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Thérapie familiale

Chapitre 38

Pipes et joints.

Hétéro
Théo fait coulisser plusieurs fois son membre de belles proportions dans la gorge d’Aurélie, alors que la jeune femme ne salive pas plus que ça, et il s’arrête à chaque fois que son gland se retrouve dans sa bouche pour lui laisser l’occasion de respirer. La superbe méditerranéenne est tout à fait à son aise dans cet exercice, au point qu’elle arrive à sourire quand seul le bout de la queue se retrouve en elle. Avant qu’elle ne la pénètre une dernière fois elle va jusqu’à tirer la langue, et avec son bout caresser les testicules du jeune homme quand il s’est enfoncé au plus profond. Puis lorsqu’il s’est définitivement retiré elle lèche le gros bâton, afin qu’il ne reste plus dessus qu’une fine pellicule qui le fait reluire.  Alain pendant ce temps s’est appliqué à nettoyer la vulve de sa fille dans ses moindres recoins, puis il se relève pour l’aider à s’asseoir à la place qu’il occupait avant, et ensuite aller prendre celle qui est à côté de Jade tandis que Théo se met en face de lui. Une fois qu’ils sont tous installés Jonathan et Clément arrivent venant de la Bergerie, où ils sont allés faire eux seuls savent quoi.
Tandis que le premier vient se placer debout à côté de sa pensionnaire, posant une main sur son épaule, le second sort de son sac-à-dos du papier à rouler, un paquet de tabac ainsi qu’un petit bout de pâte dure rectangulaire et foncée, que jade devine être du cannabis même si elle n’en a jamais vu auparavant. Le caganis va ensuite s’asseoir à l’autre bout de la table, sans aucun doute pour s’éviter toute critique même si pour l’instant il n’a pas l’intention de fumer mais juste de se rouler un joint, et il se met sans tarder à la besogne. 
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Stéphanie ayant constaté que Jade est en train d’observer le jeune berger, plus par curiosité qu’autre chose étant donné qu’elle n’a jamais vu de ses propres yeux quelqu’un faire ça, lui dit :
― Les gens bien-pensants trouveraient certainement notre façon d’être choquante, mais ici nous aimons presque tous fumer de temps en temps, car ça nous détend.
Alain intervient, avec son accent provençal :
― Comme si on était stressés, franchement, avec la vie qu’on mène...
Il n’a pas terminé sa phrase volontairement, et Aurélie en profite pour donner son avis de sa voix veloutée :
― C’est sûr que vous les bergers vous êtes pénards toute l’année, mais moi ça me fait du bien de décompresser un peu quand je viens ici, même si ce n’est qu’un mois par an.  Jade aussitôt intéressée, lui demande :
― C’est quoi ton métier ?― Devine.― Médecin ?
― Perdu.― Ingénieur ?― Encore perdu.― Donne moi un indice, au moins.― Ça a un rapport avec la loi.― Flic ?― Non, mais ça m’a tentée à un moment.― Juge ?― Presque.― Avocate ?―Gagné.  Jade est impressionnée que cette très belle femme soit aussi bien pourvue au niveau du mental que du physique, et elle lui pose une autre question :
― Mais comment t’as atterri ici ?― Un peu par hasard. Il y a deux ans alors que je venais à peine de finir mes études, j’ai été commise d’office pour défendre un berger dont le chien avait tué celui d’un chasseur. Et comme je voulais voir mon tout premier client pour préparer ma plaidoirie avant d’aller au tribunal, j’ai fait la connaissance de ton Papy à l’auberge de Saint André de Valborgne, où nous nous étions donnés rendez-vous. Je l’ai trouvé très séduisant malgré son âge, mais également très ouvert d’esprit puisqu’il m’a raconté en détails de quelle manière on vit ici. Ensuite il m’a proposé de monter pour voir le lieu du drame, et une fois dans la grange lorsqu’il s’est déshabillé j’ai fait comme lui, car je n’étais plus une oie blanche depuis déjà pas mal de temps, même si je n’étais pas encore une adepte du nudisme ni des joies du sexe en plein air.  Comme pour ménager le suspense Aurélie marque une courte pause, puis elle continue :
― Contrairement à pendant le repas, nous avons très peu parlé pendant la grimpette. Mais il faut dire que je marchais devant et lui derrière, et j’étais obligée de faire attention où je mettais les pieds alors je ne pouvais pas me retourner. Mais j’étais excitée car convaincue qu’il lorgnait mon cul tandis que j’avançais, et pour lui montrer que ça me plaisait je me suis mise à en faire des tonnes. Me déhanchant à chaque fois que je mettais un pied devant l’autre, et me penchant en avant à la moindre occasion pour admirer une petite fleur ou un insecte, comme si je n’en avais jamais vu auparavant. Quand nous sommes arrivés dans la clairière, et que je me suis pour la centième fois pliée en deux afin d’enlever un caillou imaginaire dans une de mes chaussures, il a posé ses mains sur mes hanches et il m’a directement enfilée à la hussarde...
Stéphanie intervient :
― Le coup de la clairière, c’est un grand classique chez les bergers.
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Aurélie reprend sa phrase là où elle a été interrompue, sans paraître contrariée que son aînée lui ait coupé la parole :
― ... sans que je sache à quel moment son sexe s’était mis en érection, puisque je ne m’étais pas retournée une seule fois pendant toute la montée. Bien évidemment j’étais plus que consentante et j’ai pris grave mon pied, car je ne m’étais jamais avant ce jour faite tringler en pleine nature et ça m’avait drôlement excitée. J’ai passé la nuit ici alors que ça n’était pas prévu, il m’a sodomisée dans la soirée, et au petit matin je l’ai sucé pour le remercier de son accueil plus que chaleureux, puis je suis retournée à la civilisation.
La narration se poursuit :
― Nous avons gagné notre procès étant donné que les chasseurs n’avaient rien à faire ici, et l’année d’après je suis devenue sa pensionnaire puisque comme le courant était passé à fond entre nous, nous étions restés en contact. Lorsqu’il m’a annoncé il y a quelques jours qu’il allait t’accueillir, il m’a proposé plusieurs alternatives. La première étant que nous cohabitions tous les trois, ce qui n’aurait pas été juste puisque Théo est tout seul, et la fille qui devait venir chez Jonathan s’est désistée au dernier moment.
La Bella Mora prend alors le sexe de son berger dans sa main tout en continuant de regarder Jade, et elle l’attrape du premier coup bien qu’elle ne le voie pas. Le membre augmente aussitôt de volume entre ses doigt caressants, ce qui amène un beau sourire sur ses lèvres puisque ça par contre elle peut le sentir, puis elle conclut :
― Mon choix s’est porté sur cette belle queue même si celle de Théo est plus grosse, car nous avons mon Biquet et moi plus d’affinités, ce qui est probablement dû au fait que nous n’avons pas beaucoup de différence d’âge.
Jade qui a compris qu’elle a fini, lui dit en rougissant légèrement :
― Mais en gros, je t’ai piqué ta place.― Oui et non, car il était logique que tu ailles chez le seul berger que tu connaissais, alors que moi je les avais déjà tous essayés. Par conséquent tu n’as pas de remords à avoir, car en ce qui me concerne il s’agit juste de m’éclater sur le plan sexuel, et il n’est pas question d’amour. Sinon je ferais comme Charlotte, et je viendrais vivre ici toute l’année.― Tu pourrais ? Parce que l’hiver ça doit quand même pas être pareil...― Par amour bien sûr que je le pourrais. Seulement tu ne l’as peut-être pas remarqué, mais même si j’aime me faire ramoner par une bonne bite, et même plusieurs, je préfère quand-même les femmes. Et ici en hiver, sauf si on nous a caché des choses il n’y en a qu’une.
Aurélie a dit cela alors que le sexe de Jonathan qu’elle tient à présent fermement est en pleine érection, et en lançant un regard appuyé à Jade que la jeune femme a trouvé chargé de douceur et de sincérité, mais également d’érotisme. Ce qui la fait devenir de la même teinte qu’une pivoine, tandis qu’elle se demande quelle est en réalité la différence entre l’amour et le désir sexuel.
Pouliche qui a parfaitement compris la raison de son embarras, lui explique tout en lui prenant la main avec celle des siennes qui n’est pas déjà occupée :
― T’inquiète, je ne suis pas en train de te faire un plan car de toute façon je ne crois pas au coup de foudre. Je pense au contraire que l’on ne peut vraiment aimer quelqu’un, que si on le connaît bien.
Puis elle ajoute, tout en masturbant lentement son berger qui n’a pas l’air de vouloir s’en plaindre :
― Notre rôle puisque nous sommes pratiquement tous tes aînés, est de t’apprendre à t’épanouir dans ta sexualité de manière à ce que ta réserve naturelle passe au second plan. Car si tu veux mon avis, la détruire serait une grosse erreur vu qu’elle ajoute à ton charme. Par conséquent tant que tu vas rester ici je te conseille de multiplier les partenaires mais aussi les combinaisons, puisqu’on peut s’éclater encore plus quand on est trois ou davantage. Et les seules limites que tu devrais te fixer tout le temps que tu seras là, devraient être celles de tes besoins et de tes envies.
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Alors que la Bella Mora faisait part de sa philosophie à Jade, les autres membres de leur troupe sont venus les rejoindre certains d’entre eux encore ruisselants. Apparemment tous ceux qui en avaient envie ont pris une douche, et personne pas même Chloé, ne semble dérangé par le fait que Clément qui en a profité pour rouler trois joints, en ait allumé un pour commencer à le fumer. Sa mère dont les cheveux sont encore humides va s’asseoir à côté de lui, et sans hésiter il lui passe son cône sur lequel elle se met à tirer, montrant qu’elle en a l’habitude.
Jade se demande ce qu’elle va faire si on lui propose de tenter cette expérience, alors avisant son grand-oncle qui tient toujours son appareil-photos à la main et qui est resté debout, elle lui lance un regard interrogateur. Ayant parfaitement compris sa question muette, il lui répond :
― Tu es majeure, ma Petite Belette. Et si tu te le demandes, malgré qu’elle soit une femme de tête notre Renarde a déjà elle aussi fumé autre chose que du tabac, et pas qu’une fois. Elle a même apprécié, mais ne vas surtout pas croire que je dis ça pour t’influencer, car si tu n’en as pas vraiment envie il vaut mieux que tu t’abstiennes.
Aurélie comme pour appuyer ces propos, tourne la tête tout en la penchant et en courbant son dos, de manière à ce que sa bouche soit à la même hauteur que le gland de Jonathan. Puis avant de l’enfourner elle dit à Jade :
― Moi je préfère fumer les bâtons de bergers, mais chacun son truc.
Cette remarque attire plusieurs sourires, et Stéphanie donne ensuite elle aussi son avis :
― Moi non plus ce n’est pas ma tasse de thé, par contre on ne m’a pas surnommée Levrette pour rien...
Joignant le geste à la parole elle se lève pour aller se mettre à quatre pattes au milieu du pré, ses tétons à présent en dessous de ses énormes seins touchant presque le sol, et une fois en position elle demande à Chloé en tournant la tête vers elle :
― Tu viens me chauffer, mon Bébé ?
L’intéressée lui répond, après avoir souri :
― J’arrive Maman.
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Sans attendre Hermine va se mettre dans la même position que Levrette qui est assez âgée pour être sa mère, mais derrière elle de manière à ce que sa tête soit à la hauteur de la vulve exposée, et elle commence à la lécher, n’hésitant pas à insérer sa langue dans les nombreux repris de chair que forment ses nymphes. Pendant ce temps Pouliche s’est mise accroupie pour être plus à l’aise, et elle suce lentement Jonathan, semblant vouloir le déguster plutôt que de le dévorer.
Alors que certains s’adonnent à la fumette sans complexes d’autres commencent à mater les nouveaux show qui leurs sont offerts, faisant parfois les deux en même temps, et plusieurs sexes masculins se sont lentement dressés pour finir par être en érection. Cependant celles qui captent l’attention de presque tous les voyeurs se sont les deux femmes aux cheveux clairs, la châtain et la blonde. Car leurs silhouettes si différentes attirent les regards, puisque l’une est alourdie pas ses rondeurs qui n’ont rien de désagréable à reluquer, et elle pourrait passer pour la mère de l’autre qui est par contre toute en finesse. Cela donne un côté incestueux et par conséquent piquant à leur acte sexuel, même si elles ne se ressemblent pas vraiment de visage.
Elles ont pourtant l’air d’être parfaitement entrées dans leur rôle de composition, étant donné que la plus jeune tandis que son aînée a commencé à geindre doucement et à produire de la mouille, tourne la tête en direction de Djouba dont la poutre est à présent bien tendue, pour lui dire :
― Maman est prête à prendre son suppositoire, Papa.
Sans hésiter le colosse noir s’approche d’elles pour se mettre à genoux tandis que Chloé s’est déportée pour lui faire de la place, et alors qu’il a appuyé son gros gland contre la vulve de Stéphanie, il s’exclame en forçant sur son accent africain :
― Tu veux que le nègre déchire ton gros cul, Blanche-Neige ?!― Oh-oui, enfile-moi ta queue géante bien à fond, Bamboula !
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À ce moment-là, Jade qui se demande si c’est du lard ou du cochon observe les autres spectateurs, mais en constatant qu’ils sont tous sereins elle en déduit qu’il ne s’agit que d’un jeu entre les deux partenaires occasionnels. Elle a à peine le temps de se rasséréner, que Stéphanie pousse un cri strident alors que le membre hors-normes de Djouba s’enfonce en elle jusqu’à la garde. Le colosse a en effet donné un grand coup de reins tout en la tenant fermement par la taille, et une fois que son bassin touche les fesses rebondies de Levrette, il lui demande :
― C’est vraiment ça que tu veux, sale chienne ?!
Elle répond haletante :
― Oh oui ! Défonce-moi jusqu’à ce que je jouisse comme la dernière des salopes ! Tu sais que j’adore ça, espèce de gros lard carbonisé !
Chloé qui était restée à côté d’eux, probablement pour s’assurer que tout allait bien se passer, se relève pour venir vers Jade avec un petit sourire aux lèvres qui montre à cette dernière que tout se passe pour le mieux, puis elle s’assoit sur un de ses genoux sans vraiment lui en demander la permission. Cependant Belette apprécie cette initiative de la part de son amie et elle enroule un bras autour de sa taille, alors que la vulve d’Hermine est venue s’appuyer contre sa cuisse se fendant pour faire ventouse. Une fois qu’elle est confortablement installée, elle frotte sa peau douce contre celle de Jade qui l’est presque autant à cet endroit là, dans un mouvement si léger que personne d’autre ne doit le remarquer.
Djouba qui avait marqué un temps d’arrêt assez long, commence à besogner sans ménagements la douce Stéphanie qui se met à pousser des gémissements qui ressemblent au brame d’un cerf en rut, tout en s’activant elle aussi pour s’empaler encore plus vite sur le pieux de chair du colosse. Le spectacle étant rendu encore plus attractif, par le fait que les énormes nichons de Levrette se balancent allègrement au rythme de leurs mouvements, allant cogner contre ses avant-bras en faisant des sons mat qui donnent la cadence.
Sans en faire cas parce qu’elle a très certainement déjà vu ça, Chloé prend le joint que lui tend Laurent qui est venu s’intercaler entre Valérie et Alain, et elle tire dessus sans hésiter. Les deux autres cônes ayant également été allumés par Clément, ils sont eux aussi en train de circuler.
Après avoir rejeté trois fois de la fumée par la bouche tout en continuant à se masturber d’un mouvement imperceptible du bassin, Hermine tend le cône à son amie et elle lui demande :
― T’en as envie, ma Belette ?
L’intéressée répond, en prenant le mégot :
― Comme disait Coluche, dans la vie y faut tout essayer pour savoir ce qu’on aime.
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Cette répartie en fait sourire et même rire plus d’un, puis Laurent qui est du nombre annonce à la cotonnade avec son accent provençal :
― Nous avons parmi-nous, la digne fille de la Renarde.
Jade note au passage que si le berger a attribué cette réplique à sa Man c’est parce qu’il la connaît, ce qui lui paraît logique puisque vu son âge il doit faire partie des plus anciens habitants du plateau, et elle en déduit qu’elle pourra peut être en profiter pour apprendre des anecdotes croustillantes, au sujet de celle qui l’a mise au monde.
Mais Chloé qui ne le sait pas, dit très sérieusement à son amie avant que cette dernière porte le cône à sa bouche :
― Si t’as jamais fumé avant, tu tires juste deux taffes sans aspirer beaucoup, et après tu passes à ton voisin. Si ça te plaît et que t’es pas déjà stone, tu pourras recommencer un peu plus tard.
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La suite, si vous en manifestez le désir...
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