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Thérapie familiale

Chapitre 36

La valse des bergers.

Orgie / Partouze
En chemin pour aller jusqu’au Banc d’Amour Jade est à nouveau rouge, ce qui n’a rien à voir avec l’alcool qu’elle a bu, et ce dernier lui a au contraire donné le courage de passer à l’action. Car son déplacement est bien entendu remarqué par plusieurs personnes, mais elle parvient à ignorer les regards intrigués qui la suivent, en se concentrant sur le siège qu’elle veut atteindre.  Quand elle y est arrivée elle retire ses sabots suédois avant de s’installer, dans une position presque identique à celle qu’elle avait adoptée lorsqu’elle l’a essayé. C’est à dire que si l’arrière de sa tête est appuyé contre l’arrondi du haut et que ses fesses sont bien posées dans le creux, elle plie par contre les jambes en plaçant la plante de ses pieds sur l’arrondi du bas, avec ses mains sagement posées sur son ventre. Elle a écarté les cuisses d’une manière qui ne laisse aucun doute sur ce qui va suivre, puisque pour la toute première fois elle exhibe son intimité devant les personnes présentes. Mis à part bien entendu en ce qui concerne Damien et plus récemment Chloé.
Aurélie qui n’a pas manqué de la suivre commence par lui enlever sa queue de belette en tirant doucement dessus, puis après l’avoir jetée dans l’herbe elle fait pareil avec la sienne qui est chevaline, mais d’un mouvement bien plus sec comme si elle était pressée de s’en débarrasser. Ensuite ne voulant pas faire trop durer le moment de grande honte que Jade ressent, elle se met à genoux, puis elle se penche en avant de manière à ce que son ventre vienne s’appuyer contre le banc entre les pieds de la jeune femme, ses seins qui suivent le mouvement allant se caler dans la pente, et sa bouche se retrouvant en face de la vulve offerte de sa cadette.  Mais avant de s’y intéresser Pouliche redresse la tête pour regarder Belette, et elle lui dit de sa voix veloutée :
― Tu es nerveuse, mais c’est normal la première fois qu’on se fait manger l’abricot en public.  Puis elle ajoute, après lui avoir fait un clin d’œil :  ― Mais t’inquiète que je vais te détendre, et jouir devant ces voyeurs va tellement t’exciter que tu auras hâte de recommencer.
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Au départ Jade ferme les yeux pour éviter de croiser les regards des autres, mais aussi se laisser aller au plaisir qu’elle ne va pas tarder à ressentir. Car pour l’instant elle éprouve comme elle s’y attendait un mélange de gêne et d’exultation, cependant la première est lentement submergée par la seconde, lorsque la langue d’Aurélie commence à entrer en action. C’est à ce moment là que la jeune femme se rend compte que ses grandes lèvres s’étaient contractées sous l’effet de l’appréhension, mais elle les sent peu à peu retrouver leur souplesse naturelle, et même plus...
Belette qui s’est volontairement rendue aveugle à ce qui l’entoure, va lentement et à tâtons chercher la tête de Pouliche pour poser délicatement ses mains sur les joues de cette dernière, qu’elle caresse quelques instants comme pour la remercier, avant de les déplacer pour les mettre sur le sommet du crâne de sa bienfaitrice.
Tandis que son plaisir augmente lentement mais sûrement en intensité, son aînée ne semblant pas pressée de la faire jouir, Jade sent une brève secousse au bout de ses doigts mais également sur la langue qui lui procure du plaisir, lui indiquant que la tête d’Aurélie a légèrement bougé. Plus intriguée qu’inquiète elle ouvre les yeux, pour constater que son grand-oncle s’est mis à genoux derrière Pouliche qui est plus ou moins en levrette, et ses mouvements du bassin tout comme ses grosses mains posées sur les hanches fines de la bella mora, lui indiquent qu’il l’a pénétrée et qu’il est à présent en train de la besogner.
Le regard du vieil homme qui est rivé sur sa petite-nièce, montre très clairement à cette dernière qu’il est en même temps heureux et fier d’elle, et n’éprouvant plus aucune honte Jade en ressent une joie immense. Il la fixe quelques instants tout en faisant des allers et retour dans le vagin d’Aurélie, puis il se retire du fourreau de chair qui a pourtant l’air très accueillant, pour venir en contournant le banc par la gauche et en se déplaçant comme un pénitent, présenter son gland devant la bouche de sa Petite Belette. Bien qu’elle n’ait pas compris pourquoi il se comporte de cette manière elle se met à le téter sans aucune hésitation, jusqu’à ce qu’elle redécouvre son goût qui lui était avant cela caché par celui de la mouille de Pouliche.
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Aurélie qui pour sa part n’a pas arrêté de boire celle de Jade directement à la source, n’a pas le temps de se sentir abandonnée par le retrait de Damien puisqu’Alain vient aussitôt remplacer son aîné, qui se déplace à nouveau au bout d’une minute ou deux pour contourner le Banc d’Amour, en restant à genoux et en tournant toujours dans le sens des aiguilles d’une montre. Une fois qu’il est de l’autre côté il prend la main gauche de Jade comme la droite encore posée sur la tête de Pouliche, pour la mettre sur son membre tendu. La jeune femme comprend alors qu’elle doit masturber son grand-oncle, ce qu’elle s’emploie à faire lentement.
C’est alors que Laurent s’approche à son tour lui aussi la queue raide, et lorsque comme les autres il s’agenouille Jade comprend qu’elle doit lui aussi le branler. Les bergers se déplacent à nouveau sans surprise dans le sens horaire après un temps relativement court, mais celui qui est également boulanger s’arrête à sa bouche au lieu de contourner le siège, et Djouba en profite pour venir s’intercaler et présenter sa poutre devant sa petite menotte, tandis que son grand-oncle est retourné dans le vagin d’Aurélie qui continue imperturbable à lui manger la figue.
Le sexe de l’africain est tellement gros qu’il est impossible à Belette d’en faire le tour avec sa main, c’est pourquoi après avoir frotté son gland avec sa paume elle la place sous la hampe pour la caresser de cette manière, et en tendant le bras elle peut à tâtons aller jusqu’à ses testicules qu’elle palpe sans vergogne, et qui ont plus la taille de petits abricots que de grosses olives. Djouba semble apprécier cette attention puisqu’il lui caresse doucement la joue pour la remercier, mais même si elle a envie de tourner la tête pour lui sourire elle ne le peut pas, étant donné qu’elle a le gland de Laurent dans la bouche.
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Sans que Jade sache lequel a donné le signal les quatre hommes continuent leur rotation, se déplaçant dans le même sens et le suivant remplaçant le précédent. Elle s’intéresse à Aurélie dès qu’elle a un bâton de berger dans chaque main, car la femme doit recevoir la poutre dans son vagin et elle veut savoir quelle sera sa réaction. Cette dernière qui s’en doute a interrompu son cunnilingus pour la regarder, et la plus jeune voit les yeux de son aînée s’écarquiller tandis que le gros membre pénètre en elle, mais sans que le moindre signe de désagrément n’apparaisse sur son visage magnifique.
Après un temps qui lui semble long, Belette comprend que la progression est terminée lorsque Pouliche passe sa langue sur tout le tour de ses lèvres, avant de dire distinctement avec un accent africain assez bien imité :
― Hummm, y’a bon banania.
Cette remarque pouvant paraître raciste Jade reporte son attention sur le colosse noir, mais ce dernier qui a commencé à faire coulisser lentement son énorme piston dans le tube de chair, qui doit être distendu et l’enserrer d’une manière qu’il ne peut que trouver délicieuse, est en train de pouffer de rire. Prouvant ainsi que contrairement à d’autres il a de l’humour.
Consciente d’avoir négligé Alain puisqu’elle n’a pas encore mis son gland dans sa bouche pour le sucer, alors qu’elle n’a pas manqué de branler Damien et Laurent tout en regardant Aurélie et Djouba, Jade tourne la tête pour gober le gland qui l’a attendue apparemment sans impatience. Elle en découvre la saveur après s’être à nouveau régalée de celle d’Aurélie, et son grand-oncle en profite pour lui expliquer :
― Nous appelons ça la Valse des Bergers. Normalement elle ne se danse qu’à cinq, quatre hommes et une femme, mais lorsque cette dernière est une débutante il vaut mieux lui adjoindre une partenaire féminine, surtout lorsque Djouba participe.
Étant donné qu’elle n’a pas la possibilité de demander de plus amples informations, il ajoute :
― Et comme je suis certain que tu es en train de te poser la question, car sinon tu ne serais pas vraiment la fille de notre Renarde, nous n’avons rien prémédité mais nous nous sommes contentés de saisir l’occasion qui s’est présentée. De toute manière nous t’aurions appris ce ballet tôt ou tard, et pour qu’il soit parfaitement réalisé tu dois boire les jus d’au moins la moitié des hommes qui y participent, et la ou les partenaires féminines doivent avoir au minimum un orgasme chacune. Ce qui est tu en conviendras la moindre des choses.
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Ces précisions ayant été données la danse continue sans paroles, puisqu’elle ne s’était pas arrêtée, et lorsque Djouba lui présente son énorme gland presque aussi foncé que le reste de sa peau, Jade se contente de le lécher parce qu’elle se sent incapable de le mettre dans sa bouche. Néanmoins pendant tout le temps qu’il reste à sa portée elle s’ingénie à le caresser avec sa langue, allant jusqu’à essayer d’en mettre le bout dans la fente du méat, et elle va même en tordant le cou passer son appendice sur les grosses bourses fripées, pour arriver ensuite à gober ses abricots l’un après l’autre, tout en se demandant si elle ne va pas s’en décrocher la mâchoire ni attraper un torticolis. Le berger africain semble apprécier les efforts qu’elle fait, puisqu’avant de changer à nouveau de place il lui caresse une deuxième fois tendrement la joue.
Si le but du jeu avait été de jouir en premier c’est incontestablement Pouliche qui aurait gagné, étant donné que peu après que le colosse se soit réintroduit dans son vagin elle a un orgasme. Ce dernier semble puissant, puisque lorsqu’elle redresse soudainement la tête interrompant du coup le cunnilingus qu’elle est en train de lui prodiguer, Jade voit du coin de l’œil les yeux d’Aurélie se révulser. Son côté animal prend incontestablement le dessus vu qu’elle pousse un cri qui ressemble à un feulement, alors que jusqu’à présent elle s’était contentée de geindre discrètement. Il semble même à Belette que Pouliche est prise d’une éjaculation féminine, mais elle ne peut pas en être certaine puisqu’elle mal placée pour le vérifier.
Pourtant, une fois son plaisir consommé la superbe méditerranéenne se remet à la lécher dans les moindres recoins comme si rien ne lui était arrivé, et le colosse recommence à la pistonner parce que personne n’a encore donné le signal pour changer de place.
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Jade jouit bonne deuxième peu de temps après, alors qu’elle a bien évidemment un bâton de berger dans chaque main et un gland dans la bouche. Mais il faut préciser qu’Aurélie très agile avec sa langue, s’est ingéniée à faire durer le plaisir le plus longtemps possible. Elle s’est en effet appliquée à chauffer sa compagne de jeu, allant l’exciter jusqu’à ce qu’elle arrive au bord de l’explosion en titillant ses zones les plus sensibles, pour se retirer avant que cela n’arrive et se contenter de lécher les parties de sa vulve beaucoup moins érogènes, pour recommencer à s’intéresser à celles qui le sont plus dès qu’elle sentait que la tension retombait.
Pour arriver à pratiquer cette douce torture, il faut que la personne qui l’administre soit attentive à la moindre réaction de sa partenaire, ce qui peut se révéler facile pour des amants qui se connaissent depuis longtemps, et de ce fait par cœur. C’est beaucoup plus délicat lorsqu’il est question d’une première fois, mais c’est pourtant un exercice que Pouliche semble maîtriser, et qu’il faille ajouter à sa beauté qu’elle est en plus une partenaire sexuelle experte, démontre qu’elle est une personne d’exception.
Toutefois Jade est bien loin de s’en rendre compte sur le moment, d’autant qu’elle a l’impression d’avoir affaire à une sadique qui l’a menée elle ne sait plus combien de fois au bord de l’orgasme, sans jamais lui permettre d’y arriver. Bien entendu cela reste imagé puisque ça n’avait rien pour elle de douloureux, même si l’intensité du plaisir qu’elle a ressenti était en accordéon, et lorsque sa tortionnaire lui permet enfin d’exploser elle pousse un cri strident, tout en sentant du liquide chaud jaillir de son trou à pipi par saccades.
Étant donné que l’entrée de son vagin s’était ouverte, probablement parce que ce dernier suite aux caresses buccales maintes fois répétées s’attendait à être comblé, il crache de dépit au visage de celle qui l’a mis dans cet état, cette dernière étonnamment ne faisant rien pour éviter d’être aspergée.
Car il est certain que vu son expérience Aurélie devait s’attendre à ce qu’un tel phénomène se produise, et c’était peut-être même le but qu’elle recherchait, toutefois elle n’a pas bougé de manière à recevoir la douche en pleine face, et elle va jusqu’à ouvrir la bouche pour qu’une partie du liquide atterrisse dedans. Elle se fait d’ailleurs un devoir de le boire au fur et à mesure comme si c’était du sperme, alors qu’en réalité ce n’est ni de l’urine ni de la cyprine, mais peut-être un mélange des deux.
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Cette jouissance a eu lieu sous les regards impassibles des hommes, même si Damien qui était à ce moment-là dans la bouche de Jade s’est retiré précipitamment, de peur qu’un serrement de mâchoire incontrôlé ne lui fasse subir un préjudice. Ce qui aurait quelque peu gâché la valse des bergers. Mais les autres sont restés imperturbables, contrairement aux spectateurs qui se sont mis en cercle autour des danseurs, et qui se fendent à présent de commentaires après que certains d’entre eux aient éclaté de rire, pour exprimer leur contentement devant le spectacle qui leur est offert.
Jade qui avait pratiquement oublié leur présence, parce que son attention était accaparée par ses partenaires de valse, se sent tout à coup mortifiée. Toutefois elle ne sait pas si les autres s’en rendent compte parce qu’elle devait déjà être très rouge, de plus Aurélie qui lui a laissé un court instant de répit se remet à la lécher, sans se soucier du liquide qui continue à s’écouler sur son visage.
Pouliche semble très satisfaite de sa prestation, et encore plus lorsque les bergers changent encore de place et que c’est le tour de Djouba de venir enfoncer à nouveau sa poutre dans son vagin. Étant donné que la femme a déjà joui une fois et que son intimité doit être dilatée mais aussi lubrifiée à souhait, le berger africain prend beaucoup moins de précautions qu’avant. Il prête toutefois attention à ne pas la déranger dans son cunnilingus, et le plaisir qu’ils ressentent est de toute évidence partagé.
Cependant Jade n’a pas le loisir de continuer à les regarder du coin de l’œil, même si elle les trouve magnifiques, car Alain dont le gland est dans sa bouche la prévient avec des intonations typiquement bourguignonnes :
― Te vas pas tarder à r’cevoir ma purée, chtite.
C’est bien entendu ce qui arrive, et Belette réussit à avaler au fur et à mesure les jets de semence qui giclent en elle à un rythme régulier, mais sont à chaque fois moins abondants. Ce qui lui est facilité par le fait qu’elle en aime le goût, et quand la source est tarie elle s’applique à lécher le gland du berger, avant de lever les yeux vers lui et de lui dire en rougissant :
― Merci.
Ce simple mot lui vaut des applaudissements de la part des spectateurs, qui s’ils la font devenir écarlate la rendent en même temps assez fière d’elle, et l’homme lui répond tout en caressant tendrement sa joue, avant de se relever pour quitter la danse :
― C’est moi qui t’remercie, chtite.
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Si Damien vient aussitôt remplacer son collègue les autres ne changent pas de place, en tout cas pas encore, et Jade se sent comme déséquilibrée puisqu’elle a à présent un bâton de berger dans sa main gauche mais la droite reste vide. D’autant plus que lorsque la valse reprend Djouba vient directement présenter son énorme gland devant sa bouche, alors elle va poser sa menotte abandonnée sur la nuque d’Aurélie, non pas pour adopter une attitude dominante mais pour la caresser affectueusement.
Pouliche qui a continué à la lécher sans montrer le moindre signe de lassitude, mais a au contraire toujours l’air de se régaler, le comprend parfaitement puisqu’elle relève brièvement la tête pour lui faire un beau sourire. Ensuite la femme replonge entre ses cuisses, pour recommencer à faire monter son plaisir tout en prenant soin de ne pas la mener jusqu’à la jouissance, puisqu’elle s’est remise à lui faire subir la même douce torture.
Lorsque Laurent arrive à sa bouche après une nouvelle rotation, Jade tête quelques instants son gland se régalant au passage de la mouille de leur compagne de jeu, puis le berger lui dit avec l’accent provençal :
― Ça va être mon tour, pitchounette.
Elle n’a pas besoin qu’il soit plus explicite pour comprendre qu’il est lui aussi arrivé au point de non retour, elle n’est par conséquent pas surprise lorsque de nouveaux jets de sperme giclent dans sa bouche, et elle les avale cette fois encore avec délectation, trouvant au liquide gluant un goût en même temps semblable et différent de celui d’Alain. Lorsqu’elle a terminé après avoir léché son gland elle le remercie lui aussi, ce qui lui vaut une nouvelle ovation de la part de leurs spectateurs, la faisant rougir mais dans une moindre mesure.
Ensuite le boulanger après s’être lui aussi remis debout s’éloigne, se contentant avant de partir de lui faire un sourire tout en flattant le sommet de son crâne, et il est aussitôt remplacé par Damien tandis que Djouba dont elle s’occupait du membre de la main gauche, va combler les espérances d’Aurélie.
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Les deux hommes restants font ensuite plusieurs rotations, montrant ainsi qu’ils sont plus endurants que les autres bergers même si ce n’est pas un titre de gloire, et c’est alors que le doyen du plateau est en train d’aller et venir dans le vagin de Pouliche, que cette dernière a un nouvel orgasme. Bien que le bâton qui est en train de fouir son ventre soit de taille plus modeste que celui du colosse africain, le plaisir que la jeune femme éprouve à ce moment-là n’en à pas l’air moins puissant que la première fois. Du moins si on en juge son deuxième feulement, qui est venu remplacer les geignements bien plus discrets qu’elle a poussés entre-temps. Là encore elle a redressé la tête pour regarder Jade d’un air hagard, et la plus jeune de deux se prend à regretter de ne pas être à la place de son aînée.
Sa jouissance consommée Aurélie continue son cunnilingus, et la valse suit son cours jusqu’à ce que Djouba dont la poutre est devant la bouche de Belette, lui annonce :
― Prépare-toi, Jade fille de Anne-Lise.
La jeune femme a un bref moment d’hésitation, parce qu’elle est persuadée qu’elle ne pourra jamais faire entrer l’énorme gland dans sa bouche, alors elle se décide à coller ses lèvres du haut contre l’œuf de chair, et en écartant ses mâchoires au maximum elle y parvient aux deux-tiers. Le colosse africain fort de son expérience exerce une lente poussée, comme par magie les tissus spongieux se contractent pour pénétrer plus avant, et le gros bourgeon finit par s’enfoncer en elle complètement.
Belette ne se sent pas très à l’aise dans cette posture car elle se sent bloquée mais également distentue, toutefois confiante elle reçoit les salves de semence sans en perdre une goutte, même si elle a du mal à les avaler en rythme, parce que le liquide fourni par Djouba est beaucoup plus abondant que celui des autres bergers. Son goût quant à lui est différent même si c’est de manière subtile, et elle l’aime tout autant.
Lorsque cette nouvelle source c’est elle aussi tarie le colosse se retire avec autant de délicatesse qu’il est entré, et Belette passe sa langue sur toute la surface de l’énorme bulbe, avant de prononcer le mot qui est pour elle en train de devenir rituel :
― Merci.― Ce fut un honneur, Jade fille de Anne-Lise.
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L’intéressée rougit à peine lorsque les voyeurs tapent dans les mains pour témoigner leur contentement, mais c’est peut-être parce qu’elle n’en a pas le temps, Pouliche attirant aussitôt l’attention de tout le monde en poussant un troisième feulement. Cependant cette fois elle ne relève pas la tête, mais elle se fait un devoir d’agacer le clitoris de Belette avec sa langue, de manière à la faire jouir elle aussi dans la foulée. Ce qui a pour résultat que la jeune femme a une deuxième éjaculation féminine, moins abondante que la première, que son aînée prend en pleine face puisqu’elle n’a pas cette fois non plus éprouvé le besoin de l’éviter, bien qu’elle savait que cela allait arriver puisque c’était le but qu’elle recherchait. Elle a juste fermé les yeux, afin d’éviter qu’ils soient eux aussi aspergés.
Damien qui était toujours en train de la besogner émet soudain des grognements, qui montrent à tous que même s’il a été le plus résistant des bergers il n’a pas pu se retenir jusqu’à la bouche de sa petite-nièce, à moins qu’il ait agi par choix estimant que Pouliche qu’il est en train de prendre en levrette, méritait d’avoir sa ration de semence. Toujours est-il que Jade qui connaît déjà le goût du sperme de son grand-oncle n’en éprouve aucun dépit, d’autant plus qu’une fois que ce dernier s’est retiré elle peut lécher sa propre éjaculation, quand Aurélie passe par dessus le petit arrondi pour venir mettre son visage à portée de sa langue.
Lorsqu’elle a fini de lécher et d’avaler son propre liquide Belette rote bruyamment, et la énième salve d’applaudissements qui s’ensuit ne la fait même pas rougir. Mais il faut dire qu’avant que les spectateurs-voyeurs ne réagissent, sa langue s’est mise à tourner autour de celle de Pouliche, puisque les deux femmes s’embrassent goulûment comme si elles étaient de véritables amantes.
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La suite, si vous en manifestez le désir...
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