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Thérapie familiale

Chapitre 50

Juste un doigt...

Inceste
Lorsqu’elle se retrouve seule, Jade se dit que si elle veut pêcher il est grand temps qu’elle s’y mette. Pourtant la première chose qu’elle fait est d’aller voir Louve qui s’est recouchée dans son panier, et est en train d’allaiter ses petits. Elle caresse la chienne quelques instants tout en lui parlant doucement, en ayant remarqué au passage que sa gamelle sans qu’elle sache par qui, a été remplie de nouveaux déchets dont une partie a probablement déjà été engloutie.  Ensuite en allant chercher son matériel à l’intérieur de la Cabane, elle constate qu’un nouveau sac-à-dos mais cette fois de petit modèle, a été posé sur la table certainement par sa Mamie. Cependant elle ne voit nulle part ni tiramisu ni moussaka, qu’elle ne tarde pas à trouver dans le garde manger dans lequel elle va récupérer ses appâts. Ce qui signifie que sa grand-mère y est descendue en son absence, et n’a rien d’étonnant vu qu’elle doit connaître ce lieu pour y avoir elle aussi séjourné.  Faire tout cela ne lui prend pas longtemps, et elle ressort avec la canne et le seau en bois qu’elle avait repéré dans le placard, se disant que si elle attrape des poissons elle pourra les mettre dedans en attendant de les vider. Elle regrette juste de ne pas avoir comme son aïeule un chapeau de paille à mettre sur sa tête, non pas qu’elle ait peur d’attraper une insolation, mais en porter un lui aurait probablement permis d’être moins éblouie par le soleil se reflétant sur l’eau. 
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Une fois au bord du lac la jeune femme remplit son seau et elle accroche un ver de terre à l’hameçon qui est au bout de sa ligne, puis grâce à la pratique qu’elle a acquise auprès de son frère, elle fait un lancer souple et gracieux en direction de l’endroit où elle a vu les truites la veille. Elle est étonnée qu’au bout d’à peine cinq minutes elle ait une première touche, mais à la réflexion elle se dit que ces poissons n’ayant probablement eu affaire à aucun prédateur avant elle, ils n’ont par conséquent aucune raison de se méfier et ils doivent prendre pour une aubaine, la bestiole en train de se tortiller dans l’eau sans couler parce qu’elle est retenue par un bouchon.
Après qu’elle a ferré d’un mouvement sec du poignet, commence une bagarre dont l’issue sera certaine sauf si le fil de nylon venait à casser. C’est la raison pour laquelle Jade décide de fatiguer sa proie en jouant avec le moulinet, lâchant du mou pour ensuite tirer, et au bout d’une dizaine de minutes sentant le poisson faiblir, elle décide de le sortir de l’eau.
Belette est assez fière de sa première prise qui mesure pas moins de trente centimètres de long, et elle est plus simplement contente lorsqu’elle constate après avoir décroché la truite arc-en-ciel qu’elle a mise dans le seau, que son appât n’a pas souffert pendant le combat et qu’il est toujours en train de se trémousser. Bien évidemment à cause de l’hameçon il n’a pas été avalé, mais il aurait pu être broyé par les mâchoires du poisson, ce qui arrive souvent mais n’a pas été le cas. Il va par conséquent pouvoir être réutilisé, et c’est ce qu’elle fait sans tarder en effectuant un deuxième lancer.
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Jade a attrapé trois belles truites, la plus grosse faisant dans les quarante centimètres, lorsqu’elle entend des voix qui s’approchent de sa Cabane en discutant gaiement. Toute à sa concentration elle n’a pas vu le temps passer, et en regardant brièvement le soleil elle estime que ce doit être la fin de la matinée.
Grace à sa grande taille c’est berger africain qu’elle voit en premier, et il est bien évidement accompagné de sa pensionnaire et par sa Mamie, qui elles aussi ne tardent pas apparaître. Cette dernière ayant l’air affligée d’une légère claudication, qui n’est pas sans rappeler à la jeune femme celle de son amie la veille. Cette constatation la fait sourire car tout en pêchant elle a eu le temps de réfléchir à la situation, et elle en est arrivée à la conclusion qu’elle est bien contente que son aïeule, ait encore à son âge la possibilité de s’éclater au niveau du sexe. Même si elle n’est pas encore prête à le faire avec elle. Les trois arrivants s’approchent du petit lac tandis qu’elle est en train de replier son matériel, et le géant noir lui dit après lui avoir fait chastement la bise, et ensuite jeté un coup d’œil dans le seau où ses prises encore vivantes sont retenues prisonnières :
― On dirait que la pêche a été bonne, Jade fille de Anne-Lise.― Je vais pas me plaindre, vu que c’est la première fois que j’attrape des truites. Mais y paraît qu’avec un arc, tu te débrouilles bien aussi.― Si tu as envie de t’y essayer, il faudra que tu viennes me visiter à ma Bergerie. Mais je dois quand-même te prévenir qu’avant d’arriver à tuer un lapin avec ce genre d’arme, il te faudra attendre d’avoir des années d’expérience. Car si en atteindre un avec une flèche peut se révéler être un coup de chance, s’en approcher jusqu’à se trouver assez près par contre relève de la furtivité, et ce n’est pas inné.
Jade n’en doute pas un seul instant, et Chloé qui les a écoutés en silence intervient :

― Si t’accroches au tir à l’arc il en sera ravi, parce que moi j’ai pas la patience. Car ça a l’air simple quand on regarde çà à la télé, mais au bout d’une cinquantaine de flèches passées à côté de la cible, ça devient gonflant. Surtout quand y faut après aller les chercher dans la garrigue, et qu’on met du temps à les retrouver.― Bé y faudra que j’essaie alors, parce que je saurai pas si j’aime tant que j’aurai pas tenté de le faire.
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Cette remarque pleine de bon sens et digne du regretté Coluche fait sourire tout le monde, puis Nadine demande à sa petite-fille :
― Mais ton Papy, il n’est toujours pas arrivé ?― Je l’ai pas encore vu, mais il avait peut-être des choses à faire avant de venir.― De toute manière, c’est la faim qui va le faire sortir du bois. Car tu aurais vu la tête qu’il a fait ce matin, quand j’ai sorti mes plats du réfrigérateur pour les fourrer dans mon sac au moment de partir, on aurait dit un vrai martyr.
Cette remarque les fait tous éclater de rire, et une voix se fait soudainement entendre :
― C’est de ma gueule, que vous êtes en train de vous foutre ?
Damien dont ils n’ont pas remarqué l’approche vient de poser cette question, et Nadine lui répond sur le même ton enjoué :
― Bien évidemment, de qui d’autre sinon ?
Le vieil homme qui ne semble pas vexé fait d’abord la bise à sa petite-nièce puis à Chloé, et il va ensuite serrer la main à Djouba, avant de lui taper cordialement la main sur l’épaule en lui annonçant :
― Félicitation ! Tu es l’heureux grand-père d’une belle petite gamine.
Le berger africain ouvre d’abord de grands yeux sous l’effet de la surprise, ce qui fait ressortir le blanc par rapport à sa peau d’ébène, puis comprenant de quoi il est question il s’exclame :
― En vérité ?! Constance a mis bas ?!― Oui, et comme par hasard elle s’est mise à braire juste après que ma Petite Belette m’a appelé pour m’inviter, et alors que je m’apprêtais à partir.
Le vieil homme lance immédiatement un regard à sa petite-nièce, comme pour lui dire : Tu vois, j’avais de bonnes raisons de m’inquiéter, mais cette dernière qui n’est pas dupe se contente de lui renvoyer un sourire ironique. Cet échange n’a pas échappé à Nadine qui pourtant est restée impassible, et Djouba qui lui par contre ne s’est rendu compte de rien, demande :
― Ça a été rapide alors. Et ils vont bien ? Autant la mère que la petite ?― Autant qu’ils peuvent aller. Bien évidemment Constance est fatiguée car ça n’a certainement pas été pour elle une partie de plaisir, mais dans quelques jours il n’y paraîtra plus. Quant à l’ânon, il n’a pas mis longtemps à se mettre debout et quand il y est arrivé, il a aussitôt cherché les pis de sa mère. Ce qui est un signe de vitalité.
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Damien fixe à nouveau Jade pour lui lancer un deuxième message muet qui signifie : Si tu veux le voir, tu vas être obligée de rentrer avec moi, et là encore elle lui dédie un sourire qu’elle espère cette fois énigmatique. Nadine n’a pas manqué de prendre la mesure de leur petit jeu et elle en est amusée, parce qu’elle a compris sans connaître les détails que sa petite-fille est en train de tenir la dragée-haute à son oncle, ce qui la rend fière d’elle. Elle n’en perd pas moins son sens pratique, puisqu’elle annonce à voix haute :
― Bon les hommes, assez barjaca (ndla : bavardé). La moussaka ne va pas se réchauffer toute seule, alors même si j’ai remis du bois dans le barbecue pour me faire un café ce matin en arrivant, il faudrait vous assurer qu’il y reste au moins des braises.
Djouba se propose aussitôt :
― Je vais y aller de ce pas, ma Douce Brebis.
Jade se retient de rire lorsqu’elle entend sa grand-mère se faire appeler de cette manière, même si elle était déjà au courant au sujet du petit nom dont elle a été affublée, et cette dernière qui s’est aperçue de son hilarité lui met une claque sonore sur les fesses, qui lui fait pousser un petit cri de surprise car elle n’a pas vraiment eu mal. Cette calotte, ne tarde pas à être suivie par une mise en garde :
― Je te préviens que si certaines choses sortent de l’endroit où nous sommes, je te ferai rougir le derrière à coups de schlague, et tu n’en ressentiras aucun plaisir.
Bien entendu la menace n’est pas vraiment sérieuse, et Jade répond toujours amusée :
― Mais franchement Mamie, tu me vois aller raconter à mes futurs amis à la fac, que j’ai passé mes vacances au milieu d’une tribu de bergers tous accros au sexe, et que ma grand-mère faisait partie de la bande ? Pis d’abord, c’est quoi une schlague ?
Nadine lui répond très sérieusement :
― C’est un baguette, dont on se servait pour donner des punitions dans l’armée allemande.
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Damien ne manque pas de suivre le berger africain, et tandis que le géant s’occupe de remettre un peu de bois dans le foyer, le vieil homme sort du sac à dos qu’il n’a pas manqué d’amener avec lui, des verres ainsi que deux bouteilles de vin. Une de rouge qu’il pose sur la table, ainsi qu’une autre de blanc qu’il ouvre sans attendre. Pendant ce temps les femmes retournent vers la Cabane, Chloé portant obligeamment la canne à pêche et les appâts, puisque Jade s’est chargée du seau contenant ses prises qu’elle va mettre à l’ombre de la maisonnette.
Louve ne tarde pas de venir sentir les poissons puis elle repart d’un pas tranquille vers ses chiots, après s’être laissée caresser brièvement par la jeune femme. Son berger qui n’a pas manqué de remarquer le manège, s’exclame :
― Regardez-moi là, cette ingrate ! Elle s’est choisie une nouvelle maîtresse, et depuis elle m’ignore !
Brebis qui est en train de ressortir en portant le plat de moussaka, accompagnée d’Hermine qui amène pour sa part de quoi dresser le couvert, lui répond sur un ton ironique :
― Si tu lui donnais de l’affection au lieu de la considérer uniquement comme une gardienne de troupeau, elle te le rendrait, vaï. Mais toi tu ne penses qu’à baiser et à picoler, au lieu d’avoir de la tendresse pour ceux qui t’entourent et qui t’aiment.
Absolument pas vexé par cette pique alors qu’il a à présent effectivement un verre de blanc à la main, Damien est même émoustillé par cette allusion au sexe, puisque son pénis prend du volume pour se dresser lentement, tandis qu’il affiche un sourire béat comme si ce qui est en train de lui arriver était une aubaine. Une fois que son membre s’est dressé il va s’asseoir dans la chaise longue, puis il demande à Jade :
― Tu viens me montrer à quel point je t’ai manqué, ma Petite Belette ?
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Jade qui était restée à l’ombre de la maisonnette pour suivre l’échange entre ses parents devient écarlate, puis elle se décide à regarder sa Mamie parce que c’est sa présence qui la trouble, étant donné qu’en ce qui concerne les deux autres personnes qui sont là elle a déjà dépassé le stade de l’exhibitionnisme et même plus. Nadine qui a parfaitement compris pourquoi elle est gênée, lui dit de manière à en détourner habilement la cause après lui avoir fait un sourire :
― Tu ne le sais peut-être pas encore car je suis convaincue que le Vieil Ours ne l’a pas mentionné, ma Pitchounette, mais dans notre famille ce sont les femmes qui décident quand, où et comment.
Jade réfléchit quelques instants à cette information, et alors que son amie Chloé semble prête à se dévouer pour la remplacer, elle finit par répondre :
― Alors ce sera ici et maintenant, et pour ce qui est de comment...
Sans être plus explicite elle va sans se presser se mettre à genoux devant son faux Papy, et elle commence à lécher son sexe alors que sa vraie Mamie amène tout naturellement son plat à Djouba, qui le pose sur la grille du barbecue, et qu’Hermine qui n’a pas l’air déçue dispose les assiettes et les couverts sur la table.
Au bout de cinq minutes tandis que ses beaux yeux verts dégradé sont rivés dans les siens bleu acier, elle ne semble toujours pas décidée à mettre dans sa bouche le gros gland du vieil homme, se contentant de passer sa langue sur toute sa surface avec une lenteur appliquée, tout en tenant sa hampe fermement avec l’une de ses petites mains. Alors qu’il n’a aucune raison d’avoir à s’en plaindre, Damien finit tout de même par lui demander :
― Tu n’as pas envie de me faire une des gorges profondes dont tu as le secret, ma Petite Belette ?
Elle arrête de le sucer pour hausser un sourcil ironique, et répliquer :
― J’allais y venir, figure-toi. Mais maintenant que t’as réclamé, je voudrais surtout pas décevoir ma Mamie en t’obéissant, vu qu’elle s’attend à ce que ce soit moi qui décide.
Puis elle ajoute, sa voix devenant elle aussi narquoise :
― Mais si tu préfères je peux te laisser te débrouiller tout seul, et aller rejoindre les autres pour boire un coup de blanc avec eux.
Même si elle fait mine de ne pas le remarquer et qu’elle continue à fixer son grand-oncle, Jade est convaincue que sa répartie a beaucoup amusé les personnes présentes. Djouba qui est en train de pouffer de rire ne le dément pas, et il va même jusqu’à affirmer tandis qu’elle recommence à lécher consciencieusement :
― Pas de doute possible, nous avons là la digne fille de Anne-Lise. Et je gage que sa maman serait fière d’elle.
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Jade finit par mettre le gland de Damien dans sa bouche, bien évidemment parce qu’elle en a envie, mais étant donné qu’elle a également le désir de boire son sperme à défaut de vin, elle ne va pas plus loin se contentant de le téter goulûment. Ce qui ne semble pas déplaire au vieil homme, qui de toute manière a compris qu’il devra se contenter de ce qui lui est donné.
Sa mâchoire s’étant habituée à cette pratique la jeune femme n’en ressent au début aucune gène, et elle peut même à présent écarter assez cette dernière pour pouvoir jouer de sa langue, et continuer à la passer autour de la chair qui se contracte comme une éponge. Mais au bout d’une dizaine de minutes, elle commence a sentir des élancements dans ses muscles qui sont en train de travailler de façon prolongée, et elle décide de sortir l’arme fatale.
Sa main se glisse sous les fesses de son Papy qui ne fait rien pour l’en empêcher, et son index tendu va perfidement caresser l’anus fripé du sexagénaire qui en frémit d’indignation. Elle le masse ainsi quelques instants, puis elle enfonce subitement son doigt dans la chair qui s’écarte tandis qu’elle force le passage. Presque en même temps et comme elle s’y attendait, le premier jet de sperme inonde sa bouche. Même si son grand-oncle a réussi à rester muet, car il s’est à grande peine retenu de pousser un gémissement qui n’aurait rien eu de viril à ses propres oreilles, et aurait certainement encore amusé à ses dépends les autres personnes présentes.
Jade se dépêche d’avaler cette première salve en déglutissant, puis la seconde et la troisième et ainsi jusqu’à la dernière, ce qui lui est d’autant plus facile que le liquide est de moins en moins abondant. Bien entendu elle se régale au passage de son goût et de sa texture, et lorsque la source s’est tarie elle ressort le gros gland pour le lécher une dernière fois, dans le but de le nettoyer et de récolter la moindre trace de ce jus qu’elle adore.
Lorsqu’elle a terminé elle retire son index qui était resté bien au chaud, et elle le suce tout en regardant son aïeul d’un air moqueur. Ensuite, pour enfoncer le clou, elle se tourne vers Chloé et elle lui dit :
― T’avais raison, ma Belle. Les mecs sont plus chatouilleux que nous à certains endroits.
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La suite, si vous en manifestez le désir...
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