Jade et Damien retournent dans la Bergerie, et une fois dans le salon la jeune femme, curieuse, s’approche de la bibliothèque. Son grand-oncle qui en a deviné la raison la suit, et sans hésitation il prend un livre de poche qu’il lui tend en disant : ― C’est celui dont je t’ai parlé, et s’il faudra que tu prennes l’habitude de te toucher et même de te caresser quand tu n’es pas seule, pour commencer tu vas aller le faire dans ta chambre. Car si personne ne pourra te voir tu sauras que je suis au courant, et cela va en même temps te rendre honteuse et t’exciter. À terme quand tu arriveras à le faire en public et que tu n’éprouveras plus que de l’excitation, être devenue une exhibitionniste en herbe t’aidera comme bien d’autres choses à prendre confiance en toi.Jade devient aussitôt écarlate, ce qui ne l’empêche pas de demander : ― Tu parles de faire de l’exhib, mais c’est justement parce qu’on m’a vue sucer une queue dans les chiottes de mon lycée, que je suis venue ici. Enfin pour me punir d’avoir été imprudente, parce que j’imagine que boire des litres de sperme pour les femmes de notre famille, c’est quelque chose de tout à fait normal.― Et je ne vais pas m’en plaindre. Mais il faut que tu saches que ta mère pensait déjà depuis un petit moment à t’envoyer chez moi. Seulement avec l’éducation qu’elle vous a donnée à ton frère et toi, elle se sentait incapable de t’en parler car elle avait peur de te choquer. Et même de te traumatiser, pour reprendre le mot qu’elle a employé. Elle a par conséquent saisi le prétexte au bond, car tu as sans t’en rendre compte décoincé la situation. La jeune femme bien qu’elle soit encore rouge sourit, et elle réplique : ― Autrement dit, j’ai fait ce que vous attendiez de moi.― Exactement, et ta faute a servi d’excuse à la fessée que tu as reçue complètement nue, et à laquelle soit dit en passant j’aurais bien aimé assister. Dans la suite logique faire du nudisme t’a été proposé pour que tu t’habitues à exposer ton corps aux yeux des autres, et pour finir l’idée de t’envoyer ici t’a été présentée. Mais pour en revenir à l’exhibitionnisme, ce que tu as fait n’était pas très malin car lorsqu’on le pratique, il faut savoir choisir le bon endroit. De manière à être certain que les personnes qui pourront te voir seront là pour ça, ce qui en général évite d’avoir des problèmes.
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Jade convaincue que son grand-oncle vient de lui donner une leçon de vie, hoche lentement la tête pour lui faire savoir qu’elle a compris. Mais elle s’empourpre à nouveau, lorsqu’il lui dit alors qu’elle prend le livre : ― Dans les tiroirs des tables de nuit de ta chambre tu vas trouver des godemichés, mais aussi dans l’armoire provençale. Bien entendu je tiens à ce que tu préserves ton pucelage, car je me fais une joie rien qu’à l’idée de te l’enlever. Mais par la suite tu pourras te les enfiler où et quand tu voudras dès que t’en viendra l’envie, et tu auras même la possibilité d’emmener certains d’entre eux dans ta cabane de bergère. Car ils te seront très utiles pour tromper l’ennui, aux moments où tu seras seule. Quand tu te sentiras prête tu arriveras à les utiliser en public, et cela aura un résultat encore meilleur que celui pour lequel je t’ai demandé de te toucher et de te caresser. J’ai conscience que ça ne sera pas facile pour toi, mais il faut que tu comprennes qu’ici aucune des personnes qui viendra à te voir faire ça n’en sera choquée, bien au contraire. Puis il ajoute, après lui avoir fait un sourire malicieux : ― Et il se pourrait même qu’on te propose de l’aide, ce que bien entendu tu seras libre d’accepter ou de refuser. La jeune femme qui a parfaitement conscience que ces conseils pour ne pas dire ces consignes, ont pour but de la rendre moins timide, est à présent de la même teinte qu’une pivoine. Pourtant cette fois encore elle hoche la tête, autant pour que son grand-oncle sache qu’elle en a saisi l’importance, que pour lui dire qu’elle est d’accord. Même si elle n’a aucune idée du temps qu’il lui faudra avant d’avoir le courage de se goder devant quelqu’un, et qu’elle est persuadée qu’un seul mois ne lui sera pas suffisant.
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Damien satisfait par la réaction de sa petite-nièce qui le regarde droit dans les yeux, se met à lui caresser la joue avec délicatesse, et elle apprécie cette marque d’affection de sa part. Elle ne se dérobe pas lorsqu’il penche la tête pour approcher ses lèvres des siennes, car elle pense qu’il va y déposer un smack pour lui souhaiter de passer une bonne nuit. C’est pourquoi elle est surprise lorsqu’elle sent la langue du vieil homme se frayer un passage pour entrer dans sa bouche, mais là encore elle se laisse faire, tandis qu’un long et doux frisson parcourt sa colonne vertébrale. C’est à ce moment-là qu’elle réalise que leur relation, a jusqu’à présent été uniquement basée sur la recherche d’un plaisir sexuel partagé, et cette tendresse soudaine destinée habituellement aux seuls amants, la trouble au point que sa vue est en train de se brouiller. Bien qu’elle ait 18 ans Jade n’a jamais officiellement eu de petit copain, mais elle a pourtant déjà embrassé des garçons, ainsi qu’une fille puisque Emma sa meilleure amie depuis toujours, a été la toute première. Bien entendu il ne s’agissait pour elles que d’une manière de s’entraîner, pour paraître moins inexpérimentées dans les situations beaucoup plus sérieuses qui ne manqueraient pas de venir, et pas véritablement d’actes lesbiens même si le plaisir ressenti était bien réel. Elle a acquis grâce à ces roulages de pelles des gestes mécaniques, et tandis que la langue de Damien après avoir touché la sienne, se met à la caresser puis à tourner autour pour la palper sous toute sa surface, elle répond à ce baiser qui pour elle est pour la toute première fois synonyme de sensualité. D’autant plus qu’ils sont nus tous les deux, et que si elle a sagement posé ses mains sur les épaules de son grand-oncle en tenant toujours le livre, lui ne s’est pas gêné pour mettre les siennes sur ses fesses juvéniles et les caresser.
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Jade est étonné de constater que bien qu’il soit fumeur, l’haleine de Damien n’est pas désagréable puisqu’elle y sent un goût d’herbes aromatiques, ce qu’elle trouve en harmonie avec le cadre dans lequel ils se trouvent. C’est la raison pour laquelle la jeune femme se laisse aller tout en y participant à cet échange langoureux, sentant son corps se ramollir alors que le désir s’insinue en elle. Car elle est convaincue à présent que ce baiser est le prélude à un nouvel acte sexuel, qui sera beaucoup plus tendre que ceux qui l’ont précédé. Mais tout à coup la langue se retire, une claque sur ses fesses la fait sursauter et pousser un petit cri de surprise, ils se séparent l’un de l’autre et son grand-oncle s’exclame, comme s’il se sentait coupable de s’être laissé aller à un élan de romantisme : ― Bon ce n’est pas tout mais les bergères ça se lève tôt, et contrairement à ce que beaucoup croient les vieux ont besoin de plus de sommeil que les jeunes ! Jade est en même temps surprise et dépitée par ce retournement de situation, pourtant elle réussit à faire bonne figure et elle répond sur un ton neutre : ― Bon bé, alors bonne nuit Papy. Un sourire fugace de la part du vieil homme, fait comprendre à la jeune femme qu’il s’agissait d’un nouveau test pour voir de quelle manière elle allait réagir, et elle en déduit qu’elle ne s’en est pas trop mal tirée puisqu’il a l’air satisfait. C’est pourquoi elle lui tourne le dos après lui avoir fait un petit signe de la main en guise d’adieu, et elle se dirige vers sa chambre en éprouvant des sentiments mitigés. Car si elle aurait bien voulu que ce baiser se prolonge et même aller plus loin, elle a également conscience que le programme de la journée de demain risque d’être aussi chargé que celui d’aujourd’hui.
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Une fois qu’elle a refermé derrière elle la porte de ce qui va être sa piaule pendant un mois, Jade pose le livre sur une des tables de chevet et décide d’ouvrir le tiroir de cette dernière. Car l’idée qu’il puisse contenir des jouets a attisé sa curiosité plus que ses envies, étant donné qu’elle a eu son compte de sexe pour aujourd’hui. Elle y trouve une série de six plugs anaux en matière caoutchouteuse noire, qu’elle pense être de la silicone. Ce qui la fait sourire étant donné qu’ils se trouvent chez un homme qui a une forte tendance écologique, même s’il ne renie pas le progrès pour autant et elle en a la preuve sous les yeux. Le plus petit qu’elle mesure avec ses doigts collés l’un contre l’autre, fait dans les trois centimètres dans son gros diamètre pour la moitié dans le plus faible, celui qui reste en permanence en contact avec la rondelle de chair lorsqu’on le porte. Ce qui lui laisse penser qu’il ne doit pas être trop inconfortable, et par conséquent tout indiqué pour une débutante. Quant au plus volumineux ses dimensions font le double, autrement dit il doit être réservé à une personne plus expérimentée, étant donné qu’il ouvre en permanence l’anus d’à peu près quatre centimètres. Les autres sont dans des tailles intermédiaires et gardent les mêmes proportions, leurs longueurs quant à elles ne variant pas énormément, puisqu’elles vont de neuf à douze centimètres. Les collerettes qui restent à l’extérieur et qui ont pour fonction d’empêcher les plugs de s’enfoncer comme des suppositoires une fois qu’ils ont été mis en place, puisque même s’ils sont beaucoup plus gros ils en ont à peu près la forme, mesurent entre cinq et six centimètres de diamètre. Elles sont assez souples pour se plier et pouvoir s’insérer dans la raie des fesses sans procurer la moindre gêne, et elles sont peut-être même invisibles quand la personne qui en porte un est nue et se tient debout. Il y a en plus un pot de pommade miracle bien plus gros que celui que Damien a déjà utilisé, bien entendu destinée à faciliter le passage de ces jouets sexuels lorsqu’on se les enfile, ainsi que plusieurs lacets de cuir dont elle ne comprend pas l’utilité sur le moment. Jade referme le compartiment, pour faire le tour du lit et aller s’intéresser à ce qu’il y a dans la deuxième table de nuit. Elle y trouve deux godemichés ayant la forme d’un sexe d’homme reproduit dans les moindres détails, et qui à sa grande surprise sont en bois étant donné qu’il s’agit d’olivier. Bien que parfaitement lisses il lui apparaît comme une évidence qu’ils n’ont pas été placés là exprès pour elle, puisqu’ils ont été tachés par du liquide qui ne peut être que de la mouille, que le bois a en partie absorbée avant qu’ils soient nettoyés après avoir été utilisés. Loin de la dégoûter ce détail l’amuse, et elle se demande intriguée si sa Man s’en est elle aussi servie. Ces deux jouets en bois sont également de tailles différentes, et si le premier ne mesure qu’une quinzaine de centimètres de long pour environ trois autres centimètres de diamètre, le second n’est pas beaucoup plus gros puisqu’il doit faire dans les vingt par quatre.
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Ensuite Jade va regarder ce qu’il y a dans l’armoire et là une surprise de taille l’attend, vu que lorsqu’elle ouvre la première porte derrière laquelle il y a des étagères, elle voit posés dessus d’autres godemichés mais avec des formes étranges, qu’elle devine représenter des sexes d’animaux. Bien évidemment elle ne sait pas lesquels ni si les dimensions d’origines ont été respectées, car elle n’a jamais eu l’idée de se documenter à ce sujet, et elle se demande en rougissant si elle osera poser la question à son grand-oncle. Ils ont l’air cette fois d’avoir été fabriqués ou plutôt moulés avec une matière naturelle, qu’elle pense être du caoutchouc. Le premier a une forme élancée, puisqu’il mesure dans les vingt-cinq centimètres de long pour environ quatre autres centimètres de diamètre, avec des testicules serrés l’un contre l’autre qui semblent recroquevillés, et il se termine en se rétrécissant comme s’il n’avait pas de gland, bien que la fente par laquelle est sensée jaillir la semence soit représentée. De plus si la pointe de cette lance est parfaitement lisse, sa hampe pour sa part est veinée. Le second elle le reconnaît parce qu’il ne s’agit pas d’un sexe, mais de la représentation d’une trompe d’éléphant en beaucoup plus petit que sa taille réelle. Il est quand même très impressionnant puisqu’il mesure plus de trente centimètres de long, pour en faire à sa base une dizaine de diamètre et un peu plus de la moitié à l’autre bout. De plus il a une surface plissée et par conséquent rugueuse, ce qui ne doit pas laisser insensible la femme qui l’utilise et augmenter ses sensations. Jade ne peut pas s’empêcher de le prendre en main, il est assez lourd, souple au point qu’elle arrive à le plier, et elle se demande en frissonnant si elle aura l’audace de l’essayer, une fois qu’elle aura perdu sa virginité. Car il ne fait aucun doute que ces jouets ont été placés là pour que celle qui occupe la chambre s’en serve, sinon ils seraient cachés ou carrément exposés à titres de curiosités, et elle sourit en pensant encore une fois que sa Man s’en est peut-être elle aussi servi.
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Le troisième godemiché est encore plus étrange, puisque son gland a une forme triangulaire avec des bords arrondis, et un creux au milieu. Il se rétrécit pour arriver à la hampe pour ensuite augmenter à nouveau de diamètre, et les deux testicules qui viennent après sont placés sur les côtés. Enfin elle pense qu’il s’agit des testicules sans en avoir la certitude, parce qu’ils sont tous les deux étrangement polis, comme s’il n’avaient pas de bourses pour les protéger. Ce jouet bizarre n’est pas très grand puisqu’il ne mesure qu’une quinzaine de centimètres de long, mais il en gagne encore cinq si on inclut les deux boules saillantes, et se les introduire elles aussi doit certainement créer des sensations supplémentaires. Contrairement aux autres il est complètement lisse, sauf dans la partie qui sert à le prendre en main. Le quatrième n’est pas non plus très gros, son gland ressemble un peu à celui du précédent mais avec un pointe au bout, et son diamètre est beaucoup plus constant comme celui d’un homme, sauf qu’il est fortement veiné. Le suivant, sans trop savoir pourquoi Jade l’identifie comme étant celui d’un cheval. Mais c’est peut-être à cause de sa longueur puisqu’il mesure dans les quarante centimètres de long, autrement dit plus que son avant-bras ajouté à sa main, et son diamètre doit faire dans les sept centimètres. Il a une forme à peu près cylindrique, puisqu’il ne se rétrécit pas beaucoup pour arriver jusqu’au gland, pour regagner de la grosseur sur ce dernier qui se termine par une demi-sphère. Il est parcouru de longues grandes veines et a de plus en son milieu une excroissance, qui fait tout le tour de son diamètre. Ces deux particularités devant elles aussi augmenter les sensations, de celle qui réussit à se l’enfiler. Quand au dernier qui est aussi long mais d’un diamètre plus petit, il s’agit en fait de deux sexes d’hommes placés dans le prolongement l’un de l’autre, avec les glands à chaque bout, et il a été conçu pour que deux femmes puissent se donner du plaisir ensemble, même si notre Petite Belette se demande bien en compagnie de qui elle pourrait s’amuser avec ?
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Jade referme la première porte et avant d’ouvrir la deuxième elle sourit, en se demandant ce qu’elle va bien pouvoir trouver à l’intérieur. Une nouvelle surprise l’attend, puisque la première chose qu’elle remarque sont des vêtements accrochés à des cintres, ce qu’elle ne s’attendait absolument pas à trouver là puisqu’elle est censée rester nue pendant un mois. Le premier est une tunique de couleur crème probablement en lin puisqu’elle est douce au toucher, mais rien ne lui permet de s’en assurer étant donné qu’il n’y a aucune étiquette cousue à l’intérieur, ce qui lui laisse penser qu’elle est de fabrication artisanale. Elle semble avoir été tissée d’une seule pièce, avec une ouverture sur le haut du devant qui peut se fermer avec trois boutons ronds en bois, elle a des manches courtes s’arrêtant en haut des coudes, et elle lui arriverait si elle la mettait à mi-cuisses. Il y a en plus une ceinture assortie, qui n’est en fait qu’une simple bande de tissu d’environ trois centimètres de large, se nouant à la taille. Le second habit de teinte vert-forêt est pour sa part en laine, et Jade l’identifie comme étant une houppelande de berger même si elle ignore que ça s’appelle de cette manière. Cette grande cape munie d’une capuche est beaucoup plus lourde que la tunique, et elle a été conçue pour lutter contre le froid autant que les intempéries. Elle se ferme sur le devant grâce à des morceaux de bois en forme de tonnelet, qui s’enfilent dans des ganses en cuir, ces dernières n’étant pas au bord mais décalées, de manière à ce que la pèlerine soit hermétique lorsqu’elle est fermée. Comme elle la trouve magnifique Jade ne peut pas s’empêcher de l’essayez, étonnée de la trouver à sa taille puisqu’elle s’ajuste assez bien à ses épaules. Elle lui arrive aux mollets, elle est aussi chaude que douce, et la jeune femme se réjouit d’avoir à la porter, même si elle se demande quand elle pourrait en avoir l’occasion puisque c’est l’été. Bien entendu, une fois qu’elle l’a mise elle ne peut pas s’empêcher de se regarder dans le miroir de la psyché, et elle se trouve un air coquin quand la cape est ouverte, au contraire très sage une fois qu’elle est fermée, et mystérieux lorsque la capuche est rabattue sur sa tête, puisqu’elle cache son visage qui se retrouve dans l’ombre.
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Jade s’intéresse ensuite à ce qu’elle a d’abord pensé être également des ceintures, mais qui n’en sont pas puisqu’elle réalise lorsqu’elle en prend une, qu’il s’agit en fait d’un plug anal prolongé par une queue d’animal. Celui qu’elle tient en main et dont le bout qui s’introduit est en bois, avec la forme d’un œuf assez petit et allongé pour ne pas être inconfortable pendant une utilisation prolongée, est terminé par des crins de cheval noirs qu’elle trouve soyeux, qui mesurent dans les quarante centimètres de long. Il y en a également plusieurs autres presque identiques dans l’armoire, sauf que le premier est blond le deuxième brun et le troisième fauve. Elle sourit à nouveau, en se disant que ce dernier s’accorde parfaitement à la teinte de ses cheveux. La deuxième queue qu’elle sort ressemble à celle d’un panthère, de toute évidence synthétique, mais la suivante qui est celle d’un renard est composée de vrais poils. La jeune femme pense immédiatement à sa Man, persuadée qu’elle a dû la porter au moins une fois, et elle ne peut pas s’empêcher de la sentir. Mais si elle a très bien été naturalisée puisque seule une légère odeur animale s’en dégage et qu’elle est douce au toucher, rien ne permet d’affirmer qu’elle a raison. La queue suivante même si elle n’est pas naturelle doit symboliser celle d’un lapin, puisqu’elle forme une petite boule en peluche blanc-cassé, et la dernière atteignant dans les vingt-cinq centimètres de long, de teinte fauve et composée de vrais poils lui fait penser à une belette. Bien qu’elle sache que ce n’est pas possible, car ce petit animal ne mesurant qu’une vingtaine de centimètres, son appendice caudal ne doit pas en faire pour sa part plus de cinq.
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Jade sourit à nouveau en refermant l’armoire, très amusée d’avoir trouvé dans sa chambre de tels accessoires qui sont autant de suggestions, cependant elle est fatiguée et n’a absolument pas envie de s’amuser avec. C’est la raison pour laquelle même s’il fait encore jour, elle ferme les volets tout en ouvrant les fenêtres avant de se coucher dans son nouveau lit, sans avoir pris la peine d’allumer la lumière entre les deux. Elle ne pense absolument pas à ouvrir le livre que son grand-oncle lui a prêté, ni non plus à se donner du plaisir comme il lui a conseillé de le faire, car elle est épuisée par tout ce qu’elle a vécu aujourd’hui et elle ne tarde pas à s’endormir profondément.
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La suite, si vous en manifestez le désir...
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