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Thérapie familiale

Chapitre 26

Même pas en poster.

Erotique
Le lendemain lorsqu’elle se réveille Jade se sent reposée, bien qu’elle constate à travers les volets clos que le jour vient à peine de se lever. Elle remarque également qu’il fait frais dans la chambre et que Damien ne lui a pas menti, lorsqu’il lui a affirmé qu’elle apprécierait la couverture en patchwork au petit matin. Ses cheveux se sont emmêlés, c’est pourquoi après s’être assise sur le lit et ses affaires de toilette étant dans la salle de bain, elle se contente de les attacher en queue de cheval haute. Pour le faire elle utilise un des lacets de cuir qu’elle a repérés la veille, quand elle cherchait les godemichés dans les tiroirs des tables de nuit. Elle agit de cette manière sans arriver à déterminer au départ, si c’est pour ressembler encore plus à sa Man ou pour faire plaisir à son grand-oncle, et elle en arrive à la conclusion que les deux sont liés. Car de toute évidence la première a grandement marqué le second, ce qui ne l’étonne pas vraiment et amène un sourire sur ses lèvres.  Ensuite elle se lève pour se rendre compte cette fois que ses muscles ne tirent pas, et qu’elle n’a par conséquent aucune séquelle de la grimpette d’hier, à laquelle elle ne s’était pourtant pas préparée. Elle ne sent pas non plus son anus, comme s’il était encore vierge malgré ses deux premières sodomies, et c’est par conséquent satisfaite qu’elle chausse ses sabots suédois à talons haut, prête à vivre une autre journée remplie de nouvelles expériences.  Mais avant de quitter sa chambre il lui vient une idée, qui la fait en même temps sourire à nouveau et rougir, car elle se dit que si les plugs terminés par des queues ont été placés dans l’armoire, ce n’est pas pour rien. C’est la raison pour laquelle elle ouvre la porte de la penderie, et bien qu’elle soit tentée de mettre celle du renard parce qu’elle est toujours persuadée que sa Man l’a utilisée, elle prend à la place celle qui lui a fait penser à une belette.  Elle trouve les poils naturels toujours aussi doux au toucher, et sans hésiter après avoir sucé le petit œuf en bois pour le mouiller, elle écarte ses fesses menues d’une main pour de l’autre s’enfoncer le plug dans la rondelle, et cette dernière s’écarte sans opposer trop de résistance ni la faire souffrir. Une fois en place l’intrus ne la gêne pas même si elle sent constamment sa présence, et elle se demande si à force d’habitude elle ne finira pas par oublier qu’il est là.  Bien entendu elle ne peut pas s’empêcher lorsqu’elle a fini de se regarder dans le miroir de la psyché, pour constater que sa nouvelle queue est parfaitement assortie à ses cheveux et à sa toison pubienne, ce qui la fait sourire une troisième fois. Ensuite elle referme les fenêtres qu’elle a ouvertes avant de se coucher, tout en laissant les volets clos pour empêcher la chaleur qui ne va pas tarder à arriver de rentrer, puis elle sort de la pièce pour aller retrouver son grand-oncle qu’elle suppose être dans la cuisine.
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En traversant le salon Jade est un peu déconcertée par son nouvel appendice, qui se balance allègrement au rythme de ses pas en même temps que sa crinière de la même teinte fauve. Mais elle ne s’en inquiète pas, car cela lui rappelle que ses seins se sont aussi mis à bouger quand elle a commencé à rester nue chez elle, et elle sait que comme pour eux elle finira par s’y faire. De plus, elle trouve marrant que les poils la caressent lorsqu’ils viennent à se frotter contre ses jambes, même si ça la chatouille un peu au niveau des fesses.
Quand elle entre bravement dans la cuisine Damien s’y trouve bien, attablé et en train de prendre un solide petit déjeuner, et en la voyant il lui sourit chaleureusement avant de s’exclamer :
― Ah te voila là marmotte ! Je me suis demandé, si je n’allais pas être obligé de venir te jeter un seau d’eau pour te réveiller !
Le vieil homme est visiblement de bonne humeur, et cette dernière ne diminue pas lorsqu’il se rend compte que sa petite-nièce a un cinquième membre qui pend derrière elle, étant donné qu’il ajoute en se retenant de rire :
― Je vois que tu as trouvé les petits accessoires qui étaient dans ta chambre, même si je suis surpris que tu aies déjà osé t’en enfiler un.
La jeune femme répond avec aplomb, bien qu’elle se soit empourprée :
― Bé quoi, y sont là pour ça non ?
― Absolument, et celui-là te va à ravir vu que tu ressembles encore plus à une belette. Mais assieds-toi ma pitchounette, je vais te préparer ton petit-déjeuner.― Tu sais, je peux me débrouiller Papy.― Je n’en doute pas un seul instant, mais ça me fait plaisir. En plus, pendant ce temps je veux que tu me dises ce que tu penses de mon travail.
C’est alors que Jade remarque que sont posées sur la table des photos empilées les unes sur les autres, et elle se demande à quelle heure Damien s’est levé pour avoir déjà fait le tirage des clichés de la veille.
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Jade prend place à table en posant ses fesses nues sur une chaise, tout en faisant attention à ce que sa queue ne reste pas coincée. Mais cette dernière est assez souple pour que l’œuf qui est en elle ne bouge pas, et la partie qui vient tout de suite après va sagement se loger dans sa raie culière, comme si c’était sa place naturelle. Ensuite la jeune femme prend les photos, et sur celle qui est en haut du tas elle se voit dans la grange un agnelet blotti dans ses bras, alors qu’elle est en train de le caresser doucement.
Le cliché qui est de bonne qualité n’a rien à envier à un autre qui aurait été pris avec un appareil numérique, et elle trouve cette scénette champêtre attendrissante. Malgré qu’elle soit nue dessus elle ne la considère pas comme étant choquante, et encore moins vulgaire. Comme elle l’avait supposé elle aime se voir en image, et peut-être que pour la toute première fois de sa vie elle se trouve belle.
Jade regarde ensuite la série de photos sur laquelle elle pose debout, jusqu’à arriver à la première où le jeune animal a pris son mamelon entre ses babines, et semble réellement la téter. Ce spectacle en même temps fantastique et naturel l’émeut plus que lorsque ça lui est arrivé, c’est pourquoi elle demande à son grand-oncle :
― Y a moyen d’agrandir certaines de ces photos ?
Le vieil homme répond à sa petite-nièce, tandis qu’il est en train d’insérer maladroitement une capsule de thé dans la machine, qu’il a due ressortir d’un placard avant l’arrivée de la jeune femme dans la cuisine :
― Ça dépend de combien tu voudrais le faire. Le format standard que tu as dans les mains c’est du 10 par 15, et par rapport à la grandeur des bacs de mes bains je peux aller jusqu’à 20 par 30. Comme tu l’as compris il s’agit de centimètres, et pas de pouces ou je ne sais quoi d’autres. Au-delà de cette taille on entre dans la catégorie des posters et ça va jusqu’à 76 par 115. Mais si c’est ce que tu veux il te faudra faire appel à un professionnel, et pas le premier venu parce qu’ils ne sont pas tous équipés.
Jade est déçue, car elle imaginait déjà mettre une de ces belles images dans sa chambre, même si elle n’aurait jamais envisagé d’avoir envie de s’exposer nue sur un mur il y a quelques jours à peine. C’est pourquoi elle réplique sur un ton attristé, comme pour se consoler :
― Pis en plus, ça doit coûter un bras...
Son grand-oncle qui a compris cette fois encore ce qu’elle ressent, lui répond :
― Si tu veux dire que ce n’est pas donné tu as raison, mais ça reste tout de même abordable et certaines photos en valent la peine. Si tu veux je connais un gars à Manosque, qui pourrait te faire ça. Il est maintenant à la retraite, mais c’est son fils qui a repris son affaire et ce sont des gens sérieux, par conséquent il n’y aura aucun risque de fuite sur internet. Maintenant il te faudra quand même casser ta tirelire, alors choisis bien celle que tu veux.
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Jade retrouve aussitôt le sourire et elle recommence à regarder les photos, jusqu’à arriver à celles sur lesquelles elle se penche en avant les jambes écartées, puis où elle se trouve à quatre pattes attendant que son grand-oncle vienne la sodomiser. Elle vient de passer d’un érotisme pur à des scènes ayants un caractère nettement plus sexuel, et si ça ne la dérange pas elle ne peut pas s’empêcher de rougir, même si là aussi elle se trouve belle et qu’elle sait déjà qu’elle n’hésitera pas à recommencer. C’est peut-être à cause de cela qu’elle se sent troublée, et pour le cacher elle demande à son grand-oncle, qui cette fois bataille pour retirer de son logement le réservoir d’eau de la machine :
― Dis Papy, t’en as beaucoup de ces photos ?― Oui pas mal. Mais la plupart sont rangées dans des cartons dans les combles, où je suppose que tu n’es pas allée hier au soir.
Effectivement, Jade n’a pas osé ouvrir les portes qui séparent la partie habitable de l’étage de celle qui sert de grenier, et elle pose une autre question :
― Tu me les montreras, ou t’as promis aux autres de les garder rien que pour toi ?― La seule chose que je leur ai promise, c’est que ces photos ne sortiront jamais d’ici et elles sont toutes parties avec les pellicules. Non seulement parce que j’avais peur qu’elles s’abîment car il peut faire humide sur le plateau en hiver, mais en plus ce qui m’amuse vraiment c’est de les prendre. Et les développer ensuite n’est pour moi que le moyen de savoir si elles sont réussies. Alors si tu veux les voir je te les montrerai, surtout celles de notre Renarde qui sont par contre dans ma table de chevet, car je suppose que ce sont surtout celles-là qui t’intéressent.
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Effectivement, même si Jade est curieuse de voir les autres femmes qui sont venues à la Bergerie, la seule qui l’intéresse vraiment c’est sa Man. Satisfaite par la réponse de son grand-oncle elle n’émet aucun commentaire sur le fait qu’il garde des souvenirs d’elle dans sa chambre, bien que ça la titille, mais elle lui demande plutôt en changeant soudain de sujet :
― Dis, tu veux pas que je me le fasse mon thé ? Car t’as vraiment l’air de galérer.― Je te confirme que ce n’est pas simple, et je ne doute pas un seul instant que tu t’en sortirais beaucoup mieux que moi. Mais je ne suis pas non plus idiot, et c’est juste que je n’ai pas l’habitude.― C’est pas ce que j’ai voulu dire...― Je le sais bien ma pitchounette, et si tu as fini de t’admirer tu peux commencer à te faire tes tartines, car nous avons ensuite une belle ballade en perspective, alors il faut que tu prennes des forces.― Ah bon ?! On va où ?― Tu verras bien en y arrivant, en attendant tu peux garder les photos car je les ai tirées en deux exemplaires, et je mettrai les miennes dès ce soir dans un album.
Bien que sa curiosité ait été éveillée Jade ne pose plus de questions, en tout cas pas à ce propos, puisqu’elle demande tandis qu’elle coupe une tranche dans une grosse miche :
― Elle livre jusqu’ici la boulangère ? Parce qu’hier on a pas remonté de pain et celui-là il a l’air frais.― Non, même si ça ne me déplairait pas parce que celle de Saint André est très gironde. Mais Laurent avant de devenir berger était boulanger. Il a installé un four dans sa maison et deux fois par semaine il fournit tout le plateau.― Vous êtes bien organisés.― Disons que nous nous débrouillons avec les moyens du bord. Alain est aussi savetier et c’est lui qui à ses heures perdues fabrique entre autres nos sabots suédois. Djouba sculpte le bois et il a fait le Banc d’Amour que tu aimes tant. Quant aux plus jeunes ils bricolent, et il y en a même un qui fait pousser du cannabis. Pas pour en faire commerce mais pour notre consommation personnelle, comme il dit.
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Jade s’exclame beaucoup plus amusée que choquée :
― Tu te drogues, Papy ?!?― Au cas où tu ne l’aurais oublié en 68 j’avais 17 ans, et quand je suis devenu berger au début des années 70 et que je suis venu m’installer ici, une communauté hippies comme on les appelait à l’époque s’y était également implantée. Ce sont eux qui m’ont converti au nudisme et à la liberté sexuelle, car je venais de finir mon service militaire et j’avais des idées somme toute assez conventionnelles. Même si j’avais l’esprit assez ouvert pour en changer.
Damien continue ses explications, après une courte pause :
― Ta grand-mère a été la première que j’ai par la suite gagnée à ma cause, car en ce temps là elle venait souvent me voir. Je n’ai pas eu besoin de faire preuve de persuasion, parce qu’elle a assez rapidement et tout naturellement adopté mon point de vue sur la question. Elle est en toute logique devenue ma première pensionnaire, et c’est comme ça qu’elle a connu ton grand-père, qui était lui aussi venu me rendre visite. Car j’avais comme je te l’ai déjà dit fait sa connaissance quand j’étais bidasse.― Et ensuite, t’as converti les autres bergers ?― Après le départ des beatniks avec qui j’avais fraternisé, je suis resté à l’écart du monde car les bergers qui vivaient alors sur le plateau étaient tous plus vieux que moi, et me prenaient au mieux pour un excentrique et au pire pour un dingue. Puis peu à peu ils ont été remplacés par des jeunes aux idées plus larges, qui ont eux par contre accepté puis adopté mon mode de vie, principalement parce que ça leur plaisait de ne devoir s’habiller que quand il avaient froid.― Et pis y a le sexe. Mais comment vous faites pour trouver des meufs, alors que votre communauté est secrète ?― Effectivement nous ne pouvons pas recruter sur internet, car non seulement nous ne l’avons pas mais en plus ça manquerait de discrétion. Et nous voulons absolument éviter de voir débarquer ici des obsédés sexuels venus du monde entier, car nous tenons à notre tranquillité. Alors c’est varié et tout d’abord il y a la famille, ta mère et toi en êtes d’ailleurs un parfait exemple. Ensuite il y a les hippies, qui s’ils sont retournés à la civilisation nous font une publicité discrète, en vantant à leurs enfants à leur tour devenus adultes les bienfaits de vivre nu en pleine nature, et de baiser quand on a envie sans aucun contrainte. Et pour finir il y a la randonnue, tu sais ce que c’est ?― Non Papy.― C’est une randonnée effectuée sans porter rien d’autre que des chaussures et des chaussettes, et seulement pour éviter de se blesser les pieds.― Pour de bon ?! Ça existe ?!― Absolument. Ces gens ont toujours dans leurs sacs à dos de quoi se couvrir, au cas où ils rencontreraient des textiles comme ils les appellent. Mais le reste du temps ils marchent à poil, et comme ils savent que sur le plateau ils pourront se déplacer en toute tranquillité, ils n’hésitent pas à le traverser. D’autant plus que nos chiens en les voyant arriver sans habits les reconnaissent comme étant des amis, alors ils leur foutent la paix. Il arrive même à ces « randonueurs » de faire étape chez nous pour la nuit, et si certains n’hésitent pas à coucher dans les bergeries d’autres emmènent avec eux des petites tentes, et ils font du camping. Le lendemain ils repartent heureux, non sans nous avoir acheté quelques fromages.
Le vieil homme continue ses explications, après avoir fait une courte pause :
― Tout ça pour te dire que certaines des femmes qui ont ce genre de loisirs, sont parfois attirées par notre mode de vie qui n’est pas si différent du leur. L’une d’entre elles est venue passer ses étés ici pendant plusieurs années, et une de ses filles une adorable petite poupée blonde, est en ce moment en pension chez Djouba.
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Pendant qu’ils discutaient Damien a fini de préparer le thé de Jade, il s’est ensuite assis avec elle pour terminer son petit déjeuner puis la regarder dévorer le sien avec appétit, et elle lui demande entre deux bouchées :
― Alors c’est parce que t’as vécu avec des baba-cool quand t’étais jeune, que t’as appris aux autres bergers à cultiver le cannabis ?― Tu n’as qu’à dire que c’est moi qui ai cassé le vase de Soissons, tant que tu y es ! Je n’y suis pour rien, car si je pars du principe que fumer un petit joint de temps en temps ne fait de mal à personne, je ne suis pas non plus comme tu le penses un camé. C’est surtout nos jeunes qui pratiquent la fumette, comme ils disent. Mais ça ne fait pas d’eux des délinquants pour autant, et tu vas pouvoir t’en rendre compte ce soir puisqu’ils vont tous venir faire ta connaissance.
La jeune femme devient écarlate, et elle s’exclame une nouvelle fois :
― Pour de bon ?!?― Oui, pour de bon, car il faudra bien que tu les rencontres à un moment ou à un autre, et si tu seras au départ très intimidée tu vas vite te faire à leurs présences et à leurs nudités. De plus tu n’as pas à t’inquiéter, car pour ce premier contact aucun d’entre eux ne viendra vers toi pour solliciter tes faveurs, si tu vois ce que je veux dire. Par contre s’il y en a un qui te fait envie il ne te faudra pas non plus hésiter, et tu pourras même l’emmener dans ta chambre si tu as besoin d’intimité.
Tandis que Jade digère ces informations, son grand-oncle lui explique :
― Normalement nous faisons tous les dimanches soirs un repas canadien, c’est à dire que chacun amène chez celui qui reçoit de quoi boire et manger. Mais comme tu n’es arrivée qu’hier après-midi alors que nos pensionnaires débarquent habituellement le samedi, j’ai décalé d’un jour pour que tu aies le temps de t’acclimater. Même si nous n’avons rien à préparer il faut quand-même que tu te magnes de finir de bouffer, parce qu’après je t’emmène en balade et je te promets que tu ne seras pas déçue du voyage.
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La suite, si vous en manifestez le désir...
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