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Thérapie familiale

Chapitre 28

Le regard fixé sur l'horizon

Hétéro
En entendant que sa Man était ici lorsqu’elle a perdu sa virginité, même si c’était il y a bien des années de ça, Jade est prise d’un long frisson et malgré la température estivale, elle sent ses tétons se darder comme si elle avait froid, ainsi qu’une douce chaleur envahir l’intérieur de son sexe. Son grand-oncle la regardant en silence et avec un petit sourire aux lèvres, elle comprend que maintenant qu’il lui a clairement exposé la situation, il attend que ce soit elle qui prenne l’initiative.  Malgré l’importance du moment puisqu’il s’agit de faire d’elle une femme, enfin si ce n’est pas déjà le cas avec tout ce qui lui est arrivé depuis qu’elle est dans les Cévennes, elle se sent calme et sereine ne pensant même pas à rougir. C’est pourquoi elle se dirige lentement vers le banc en pierre et elle passe doucement sa main dessus, toujours étonnée que ce rocher soit aussi lisse. Elle n’a aucun mal à monter dessus malgré sa hauteur et elle ne tarde pas à se retrouver à quatre pattes, les genoux bien écartés l’un de l’autre, en train de fixer la Méditerranée au loin et attendant à son tour patiemment que le vieil homme se décide à agir.  C’est ce qu’il ne tarde d’ailleurs pas à faire, et chose surprenante pour elle il commence par lui enlever ses chaussures puis il lui retire ses chaussettes. Même si elle avait chaud aux pieds ça ne la gênait pas vraiment, mais elle se sent tout de même soulagée et éprouve du bien-être, quand son grand-oncle se met à masser ses petons quelques instants chacun leur tour, comme si son sang n’avait pas pu circuler librement lorsqu’ils étaient empaquetés. Ensuite il lui pétrit les mollets puis les cuisses, qui ont été sollicités pendant l’effort qu’elle a fourni pour parvenir jusqu’ici, et il s’occupe après cela de ses fesses auxquelles il prodigue le même traitement.
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Jade est un peu étonnée par ce rituel qui n’a rien de sexuel, mais ressemble plus au bouchonnage d’une pouliche après qu’on l’a obligée à galoper pendant un bon moment. Pourtant elle se laisse faire sans rien dire, car elle aime être le point de mire de l’attention de Damien, d’autant plus qu’il se rapproche par étapes de son centre des plaisirs, et qu’elle ne doute pas un seul instant que c’est à lui qu’il va finir par s’intéresser.
C’est la raison pour laquelle elle n’est pas surprise de sentir ses fesses s’écarter encore plus l’une de l’autre, car dans la position qu’elle a adoptée elles n’étaient déjà plus jointes, et elle pousse un petit geignement en même temps d’approbation et de plaisir, lorsque la langue du vieil homme commence enfin à lécher ses grandes lèvres joufflues.
C’est d’autant plus délicieux pour la jeune femme, que l’appendice en même temps humide et rugueux y met une lenteur qu’elle devine pleine de retenue, et il va la fouiller dans les moindres replis de sa chair. Elle se laisse aller aux sensations très agréables qui lui sont procurées, sentant la douce montée de son plaisir, mais en ayant toutefois la lucidité de se demander si son partenaire, ne va pas lui procurer un premier orgasme de cette manière.
Car elle sait que contrairement aux hommes les femmes ont la capacité de jouir plusieurs fois de suite, ce qui malgré leur infériorité physique au niveau de la force les rend bien supérieures à eux, et c’est peut-être pour cette raison qu’ils font parfois preuve d’une rudesse non consentie à leur égard.
À un moment elle sent des doigts écarter doucement ses babines joufflues alors que ses nymphes suivent le mouvement, et elle pense que son grand-oncle va partir avec sa langue à la recherche de son clitoris, pour de cette façon la combler de bonheur. Toutefois ces appendices inquisiteurs ne tardent pas à se retirer, et le léchage reprend pour son plus grand plaisir, puisqu’elle a appris par expérience que la lente progression de ce dernier, est tout autant jouissive que celui plus rapide quand son petit gland est directement sollicité.
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Cependant Damien a une autre idée en tête, et alors qu’il a déjà commencé à sentir le goût de la mouille de Jade après qu’elle se soit mélangée à sa salive, et qu’il entend à présent ses petits geignements qui sonnent comme une douce musique à ses oreilles, il se redresse bien décidé à ne pas aller fouiller plus profondément sa petite-nièce de cette manière.
Bien qu’elle se soit rendue compte que son grand-oncle a arrêté de la lécher, Jade sursaute lorsqu’il pose ses mains sur sa taille, et qu’elle sent son gros gland venir au contact de sa vulve. Le vieil homme ayant cette fois encore parfaitement interprété sa réaction, lui dit d’une voix douce :
― Tu n’as pas à t’inquiéter ma Petite Belette, car si pour les femmes se faire dépuceler est très symbolique, d’un point de vue physique cela ne reste qu’une simple formalité pour la plupart d’entre elles. Et après avoir vu ton hymen, je peux t’affirmer que pour toi ça va très bien se passer.

Jade le croit sur parole, car ces mots ressemblent à ceux de la gynécologue chez qui sa Man l’a envoyée, pourtant elle ne peut pas s’empêcher de ressentir une légère crainte, quand le bout de la queue de Damien s’enfonce lentement entre ses grandes lèvres, qu’il franchit ensuite le cap de leurs petites sœurs, pour venir s’appuyer contre la membrane de chair qui lui bloque l’accès à son vagin.
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Le vieil homme marque alors une pause, puis sans crier gare il donne un grand coup de reins afin de forcer le passage. Pour la jeune femme la douleur est vive, mais pas plus que lorsque son anus est écartelé sans lubrifiant, et son intensité dure beaucoup moins longtemps puisqu’elle ne tarde pas à devenir plus diffuse. Comme elle s’y attendait elle se contente de se mordre la lèvre inférieure sans émettre le moindre son, et ce qui la surprend c’est que le gros sexe de son grand-oncle ne s’est pas enfoncé de plus de quelques centimètres, malgré l’élan qu’il a pris.
Ce qui est très différent de quand elle se fait sodomiser, puisque dans ce cas à partir du moment où sa rondelle a été écartelée la voie est ensuite libre, alors que là, elle a l’impression qu’il va devoir se frayer un passage jusqu’au fond. C’est d’ailleurs ce qu’il fait, se reculant avant de donner une nouvelle poussée et ainsi pénétrer un peu plus en elle, pour recommencer ainsi plusieurs fois de suite. Toutefois cela ne fait pas mal à Jade, et ça lui fait penser à quand elle était petite et qu’elle s’amusait à enfoncer son index tendu dans le sable à la plage. C’est cependant différent, puisque le trou se rebouchait dès qu’elle retirait son doigt et tout était à recommencer, alors que là lorsque Damien revient en arrière pour repartir en avant, même s’il y a toujours une résistance elle est beaucoup moins grande que la fois précédente. En tout cas jusqu’à ce qu’il arrive plus profondément.
Quant à ce que Jade ressent, si au départ le frottement du membre contre les parois de son vagin lui procure une sensation étrange, cette dernière ne tarde pas à se transformer en plaisir. Mais un plaisir différent de celui qu’elle à éprouvé en se faisant lécher ou doigter, et la douleur qu’elle a ressentie lorsqu’elle a perdu sa virginité ne tarde pas à devenir un souvenir.
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Damien qui l’a lui aussi compris garde pourtant une allure modérée, comme s’il avait toute la journée devant lui, lorsqu’il entame à faire des allers et retours dans ce conduit, qui enserre pourtant son sexe d’une manière qu’il trouve délicieuse. C’est l’espoir de faire durer ce moment le plus longtemps possible qui le retient d’augmenter la cadence, même s’il en a une énorme envie, et la raison pour laquelle il n’incite pas Jade à se mettre en mouvements. Il savoure le pur bonheur de chevaucher une pucelle, ce qui ne lui est plus arrivé depuis des années.
Cependant la jeune femme ne l’entend pas de cette oreille, car lorsqu’elle a fini d’analyser ce qu’elle ressent et qui est en même temps différent et identique à quand elle se fait sodomiser, elle se met elle aussi à bouger son arrière-train. Au départ ses déplacements sont maladroits mais elle trouve rapidement ses marques, ajustant l’inclinaison de son bassin pour augmenter ses sensations.
Son grand-oncle la laisse faire et aller à son rythme, finalement heureux qu’elle ait pris cette initiative, et il accélère lui aussi la cadence quand elle se décide à le faire. Toutefois leur accouplement ne devient pas effréné, principalement à cause du fait que le vagin de Jade reste assez serré, et s’ils se mettent à nouveau à transpirer c’est avant tout à cause de la chaleur de cette matinée d’été.
Si Jade avait imaginé que sa première fois se passerait d’une manière plus romantique, comme par exemple dans un lit, dans la position du missionnaire et avec son beau prof d’anglais, elle n’est pourtant pas déçue de se faire déflorer en levrette sans pouvoir voir son partenaire. Car le visage de ce dernier est gravé dans sa tête, même si elle a depuis le départ le regard fixé sur l’horizon.
Les deux amants finissent par arriver à l’orgasme en même temps, sans qu’ils puissent ni l’un ni l’autre déterminer combien de temps leur chevauchée qui n’avait rien de fougueuse a duré, lui en poussant des grognements de contentement tandis que son sperme jaillit dans l’étroit fourreau, et elle en émettant un gémissement clair qui dure plusieurs secondes, alors qu’elle s’était contentée jusqu’à présent de geindre doucement.
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Damien et Jade restent quelques instants emboîtes l’un dans l’autre sans bouger et en restant silencieux, savourant le bien être qui s’est installé en eux après le plaisir violent de la jouissance, puis la jeune femme s’exclame :
― Waouh ! C’était...
Elle ne trouve pas ses mots pour définir ce qu’elle a éprouvé, et son grand-oncle finit sa phrase à sa place sur un ton en même temps interrogatif et amusé :
― La première fois ?― Haha très drôle Papy. Mais en tout cas c’était super fun, et j’ai hâte de recommencer.
Il lui répond, tandis qu’il se recule pour se retirer d’elle :
― Je n’en doute pas, toutefois il te faudra patienter un peu à cause de ta déchirure, et en attendant je vais te mettre de la pommade pour qu’elle cicatrise plus vite.― Elle sert vraiment à tout ta mixture magique, même à refouler les mosquitos j’ai remarqué. Tu me donneras la recette ?― J’ai promis à ta mère qu’elle en hériterait à ma mort, et vous ne l’aurez pas avant.― Mais t’es couillon de pas en faire profiter les autres ! En plus si tu la commercialisais, tu te ferais un max de tunes avec !
Alors que Damien est redescendu du banc de pierre mais qu’elle n’a pas encore bougé, Jade reçoit une bonne claque sur les fesses qui au contraire des précédentes la fait sursauter autant de douleur que de surprise, et avant qu’elle ait eu le temps de se plaindre, son grand-oncle réplique en haussant lui aussi le ton :
― Je veux bien être cool avec toi, mais il y a tout de même des limites à ne pas dépasser, jeune fille ! Même si nous vivons à poil et que nous baisons ensemble, cela ne t’empêche pas de me témoigner un certain respect. Parce que je te rappelle que j’ai le même âge que ton grand-père !
La jeune femme se sent honteuse car elle sait que le vieil homme a raison, et que comme Maurice elle a poussé le bouchon un peu trop loin. C’est la raison pour laquelle elle lui dit d’une petite voix, tandis qu’il inspecte l’entrée de son vagin en écartant délicatement ses lèvres du bas avec ses doigts :
― Je suis désolée, excuse-moi Papy.
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Pour Damien l’incident semble clos puisqu’il change de sujet, en constatant à voix haute :
― Tu as très peu saigné, ce qui signifie que les dégâts son minimes. Mais je vais quand même te mettre du baume, car comme ça tu pourras recommencer à te faire prendre plus rapidement.
Il joint aussitôt le geste à la parole tandis que Jade reste sagement immobile, et lorsqu’il a terminé il lui met cette fois une petite tape sur le postérieur, avant d’annoncer :
― C’est terminé, tu peux redescendre de ton piédestal.
Sa petite-nièce lui obéit, et lorsqu’elle est debout elle lui dit :
― Il est super zarbi ce rocher, car on dirait en même temps que sa forme est naturelle mais il est trop régulier pour que ce soit le cas.― Quand je l’ai découvert j’ai essayé de me renseigner à son sujet, et seul un des anciens bergers du plateau connaissait son existence. Il m’a raconté qu’il a été taillé par les hommes il y a des milliers d’années de ça, et que des sacrifices y étaient faits à l’aube, pour remercier le soleil d’être de retour.― T’es sérieux là ?!?! Et toi du baises dessus ?!― Déjà il faut que tu saches que ce type était à moitié gâteux, et qu’il parlait tout seul en permanence. Mais en plus si comme moi tu tuais le cochon tous les ans, tu saurais que le sang s’il n’est pas nettoyé quand il est frais laisse des traces très difficiles à enlever. Même des millénaires de pluie n’auraient pas réussi à tout effacer, car si la surface de la pierre semble lisse il se serait tout de même incrusté. Et comme il n’y a pas de source à proximité pour le laver, il ne s’agit que d’une vieille superstition. Vu que personne d’autre n’a pu me renseigner à son sujet, la présence de ce monolithe ici restera pour nous un mystère.
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Jade est tout à fait rassurée par cette explication qui est logique, cependant un détail a attiré son attention et elle pose une autre question :
― T’as dit que tu tues le cochon tous les ans mais y en a pas dans ta bergerie, alors tu vas où pour buter ces pauvres petites bêtes.― Déjà ces pauvres petites bêtes comme tu les appelles, sont aussi vicieuses que malignes alors elles n’attirent pas vraiment la sympathie, sauf dans les films américains. Mais si je ne les aime pas autrement que dans mon assiette, c’est surtout parce qu’elles puent car elles aiment se rouler dans leur propre merde. Et c’est la raison pour laquelle je n’en élève pas. Jonathan est le seul sur le plateau à en avoir, il les engraisse et nous allons tous chez lui en hiver pour faire la sale besogne. Car crois-moi ce n’est pas pour nous une partie plaisir, mais avant tout un besoin alimentaire.
Puis il ajoute, en sortant des sandwichs de sa besace qui est posée sur le sol :
― Je ne fais que deux jambons et deux épaules par an, alors j’espère que tu apprécieras ton casse-dalle à sa juste valeur.
Après en avoir donné un à la jeune femme et posé le sien sur le rocher, sans se soucier du fait qu’ils ont fait l’amour sur ce dernier il y a à peine quelques minutes, le vieil homme tire également de son sac à dos une gourde, alors qu’il y en a déjà une attachée à l’extérieur. Tout comme sur celui de Jade qui s’est servi de la sienne, pour boire la bonne eau de la source de la Bergerie lorsqu’ils ont fait des haltes pendant leur ascension. Damien tend le bidon à sa petite-nièce, en lui demandant :
― Tu veux du fortifiant ?― C’est quoi ce truc ?― Du pinard.― Vous le faites aussi vous-mêmes ?― Non, car sur le plateau les vignes gèleraient. C’est du Côtes du Ventoux.
Jade n’a encore jamais bu de vin et elle a pu constater que Damien en consomme avec modération, puisque si la veille à midi au restaurant il en a siroté deux verres, le premier avec son plat principal et le deuxième avec le fromage, le soir tout comme elle il s’est contenté d’eau. Comme elle a envie de tenter l’expérience elle attrape la gourde, mais avant de la porter à ses lèvres elle prend le temps de mordre dans son sandwich, de mâcher et d’avaler.
Voyant qu’elle n’a pas fait pas la grimace lorsqu’elle ingurgite le nectar, son grand-oncle lui demande :
― Alors, tu le trouves comment ?― Le jambon ou le pinard ?― Bé les deux ?― Y sont pas mauvais.
Voyant qu’il la fixe en haussant un sourcil sur son regard bleu-acier, qui s’est assombri comme si un orage menaçait d’éclater dans ses yeux, elle se dépêche de rectifier d’une voix forcée et avec un débit rapide :
― Y sont excellents Papy ! C’est super fun !
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La suite, si vous en manifestez le désir...
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