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Thérapie familiale

Chapitre 12

Coup de théâtre à Pierres-Tombées

Avec plusieurs hommes
En ce samedi 28 Juin vers 9 heures du matin, il règne une certaine fébrilité dans la Villa Pasquier. En tout cas en ce qui concerne Jade, Enzo et Clara, qui se préparent pour leur toute première sortie nudiste, car Anne-Lise comme à son habitude affiche un air impassible, et se contente d’avoir des gestes mesurés. Pourtant les trois jeunes n’ont pas grand-chose à faire, leur aînée s’étant déjà occupée de leur repas de midi, après qu’elle soit allée faire quelques commissions la veille en sortant de son travail. C’est pourquoi elle a le temps d’observer ses enfants, amusée que les filles fassent grand cas de leurs tenues, alors qu’elles vont immanquablement finir complètement nues.  Elle répond calmement à Jade, qui demande en râlant :
― On était vraiment obligés de se lever si tôt ? Un samedi en plus...― Je vous l’ai déjà expliqué hier. S’il n’y a qu’environ quarante-cinq minutes pour arriver jusqu’au parking, il nous faudra également en compter une trentaine pour descendre à pieds dans la calanque, qui est assez isolée pour les raisons que vous connaissez déjà. De plus je ne veux pas que nous y arrivions trop tard, pour avoir de bonnes places. Car étant donné qu’on ne peut pas réserver, elles vont être chères justement parce qu’on est samedi.
Puis elle ajoute, après avoir souri :
― Aller là-bas et en revenir va te faire un bon entraînement de marche pour les Cévennes, car au cas où tu ne t’en souviendrais pas, demain c’est à la montagne que tu vas.― Je vois pas comment j’aurais pu l’oublier, et ça sera aussi un entraînement pour ce qui sera d’être à poil.
Cette réplique amène un deuxième sourire sur les lèvres de la maman, qui même s’il semble tout à fait spontané est forcé, car elle a un petit pincement au cœur en pensant à ce qui attend sa fille lorsque cette dernière sera dans le Gard. Non pas qu’elle courre le moindre danger, mais en bonne mère elle s’inquiète de savoir comment son enfant va vivre son parcours initiatique. Toutefois cela ne lui dure pas longtemps car elle a toute confiance en son grand-oncle Damien, et elle sait qu’il saura adapter les circonstances, en fonction de la manière dont Jade réagira. 
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Lorsque les jeunes sont enfin prêts une dizaine de minutes plus tard, ils se retrouvent tous les quatre devant la Countryman d’Anne-Lise, qui est plus spacieuse que la DS3 d’Enzo qui n’a que deux portes. À la surprise générale et après que les deux sacs à dos contenant leur affaires aient été mis dans le coffre de la voiture, Jade prend la clef que sa mère lui tend et à qui elle dit sur un ton pas très assuré :
― Euh... tu sais... j’ai jamais conduit avec autant de passagers.― Jamais non plus avec moi à tes côtés, mon Amour. Mais tu n’as pas à t’inquiéter, car je n’ai pas l’intention de te faire passer le permis une deuxième fois. Je veux juste voir comment tu te débrouilles, avant de t’acheter ta propre voiture.― Bonjour la pression.― Mais non, il ne s’agit pas d’un test d’aptitudes mais tout simplement d’une appréciation, et si tu restes zen ça va bien se passer
Puis elle ajoute pour son fils :
― Quant à toi, si tu fais le moindre commentaire tu rentreras en stop.
Enzo prend un air indigné comme s’il était accusé à tort alors que Clara se retient de rire, puis il ouvre sans dire un mot une des portières pour s’installer à l’arrière, étant donné qu’il a compris que les places avant sont déjà attribuées.
Pendant le trajet Jade conduit prudemment en veillant à ne pas dépasser les limites de vitesse, et ils arrivent sans encombres sur un parking situé dans le Massif du Puget, qui domine la Méditerranée grâce à ses falaises de calcaire. C’est alors que les choses se compliquent, puisqu’ils doivent descendre par un sentier escarpé pour se retrouver au niveau de la mer, en faisant preuve d’une grande prudence. Mais cela se passe là encore sans incidents, Anne-Lise ayant veillé à ce que tout le monde soit bien chaussé. Elle a dans ce but prêté une paire de souliers de marche à Clara, qui fait la même pointure qu’elle.
Jade tout comme son frère a hérité d’un des deux sacs à dos, que sa mère lui a donné d’autorité et sanglé autour de la taille, et même si elle le trouve assez lourd elle ne pense pas qu’il s’agisse d’une punition, mais d’un nouveau test d’aptitudes. Cette fois ayant pour but de la préparer à son séjour dans les Cévennes.
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Lorsqu’ils arrivent en bas de la pente au bout d’une demi-heure de descente, et qu’ils sont entrés dans une petite pinède, Enzo dit à sa mère :
― J’espère que t’as pas prévu un repas trop lourd à digérer, parce que pour remonter ça va être une autre histoire.― C’est le prix de la tranquillité, mon Amour. Cette calanque qui s’appelle Pierres-Tombées, a même été interdite d’accès pendant des années parce qu’il y a eu un accident mortel en 2006. Je ne vous en ai pas parlé pour éviter de vous faire peur, et contrairement à ce que tu penses nous avons fait le plus difficile. Il nous suffira de ne pas aller trop vite pour la grimpette, et nous prendrons une bonne douche une fois rentrés parce que nous allons effectivement transpirer. Surtout que quand nous repartirons, il fera bien plus chaud que maintenant.
Clara ouvre de grands yeux à l’idée qu’elle a peut-être couru un danger, alors qu’elle se croyait juste en train de faire une promenade, tandis que Jade hausse les épaules avant de répliquer :
― En même temps, la plupart des accidents arrivent quand on fait des imprudences.
Cette remarque lui vaut un sourire de la part de sa mère, qui ensuite se déshabille sans aucun complexe, bientôt imitée par ses jeunes nettement plus hésitants. Lorsqu’elle est en tenue d’Ève Anne-Lise sort du couvert des arbres, pour arriver dans la crique ses vêtements à la main. Elle ne fait aucun cas de la vingtaine de personnes qui y sont déjà installées, puisqu’elle se retourne pour annoncer à ses enfants, qui pour leurs parts sont fascinés de voir autant de corps dénudés pour la première fois :
― Et voilà, c’est ici que j’ai rencontré votre Père.
Enzo se met à ricaner, avant de dire :
― Je l’imagine mal à poil, le paternel.
Il est vrai qu’étant donné qu’il les a pratiquement abandonnés, ses enfants n’ont pas une très haute opinion de Franck Pasquier, et alors que son ex-femme ne fait pas de commentaire, c’est leur fille qui répond à son frère sur un ton ironique :
― En même temps le week-end dernier t’imaginais pas non plus Man à poil, et ça t’a même fait un drôle d’effet quand tu l’as vue comme ça pour la première fois.
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Enzo pique aussitôt un fard sous le regard mi-amusé mi-intrigué de Clara. N’étant pas à son avantage il ne relance pas la balle qu’il vient de recevoir, se contentant d’observer la calanque dans laquelle ils sont arrivés, tout en évitant de fixer son regard sur les gens qui s’y trouvent. Anne-Lise qui est la seule à se trouver en territoire connu, même si elle n’est pas venue dans ce lieu depuis bien des années, prend la tête de leur petit groupe et elle se dirige vers un endroit dégagé. Ce qui ne manque pas puisque la plage pourrait contenir au moins une centaine de personnes, même si elles prenaient leurs aises.
Jade tout en suivant sa mère de près, parce qu’elle se sent à présent intimidée de se trouver nue devant des étrangers, ne peut pas s’empêcher d’observer ces derniers d’une manière qu’elle espère discrète. Les personnes présentes sont toutes adultes ou en passe de le devenir, ce qui s’explique certainement par la difficulté qu’il y a à parvenir jusqu’à la crique, même si un canot pneumatique à moteur est échoué sur la plage. Pour une fois la parité est obtenue, puisqu’il y a autant de femmes que d’hommes et peut-être même légèrement plus. Elle est surprise de constater qu’elle est déçue qu’aucun de ces derniers ne semble dépasser la quarantaine, alors qu’il n’y a pas si longtemps elle n’aurait jamais imaginé s’intéresser à quelqu’un de plus âgé. Mais peut-être que c’est la curiosité sur ce qui l’attend dès le lendemain, qui a guidé cette réflexion.
Après s’être délestée de son lourd sac à dos, tout en installant son drap de bain à côté de celui de sa Man, Jade surprend des regards curieux certainement dus au fait qu’ils viennent ici pour la première fois, et d’autres amusés sans doute parce qu’on a reconnu en eux des nudistes débutants. Mais aucun de ces contacts visuels ne dure plus de quelques instants, ce qui l’aide à se sentir de plus en plus à l’aise dans sa nudité. Clara qui à placé sa serviette dans le prolongement des deux premières, semble encore plus impressionnée qu’elle. Quant à Enzo qui a aligné la sienne sur les autres, et se retrouve par conséquent à l’opposé par rapport à Anne-Lise, il se comporte de la même manière que s’il était en maillot de bain.
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C’est d’ailleurs lui qui demande aux autres :
― On va se baquer ?
Alors que Jade et Clara sont partantes et font mine de se relever, Anne-Lise les coupe dans leur élan :
― Minute Papillon. Je dois avant mettre de l’écran-total à Jade, sinon à la fin de la journée elle va ressembler à une écrevisse.― Mais on va dans l’eau.
C’est son garçon qui vient de faire cette objection, et elle répond sur un ton impassible :
― Tes études me coûtent assez cher, alors j’espère que tu sais ce que waterproof veut dire ?
Alors qu’il était le seul a être déjà debout il s’assoit sur sa serviette en soupirant, et en marmonnant tout bas :
― Quand-même, on est plus des minots...
Sa mère qui l’a parfaitement entendu ne relève pas, et ayant sorti un flacon d’ambre solaire d’un des sacs à dos elle reporte son attention sur Jade, qui s’est docilement allongée le ventre contre sa serviette. La maman entreprend alors de badigeonner intégralement le corps de sa fille, en remettant régulièrement de l’huile sur ses mains. Elle y met tant d’attention et de douceur que cela ressemble plus à un massage sensuel qu’à autre chose, surtout lorsqu’elle s’applique sur les petites fesses musclées de son enfant. Cependant personne autour d’eux ne semble leur prêter attention, sauf Clara et Enzo qui se sont mis à discuter à voix basse, et leur jettent régulièrement des coups-d’œils qui se veulent discrets mais ne le sont pas vraiment.
Au bout d’un moment Jade se retourne d’elle même pour se mettre sur le dos, et si elle est légèrement rouge mais pas à cause du soleil, cela ne l’empêche pas de sourire à sa Man, qui commence à enduire l’autre côté de son corps d’ambre solaire. Elle le fait bien pénétrer sur ses seins en profitant pour les palper, ainsi que sur sa vulve joufflue, ce qui provoque à la jeune femme deux soupirs qui n’ont rien à voir avec l’exaspération.
Lorsqu’elle a terminé, Anne-Lise demande à Jade d’une voix devenue légèrement rauque :
― Tu me rends la politesse, mon Amour ?
Cette dernière ne se fait pas prier mais ses gestes sont moins sensuels, ce qui ne l’empêche pas de porter la même attention au corps maternel qu’elle en a reçu de sa part. S’attardant elle aussi sur les fesses, les seins et la vulve.
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Ce petit intermède presque érotique terminé, Anne-Lise explique à ses enfants :
― Si peu de monde vient se baigner ici, ce n’est pas uniquement parce que l’accès est difficile par la terre car on pourrait également y venir par la mer.― Oui, c’est parce qu’il y a des gens à poil que les autres viennent pas.
C’est Enzo qui vient de répliquer, mais elle le détrompe en partie :
― Aujourd’hui c’est une troisième raison, mais si les nudistes ont pu s’approprier l’endroit si facilement, c’est parce qu’il y a des sources immergées et que l’eau est fraîche. Alors même avant, ceux qui mettent des maillots préféraient aller dans d’autres calanques. Bien entendu on peut parfaitement se baigner, mais je préfère vous prévenir pour que vous ne soyez pas surpris. Car il y a des courants, et vous pouvez à tout moment passer d’une eau chaude à une autre bien plus froide.― Je comprends mieux pourquoi y a pas grand-monde dans l’eau...
Puis Jade ajoute, après avoir souri à sa mère :
― En même temps, l’eau froide c’est tonifiant.
Elle à droit à un sourire en retour, puis les trois jeunes se lèvent pour aller dans le bras de mer, dans lequel ils entrent prudemment de peur d’être tétanisés. Cependant tout se passe bien pour eux, car s’il est vrai qu’à certains endroits l’eau devient nettement plus fraîche, cela reste supportable.
Ils sont en train de se baigner depuis à peine cinq minutes, s’éclaboussant pour s’amuser, lorsque Jade remarque un homme d’une trentaine d’années qui s’approche d’Anne-Lise, qui est restée sur sa serviette de plage. Il est bien bâti, autant pour ce qui est de la musculature que du sexe qui pend entre ses jambes et plutôt beau garçon. Convaincue qu’il va se faire rembarrer d’autorité par sa mère et repartir la queue entre les jambes, la jeune femme attire l’attention de ses deux compagnons de jeu qui ne se sont aperçus de rien, afin qu’ils profitent du spectacle.
Ils se mettent alors tous les trois en essayant de rester discrets, à observer leur Man et l’inconnu qui s’est mis accroupi pour pouvoir discuter à voix basse. À leur grande surprise elle est souriante et elle ne tarde pas à se lever, imitée par l’homme, et ils vont en direction de la petite pinède par laquelle les nouveaux arrivants accèdent à la crique. Au passage le gaillard fait un signe de tête à un autre type, qui jusqu’à présent a attendu sur son drap de bain et se met lui aussi debout pour les suivre, sans qu’Anne-Lise paraisse le moins du monde surprise.
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Les trois jeunes ont parfaitement compris ce qui vient de se produire comme probablement toutes les personnes présentes, qui n’ont pas l’air étonnées par le comportement de ces trois adultes, ce qui n’empêche pas Enzo de s’exclamer d’une voix étouffée, alors que les filles se sont rapprochées de lui :
― Me dites pas qu’ils vont faire ça à trois ?!? Déjà que c’est pas le genre de Man d’aller avec un inconnu !― Parce que tu le connais toi, son genre ?
C’est bien évidement sa sœur qui vient de poser la question, et il lui répond :
― C’est sûr qu’on peut pas savoir, mais elle a toujours été si sage jusqu’à maintenant.― Ça non plus t’en sais rien. C’est pas parce qu’on a rien vu qui s’est rien passé.― Mais quand même, avec deux mecs en même temps !
Clara qui n’a rien dit jusqu’à présent, intervient en rougissant :
― Et toi, ça te plairait pas avec deux meufs ?
Puis Jade ajoute pour la taquiner :
― Ou peut-être que t’es jaloux de pas avoir été invité.
Son frère leur tourne le dos pour retourner sur la plage, ce qui lui est bien pratique pour cacher son trouble, et il dit à sa sœur tandis qu’il s’éloigne d’elles :
― T’es vraiment trop conne.
Jade n’est pas vexée car elle sait qu’Enzo ne le pense pas vraiment, et lorsqu’elle se tourne ensuite vers Clara qui hausse les épaules en la regardant, elle lui demande :
― Ça va, t’es pas trop traumatisée par la famille Pasquier ?
Sa belle-sœur lui répond en rougissant à nouveau :
― Tu sais j’ai beau être croyante, je suis quand même consciente qu’on est au vingt-et-unième siècle et que les choses ont beaucoup changé.
Puis elle ajoute, après lui avoir fait un petit sourire :
― Pis chez-nous on a aussi internet, et on y voit des trucs beaucoup plus zarbi qu’une femme en train de faire l’amour avec deux hommes en même temps.
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La messe étant dite Jade et Clara se baignent pendant encore une dizaine de minutes, se contentant à présent de nager côte à côte en silence, puis elles vont retrouver Enzo qui semble s’être assoupi allongé sur le ventre. Même si sa sœur a des doutes sur le fait qu’il dorme vraiment. Se passent encore cinq minutes avant qu’Anne-Lise ressorte de la pinède, pour aller dans l’eau en compagnie des deux hommes, sans doute pour se débarrasser de toute trace de ce qui vient de se passer. Car s’ils ne sont ni les uns ni les autres essoufflés, leurs corps sont luisants de transpiration et pas que.
Jade constate que pendant leur déplacement puis leur nettoyage sommaire, les trois partenaires n’échangent aucune parole ni aucune marque d’affection propres aux amants. Elle en déduit que ce qui vient de se passer entre eux n’était qu’un acte sexuel destiné à assouvir leurs besoins, un peu comme quand on se nourrit pour rester en bonne forme. Ils se séparent d’ailleurs sans échanger un regard, et redeviennent de parfaits étrangers les uns pour les autres.
Alors que la jeune femme regarde sa mère s’installer à côté d’elle encore ruisselante, cette dernière lui dit sur son ton neutre, et de toute évidence sans chercher à trouver une excuse à son comportement :
― Il me plaisait alors j’en ai eu envie. En plus je suis tellement habituée à ce que les hommes me regardent d’un air soumis, que son audace méritait d’être récompensée.― Mais ils étaient deux.― Oui, deux belles bites que j’ai sucées avant qu’ils me les fourrent. J’ai joui par le con et par le cul, et tu comprendras que c’est le pied quand tu auras essayé.
Clara rougit en entendant sa future belle-mère parler d’une manière aussi crue, alors qu’il y a peu elle était persuadée d’avoir affaire à une personne assez stricte. Jade qui n’en est plus à s’étonner sur ce changement de vocabulaire, pose une question :
― Mais vous êtes allés où ?― Il y a une petite clairière à droite du chemin qui descend jusqu’ici, assez à l’écart pour que ceux qui s’y rendent s’ils restent discrets, ne soient pas entendus par ceux qui sont restés sur la plage. De plus à l’entrée du sentier qui y mène il y a un code, avec des rubans attachés au tronc d’un arbre. Selon l’ordre des couleurs cela indique si ceux qui s’y trouvent veulent rester seuls, s’ils veulent plus de participants ou juste être regardés.― Ils ont eu le temps de t’expliquer tout ça ?― Ils n’en ont pas eu besoin, car le système existait déjà quand j’y venais avec ta Tatie. C’est d’ailleurs dans cette clairière que j’ai baisé pour la première fois avec ton père, et il était le cinquième dans la file d’attente.
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Jade devient écarlate, en apprenant que sa mère a participé à des gang-bangs lorsqu’elle avait à peu près son âge. Clara dont la couleur du visage n’a rien à envier à la sienne semble stupéfiée, et en jetant un coup d’œil à son frère qui n’a pas bougé, la jeune femme constate que ses oreilles sont rouges.
Anne-Lise devant leurs réactions à tous les trois, semble enfin vouloir se justifier :
― La recherche du plaisir n’est pas quelque chose de mal, bien au contraire, à partir du moment où cela se passe entre personnes consentantes et que l’on reste discret, pour ne pas heurter la sensibilité de ceux qui ne veulent pas participer, ou n’ont pas été invités. C’est je pense la plus grande leçon que je puisse vous donner, sur la vie qui vous attend maintenant que vous êtes devenus adultes.
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La suite, si vous en manifestez le désir...
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