Jade se souvenant des consignes qui lui ont été données un peu plus tôt, écarte les jambes avant de se pencher en avant dans le but de caresser l’agneau, qui se laisse faire en tremblant. Elle a agi en rougissant bien qu’elle tourne le dos à son grand-oncle, ou peut-être justement parce qu’il se trouve derrière elle, et que par conséquent il peut parfaitement voir sa vulve qu’elle vient de lui exposer. Elle a conscience que c’était déjà le cas avant, puisque la fente de cette dernière monte assez haut pour être visible même lorsqu’elle se tient droite, mais à présent elle l’est dans son intégralité. Bien entendu ses gros seins ont suivi le mouvement et ils pendent à présent sous son buste, tandis qu’elle cajole le jeune animal qui se sent rassuré au point de faire le dos rond, même si sa mère continue à bêler pour protester contre cette situation qu’elle doit trouver inacceptable. La jeune femme jette un rapide coup d’œil à cette brebis, la deuxième étant allée se réfugier dans un coin de l’enclos emmenant dans son sillage ceux qui doivent être ses petits. Mais étant donné que la mère se contente de se plaindre sans bouger, Jade place doucement ses mains sous le ventre de son agneau pour le prendre, puis elle se redresse lentement. La petite boule de poils lorsqu’elle l’amène contre elle en pliant les bras se blottît aussitôt contre sa poitrine, et la jeune femme trouve ce contact en même temps doux et chaud très agréable, ne remarquant même pas la forte odeur du bébé mouton. Lorsqu’elle se retourne ensuite elle constate que Damien la regarde attendri, et il tient à la main un gros appareil-photo avec un long objectif. Elle ne l’a pas entendu se déplacer, alors elle lui demande aussitôt en rougissant à nouveau mais dans une moindre mesure, parce qu’elle a compris qu’il a l’intention d’utiliser son mitrailleur, qui sinon ne serait pas ici : ― Tu le sors d’où ce truc ? T’as même pas de poches pour y mettre ta pipe.― Il était dans une des armoires qui sert à ranger le matériel de tonte, ainsi que deux ou trois autres choses qui sont utiles dans une bergerie. Tu permets que je m’en serve ?― C’est que...
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Damien qui a parfaitement interprété l’hésitation de Jade, lui explique : ― Tu n’as pas à t’inquiéter de te retrouver sur internet, ma Petite Belette. Car vois-tu il s’agit d’un appareil argentium, autrement dit il n’est pas numérique mais fonctionne avec une pellicule. ― Ça existe encore ? Pis si tu les fais développer tes pellicules, le photographe pourra scanner les photos et les mettre après sur le Net.― Non, car je fais moi-même les tirages dans ma cave.― Ah bon elle a une cave ta maison ? Parce que j’ai pas non plus vu d’escaliers pour y descendre.― C’est parce que tu n’as pas fait attention car ils se trouvent dehors, à l’opposé de la porte de la cuisine et en partie sous la fenêtre de ma chambre. Mais si tu ne veux pas que je mémorise ton premier contact avec un ovin ce n’est pas grave, car comme pour tout le reste tu n’es obligée de rien. Jade qui se souvient tout à coup, qu’elle a mis dans sa trousse de toilette un cliché de sa Man quand elle avait sont âge, et en train de poser nue en compagnie de leur grand-oncle, se dit que si elle veut suivre les traces maternelles elle ne peut pas refuser cette proposition. Surtout si comme Damien vient de le lui expliquer, personne d’autre que ceux à qui il montrera ces photos ne les verra. Ce qui impliquera que ces gens viennent eux aussi à la Bergerie et que comme tous les autres ils se mettent nus, limitant donc considérablement le nombre des personnes qui vont pouvoir la mater. De plus, bien qu’elle ne le connaisse pas encore très bien elle a assez confiance en son parent, pour savoir que ça se passera comme ça et pas autrement. C’est pourquoi elle lui répond :
― Bon OK. Si ça doit m’aider à me sentir plus sûre de moi, je suis d’accord. Le sourire qui illumine alors le visage du vieil homme la récompense amplement de la décision courageuse qu’elle vient de prendre, et il réplique : ― Je suis très fier de toi, ma Petite Belette. Ces paroles la font sourire en retour, puisqu’elles ne sont pas sans lui rappeler celles que sa mère lui a dites au moins deux fois en peu de temps. La première étant quand elle lui a annoncé qu’elle était allée complètement nue dehors, pour se faire bronzer au bord de leur piscine, et la seconde il y a moins d’une heure au téléphone, lorsqu’elle lui a appris ce qu’elle avait fait depuis son arrivée dans les Cévennes. C’est donc parfaitement détendue qu’elle prend la pose, l’agneau toujours blotti contre ses seins.
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Cependant Damien ne l’entend pas de cette oreille, puisqu’il lui dit : ― Ce n’est pas ce que j’attends de toi, car tu dois rester le plus naturelle possible. Rappelle-toi que tu n’es pas à un défilé de mode mais dans une bergerie. Prenant cette consigne très au sérieux la jeune femme recommence à caresser lentement l’agneau, faisant semblant de ne pas s’occuper de l’objectif de l’appareil ni même le regarder, et le jeune animal n’éprouve plus aucune peur puisqu’il la regarde avec ferveur de ses yeux doux, visiblement heureux du sort qui est devenu le sien. Sa mère quant à elle s’est calmée soit parce qu’elle s’est lassée de bêler, soit parce qu’elle a enfin compris que son petit ne court aucun danger. Jade surveille tout de même Damien du coin de l’œil, et elle le voit effectuer des réglages qu’elle trouve assez longs. Étant née au vingt-et-unième siècle elle ignore que de nos jours n’importe qui peut s’improviser photographe, et faire un millier de photos qui ne lui coûteront rien avec un appareil numérique, pour n’en garder ensuite que la moitié qui seront valables, et en définitive à peine une centaine devenues bonnes par hasard. De plus, ces engins étant entièrement automatisés ce sont eux qui feront tout le travail, alors qu’avec une pellicule on ne peut être sûr du résultat qu’une fois qu’elle aura été développée, ce qui a un prix et explique le fait que l’on soit beaucoup plus prudent, à moins de maîtriser parfaitement la technique. Néanmoins son grand-oncle ne tarde pas à être paré et n’ayant pas de flash sur son mitrailleur, il demande à sa modèle amatrice d’aller se mettre sous l’une des meurtrières qui servent de fenêtres, afin de pouvoir capter la lumière naturelle. Puis il commence à prendre des clichés, Jade étant informée à chaque fois grâce au déclic puis au bruit que fait la pellicule en tournant dans sa bobine. Elle se prête à cette mise en scène d’autant plus de bonne grâce qu’elle aime vraiment beaucoup caresser la laine soyeuse de l’agneau, qui pour sa part a l’air ravi de l’attention qui lui est portée.
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Ce petit jeu dure une dizaine de minutes, jusqu’à ce que survienne un incident qui n’en est pas vraiment un, puisque l’agneau dont la tête est à la bonne hauteur pose ses babines sur le mamelon droit de Jade, qu’il se met à téter. Ce n’est pas douloureux pour la jeune femme même si le petit animal a déjà des dents, et c’est la raison pour laquelle elle le laisse faire, bien qu’elle soit convaincue qu’aucun lait nourricier ne peut sortir de ses seins. Parce qu’elle ne sait pas trop de quelle manière réagir, elle se contente de continuer à caresser doucement la petite tête frisée. Damien pour sa part est aux anges ce qui convainc Jade qu’elle ne risque rien, et il prend plusieurs photos de cette scène hors du commun, avant de lui dire : ― Ce serait moi qui serais en train de bouffer les nichons tu pourrais avoir des doutes, mais pour lui il n’y en a aucun et il a faim. Alors tu devrais le reposer avant qu’il s’impatiente et te morde. Car même si je doute qu’il te laisse une cicatrice sur le moment ça risque d’être assez douloureux, surtout à cet endroit. Bien qu’elle ne soit pas effrayée et que ce qu’elle ressent est plutôt agréable, Jade se le tient pour dit et elle dégage doucement la tête de l’agneau, qui s’en plaint en poussant un petit bêlement. Ensuite elle écarte les jambes pour se baisser lentement jusqu’à ce que les petites pattes de l’animal touchent le sol, puis elle le lâche. Pendant toute l’opération son grand-oncle ne s’est pas privé de prendre de nouveaux clichés, d’autant plus qu’elle s’est positionnée de trois-quarts arrière par rapport à lui pour se tourner en direction de la brebis, mais ce n’est que lorsqu’elle se redresse qu’elle se rend compte de l’impudeur du spectacle qu’elle a offert à l’objectif, absorbée par ce qu’elle était en train de faire. Quand l’agneau a filé vers sa mère pour avoir enfin sa ration de lait, la jeune femme reporte son attention sur son grand-oncle et devient écarlate. Non pas qu’elle a compris qu’il en a profité pour immortaliser la scène, ce qui l’aurait juste faite rougir un peu, mais parce que ce à quoi il vient d’assister a procuré au vieil homme une solide érection.
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Alors qu’il a accroché la courroie de son appareil-photo au montant du portail, le gland dressé de Damien est en effet pointé en direction de Jade, à qui il demande visiblement amusé : ― Tu veux aussi ta ration de jus, ma Petite Belette ? Ne sachant pas trop ce que son grand-oncle a en tête, la jeune femme se contente de hocher la sienne pour répondre oui sans bouger, attendant qu’il ajoute : ― Bien, dans ce cas je vais te la remettre dans le cul, mais avant tu vas me sucer un peu pour t’entraîner.― Je... ici ?― Oui, sauf si les brebis ou leur odeur te dérangent. Jade réalise alors que comme le lui a annoncé Damien, elle s’est accoutumée à cette forte senteur animale alors qu’elle lui avait semblé insupportable à son arrivée. Quant à la présence des moutons à qui elle jette un regard en coin, si elle n’aurait jamais imaginé avoir des rapports sexuels en leur présence, elle trouve cela beaucoup moins intimidant que s’il s’agissait d’être humains. De plus elle doit reconnaître que la bergerie est très bien entretenue, car si quelques crottes récentes traînent çà et là l’endroit est relativement propre, la paille est fraîche, et seule la petitesse des ouvertures dans les murs empêchant d’aérer plus, fait que l’on pourrait s’y sentir mal au bout d’un moment. Mais ce n’est pas son cas actuellement, et comme dans la clairière elle s’approche de son grand-oncle en baissant les yeux, mais résolue à parfaire son éducation puisque c’est la raison de sa venue dans les Cévennes. Une fois qu’elle est assez proche pour empoigner son gros sexe avec sa petite menotte, et qu’elle commence à le masturber lentement, Damien lui dit doucement alors qu’il a posé délicatement une de ses mains sur sa nuque : ― Il est on ne peut plus craquant, ton comportement de biche effarouchée qui prend son courage à deux mains pour se dépasser, mais je te rappelle que tu es ici pour gagner en assurance. Alors même si ça te coûte au début, il faut que tu prennes l’habitude d’affronter le regard des autres.
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Obéissant même s’il ne s’agissait pas d’un ordre mais plutôt d’un conseil, Jade en rougissant légèrement lève le menton pour fixer Damien, qui lui sourit pour lui montrer qu’il est content de sa façon de réagir. Ce qu’il confirme en lui disant : ― Elles sont aussi belles que celles de ta mère tes mirettes, alors ce serait vraiment dommage de les cacher. Bien qu’elle ne connaissait pas ce mot la jeune femme a compris que son grand-oncle parle de ses yeux, c’est pourquoi si elle s’empourpre un peu plus c’est à cause du compliment qu’il vient de lui faire, et elle arrive même à lui sourire en retour. Ils se regardent quelques instants en silence, puis sans rompre le contact visuel Damien appuie doucement avec sa main, pour imprimer à Jade un mouvement vers le bas. Elle ne résiste pas et elle descend lentement, pliant les jambes de plus en plus tout en les écartant, pour finir par se retrouver accroupie le visage à la hauteur du membre dressé, et ses yeux levés toujours plantés dans ceux de son mentor. Pendant ce changement de position la vulve de la jeune femme s’est fendue pour s’ouvrir, exposant ses petites lèvres que personne ne peut voir, ce qui n’empêche pas qu’elle en soit excitée puisqu’elle sent une douce chaleur l’envahir à cet endroit. Toutefois si cette sensation est très agréable elle ne s’y arrête pas et elle commence à lécher le sexe de son grand-oncle, principalement son gland et dans ses moindres recoins. Étant donné qu’il la laisse faire sans rien dire elle est convaincue de s’y prendre correctement, mais il est vrai que même si elle n’avait aucune expérience avant aujourd’hui, les nombreuses fellations qu’elle a regardées sur internet ont été pour elle une excellente préparation. C’est la raison pour laquelle au bout de quelques minutes elle prend tout naturellement le gros gland dans sa bouche, en écartant les mâchoires en grand, et elle se met à le sucer le caressant en alternance avec son palais ou sa langue.
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Tout en s’occupant de son sexe avec gourmandise, Jade qui regarde toujours Damien constate qu’il a l’air ravi du doux traitement qu’elle est en train de lui prodiguer, puisqu’un petit sourire étire ses lèvres et que ses yeux sont mi-clos. De plus il lui caresse à présent les cheveux, comme s’il voulait la remercier affectueusement de ce qu’elle lui fait. Jade s’enhardit peu à peu bien qu’elle n’ose pas enfoncer le gros gland dans sa gorge, parce qu’elle est certaine de ne pas pouvoir y arriver. Cependant sa manière de s’y prendre est de plus en plus assurée et elle en ressent un véritable plaisir, qui n’est pas que cérébral puisque cela se traduit par le fait que sa vulve s’humidifie peu à peu. Pour parler plus clairement elle est en train de mouiller et le fait que l’homme qu’elle est en train de sucer, son tout premier même si c’est pour la deuxième fois, soit assez vieux pour être son grand-père n’est pas étranger à ce phénomène. Car dans sa tête l’incident qui a eu lieu dans les toilettes de son lycée ne compte pas, puisqu’elle ne considère pas vraiment ses anciens camarades de classe comme étant des adultes, même s’ils ont comme elle atteint leur majorité. La jeune femme se sent à présent assez à l’aise pour que sa main, celle qui n’est pas en train de tenir le membre masculin et qu’elle avait posée sur son genoux, parte à la recherche de son sexe à elle, qu’elle se met à caresser pour augmenter ses sensations de bien-être. Damien qui a remarqué ce mouvement bien qu’il ne puisse pas en voir les détails à cause des gros seins de sa partenaire, lui dit : ― Hum oui, caresse-toi ma Petite Belette, mais n’oublies pas de te branler également le trou du cul, car ce sera pour lui une bonne préparation pour ce qui va suivre, et comme ça je ferai des économies de lubrifiant parce que j’aurai moins besoin de t’en mettre. Elle s’arrête de le sucer quelques instants, pour lui répondre tout en devenant écarlate : ― Bé justement Papy, j’ai envie que tu m’encules à sec pour savoir comment c’est.
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La suite, si vous en manifestez le désir...
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