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Thérapie familiale

Chapitre 29

Deux trucs plantés dans le ventre.

Hétéro
Lorsqu’ils ont terminé leur casse-croûte mangé tout en regardant le paysage Jade et Damien prennent sans tarder le chemin du retour, car ils n’ont pas oublié qu’ils vont recevoir des invités pour la soirée, tout en sachant ne rien avoir à préparer mis à part faire du feu dans le barbecue. Cette fois encore ils n’aperçoivent aucun être humain, même si juste avant de traverser un sentier balisé ils manquent de croiser un groupe de marcheurs, qui a dû décider de monter tardivement au Mont Aigoual. Mais ces touristes font tellement de bruit aussi bien en se déplaçant qu’en parlant fort que les deux randonueurs les entendent venir de loin, et préfèrent s’enfoncer dans la forêt plutôt que de mettre leurs ponchos, ce qui a pour conséquence qu’ils ne se voient ni les uns ni les autres.
La jeune femme et le vieil homme arrivent à la Bergerie en milieu d’après-midi, et ils font cette fois encore un léger repas pour que leurs estomacs tiennent jusqu’à celui du soir, qui sera à n’en pas douter beaucoup plus conséquent. Jade se sentant fatiguée parce qu’elle n’a eu aucune préparation pour faire de longues marches, auxquelles elle n’est de ce fait pas accoutumée, annonce à son grand-oncle qu’elle va aller s’allonger un moment. Ce dernier lui demande aussitôt alarmé :
― Mais tu vas bien au moins ? Tu n’as pas de complications par rapport à ton dépucelage ?
Si la jeune femme rougit légèrement c’est parce qu’elle est touchée par la sollicitude du vieil homme, et pas à cause de ce qu’elle lui dit pour le rassurer :
― T’inquiète de rien, Papy. Au niveau de ma figue tout va bien, et c’est juste qu’y a pas que ma mâchoire qui a pas l’habitude de travailler d’une nouvelle façon, en tout cas pas autant. Alors même si j’ai un peu mal aux jambes je vais juste aller faire une petite sieste, et après je serais toute neuve.― Mais tu ne veux pas que je te les masse, pour t’éviter d’avoir des courbatures ?― C’est sûr que tu fais ça bien, mais je t’assure que c’est pas la peine. 
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Lorsqu’elle quitte Damien pour aller dans sa chambre, Jade constate amusée que la déception a remplacé la crainte sur le visage halé du vieil homme. Pourtant elle n’en éprouve aucun remord, et elle se dit que si elle doit arriver un jour à mettre les hommes au pas comme le fait si bien sa Man, ce n’est pas plus mal pour elle de commencer à s’entraîner dès aujourd’hui. Qui plus est en se faisant la main sur un de ceux qui ont de l’expérience, car cela rendra le challenge plus difficile et la satisfaction encore plus grande en cas de réussite.
C’est donc un petit sourire aux lèvres qu’elle referme la porte de sa piaule derrière elle, et si elle a bien l’intention de s’allonger sur son lit car elle n’a pas mentit en disant qu’elle a les jambes lourdes, elle n’a pas pour autant l’intention de dormir. En effet, bien que son grand-oncle ne lui ait posé aucune question afin de savoir si elle s’est caressée la veille au soir, elle a conscience d’avoir pris du retard dans ce qu’elle considère comme étant sa formation. Elle va donc se masturber jusqu’à en jouir, et peut être même essayer d’enfoncer le plus petit des godes dans son vagin presque tout neuf. À condition que cela ne lui provoque aucune douleur, sinon elle laissera son piège à loups cicatriser tranquillement.
Mais avant elle a une idée et elle sort de son tiroir un des plugs anaux, car lui a également pris l’envie de se l’enfiler, dans le but de découvrir enfin ce que ça fait d’avoir deux trucs plantés dans le corps en même temps. Elle a choisi le plus petit non pas qu’elle ait peur d’avoir mal, mais elle s’est dit qu’il est logique de commencer par celui-là, et qu’elle pourra toujours utiliser les autres par la suite. Sans hésiter elle le met dans sa bouche, ce qui lui est facile puisqu’il ne mesure que trois centimètres dans son plus gros diamètre pour neuf autres de longueur, et elle le suce dans le but de le lubrifier, n’ayant pas l’intention de gaspiller la mystérieuse pommade de son Papy.
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Le plug aux lèvres comme s’il s’agissait d’une grosse tétine, Jade retire ses sabots suédois avant de s’allonger sur sa couche, en pliant les jambes pour que ses genoux soient au plus haut, puis elle change le mini-pal en silicone de trou pour se l’enfoncer dans l’anus, où il entre pratiquement sans aucune résistance. Une fois qu’il est à l’intérieur elle le sent mais il ne lui procure aucune gêne, ce qui lui paraît logique étant donné qu’il n’est pas plus gros que l’œuf en bois de sa queue de belette, qu’elle s’est enfilé le matin.
Cependant avant de passer aux choses sérieuses Jade veut vérifier quelque chose, c’est pourquoi elle se relève pour aller pieds nus devant la psyché. Une fois sur place elle se tourne pour mettre son dos face au miroir, et elle tord le cou pour regarder ses fesses menues. Comme elle l’avait supposé, elle constate que la collerette souple qui s’est pliée en deux pour entrer dans sa raie, est devenue parfaitement invisible.

Satisfaite par son examen la jeune femme va à présent devant la deuxième table de chevet, et elle en sort le plus petit gode mesurant quinze centimètres de long pour trois de diamètre, qu’elle caresse tendrement avant de retourner se coucher avec le sourire aux lèvres. Si elle se remet sur le dos c’est cette fois en pliant moins les jambes tout en ayant les cuisses bien écartées, de manière à être à son aise, et elle commence par caresser ses grandes lèvres charnues avec le bois d’olivier. Au départ cela lui procure une sensation étrange, car si le phallus est parfaitement lisse il est tout de même assez dur, mais elle trouve néanmoins ce contact plus agréable que celui d’un simple manche de balais.
L’effet attendu ne tarde pas à venir puisqu’elle sent une douce chaleur envahir son bas-ventre, et elle enfonce le gland de taille standard entre ses babines joufflues, pour qu’il aille taquiner ses petites lèvres. Ses sensations s’en trouvent augmentées, et encore plus lorsqu’elle va frotter son clitoris à travers la fine paroi de chair qui le recouvre. Par jeu elle décalotte son petit gland qui ne demandait qu’à sortir de sa grotte protectrice, mais étant donné qu’elle n’a pas l’intention de se faire jouir de cette manière elle se désintéresse de lui au bout de quelques instants, alors qu’il palpite de dépit tout en restant à l’air libre.
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Jade est à présent prête à passer aux choses sérieuses, et un léger frisson la parcourt à l’idée qu’elle va se goder pour la toute première fois de sa vie. Elle ressent une légère crainte lorsqu’elle pose le gland en bois contre l’entrée de son vagin, car n’ayant été dépucelée que depuis quelques heures elle ne sait pas comment sa blessure va réagir. Mais tout se passe bien, probablement grâce au fait que le phallus ne mesure que trois centimètres de diamètre, mais également à la pommade cicatrisante qui lui a été appliquée, et il commence à pénétrer en elle avec une résistance qui est toute symbolique.
La jeune femme est étonnée que malgré le doux frottement qui augmente encore les sensations qu’elle ressentait déjà, le godemiché coulisse d’abord parfaitement dans son nouveau fourreau, comme s’il rentrait à la maison. Mais une autre surprise l’attend, puisque le plug qu’elle avait oublié se rappelle soudain à son souvenir, étant donné qu’il a sans qu’elle s’en rende vraiment compte déformé la partie inférieure de son conduit, en déplaçant la paroi qui sépare ses intestins de sa matrice, alors qu’elle la pensait plus épaisse et plus rigide.
Cependant même si le passage est en partie obstrué le forcer n’est ni désagréable ni douloureux, étant donné que toutes ses chairs sont parfaitement élastiques, et cela au contraire la stimule encore plus. Elle comprend en effet pourquoi les femmes qui ont eu l’occasion de se faire prendre par deux hommes en même temps, deviennent parfois accro et ont envie de renouveler cette expérience. Les quinze centimètres d’olivier s’enfoncent en elle sans aucun problème, jusqu’à ce qui ne reste à l’extérieur que la partie qu’elle tient dans sa main.
La jeune femme se prend alors à regretter de n’avoir pas choisi le grand modèle de godemiché, qui dans ses dimensions est plus proche du gros sexe de son Papy même s’il reste modeste en comparaison. Cependant, convaincue que le dicton qui affirme que ce n’est pas la taille qui compte mais la manière dont on s’en sert, n’est pas éloigné de la vérité car il n’y a jamais de fumée sans feu, elle entreprend sans tarder de faire coulisser le piston en bois dans son tube de chair.
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Les mouvements du godemiché font également bouger le plug de l’autre côté de la fine membrane, et même si c’est de manière imperceptible cela stimule également son anus, ce que Jade ne tarde pas à trouver délicieux. C’est la raison pour laquelle elle n’envisage pas d’aller plus vite, se laissant aller à la lente montée de son plaisir et en savourant chaque instant.
Cela lui provoque au bout d’un moment des petits geignements de plaisir, et cette fois elle est déçue de ne pas avoir pensé à ouvrir les fenêtres de sa chambre, surtout celle donnant sous le balcon. Car si son mentor s’y trouve cela aurait montré à ce dernier qu’elle suit ses recommandations à la lettre, mais en plus pouvoir être entendue lui aurait fait éprouver un mélange de jubilation et de honte, ce qui elle en est convaincue aurait encore augmenté son excitation. Toutefois elle n’envisage pas de hausser le ton ce qu’elle trouverait ridicule, ni non plus de s’interrompre pour se relever et aller ouvrir, par conséquent elle se contente de continuer à se goder sans aucune hâte, certaine d’arriver de cette manière jusqu’à l’orgasme.
C’est bien entendu ce qui finit par lui arriver, et au plus fort de sa jouissance elle pousse cette fois un petit cri de pur plaisir, son corps se tend comme si elle venait d’être foudroyée, puis elle retombe lourdement sur le lit qui craque de protestation, pour finir par rester parfaitement immobile. La jeune femme reste quelques instants sans bouger, se remettant lentement du plaisir violent qu’elle a ressenti. Elle ne lutte pas lorsque ses paupières deviennent lourdes et se baissent devant ses yeux, puis elle sombre dans un sommeil profond dépourvu de rêves, sans même avoir eu l’idée de retirer le sexe en bois et le plug anal qui sont toujours en elle.
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Lorsqu’elle se réveille Jade sursaute parce qu’elle ne sait pas combien de temps elle a dormi, cependant son inquiétude est de courte durée, car elle ne tarde pas à penser que son Papy serait venu la réveiller s’il était tard. De plus, à travers les volets clos elle peut voir qu’il fait encore grand jour, ce qui lui indique que ce doit être la fin de l’après-midi.
Même si elle n’est pas restée longtemps inconsciente, elle est néanmoins parfaitement reposée. Aucun de ses muscles ne tire plus, pour lui rappeler qu’elle a effectué une longue marche à laquelle elle n’était pourtant pas préparée, et seul le godemiché qui est resté dans son vagin la dérange, car il n’y est plus le bienvenu. C’est la raison pour laquelle elle tire doucement dessus, et sa mouille ayant séché il oppose avant de ressortir une légère résistance, qui n’est cependant pas douloureuse.
Lorsqu’elle porte devant ses yeux le sexe en bois, la jeune femme constate que de nouvelles taches sont venues s’ajouter aux anciennes, et elles ne disparaissent pas lorsqu’elle se met à lécher le morceau d’olivier. Bien qu’elle sache que ce n’est pas grave elle décide d’aller le nettoyer discrètement dans la salle de bain, et sans enfiler ses sabots elle se dirige vers la porte de sa chambre. Lorsqu’elle ouvre cette dernière elle ne grince pas, puis à pas de loup comme une cambrioleuse elle traverse le salon, et ce n’est que quand elle se trouve dans la cuisine qu’elle se rend compte qu’elle porte toujours son plug. Toutefois celui-ci au contraire de son gode ne la dérange absolument pas, la preuve en est qu’elle n’avait pas remarqué sa présence même en marchant, et elle continue sa progression le sourire aux lèvres.
Malheureusement, une fois qu’elle l’a nettoyé elle constate que le sexe en bois est toujours souillé, enfin encore plus qu’avant qu’elle ne l’utilise puisqu’il l’était déjà, mais sans s’en formaliser elle retourne avec dans sa piaule, se disant que ça n’a pas vraiment d’importance vu qu’elle l’a utilisé exactement de la façon pour laquelle il a été conçu.
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Une fois qu’elle a refermé la porte derrière elle n’ayant pas vu l’ombre d’un berger, Jade se décide à rougir en se demandant si elle osera demander à Djouba qu’elle ne connaît pas encore, de lui faire un godemiché plus gros ayant les dimensions du sexe de son Papy. Car elle n’a aucun doute que c’est cet homme venu d’Afrique qui a sculpté celui qu’elle tient à la main, puisque son grand-oncle lui a affirmé que c’était l’un de ses talents. Cela lui rappelle que les invités de ce soir ne vont pas tarder à arriver, et c’est la raison pour laquelle elle décide qu’elle va aller retrouver son mentor, qui doit se trouver sous le grand chêne en train de préparer le feu pour le barbecue.
Après avoir rangé le gode à sa place elle hésite un bref instant, puis répondant à la suggestion qui lui a été faite elle retire son plug anal pour le remplacer par sa queue de belette, non sans avoir sucé l’œuf en bois quelques instants pour le lubrifier. Elle ne doute pas un seul instant, que quand les personnes qu’elle n’a pas encore rencontrées vont la voir ainsi attifée elle en sera mortifiée, en tout cas au début, mais elle est également convaincue que son grand-oncle a raison, et qu’une fois toute sa honte bue elle ne s’en sentira que plus forte. Il se pourrait même qu’à terme ça l’excite de s’exhiber de cette manière.
C’est la raison pour laquelle après avoir remis ses sabots suédois à talons haut elle ressort de sa chambre, puis de la Bergerie par la porte-fenêtre qui est sous le balcon, et elle se dirige bravement vers son Papy. Car comme elle le supposait, le vieil homme est en train de regarder brûler dans la construction de pierre destinée à faire griller de la viande, ce qui est encore une belle flambée mais va devenir un tas de braises.
Tandis qu’elle marche d’un pas résolu en direction du grand chêne, bien qu’elle soit légèrement anxieuse à l’idée de faire de nouvelles connaissances alors qu’elle est complètement nue, notre petite belette arrive tout de même à sourire en sentant sa queue qui caresse ses jambes, tandis qu’elle se balance tout comme sa queue de cheval haute de la même teinte, ainsi que ses gros seins. L’ensemble bien entendu au rythme de ses pas.
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La suite, si vous en manifestez le désir...
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