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Thérapie familiale

Chapitre 37

La douche froide.

Inceste
Les deux femmes ayant fini de s’embrasser Aurélie se relève la première, et le fait qu’ivre de plaisir et de fatigue elle ne tienne pas solidement sur ses jambes, ne l’empêche pas d’aider Jade à en faire autant. Jonathan qui jusqu’à présent a brillé par sa discrétion s’avance vers elles pour leur apporter son soutien, mais sa pensionnaire le congédie d’un geste de la main en lui disant :
― Laisse mon Biquet, on n’est pas en sucre. C’est pourquoi je pense qu’une bonne douche froide va nous faire du bien, car elle va en même temps nous redonner un coup de fouet et nous décrasser.  Si le berger est déçu que son aide lui soit refusée il n’en laisse rien paraître, tout comme s’efforce de le faire Jade qui trouve cet homme toujours aussi séduisant et est dépitée de ne pas pouvoir s’accrocher à lui, d’autant plus qu’ils sont complètement nus. La jeune femme est étonnée de le voir ensuite attraper un tuyau souple marron qu’elle n’avait pas encore remarqué, et qui part d’un côté en suivant le tronc du Grand Chêne pour s’enrouler autour d’une de ses branches les plus basses. Et l’autre bout n’étant pas contrairement au premier fixé, il va l’enfiler dans le bec de canard de la fontaine en le faisant tourner. Comme par magie de l’eau ne tarde pas à s’écouler en une pluie fine de l’arbre, par un gros pommeau qui s’il n’est pas vraiment camouflé n’est reste pas moins discret tant qu’il n’est pas utilisé.  Pouliche se tourne alors vers Belette, et elle lui demande :
― Tu es partante, ma Toute Douce ?
Étant donné qu’elle a déjà tenté cette expérience chez elle il y a quelques jours, et que les premiers instants passés elle l’avait trouvée tonifiante, l’intéressée répond :
― Pour ce qui est de me donner en spectacle, je suis plus à ça près.  Cette remarque lui vaut un très beau sourire de la part de la noiraude, qui réplique non sans humour :
― Je te l’avais bien dit, qu’avec moi tu allais progresser. 
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Aurélie commence par enlever ses sabots suédois toujours chaussés à ses pieds, contrairement à ceux de Jade qu’elle lui avait elle-même retirés avant qu’elles fassent leur show, puis elle prend sa cadette par la main avant de s’élancer en criant, afin de franchir les quelques mètres qui les séparent de la cascade artificielle. Les exclamations poussées durant tout le temps qu’elles courent sur l’herbe sont préventives, pour se donner de l’allant et se préparer au choc thermique. Car l’air reste encore chaud en ce début de soirée d’été, et même si l’eau est brumisée par les touts petits trous du pommeau, elle n’en reste pas moins très fraîche puisqu’elle arrive directement d’une source et n’a pas le temps de se réchauffer.
Cependant, une fois qu’elle est entièrement mouillée Jade trouve que ce n’est pas si désagréable que ça. Elle éclate d’un rire joyeux bientôt imitée par sa compagne de douche, et l’attitude juvénile d’Aurélie qui avec sa trentaine est pourtant une femme dans toute sa plénitude, réjouit sa cadette encore plus bien qu’elle ne puisse pas s’expliquer pourquoi. Elle se laisse faire, lorsque son aînée passe derrière elle pour dénouer le lacet de cuir qui retient ses cheveux en queue de cheval haute, l’enroulant ensuite autour se son poignet afin de l’y attacher, et quand elle lui rend la politesse elle constate que la crinière d’ébène est nouée avec un lien identique au sien, en même temps simple et efficace.
Lorsque leurs toisons ruisselantes pendent librement dans leurs dos les deux femmes entreprennent de frotter chacune le corps de l’autre, comme pour essayer de faire disparaître leurs chairs de poules respectives mais sans y parvenir. Puis elles s’intéressent à leur parties intimes qui ont été souillées par leurs plaisirs, mais avec beaucoup plus de retenue et même une certaine délicatesse, s’arrêtant de temps en temps pour se sourire. Jade apprécie énormément de se faire tripoter la vulve par cette personne magnifique, même si ce n’est que dans un but hygiénique, et elle est étonnée en réalisant qu’elle n’en éprouve aucune gêne mais juste du plaisir.

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Une fois ce nettoyage sommaire terminé, étant donné qu’elles n’ont pas de savon pour se laver plus que ça, Jade hésite à sortir de sous cette pluie froide qui fait darder ses tétons, mais constatant que Valérie vient dans leur direction dans la ferme intention de les rejoindre, même si contrairement à Aurélie et elle la femme mûre avance d’un pas tranquille, elle décide de poursuivre l’expérience encore un peu. Car non seulement sous le pommeau qui arrose sur un rayon d’environ cinquante centimètres elles peuvent largement tenir à trois, mais elle ne veut pas paraître impolie se disant que la mylf a probablement envie de partager ce moment avec elles. C’est certainement ce que doit penser également sa compagne du moment, puisqu’elle ne bouge pas non plus.
À la grande surprise de Belette, Bichette après avoir elle aussi retiré ses sabots suédois contourne la pluie artificielle, pour aller se mettre accroupie là où l’eau s’écoule ensuite sur le sol sans se soucier de mouiller ses pieds nus, puis sans complexe elle vide sa vessie ne s’inquiétant pas non plus que quelqu’un puisse la regarder faire. Lorsqu’elle a terminé elle se relève pour entrer sans broncher sous la douche, et elle passe tranquillement ses mains sur son corps plantureux, pour aider le liquide à aller là où il n’aurait pas pu l’atteindre étant donné que le jet est unidirectionnel. Mais peut-être également pour faire circuler son sang.
Jade qui s’est efforcée de ne pas montrer son embarras quand la mylf s’est soulagée devant tout le monde, réagit différemment lorsqu’elle se rend compte que Damien est en train de les photographier. Son appareil espion est apparu comme par magie alors qu’elles ne faisaient pas attention, si bien que Pouliche et elle ne savent pas depuis combien de temps le vieil homme fait le paparazzo.
La Bella Mora ne semblant ni surprise ni contrariée, la rousse se dit que ce genre de prises de vues improvisées doit être fréquent, et sans se consulter les deux jeunes femmes s’enlacent par la taille et tirent la langue à l’objectif en se penchant en avant. Ce qui fait pendre un peu plus leurs admirables poitrines, mais également leurs cheveux qui en profitent pour glisser sur leurs épaules et venir sur le devant de leurs corps. Comme si cela ne suffisait pas, elles poussent la provocation jusqu’à lever chacune leur main qui se trouve à l’extérieur, pour faire en même temps un doigt d’honneur au photographe amateur.
À présent qu’elles sont trois sous la douche, chacune d’une génération et d’une teinte de cheveux différentes, le reportage continue tandis qu’elles s’amusent en s’éclaboussant avec l’eau comme des gamines, la plus âgée n’étant pas la moins espiègle du trio. Jade sachant que son grand-oncle en serait contrarié s’efforce à présent de ne plus regarder l’objectif, comme si elles étaient seules au monde, et elle constate que ses camarades de jeu ont adopté le même comportement, sans doute parce que ses aînées ont reçu à un moment donné la même consigne qu’elle.
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Lorsque Jade se décide enfin à sortir de sous cette pluie artificielle surtout parce que sa peau a commencé à se friper, elle remarque que plusieurs personnes semblent attendre pour y aller à leur tour. Elles auraient pu y entrer tandis qu’elle y était encore, mais sans doute ont-elles eu peur de déranger. C’est ainsi qu’alors qu’elle est suivie par Aurélie, Valérie s’attardant un peu, Djouba et Hermine vont se placer sous le pommeau.
Belette s’intéresse alors de savoir comment toute cette eau est évacuée, car elle a tout le temps eu les pieds dans l’herbe mouillée sans pour autant patauger ce qu’elle a trouvé très agréable, et elle constate que plusieurs petites rigoles ont été ingénieusement creusées, se rejoignant ensuite pour en former de plus grosses et finir par n’en faire plus qu’une, dans laquelle l’eau s’écoule suivant la légère pente du terrain. Autant de détails qu’elle n’avait pas remarqués avant, mais qui lui ont apporté un confort discret qu’elle a pu apprécier.
En passant toujours ruisselante près de son grand-oncle elle fait mine de l’éclabousser, mais ce dernier se défend en se servant de son appareil-photos comme d’un bouclier, car il sait que sa petite-nièce ne prendra pas le risque de le mouiller de peur de l’endommager. C’est pourquoi elle se contente de lâcher un « Petit joueur » en le dépassant, et elle récupère au passage tout comme Pouliche ses sabots suédois qu’elle enfile, mais aussi leurs queues qu’elles se pluguent l’une l’autre.
La table était occultée par le tronc du Grand Chêne qui se trouve entre la douche et elle, c’est pourquoi les deux femmes découvrent qu’elles n’ont pas été les seules à se donner en spectacle, puisqu’Élodie qui est debout et penchée en avant, ses seins et son ventre rond pendants sous elle, est en train de se faire prendre à la hussarde par Théo. Le jeune homme bien que ne devant pas avoir une très longue expérience, est en train de faire coulisser tranquillement son membre tendu aussi gros que celui de Damien dans le vagin de Lapine, comme s’il avait toute sa vie devant lui. Ce qui est effectivement le cas, étant donné qu’il n’a encore que 18 ans.
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Chose hallucinante pour Jade, le caganis des bergers a posé une assiette à dessert dans le creux des reins de sa partenaire que ça n’a pas l’air de déranger, et alors qu’il la tient par la taille il la lâche de temps en temps d’une main, pour enfourner dans sa bouche une cuillerée de tiramisu, tandis qu’elle continue à geindre doucement puisqu’il ne s’arrête pas pour autant de la besogner. Mais la femme enceinte n’est pas privée de dessert pour autant, vu que Stéphanie en maman de substitution très attentionnée, et qui est assise juste à côté d’eux en face d’Alain avec qui elle discute tranquillement, porte parfois jusqu’à la bouche de la future mère sa propre cuillère pour lui donner la becquée, car elles ont apparemment décidé de se partager une grosse portion de gâteau.
Semblant trouver la scène pourtant surprenante tout à fait normale, certainement parce que ce n’est pas la première du genre à laquelle elle assiste, Aurélie piochant dans une pile d’assiettes prélève une portion de tiramisu dans un plat en grès, puis elle s’installe sans façons sur le banc à côté d’Alain. Jade hésite à faire pareil, et Stéphanie qui se méprend au sujet de son temps de retard, lui dit :
― Surtout n’aies pas peur et régale-toi ma Belle. Car il y en a un deuxième au réfrigérateur, et c’est une des spécialités de Valérie.
La jeune femme ne détrompe pas son aînée, d’autant plus que chose étonnante elle a réussi à ne pas rougir, et elle répond tandis qu’elle va s’asseoir elle aussi mais à côté de Levrette, qui d’autorité est en train de lui remplir généreusement une assiette :
― J’espère qu’y en restera, parce que c’est mon dessert préféré et ça le fera aussi demain matin au petit-dèj.
Cette remarque fait sourire les personnes présentes, sauf les deux qui sont emboîtées l’une dans l’autre parce qu’elles ont d’autres préoccupations, mais Pouliche douche les espoirs de Belette :
― À ta place je ne compterais pas trop là dessus, car il y en a toujours un qui en réclame alors que les plats ont déjà été ressuyés.
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Jade qui observe Élodie du coin de l’œil, car elle ne sait toujours pas comment se comporter vis à vis du couple en train de faire l’amour sans aucune pudeur, alors que d’autres sont en train de manger tranquillement juste à côté d’eux, constate que la femme n’est pas loin d’avoir un orgasme. Car si elle est toujours autant discrète, comme si elle avait peur de réveiller ses enfants dormants dans une chambre attenante, les geignements de Lapine sont devenus en même temps plus aigus et plus rapprochés. Levrette qui cette fois a compris le trouble de Belette, lui explique :
― Tu sais, c’est normal que tu te sentes un peu mal à l’aise par rapport à notre manière de vivre, car c’est tout nouveau pour toi. Et si notre belle Pouliche n’avait pas fait avancer les choses, en te convainquant d’aller te mettre sur le dos pour qu’elle puisse te manger l’abricot, ce soir nous nous serions contentés de quelques caresses pour que tu t’habitues petit à petit à nous. Mais le fait que tu aies participé à un show nous a montré que tu étais prête à en voir d’autres, par conséquent tu peux les mater sans avoir à te cacher et même prendre du plaisir à le faire. Car si ça leur posait le moindre problème d’être vus, ils s’isoleraient pour prendre leur pied en toute intimité.
Pouliche surenchérit :
― En plus, je pense que tu n’as pas manqué de constater tout à l’heure, que faire ça en public augmente l’excitation qu’on ressent.
Jade rougit au souvenir qu’elle s’est elle-même donnée en spectacle, ce qui ne l’empêche pas de tourner la tête pour regarder franchement Lapine qui lui fait un clin d’œil. Alors pour montrer qu’elle est en accord avec ce qui est en train de se passer, Belette pose distraitement la main qui ne lui sert pas pour manger son dessert sur sa vulve. Non pas qu’elle ait vraiment l’intention de se masturber en jouant la voyeuse, mais elle veut tout simplement faire à Rome comme les romains. Stéphanie qui n’a pas manqué de le remarquer se retient de sourire, elle caresse doucement le ventre rebondi d’Élodie comme pour la flatter et elle lui demande :
― Nous n’avons pas raison, ma Belle ?
La femme enceinte confirme, en haletant légèrement :
― Oh oui Maman. Prendre son pied quand on est maté, c’est bien meilleur que tout seul dans le noir.
Comme pour appuyer ses propos alors qu’il s’agit d’une coïncidence, elle émet un gémissement aigu mais pas très fort qui montre qu’elle est en train d’avoir son orgasme, et elle est rejointe par Théo qui pousse des grognements alors qu’il atteint la jouissance en même temps qu’elle.
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Les deux partenaires de sexe restent quelques instants immobiles, le temps de récupérer du plaisir intense qu’ils viennent de ressentir, puis le berger se recule pour ressortir son bâton de sa housse de chair, et après avoir mis une petite tape amicale sur les fesses de la femme enceinte et reposé son assiette maintenant vide sur la table, il se dirige la queue en avant vers Aurélie. Cette dernière sourit en le voyant approcher, et encore plus lorsqu’il lui demande :
― Tu veux un supplément de crème, Pouliche ?
Sans hésiter la Bella Mora ouvre la bouche en grand, et Jade voit le membre de Théo qui mesure dans les vingt-cinq centimètres de long disparaître à l’intérieur sans un accroc, jusqu’à ce que les bourses encore bien accrochées du jeune homme viennent s’appuyer contre le menton de la femme. Le regard de cette dernière planté dans celui du caganis n’a même pas cillé, montrant qu’elle est habituée à avaler des sexes d’hommes de belles dimensions, et encore cette fois Belette se demande si un lien de parenté ne les unit pas tant ils se ressemblent.
Pendant ce temps, Alain plein de sollicitude pour Élodie est allé s’agenouiller derrière elle et il est en train de lui lécher la vulve, lui faisant ainsi une toilette intime qu’un père ne devrait en théorie jamais faire à sa fille. Jade est étonnée que la langue du berger en allant fouiller le vagin de sa pensionnaire aussi profondément qu’elle le peut, aille récolter en plus de sa mouille le sperme d’un autre, cependant par souci de discrétion elle s’efforce de n’en rien laisser paraître.
Car si le fait qu’un homme puisse aimer le foutre ne la choque pas, étant donné qu’elle-même l’adore, elle ne peut pas s’empêcher de se demander si elle serait en mesure de tomber amoureuse d’un de ceux qui prennent plaisir à se comporter de cette manière, tant ce comportement lui semble éloigné de la virilité masculine telle qu’elle l’idéalise.
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La suite, si vous en manifestez le désir...
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