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Thérapie familiale

Chapitre 43

Des poissons dans l'eau & de l'émotion dans l'air.

Hétéro
Jade reste quelques instants empalée sur le membre de Damien, récupérant du plaisir intense qu’elle vient de ressentir, puis elle déplie ses jambes pour se soulever une dernière fois et le faire ressortir d’elle. Sans hésiter après lui avoir fait un sourire coquin elle se recule pour se pencher ensuite à nouveau en avant, et venir lécher son mât qui est resté tendu même s’il s’est aussitôt incliné. Comme elle a vu Aurélie le faire la veille au soir, elle décide de l’avaler afin qu’il reluise. Elle est étonnée de la facilité avec laquelle le cylindre de chair pénètre en elle, le gland passant en premier de sa bouche à sa gorge, et le reste suivant en se courbant de manière à s’adapter à son anatomie.
Ayant retenu ses leçons pendant tout le trajet elle prend un malin plaisir à fixer son Papy, qui a redressé son buste en prenant appui sur ses coudes pour la regarder lui aussi, ce qui n’est pas bien pratique pour la jeune femme à la fin, puisqu’elle est obligée de hausser les yeux en permanence. Toutefois ces derniers sont restés clairs lorsqu’elle lui fait un clin d’œil, au moment où son charmant petit nez vient à être chatouillé par les poils du pubis du vieil homme. Elle peut lire sur ceux bleus acier qui lui font face un mélange d’amusement et de fierté, et cette dernière devient aussitôt partagée puisqu’elle sait à présent qu’à l’instar de Pouliche, elle est capable de faire une gorge profonde sans ciller alors qu’elle a des années de retard sur la Bella Mora.
Pour le lui confirmer bien qu’elle n’en ait pas vraiment besoin, son grand-oncle tend la main pour venir caresser tendrement sa joue, et il lui dit mais en la comparant à d’autres personnes :
― Ta mère et ta grand-mère seraient fières de toi si elles te voyaient, car même si elles ne t’ont rien enseigné à ce sujet tu as toi aussi l’étoffe des grandes fellatrices. Tout comme votre beauté c’est une chose innée chez les femmes de notre famille, puisque vous avez non seulement la capacité d’avaler des queues de belles tailles sans ressentir la moindre gène, mais en plus vous y prenez un plaisir cérébral qui vous rend attentionnées. Ce qui ne fera qu’accroître celui bien plus physique, de ceux qui ont et auront la chance d’être sucés par vous.
Pour la première fois être comparée à sa Man et à sa Mamie sur un plan sexuel ne dérange pas Jade, preuve que l’idée que ses parentes sont des femmes comme les autres s’est gentiment ancrée en elle. C’est pourquoi sans en parler elle prend la décision que ce soir avant de s’endormir, elle matera en se masturbant les photos de celles dont elle suit le chemin, et peut-être même qu’elle s’enfilera un de ses jouets, pour que l’orgasme auquel elle va se mener soit encore plus puissant.
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Jade garde la position jusqu’à ce qu’elle éprouve le besoin de respirer, ce qui n’a pas l’air de déranger son grand-oncle bien au contraire, puis calmement elle régurgite le membre qui n’a pas faibli un seul instant. Au moment où il ressort complètement de sa bouche, reprenant l’angle qu’il avait avant en allant dans son élan frapper contre le ventre de celui à qui il est rattaché avant de revenir en arrière, elle constate satisfaite que s’il est luisant il n’est pas mouillé plus que ça. Ensuite elle se remet agilement debout, et elle s’exclame :
― Bon Papy, j’ai les crocs ! Alors pendant que tu vas aller me faire griller des amourettes j’irai me baigner, car contrairement à toi qu’as pas trop forcé, moi j’ai transpiré.
Le vieil homme éclate de rire, et son amusement ne diminue pas lorsque la jeune femme inversant les rôles l’aide à se relever. Il en profite pour lui dire :
― Tu feras tout de même attention en entrant dans la flotte, car si je ne pense pas que tu seras gênée par les truites qui viendront te chatouiller les orteils, je t’ai déjà prévenue qu’elle est glaciale.― Pour de bon, y a aussi des poissons ?! T’as une canne pour les attraper, au moins ?― Parce que tu sais pêcher ?― Évidemment, Enzo m’a appris. Dans un étang pas dans un lac, mais la truite c’est bien meilleur que la perche. Surtout qu’au barbeuc même si j’ai jamais essayé, ça doit être un régal. Mais on a le droit de les attraper, pas vrai ?― Pas plus que les lapins vu que nous sommes dans une réserve naturelle. Mais le dernier garde qui est venu ici est reparti en courant coursé par nos chiens, et il n’est jamais revenu. Quant à la canne à pèche je n’en ai pas, mais je pense que Laurent se fera un plaisir de t’amener une des siennes, alors je vais le contacter avec le talkie-walkie.― Ah bon ? Je croyais qu’on devait s’en servir qu’en cas de blème ?― Le tien oui, parce que tu n’as pas d’électricité pour recharger tes batteries. Mais moi je pourrai le faire dès que je serai rentré.

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Ils redescendent du tertre et tandis que Damien va chercher la viande qui est restée dans la cabane, Jade se dirige sans attendre vers le bord du petit lac. Elle commence par observer le bassin, et étant donné qu’il est limpide elle ne tarde pas à voir des poissons qui s’ils se font discrets, restant sur le bord à l’ombre des rochers, n’en sont pas moins présents. Elle reconnaît même des truites arc-en-ciel, ce qui lui met l’eau à la bouche étant donné qu’elle a faim.
Lorsqu’elle trempe ensuite un de ses petits pieds déchaussés elle trouve effectivement que l’eau est froide, mais tout compte fait pas plus que celle de la calanque, dans laquelle elle s’est pour la toute première fois de sa vie adonnée au nudisme. En tout cas en public. C’est pourquoi elle avance confiante, mais elle prend tout de même la précaution de s’asperger avant d’entrer complètement dans le bassin, et une fois qu’elle y est elle se met immédiatement à nager.
C’est à ce moment-là qu’elle entend :
― Cabane de Belette, besoin urgent d’une canne à pêche, répondez.
La voix de Laurent reconnaissable à son accent provençal, répond une dizaine de secondes plus tard sans s’embarrasser du moindre protocole :
― Je croyais que la pêche était une occupation de feignasses, Vieil Ours.― Pas de feignasses mais comme le ballon rond de gonzesses, Lolo, et justement c’est pour Belette.― Alors je me ferai un plaisir de lui en apporter une, même s’il y en a qui vont faire la gueule, si elle décide de hisser son drapeau orange pour être tranquille quand elle taquinera la truite.
Cette dernière remarque fait sourire Jade, et bien que trouvant l’expérience qu’elle est en train de vivre plus que supportable, elle décide de ne pas la prolonger trop longtemps. Après avoir fait trois allers et retours d’une brasse vigoureuse elle ressort de l’eau, sa peau s’étant intégralement recouverte de chair de poule. Elle ne prend toutefois pas la peine d’aller chercher sa serviette, estimant que le soleil estival fera tout aussi bien le travail. Par contre elle défait le lacet de cuir qui retient ses cheveux en queue-de-cheval haute, pour qu’ils sèchent plus vite, et elle l’attache autour de son poignet comme Aurélie le lui a fait hier.
Damien pendant ce temps est revenu de la maisonnette en ayant revêtu le tablier, bien évidemment avec la viande qu’il a entrepris de faire cuire sur le barbecue. Jade pour ne pas être en reste sort la table du salon de jardin pour l’installer sous le chêne, sous lequel le sol est plat et herbeux. Il ne lui faut pas bien longtemps pour comprendre comment la déplier, et elle retourne prendre deux chaises puis de la vaisselle.
Ensuite elle s’intéresse aux grillades qui dégagent une bonne odeur, ce qui n’a d’ailleurs pas échappé à Louve qui est venue faire un petit tour pour montrer qu’elle est là, avant de repartir vers ses petits. Même les chiens qui gardent les moutons ont capté cette senteur agréable, puisqu’ils jettent de temps en temps des regards dans leur direction alors que jusqu’à présent ils les ignoraient. Toutefois ils ne s’approchent pas, comme si les abords de la Cabane leurs étaient interdits.
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En constatant qu’il y a deux brochettes garnies d’animelles séparées par des morceaux de poivron et d’oignon, ainsi que quatre belles côtes d’agneau, Jade dit à son Papy :
― C’est top, on en aura une chacun et pas de Charlotte pour râler.― Eh bien, au départ j’avais calculé qu’il y en aurait une pour toi et une autre pour Hermine, ce qui n’aurait été que justice vu que c’est Djouba qui a amené celles qui ont été mangées hier au soir. Mais maintenant, comme tu adores ça je te laisse volontiers la seconde.― Pourquoi ? Tu penses que bouffer des couilles c’est pas viril pour un homme ?
Cette remarque lancée avec humour et une pointe d’ironie amène un sourire sur le visage halé du vieil homme, et il répond :
― C’est clair que tu ne me verras jamais sucer celles d’un autre mec, même si je respecte ceux qui le font parce que j’estime que les goûts et les couleurs ça ne se discute pas. Mais en ce qui concerne celles des moutons, à partir du moment où elle sont assez cuites...― Alors on va partager, point barre !
Sa réplique balancée sur un ton autoritaire amuse encore plus Damien, qui ne fait pas cas que sa petite-nièce lui a encore coupé la parole, et il réplique :
― On dirait que ton traitement te fait de l’effet, ma Petite Belette. Et je ne donne pas cher de la peau de ton frère, même si je ne le connais pas vraiment, lorsque tu retourneras à Aix. Car quand il va se retrouver entre ta mère et toi, il aura du souci à se faire.
Jade rougit légèrement, surtout à cause de son audace puisque son attitude n’a pas été perçue comme étant offensante, mais en plus elle éprouve une pointe de fierté en réalisant qu’elle arrive à présent à s’affirmer, alors qu’avant elle n’aspirait qu’à passer inaperçue. Car même si elle ne s’en rend pas toujours compte elle se met à prendre de l’assurance, et une fois de plus sa Man avait raison, lorsqu’elle lui a annoncé que son séjour dans les Cévennes lui ferait énormément de bien. Bien entendu en plus de la jouissance physique qu’elle en retire, et qui n’est pas non plus à négliger même si elle reste un bonus.
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C’est ainsi qu’ils prennent leur repas de midi à l’ombre du chêne, en tête à tête comme des amoureux bien que deux générations les séparent, et alors que leur viande est accompagnée d’un reste de salade de pâtes de la veille. Ils boivent avec cela de l’eau fraîche et limpide tirée d’une source, dont le filet sortant d’un rocher à proximité de l’arbre est si mince, que Jade ne l’avait même pas remarqué. La chienne vient chercher les os de leurs côtelettes qu’elle attrape avec des mouvements agiles, à chaque fois qu’ils lui en lancent un. Jade en constatant que les gardiens du troupeau restent à l’écart, même s’ils continuent à les observer, s’étonne :
― Les autres clebs ont senti la viande, pourtant y s’approchent pas.― Non seulement ils me reconnaissent comme leur étant supérieur, même si je ne fais pas vraiment partie de leur hiérarchie, mais en plus Louve est leur dominante bien qu’elle soit affaiblie par la naissance de ses petits. S’il venaient elle aurait tôt fait de les chasser en grognant, et pincerait même un jarret ou deux pour qu’ils comprennent plus vite qu’ils doivent rester à leur place. Pour ce qui est de quémander, c’est Aurélie qui lui a donné l’année dernière cette mauvaise habitude. Parce qu’avant ça, elle aurait attendu patiemment qu’on lui mette les os dans sa gamelle pour les boulotter.― T’as dit qu’ils TE reconnaissent comme leur étant supérieur, mais c’est parce qu’ils te voient régulièrement depuis leur naissance. Y se passera quoi, si moi je m’approche du troupeau ?― Tu n’as pas à t’inquiéter, car ils ont un odorat beaucoup plus développé que le nôtre et ils t’ont déjà reconnue comme faisant partie de la meute humaine. Au pire ils vont venir te flairer l’abricot comme ç’a été le cas avec Molosse, et au mieux ils t’ignoreront. De plus même si à toi ça t’a échappé, eux n’ont pas manqué de remarquer que tu as été adoptée par Louve, ce qui jouera également en ta faveur. Donc à partir du moment où tu ne t’amuseras pas à essayer de disperser les brebis, ils ne te considéreront pas comme étant une menace.― Et les moutons justement, y vont réagir comment ?― Eux contrairement aux chiens ils sont couillons, et ils n’ont même pas encore fait attention à ta présence. Comme ils sont peureux ça tu as déjà pu t’en rendre compte, si tu t’approches ils s’éloigneront au fur et à mesure que tu avancera vers eux, pour garder une distance de sécurité.― Donc, ici je pourrai pas caresser les agneaux ?― Si, mais avec énormément de patience. Ce serait beaucoup plus facile pour une vraie bergère, à la présence de qui ils seraient habitués depuis des années. Car ils ne sont pas non plus complètement idiots. Une fois que tu aura réussi à caresser un agneau il se souviendra du plaisir qu’il a éprouvé, et ils reviendra vers toi malgré les bêlements de sa mère pour le rappeler à elle. Ensuite, il saura toujours aller la retrouver quand il aura faim.
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Jade se dit qu’essayer d’apprivoiser les bébés moutons sera une expérience intéressante à tenter, à condition qu’elle en ait le temps, et qu’à défaut d’y arriver elle pourra toujours se contenter des chiots, qui suffiront amplement à son bonheur. C’est la raison pour laquelle elle n’est pas dépitée, et ils continuent de manger tranquillement leur repas. Ensuite ils boivent le café, le grand-oncle ayant montré à sa petite-nièce comment se servir de la cafetière italienne, qu’il a après l’avoir remplie placée sur la grille du barbecue. Puis Damien annonce à Jade une fois qu’ils ont débarrassé et fait une vaisselle sommaire, alors qu’ils sont l’un en face de l’autre et qu’il a déjà remis son sac à dos :
― Bon bé, maintenant je vais te laisser. Parce qu’avec Constance qui doit mettre bas ces jours-ci, je ne suis pas trop tranquille.
Le vieil homme semble effectivement tout à coup troublé, mais devinant que ce n’est pas la vraie raison, la jeune femme décide de le taquiner une peu :
― Bien sûr Papy. Mais dis-moi, les animaux y sont pas sensés se débrouiller touts seuls pour mettre leurs petits au monde ? Car après tout, c’est ce qui se passe quand y sont sauvages. En plus, Louve elle a pas eu trop de problèmes.― Oui... c’est vrai... mais Constance c’est quand-même mon ânesse et je tiens à elle.― J’en doute pas, d’autant que contrairement aux moutons et aux chiens t’en as qu’une.
Puis elle ajoute avec malice, tandis qu’il s’avance vers elle et que ses yeux se sont légèrement embués :
― Tu sais, si c’est trop dur pour toi de me quitter, on peut retourner ensemble à ta Bergerie. Et je te promet que je dirai pas aux autres que si tu joues au vieil ours avec eux, c’est pour cacher que t’as le cœur aussi tendre qu’une amourette. Et on pourrait aussi leur faire croire que j’ai pas voulu rester seule ici, parce que j’avais les foies.
Il la serre aussitôt dans ses bras d’une manière un peu trop brusque pour cacher son embarras, et il lui dit d’une voix légèrement rauque :
― Ce que tu peux être bête, parfois, ma petite-fille.― Euh... Papy... tu m’étouffes là...
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Damien relâche aussitôt son étreinte cependant ils restent enlacés un bon moment, puis lorsqu’il a réussi à maîtriser ses émotions il se sépare de Jade, et il lui dit en la regardant à nouveau dans les yeux :
― J’espère que tu resteras discrète sur ce petit moment de faiblesse. Mais tu sais je n’ai jamais eu d’enfants, alors je considère un peu ta mère comme si elle était ma fille, et tu lui ressemble tant...― T’inquiète de rien Papy, je serai muette comme une truite. Mais à une condition.― Laquelle ?― Que tu demandes à Djouba de me faire un gode qui ressemble à ta grosse bite, car je suppose que c’est lui qui a sculpté celles en olivier que j’ai trouvées dans ma chambre. Comme ça partout ou j’irai, je pourrai t’emmener avec moi.
Ils éclatent tous les deux de rire, ce qui relâche la tension qui s’était installée, puis le vieil homme dit à la jeune femme :
― Je le ferai, promis. Même si je dois poser des heures comme modèle en train de bander.
Ensuite il dépose un chaste baiser sur la joue de sa petite-nièce, puis il se décide à s’en aller la laissant seule. Il a parcouru seulement une dizaine de mètres lorsqu’il lui dit sans se retourner, de la voix pleine d’assurance qu’elle lui connaît depuis qu’ils se sont rencontrés :
― Et surtout si tu as le moindre souci, n’hésite pas à te servir de ton talkie-walkie.
Cette remarque en pleine contradiction avec les recommandations qui lui ont été faites un peu plutôt fait sourire Jade, même si elle est la seule à le voir, et elle lui répond :
― Je le ferai, promis.
Puis elle regarde son aïeul s’éloigner, en se demandant comment elle va bien pouvoir occuper le reste de sa journée.
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La suite, si vous en manifestez le désir...
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