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Thérapie familiale

Chapitre 52

Révélations.

Inceste
Une fois leur plaisir consommé, alors que les deux hommes se sont relevés et qu’elle s’est pour sa part redressée pour être à genoux, ses énormes seins reprenant leur position habituelle, Nadine se fait un malin plaisir de sucer chacun leur tour les sexes de ses deux amants, enfonçant le plus naturellement du monde leur glands au fond de sa gorge.  En le faisant la bonne grand-mère observe sa petite-fille pour voir de quelle manière elle réagit, mais cette dernière qui regarde son amie toujours en position basse entre ses jambes, feint de ne pas s’intéresser à elle. Alors qu’elle est en réalité épatée, de voir sa Mamie se comporter comme toutes ces femmes qu’elle a vues sur internet, certaines d’entre elles n’étant que des amatrices, mais se comportant comme des pros sur le tournage d’un film pornographique.  Ne s’étant rendue compte de rien, Chloé dit à Jade :  ― J’aimerais bien me faire percer comme ta mère-grand, seulement avec le clito que j’ai c’est pas possible.― D’après ce que j’ai vu sur la toile, y en a d’autres sortes. Tu peux par exemple en accrocher un à ton capuchon, comme ça y viendra en appui contre ton pistil et le chatouillera pareil.― Ouais, pis en plus y paraît que ça fait moins mal que se le faire mettre directement dans le centre de la cible. Et je crois que ma reum sera pas contre, vu qu’elle en a aussi mais sur chacune des ses petites lèvres. Car elle dit que donner du plaisir c’est aussi important qu’en recevoir, et à cet endroit ça aiguise aussi les mecs.― C’est une sainte alors, ta mère ?  Elles éclatent toutes les deux de rire, puis Hermine dit à Belette :
― On peut le voir comme ça, sauf que moi j’ai pas de GYLF dans ma famille. Car mes Mamies elles sont plutôt classiques, sauf pour le nudisme parce que ça c’est entré chez nous dans les années 60.  Nadine qui en a terminé avec Damien et Djouba s’est approchée sans faire de bruit, et la jeune femme ne l’a pas vue venir puisqu’elle lui tourne le dos. C’est la raison pour laquelle elle sursaute, lorsque la grand-mère lui demande :
― C’est quoi une GYLF ?
Alors que Jade contrairement à son amie a eu le temps de se préparer, c’est cette dernière qui rougit en répondant et tout en se mettant elle aussi précipitamment debout :
― C’est de l’english, et c’est l’abréviation de Granny You Would Like To Fuck, autrement dit...― Mamie que tu aimerais bien baiser. C’est très poétique, pour définir une personne d’âge mûr.
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Nadine qui n’est pas du tout choquée mais au contraire amusée d’être considérée de cette manière, vient de faire la traduction en devançant Chloé, et Jade s’exclame :
― Mamie, tu parles anglais ?!― Bien entendu, qu’est-ce que tu crois ? On l’enseignait déjà à l’école quand j’y allais. Je parle aussi espagnol, un peu italien et j’ai même quelques notions d’allemand. C’est très pratique de connaître plusieurs langues, quand, on fait de l’escorte.― De l’escorte ?!?― À ta façon de réagir tu as compris de quoi je parle, pas vrai ? Et tu comprends aussi pourquoi tu ne l’as pas appris avant. Loin de moi l’idée de me justifier car j’assume entièrement mon passé, mais lorsque tu te retrouves veuve à 37 ans et que tu n’as aucune formation professionnelle, parce que c’est ton mari qui remplissait la marmite, tu dois te servir de tes atouts pour pouvoir continuer à vivre normalement. Et le meilleur que j’avais à ma disposition, c’était mon corps.
La bonne grand-mère fait une courte pause, de manière à laisser aux deux jeunes femmes le temps d’assimiler ces informations, puis elle continue :
― Bien entendu je n’étais pas à la rue. J’étais propriétaire d’une belle ferme reconvertie en villa à Manosque, que toi Jade tu connais très bien, en plus d’un appartement à Aix dans lequel je vivais à l’époque. J’ai également bénéficié d’une assurance vie assez conséquente, que mon mari et contre mon avis avait eu la bonne idée de souscrire. De plus, Anne-Lise qui s’est mariée moins d’un an après le décès de son père, n’est pas restée bien longtemps à ma charge. Mais je n’ai pas fait qu’ajouter du beurre dans mes épinards, car c’était une occupation qui me convenait parfaitement, vu que j’avais déjà une vie libertine avant ça.
Tandis que les deux jeunes femmes l’écoutent religieusement, leur aînée poursuit son plaidoyer :
― C’est d’ailleurs grâce aux relations que j’avais nouées au cours de ces parties fines, pendant lesquelles nous ne faisions pas que baiser, que j’ai trouvé le job. Je descendais une ou deux fois par semaine à Marseille, où je passais des soirées en compagnie d’hommes d’affaires. Avec bien entendu le plus si affinités, car il ne s’agissait pas d’un forfait. Mais au fil du temps c’était toujours les mêmes qui me demandaient, et ce n’est pas la peine que je vous explique pourquoi, pas vrai ?
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Jade profite d’une nouvel arrêt des explications, pour demander en rougissant car elle n’est pas encore revenue de sa surprise :
― Mais t’as fait ça pendant combien de temps ?― J’ai été retirée officiellement du catalogue en 2006, car à 45 ans je me suis dit qu’il était grand temps de laisser la place aux jeunes. Toutefois il m’arrive encore de faire des extras, car l’un de ces hommes, un japonnais, me demande toujours et j’ai grand plaisir à le revoir. Même si tout comme moi il a blanchi sous le harnais. Il m’apporte systématiquement des petits cadeaux, et j’ai par exemple toute une collection de kimonos en soie. J’en ai même donné plusieurs à ta mère, qui a été ravie il y a peu de pouvoir enfin les porter ailleurs que dans sa chambre.
Ce détail fait sourire sa petite-fille, puisqu’il s’agit d’un des épisodes clefs du coming-out de sa Man, puis sa Mamie poursuit :
― Mais il y en a eu également un autre, un ukrainien, qui avant de prendre du galon et de ne plus pouvoir se déplacer, m’a présenté son fils qui l’a remplacé au poste qu’il occupait avant. Je ne les ai vus qu’une seule fois ensemble, et ils m’ont baisée à deux sans aucun complexe pendant toute une nuit. Ce qui était en quelque sorte une passation de pouvoir. Et étant donné que ce jeune homme qui revient de temps en temps et demande lui aussi après moi, n’est pas beaucoup plus âgé que vous, je suis effectivement une Granny He Likes To Fuck. Ce que j’assume complètement, même si j’ignorais que cette catégorie de femmes existait, et que je trouve ça un peu réducteur. Déjà appeler une mère de famille qui apprécie les hommes plus jeunes une Cougar, c’est limite, alors une grand-mère...
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Jade est une nouvelle fois scotchée, mais à présent qu’elle a évolué dans sa tête elle est plus épatée qu’autre chose par ces révélations. En fait la seule chose qui la dérange, c’est qu’elle pense qu’elle va avoir du mal à concilier ces deux aspects de la personnalité de sa grand-mère, très différents l’un de l’autre. Celui de la douce et gentille Mamie qu’elle a toujours connue, et celui de la femme mûre qui assume complètement sa sexualité, même si cette dernière est débridée.
Toutefois elle sait déjà qu’elle les aime tous les deux, ce qui amène un sourire sur son beau visage juvénile. L’intéressée ne s’y trompe d’ailleurs pas, puisqu’elle lui dit :
― Ta mère a flippé, quand le lui ai annoncé que j’allais t’avouer la vérité. Elle m’a fait tout un tas d’objections du style, elle est trop jeune pour comprendre, elle va être choquée. Mais moi, je savais que tu es à présent assez grande, pour comprendre ce genre de choses.― Parce que bien entendu, elle est au courant de tout. Mais Enzo, y sait quoi lui ?― Je ne sais pas exactement où ils en sont dans l’évolution de leur relation, tous les deux. Mais je peux déjà te dire qu’il ne voit plus sa Man comme vous l’appelez, de la même manière qu’avant. Cependant j’estime que ce n’est pas à moi de t’informer plus avant à leur sujet, étant donné que cela ne me concerne pas directement. Pour ce qui est de mon passé il ne sait encore rien, mais c’est juste parce que je n’ai pas eu l’occasion d’en discuter avec lui en tête à tête, depuis que ta mère et moi avons décidé de vivre notre vie dépravée sans plus nous cacher de vous. Car il n’y a pas de raison qu’il ignore des choses, que toi tu as apprises.
Puis elle ajoute, en poussant un soupir exagéré :
― Le problème, c’est que les petit-enfants sont des ingrats. Une fois devenus adultes et qu’ils ont le permis de conduire, ils ne pensent jamais à aller rendre visite à leur vieille grand-mère, qui les a choyés pendant toute leur enfance.
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Jade bien qu’elle sache que Nadine se plaint juste pour la forme, se lève à son tour pour aller l’enlacer, et elle lui répond tout en la cajolant :
― Moi j’ai eu ma caisse, que la veille au soir de venir ici. Mais tu verras que je viendrai te voir souvent.― Oui, pour que je te fasse du tiramisu. Mais lorsque tu te seras trouvé toi aussi un fiancé, mes desserts comme tout ce que je cuisine et que pourtant tu adores, ça passera à l’arrière plan tout comme moi.― Mais non, Mamie. Et qui sait, peut-être que lui aussi il raffolera de tes desserts.
Bien qu’elle n’était pas inquiète car elle a conscience que sa grand-mère est une femme forte, la jeune femme est tout de même soulagée de la sentir pouffer de rire entre ses bras. Et si elle ne se sépare pas d’elle, c’est surtout par ce qu’elle aime sentir ses énormes seins aux tétons percés, venir s’écraser contre les siens qui paraissent de taille modeste en comparaison.
Damien et Djouba qui avaient bougé, probablement pour aller voir Louve et ses petits sur le côté de la maison, réapparaissent dans le champ de vision de Jade. Son grand-oncle en les voyant dans les bras l’une de l’autre, leur demande sur un ton légèrement ironique :
― Vous allez remettre le couvert, et vous lécher la figue ?
C’est sa nièce, qui lui répond :
― Le problème avec vous les hommes, c’est que vous ignorez ce qu’est la tendresse. Vous faites semblant de le savoir, jusqu’à ce que vous ayez obtenu ce que vous voulez d’une femme. Mais une fois qu’elle a accepté de répondre à toutes vos envies et vos besoins, vous la traitez comme si elle n’était qu’une serpillière, tout juste bonne à éponger votre foutre.― Là tu exagères, Brebis.― Oh à peine, vieux mécréant.
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Djouba parce qu’il les connaît tous le deux, ayant l’impression qu’un orage est en train de s’approcher à la vitesse d’un cheval au galop, fait diversion en disant :
― À présent nous allons vous quitter, mes amis. Afin de ne pas abuser de l’hospitalité que vous nous avez faite. Pas vrai Souricette ?― C’est comme tu veux, Djou. De toute manière, si Belette revient ici demain-matin on pourra toujours se revoir. Il lui suffira de lancer un appel avec sa radio, quand elle sera de retour.
Damien qui a tiqué en entendant la dernière phrase se garde bien de faire une remarque à ce sujet, surtout parce que Nadine le fixe d’un œil noir, et qu’il a envie de se faire oublier pendant un petit moment. Cependant, Jade qui contrairement aux autres a le sentiment que ses deux parents sont en train de leur faire un sketch, en est plus amusée qu’autre chose. Elle se sépare de sa Mamie pour ouvrir cette fois les bras à son amie, qui vient lui donner l’accolade. Pour les autres Chloé se contente de leur faire la bise, tout comme Djouba qui serre à la place la main de son collègue, puis les deux invités s’en vont en emportant avec eux le reste de moussaka.
Une fois qu’ils se retrouvent tous les trois, Damien demande avec une pointe de malice dans la voix :
― On part maintenant, où vous avez des choses à faire avant ?
C’est Nadine qui réplique :
― Bien évidemment qu’on va y aller, car je suis certaine que notre Pitchounette est impatiente de voir le bébé de ton ânesse.― Mais puisque tu parles de bébés, on peut laisser Louve toute seule ? Car je vous rappelle qu’elle peut pas quitter ses petits pour aller chasser.
C’est Jade qui vient de poser cette question, et son grand-oncle lui répond sur un ton fataliste :
― Bien évidemment qu’on peut. Et puisque tu vas revenir ici demain-matin en m’abandonnant à nouveau, elle n’aura pas le temps de mourir de faim.
Cette remarque fait sourire la jeune femme ainsi que sa grand-mère, qui sont convaincue que le vieil homme continue à faire du cinéma.
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Jade va baisser son fanion tandis que Damien se charge de vider les truites, dont il met les entrailles dans la gamelle de Louve. Cette dernière après les avoir senties lui lance un regard lourd de reproches, puis elle se met à les manger comme si elle éprouvait du regret de devoir le faire. Son maître qui s’en est aperçu, lui dit :
― Tu fais la fine bouche, vaï. Mais si je te les avais filés hier quand tu crevais la dalle, en moins d’une minute il n’en serait rien resté.― Mais c’est bon pour elle ? Je veux dire, c’est quand-même un peu dégueu ces trucs.
C’est encore sa petite-nièce qui a demandé, et toujours son Papy qui lui répond :
― T’inquiète que si c’était vraiment dégueu comme tu dis, elle n’y aurait même pas touché. C’est juste que depuis deux jours on la chouchoute avec de la viande rouge, alors elle préfère ça. Mais dis-moi, si tu trouves ça crade, tu vas faire comment quand tu auras pêché tes prochains poissons ?― Entre les vider et bouffer ce que les truites ont dans le bide, c’est quand même pas pareil.
Nadine abonde dans son sens :
― Quand avec Enzo ils revenaient chez moi en ayant attrapé une perche ou n’importe quel autre poisson, c’est elle qui s’en chargeait. Alors que moi je n’ai jamais pu m’y faire, et son frère n’en était pas non plus friand. Elle est peut-être timide notre Pitchounette, mais par certains côtés c’est un vrai garçon manqué.― Oui, enfin, c’était peut-être vrai quand elle avait 10 ans, mais à présent elle est devenue une vraie femme, tu peux me croire sur parole.
Jade ne relève pas cette affirmation faite par son Papy, se contentant de rougir jusqu’aux oreilles, et étant donné qu’ils n’ont plus rien à faire à la Cabane ils prennent le chemin de la Bergerie. Le vieil homme malgré les protestations de sa petite-nièce, se chargeant de porter dans son sac le reste du tiramisu ainsi que la vaisselle sale, qu’il leur sera plus facile de laver à l’eau chaude. Celui que Nadine a mis dans son dos et dont elle n’a pas non plus voulu se séparer, ne contenant que ses affaires personnelles comme par exemple sont tricot qu’elle n’en a pas sorti.
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Il ne leur faut pas bien longtemps pour parcourir la distance qui sépare les deux habitations, et lorsqu’ils arrivent non loin de leur destination ils sont accueillis par un braiment de Constance, qui les a entendus venir. Jade a envie de se précipiter vers la bergerie dans laquelle l’ânesse et son petit doivent se trouver, mais son grand-oncle qui s’en est aperçu, la retient en lui disant :
― Minute papillon. Non seulement je dois mettre tes poissons au frais, mais en plus je tiens à immortaliser cette rencontre. Alors tu vas attendre que je sois allé chercher mon appareil-photos.
La jeune femme soupire de dépit, mais elle attend avec impatience entre les deux bâtiments en compagnie de sa grand-mère qui s’est délesté de son sac, que leur oncle qui lui par contre semble décidé à prendre tout son temps, revienne vers elles. Nadine qui a compris la manœuvre, dit à sa petite-fille une fois qu’il a disparu dans la maison :
― Il va lambiner, pour obtenir une petite vengeance par rapport au fait que tu lui as tenu tête. Mais si dans cinq minutes il n’est pas de retour, nous irons sans lui. Bien entendu il va ensuite rouméguer (ndla : ronchonner), mais fais-moi confiance j’aurai tôt fait de le remettre à sa place.
Cette dernière phrase fait sourire la petite belette, qui a compris depuis déjà un bon moment que sa Mamie a l’ascendant sur son oncle, et ce dernier doit lui aussi en être conscient, puisqu’il est de retour avant que le temps qui lui a été alloué ne se soit écoulé. Même s’il n’était pas au courant à ce sujet. Il tient à la main non seulement son outil d’espionnage, mais également deux belles carottes qu’il donne à Jade en lui disant :
― Contrairement à Louve, Constance ne fera de difficultés à personne pour ce qui sera de laisser son ânon se faire caresser. Mais elle sera tout de même encore plus contente de te revoir, si tu lui fais un petit cadeau avant.
Sa petite-nièce n’en doute pas un seul instant, et elle répond d’une voix qui contient à peine son impatience :
― Bon on y va, ou on attend que ce bébé soit lui aussi assez vieux pour avoir des petit ?!
χ χ χ

La suite, si vous en manifestez le désir...
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