te rappelle que bien qu’il soit son oncle il n’a que dix ans de plus que ta grand-mère. En fait Damien en a 68 et aux dernières nouvelles il est encore très vert.
— Comment-ça vert, tu veux dire que c’est un écolo ? En même temps, quand on habite le trou du cul du monde...

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Anne-Lise se met à rire, ce qui vexe légèrement Jade qui n’a pas compris ce qu’il y avait de drôle dans ses paroles, puis la maman continue son argumentation :

— Si tu acceptes d’y aller tu devras me promettre de lui obéir en tout, sans aucune restrictions ni contestations ni non plus poser de questions, car ce sera pour ton bien.
— Sinon j’aurai pas de caisse pour aller à la fac, c’est ça ?
— Si je sens que je ne peux pas te faire confiance, que tu risques de faire d’autres bêtises du même style pour prouver aux autres que tu n’es pas un boulet comme tu le dis toi même, c’est effectivement comme ça que ça va se passer.
— Mais c’est du chantage !
— Non, c’est un marché que je te propose. Tu dois voir ça comme une thérapie.
— Mouais. Vivre au milieu des chèvres et des cailloux pour apprendre ce qu’est la vie, c’est un peu zarbi comme thérapie.

Anne-Lise ne peut pas s’empêcher de rire à nouveau, ce qui fait sourire Jade qui a cette fois volontairement fait de l’humour. C’est ensuite la fille qui demande :

— Et je devrai y rester combien de temps, chez les les écolos ?
— Si tu acceptes, ce sera pour un mois.
— Un mois ?!? Sans box et probablement pas non plus de réseau pour choper internet ?! Mais ça va être mortel !
— Je suis convaincue que si le sevrage sera un peu rude, tu t’y habitueras rapidement.
— Y a l’électricité là-bas, au moins ?
— Oui, ils ne vivent pas non plus comme au moyen-âge. Et tu auras même de l’eau chaude pour te laver, enfin si tu es sage.
— Tu déconnes, là ?
— Tu sais, prendre une douche froide c’est très vivifiant.
— Non mais je rêve ! En fait ça sera ça la punition, être privée de tous les petits plaisirs de la vie.
— Je te promets que ne verras pas le temps passer, et à peine arrivée tu regretteras de devoir déjà rentrer ici.
— Mmph. 
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Anne-Lise sourit à nouveau, puis elle dit à Jade :

— Car je te rappelle qu’au mois d’Août, nous devons partir en vacances avec Enzo et Clara.
— Partir avec une bourge qui se prend pour une star, ça aussi ça sera une punition.
— Là tu exagères, moi je la trouve gentille et très jolie cette petite.
— Oui, le problème c’est qu’elle le sait.

La maman qui a fini de faire pénétrer le baume cicatrisant dans la peau des fesses de sa fille, lui dit ensuite :

— Bon assez fainéanté, lève-toi maintenant.

Jade obéit avec souplesse pour se retrouver debout en faisant face à sa mère, sans paraître éprouver la moindre gêne d’être nue et perchée sur ses talons-aiguilles devant elle. Cette dernière lui demande alors :

— Tu acceptes mon marché, ou pas ?
— Tu sais bien, que je ferais n’importe quoi pour me faire pardonner.
— Vraiment ? Tu as confiance en moi ?
— Oui, Man.
— Bien, dans ce cas vas être privée de sortie et rester ici et à poil jusqu’à ton départ.
— Sérieux ?!? Mais pourquoi ?!
— Disons qu’il s’agira d’une préparation.
— Tu veux dire que tu m’envoies chez des nudistes, alors qu’Enzo et moi on t’a jamais vue sans fringues ?
— Si je me suis comportée de cette manière ce n’était pas par pudeur, mais parce que je pensais bien faire en mettant des barrières de sécurité. Ce en quoi je me suis lourdement trompée, puisque aujourd’hui tu as bondi comme un cabri par dessus la clôture.

Anne-Lise laisse quelques instants à sa fille pour réfléchir à ses propos, puis elle continue :

— Disons que la nudité fera partie de ta thérapie, de plus je vais te prendre un rendez-vous chez mon esthéticienne.
— Mais pour quoi faire ?
— Pour une qui ne devait pas poser de questions, tout accepter sans restrictions ni contestations, tu te poses là. Tu es sûre de vouloir accepter ce marché ?

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Jade baisse la tête en signe de soumission, avant de répondre à sa mère d’une toute petite voix :

— Oui Man.
— Tu me promets que tu vas consentir à tout, sans jouer les fortes têtes ?
— Oui Man, je te le promets.  Anne-Lise bien qu’autoritaire n’est pas non plus un despote, c’est pourquoi elle se lève pour prendre sa fille dans ses bras, puis elle lui dit avec douceur tout en caressant affectueusement son dos :

— J’ai conscience que tout cela doit te paraître très étrange et tu n’es pas au bout de tes surprises, mais tu dois garder présent à l’esprit que je t’aime plus que tout au monde. De plus j’ai une confiance totale en Tonton Damien, alors dis-toi que quoi qu’il puisse t’arriver lorsque tu seras dans les Cévennes, tu devras l’accepter parce que ce sera pour ton bien.

Jade ne fait cette fois aucune objection et se laisse cajoler en gardant le silence. Sa maman poursuit tandis que sa main descend sur ses petites fesses encore rouge, qu’elle se met à peloter légèrement :

— Je vais t’avouer une chose. Lorsque j’avais ton âge j’avais le même caractère que toi et même pire, puisque j’étais d’une timidité maladive. Alors ma mère a décidé de m’envoyer chez son oncle, en connaissance de cause. Tu peux me croire sur parole, j’en suis revenue transformée car pleine de confiance en moi.
— T’es sérieuse, là ?
— Oui mon Amour. Et c’est l’unique raison pour laquelle je veux que tu y ailles, car ce qui a marché pour moi devrait également le faire pour toi.
— Alors c’est vraiment une thérapie ? Comme si j’étais malade et qu’y fallait me soigner ?
— Absolument. Mais étant donné qu’elle est d’un genre particulier, tu ne dois en parler à personne. Dans la famille seuls ta grand-mère et ton arrière-grand-oncle sont au courant, quant aux autres ça ne les regarde pas.

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Jade réfléchit quelques instants, absolument pas dérangée par le fait que sa mère est en train de lui caresser le postérieur. Cela lui semble d’autant plus naturel qu’elle l’a massé juste avant, puis ensuite elle demande bien qu’elle soit sensée ne pas poser de questions :  — Mais Enzo, y faut pas lui dire la vérité ? Car si je reviens moi aussi pleine d’assurance, y va trouver ça zarbi.
— Peut-être que je lui parlerai pendant ton acescence, ou pas. De toute manière, étant donné qu’il s’agit d’un secret familial bien gardé ce n’est pas à toi de le faire.
— Je dirai rien, je te le promet Man.
— Je n’en attendais pas moins de toi, mon Amour. Je considère que ce que tu as fait aujourd’hui, était un accident dont je suis en partie responsable. Car à partir du moment où tu as commencé à te transformer en femme, j’aurais dû réagir en conséquences et ne plus te traiter comme la petite fille que tu étais avant. La fessée que tu viens de recevoir était avant tout symbolique. D’ailleurs si tu étais nue c’était pour marquer ton changement de statut, entre la minotte que tu as été et la belle petite nana que tu es devenue. Ton frère ne s’y est d’ailleurs pas trompé, vu qu’il bandait comme un âne.

Cette remarque les fait éclater toutes les deux de rire, faisant naître entre la mère et sa fille une toute nouvelle complicité. Puis Anne-Lise ajoute plus sérieusement :

— Maintenant que tu es au courant des enjeux, il ne s’agit plus d’un marché et encore moins un chantage de ma part, mais d’une simple proposition que tu es libre d’accepter ou non sans pénalités. Étant donné que je n’ai pas encore contacté Tonton Damien, car figures toi qu’il a un téléphone même si ce dernier n’a pas de cadran et encore moins la possibilité de se connecter à internet, tu peux prendre du temps pour y réfléchir. D’ici là tu pourras continuer à vivre comme avant. Je saurai que tu es prête lorsque tu te remettras nue pour rester à la maison. À partir de là, je prendrai les dispositions nécessaires suite à ton entière acceptation. Tu es d’accord ?
— Oui Man. Mais si Clara vient et que je suis à poil, elle va trouver ça zarbi. Elle risque même d’être choquée, parce que ses parents c’est des cathos.
— Dès que ta décision sera prise elle ne viendra plus ici jusqu’à ton départ, car je suis chez moi et ton frère n’a pas son mot à dire sur qui doit entrer dans ma maison, même quand je suis absente. Maintenant file, je dois aller préparer le souper.

Jade reçoit une petite tape sur les fesses qui ravive sa douleur, mais elle constate soulagée que cette dernière reste supportable, ce qui est à son avis de bon augure pour la nuit à venir. Elle réalise également que la correction qu’elle avait reçue quand elle avait cassé le vase offert par sa grand-mère, était beaucoup plus sévère que celle d’aujourd’hui. En tout cas dans ses souvenirs.

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La suite, si vous en manifestez le désir...
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